Jeremy Riley McCarthy► Justin Timberlake [Modification Apporté en attente de confirmation]

C'est le 12 Février 1991 à Dublin, que les membres de la famille McCarthy m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Jeremy Riley. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétéro et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Art en majeur et musique en mineur depuis 1 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowells ou les Mather(uniquement si confréries).

Passionné de tout ce qui touche de près ou de loin à l'art ▲ Possède un jolie accent irlandais ▲ Est un peintre talentueux▲ A un penchant pour l'art de rue, surtout pour le graffiti▲A une légère tendance à finir ses soirées au poste de police▲ A une légère passion pour le Whisky▲ A toujours sa musique sur lui ▲Fume beaucoup, et la clope et Marijeanne▲ Passionné de Moto ▲ Rêve d'être aussi connu que Shepard Fairey

▲Vous savez ce qu'est le bodypainting ?
C'est en fait une forme d'art ou la toile bah c'est un corps, j'avais parlé de cela à une fille dans mon cours d'Art de la renaissance et elle avait kiffé, donc je l'avais inviter à passer chez moi et on pourrait se faire une petite séance, vous voyez elle pourrait me servir de modèle. Le seul problème c'est qu'elle a texté son petit copain pour lui dire alors pendant que j'étais entrain de recouvrir son corps dénudé il est entré à toute vitesse dans ma chambre. Vous imaginez sa réaction, un bon coup de point à la gueule... J'en ai eu pour deux semaines à avoir un bleu autour de l'oeil.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Pourquoi pas, c'est bien de se détendre un peu et puis j'ai vu qu'il y avait quelques MatherE assez jolie si vous voyez ce que je veux dire

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Non je ne crois pas, si je suis pour aller aider un pays dans le besoin j'irai en Irlande aider mon peuple.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Ouais j'irais surement, peut-être pour faire une toile, vous savez la technique qui consiste à projeter des jets de peinture, bah j'irais surement faire un portrait de quelqu'un de connu de cette façon.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Baisable!

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Ouais pourquoi pas, une bonne occasion de baiser, par contre j'espère que les moches ne sont pas invitée... Je détesterais me faire acheter par une moche...

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

En voilà un beau médium pour faire de la peinture, j'ai encore jamais tagué de ferrari, je me demande qu'elle rendu ça a...

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Ouais non moi et l'angleterre ça fait deux... Surtout leur littérature...

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle MarkyWhat et j'ai 19. Je suis Canadien et j'ai connu le forum grâce à Je me souviens plus. Le forum il roxe les pouliches arc-en-ciel alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, Je nique tout je suis hyper intégré j'ai même appris le jargon français wesh meuf. J'utilise Justin Timberlake comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Moi. Je fais environ entre 300-900 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲Je vous aime les admins

La lumière de la lampe m’aveuglait, la table, sur laquelle mes mains étaient, était d’un métal glacé. Le type qui avait l’air d’un policier d’un de ces mauvais films des années 80 se pencha vers moi et d’un air hargneux s’adressa à moi.« Reprenons depuis le début petit comique, tu te nommes Jeremy Riley McCarthy et t’es Irlandais. Tu fous quoi dans notre pays, tu crois qu'on peux venir en Amérique pour foutre la merde dans nos rues et sur nos édifice ?» J’eus un petit sourire en coin, un de ceux qu’on voudrait faire disparaitre à grand coup de point, mais le gros lourdaud en uniforme ne sembla pas s’en importuner pour autant. « Ouais c’est ça, Jeremy McCarthy et ouais je suis Irlandais, ça te pose un problème ? Et je crois pas qu'embellir un quartier en leur faisant don de mon talent soit foutre la merde...» Je n’en étais pas à ma première visite au poste, non même en Irlande j’y faisais des arrêts quasiment hebdomadaire, pas que je sois quelqu’un de bien méchant non c’est juste que j’ai un penchant pour le libre art, les graffitis, les étampes et les autocollants c’était mon truc, j’en faisais depuis que je suis tout petit. Normalement je m’en sors avec une amende rien de plus, et fort heureusement parce qu’avec un casier judiciaire je n’aurais pas pu traverser l’Atlantique pour venir étudier à Harvard. En fait ce n’est pas tout à fait vrai, j’ai eu un casier, je m’étais fait coffrer pour avoir tagué le parlement et ils n’ont pas trop apprécié, heureusement j’avais quatorze ans à l’époque donc à ma majorité le jolie dossier a disparu. « Mise à part passer mes soirées en compagnie de beaux gosses comme toi je vais à l’école, tu vois une jolie petite école, tu as peut-être entendu parler, Harvard.» L’expression du gros flic changea du tout au tout, voir ses yeux s’arrondir avec surprise comme ceux d’une biche ça n’avait pas de prix, parce qu’il m’avait coffré avec de la peinture en Aérosol il devait penser que je n’étais qu’un vaut-rien, un décrocheur qui n’a pas fini son High School et qui travail chez McDo pour payer son loyer. Mais non j’étais en fait très éduqué et mon loyer c’était l’école qui le payait grâce à ma bourse. Il cherchait à présent ses mots tellement il était surpris. « Tu vas à Harvard ? C’est ça… Fait moi rire! Tu y es en quoi ? En art je suppose…» Mais qu’il était con ce flic, habituellement je tombe sur des mecs intelligents, certes ce ne sont pas toujours des génies, mais un con comme lui c’est la première fois. « Bah ouais du con, pendant qu’on y est rajoute moi une amende pour insulte à un agent de la paix, j’ai pas fini vu la débilité qui t’habite… Tu savais pas qu’Harvard avait son programme d’art ? Et je suppose que tu crois que je ne fais que des graff… Non mais en plus d’être con t’es ignorant…» L’expression de surprise changea subitement, il était à présent écarlate, rouge de colère. Sur le coup j’étais certain qu’il allait me frapper, en fait ça aurait été bien, j’aurai pu lui soutirer une belle somme pour cette bavure, mais non il se contenta de taper sur la table et de me crier dessus. « Tu te pense drôle petit con, des jeunes comme toi j’en ai vu des centaines, vous vous croyez tout permis, vous pensez que la terre vous appartient!» En plus il se répétait… Je regardai ma montre, les menottes que j’avais aux poignets entravaient un peu mes mouvement, mais rien de trop gênant, ça faisait maintenant trois heures que j’étais assis ici à entendre ses rengaines, j’avais hâte qu’enfin quelqu’un vienne payer ma caution. Ce n’est pas que la compagnie de ce policier me déplaisait, mais c’est qu’avec le temps j’avais peur de m’attacher et que notre rupture soit trop douloureuse. Je laissai aller ma tête par en arrière alors qu’il recommençait à me crier dessus, mais c’est qu’il n’allait jamais se taire le gros moustachu… Enfin quelqu’un répondit à mes prières puisqu’on cogna à la porte de ma salle d’interrogatoire. Le mastodonte s’éclipsa deux petites minutes avant de revenir et de m’enlever mes fers. « T’es libre petit comique, on va se revoir, je compte là