CALVIN&NATALYA • you da one that I think about always

Tu servais une nouvelle coupe de champagne à ton professeur de russe préféré.. En même temps, tu n'en avais qu'un :P Quand on pouvait se payer du champagne tous les jours, il ne fallait pas hésiter.. On disait souvent que les Eliots jetaient l'argent par les fenêtres d'ailleurs, tant pis. C’est dur d’avoir ton cousin comme élève et encore plus dur de ne pouvoir pas fréquenter les gens que l’on désire. Sauf, s’il faut se cacher. Ce qui peut apporter beaucoup de problème. Est ce qu'il parlait de toi ? Bonne question. « Oui.. Mais le problème c'est que dans les deux cas tout le monde souffre. » Votre conversation se faisait de plus en plus sérieuse et tout le monde savait que le sérieux n'était pas ton truc. Tu trouvais que sa vie était plutôt compliquée et tu ne te cachais pas de lui dire. Il te questionnait alors sur la raison de ta remarque. « Trop de responsabilités tuent les responsabilités. » Une seule phrase qui résumait tout, du moins quand on la comprenait. Un statut de prof, d'homme marié, déjà trop à supporter ! Les rumeurs se répendaient vite à Harvard, comme partout d'ailleurs. Tu avais ensuite fait une remarque sur la lâcheté des Hommes, comme quoi vous cherchiez toujours la simplicité et fuiez toute forme de difficulté. Il te répondait, lui aussi sur un ton sérieux. Tu hôchais la tête, commençant à manger ton plat. Il te demandait pourquoi tu avais dit ça. « Parce qu'il y a un désir auquel j'ai envie de succomber, je sais que je dois pas le faire. Mais l'envie est trop forte. Et la difficulté c'est d'y résister. » Tu lui souriais malicieusement, bien sûr que tu parlais de lui.. Tu ne lâchais pas l'affaire, quand on est déterminée, on l'est jusqu'au bout.

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I'm glad to see you.

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Il est vrai que même en ayant une vie agréable on peut quand même souffrir. Les péchés auxquels nous sommes confronté quotidiennement tel que le désir ou encore l’amour peut finir par nous gâcher la vie. « La vie serait ennuyante s’il n’y avait pas toutes ses petites choses qui rendent la vie pimenté. » Je lui souriais tout en prenant une bouchée de mon plat. Je n’avais jamais tenu une conversation aussi sérieuse avec elle et peut être que cela rendrait notre déjeuner moins attractif. A 25 ans j’avais déjà pas mal de responsabilités, alors que j’étais encore si jeune. « C’est pourquoi il faut les ignorer. » Je levais ma coupe de champagne et buvait une gorgée tout en la regardant avec des yeux complices. C’était amusant de se cacher ici comme des criminels avec nos secrets. Loin des yeux de Harvard, loin de mon cousin. A sa dernière phrase je manquais d’avaler un bout de viande de travers. Si elle me disait ce genre de chose à cette heure là, ça allait être difficile de résister à l’envie. « Le plus raisonnable serait d’y résister… » Je laissais ma phrase en suspend. Comment j’avais pu dire ça ?! Si je n’avais pas été professeur, je lui aurais surement déjà sauté dessus, mais je préférais me contenir, il y avait trop à risquer. « Surement que cela serait dangereux… » Le danger était excitant non ?

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Tu avais besoin de ce déjeuner pour pouvoir mettre les choses au clair avec Calvin. Il te disait que c'était ces petites difficultés qui pimentaient la vie. Et en effet, tu avais toujours eu une vie assez pimentée, que ce soit au lit ou pas. Ta réputation de coureuse de jupons te précédait sûrement, même si tu n'étais pas sûre que ton professeur soit au courant. S'il ne l'était pas, il allait bientôt s'en rendre compte.. Il rajoutait qu'il fallait ignorer ces responsabilités, ce à quoi tu répondais par un sourire, continuant ton plat et buvant une nouvelle gorgée. Tu avais toujours été attirée par le beau russe, et tu ne l'avais pas caché. Ce qui vous avait tout droit conduit à cette soirée à Megève et cette situation ambiguë. Mais bizarrement, tu ne t'arrêtais pas là et continuais à le provoquer, autant par des mots que des actes. Il te répondait, disant que le mien serait d'y résister. Il laissait sa phrase en suspend, à ta grande surprise. Tu le regardais dans les yeux, essayant d'y trouver une émotion quelconque. Tu n'étais pas très expressive, et avais aussi du mal à te rendre compte des émotions des autres. Il reprenait la parole. Surement que cela serait dangereux.. À quoi il jouait ? C'était censé être lui le responsable, celui qui devait t'arrêter. Mais là il faisait tout le contraire. Tu lui faisais un sourire charmeur et te levais tranquillement. Tu faisais quelques pas et te retournais vers lui, toujours ce sourire charmeur. Tu ouvrais la porte des toilettes, jetais un dernier regard à Calvin, lui faisant un clin d'oeil. Qu'est ce que tu espérais ? Qu'il te suive ? Bien sûr..

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Elle se levait et se dirigeait vers les toilettes. Cela serait insensé de le faire ici alors que la salle était remplit de monde. De lus, franchir se cap ne serait pas une bonne idée. J’étais coincé entre deux possibilités : m’envoyer en l’air avec une magnifique jeune femme russe et franchir une ligne de non retour ou alors me retenir et agir en adulte responsable. Un homme suivait Natalya du regard en même temps je le comprenais, elle ne passait pas inaperçu. En revanche sa femme n’avait pas l’air ravie du comportement de son mari à supposé qu’il le soit. Je finissais ma coupe de champagne et rattrapais Natalya. On ne pouvait pas faire ça, pas ici. Elle m’attendait le regard emplit de cette assurance qui lui était propre. Même si je la désirais ce ne serait pas raisonnable de me laisser aller. Je ne savais pas ce qui l’excitait le plus, le fait que je sois professeur ou que se soit moi ? « Je ne pense pas que ce soit une bonne idée même si l’envie ne manque pas. » Je n’étais pas gêner, mais juste un eu frustré. Je me rapprochais d’elle, un sourire malicieux accrocher à mes lèvres. Je m’imaginais avec elle et rien que d’y penser ne devenait une seconde tentation. Je ne voulais pas risquer mon travail. Bien que la compagnie des femmes me soit appréciable, le travail passait avant tout le reste.

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Calvin ne t'avait pas arrêtée, toi et tes envies. Il avait juste dit qu'il valait mieux ne pas franchir ce cap et que cela serait dangereux. Aussitôt, tu te levais de ta place pour te diriger vers les toilettes. Tu n'avais pas envie de te rafraîchir ou autre, tu voulais juste qu'il te suive. Ce qu'il faisait peu de temps après. Tu remarquais qu'un homme te regardais attentivement. Tu lui lançais un regard noir, celui de la vilaine russe. Ok tu couchais avec n'importe qui, ou presque, mais tu n'étais pas la roue de secours d'un homme marié non plus. Le beau russe s'approchait de toi, tout ça pour te dire que ce n'était pas raisonnable. Il disait ça un peu trop tard, il ne fallait pas te laisser t'aventurer sur ce terrain là. Bien sûr que vous en aviez tous les deux envie, ce n'était pas le problème. Il ne voulait pas perdre son emploi et c'était totalement compréhensible. Tu te demandais ce que tu aurais fait si tu avais été à sa place. Tu ne savais pas trop en fait. Et puis tant pis, ce sourire malicieux te narguait trop. « Chut.. » Posant un doigt sur sa bouche pour lui dire de se taire, tu t'approchais doucement. Enlevant ton doigt, tu collais tes lèvres contre les siennes pour enfin retrouver ce sentiment qui te manquait tant. Tu posais ta main en haut de sa nuque et lui arrachais un dernier baiser, plus tendre. Tu te reculais et le regardais dans les yeux. Tu voulais juste une réaction, un oui ou un non.

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Elle posait ses lèvres sur les miennes. Une fois de plus je me laissais faire. Que voulez-vous cette fille était hypnotique ! Finalement, elle reculait dans un dernier baiser tout en laissant sur mes lèvres un goût sucré presque provocateur. « Tu joue avec le feu. » Néanmoins, j’aimais ça. C’était une fille qui n’avait pas peur de prendre des risques. Je ne disais pas un mot de plus. Elle jouait avec moi et je n’aimais pas me faire chevaucher, je préférais l’inverse. Je me rapprochais à nouveau d’elle, attrapant son menton de la main droite tandis que la gauche glissait lentement le long de son cou. Je relevais sa tête tout en longeant mes yeux dans les siens. Nous étions si proches à présent que je pouvais entendre son rythme cardiaque s’intensifier. Je pouvais sentir les frissons parcourir son corps délicat tandis que ma main gauche continuait de descendre vers sa taille. L’atmosphère était électrique et remplit d’une certaine tension sexuelle. Finalement, je lâchais cette pression et déposais un baiser au creux de ses lèvres, puis je reculais. « Ce n’est pas très classe de conduire un homme dans les toilettes. Ça serait presque trop facile. » Un sourire malicieux ornait ma bouche. S’il se passait quelque chose entre nous je préférais que cela se passe loin des yeux et des oreilles indiscrètes qui peuplent cette ville.

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Au lieu de continuer à parler, tu avais préféré l'emmener dans les toilettes du restaurant. Oui ce n'était pas super classe mais bon, vous faisiez avec les moyens et bord. Tu aurais bien voulu etre tranquille dans ton lit avec lui, mais c'était juste impossible. Une fois ton dernier baiser déposé sur tes lèvres, tu t'écartais pour le regarder. En tout cas, il ne t'avait pas rejetée, loin de là. Juste quelques paroles pour te dire que tu jouais avec je feu. Ses réactions étaient plutôt déstabilisantes, il ne t'arrêtait pas, il te disais juste qu'il ne fallait pas. Je sais C'était aussi cette part de danger que tu adorais, toutes tes sensations étaient décuplées et tu voulais juste que ça continue. Il posait l'une de ses main sur ton menton, alors que l'autre se baladait le long de ton corps, se rapprochant de ta taille. Ton visage était près du sien, tu l'entendais respirer, alors que tout ton corps était parcouru de frissons. Tu posais une mais sur son torse, ayant simplement envie de couvrir tout son corps de baisers. Tu descendais doucement ta main, alors qu'il cédait à nouveau et t'embrassait. Finalement vous étiez un peu comme des gosses qui doivent se cacher des autres. Tu descendais encore un peu plus ta main, t'approchant de ses parties intimes. Tu glissais ta main sous son haut, posant ton visage dans le creux de son cou. Sa voix te ramenait à la réalité, tu levais la tête et l'écoutais parler. Je sais c'est pas super mais bon, j'ai pas trouvé mieux là. Tu baissais à nouveau la tête, déposant un baiser dans son cou. Une meilleure idée derrière la tête ?

hs : mise en page plus tard ! ♡

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Elle était décider à le faire et même si j’en avais envie je me posais quand même des questions. La partie professeur voulait reprendre le dessus. « Le truc c’est que rien ne me garantie ton silence si jamais il se passait quelque chose. » Sérieusement, j’avais vraiment l’impression de me retrouver dans un film et d’être le criminel. Pourtant, on ne faisait rien de mal. C’était la nature humaine de céder aux tentations, non ? « Ce que je veux dire, c’est que je ne veux pas perdre on job parce que tu voudrais te venger ou je ne sais quoi.. Je laissais ma phrase en suspend alors qu’elle déposait des baisers dans mon coups. Je plaçais mes mains en dessous ses fesses et la portait pour la déposer contre le lavabo. A présent, je me retrouvais entre ses jambes. Natalya savait exactement quoi faire pour me rendre dingue. A croire qu’elle lisait dans ma tête. Tandis que mes mains parcouraient sa taille, je l’embrassais dans le coup et finissais par échanger des baisers avec elle. Je me laissais aller. La température venait d’augmenter.

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Alors que vous vous sautiez quasiment dessus, tu entendais Calvin, le professeur, prendre le dessus. Il disait qu'il ne pouvait pas être sûr que tu gardes le silence. Tu n'avais plus envie de parler de tout ça, tu voulais juste laisser tes envies prendre le dessus. Tu déposais avec un baisser sur ses lèvres douces, comme pour le taire. Tu te reculais un peu et le regardais. Il continuait à jouer son rôle de professeur, un peu tard peut être. Il ne voulais pas perdre son job, normal. Il avait peur que tu te venges, racontant à tous ce que vous aviez fait. C'est dans notre intérêt à tous les deux que personne ne soit au courant.. Tu continuais de déposer des baisers dans son cou. Il plaçait ses mains sous tes fesses pour pouvoir te soulever et te poser sur le lavabo. Il se laissait alors aller, à ton plus grand plaisir. Il caressait doucement ton corps et tes belles formes. À son tour, il embrassait ton cou, pendant que tu levais la tête au ciel, profitant de l'instant. Tu posais ensuite l'une de tes mains sur sa joue, partageant un baiser sensuel avec lui. Tu n'en pouvais plus, tu le désirais plus que tout. Tu passais une main sous son haut, la chaleur de la pièce augmentant fortement. Tes deux sous son t-shirt, tu l'embrassais et soulevais son haut petit à petit, caressant son torse de tes mains douces. Une fois cela fait, tu balançais son t-shirt et déposais de courts baiser sur son torse. Un sourire malicieux, tu le regardais, descendant tes mains à son pantalon, posant tes doigts sur le bouton de son jean. Tu attendais un simple regard, un simple signe qui allait te donner le feu vert que tu espérais.

Mise en page plus tard (: CALVIN&NATALYA • you da one that I think about always - Page 2 2511619667

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A ce stade ce n’était pas la raison qui allait m’empêcher de faire ce que j’avais toujours voulu faire avec elle. Je laissais l’instinct agir sans pouvoir le contrôler. J’avais envie d’elle depuis notre séjour au ski avec les Eliot. Au début je n’avais éprouvé qu’une simple attirance envers elle, ce n’était à mes yeux qu’un petit flirte sans importance, mais me retrouver seule avec elle dans cette chambre au châlet de ma cousine m’avait donné envie d’aller plus loin avec elle. Je voulais dire par là que j’avais vraiment envie d’elle, de passer à l’étape supérieur.

Je la laissais élever mon t-shirt, je touchais son corps exquis. Frôlais sa poitrine à travers son haut tout en déposant des baisers dans son coup. Je retirais d’un seul geste son haut et attrapait ses lèvres. Mon étreinte se voulait plus puissante, plus animal. Je caressais ses cheveux et lorsqu’elle m’intérogeait du regard pour ouvrir mon pantalon, je lui répondais d’un simple coup d’œil. J’entourais sa taille de mes mains tandis qu’elle déboutonnait mon jeans. De plus en plus excité je découvrais sa poitrine en dégrafant son soutien-gorge tout en jouant avec sa poitrine.

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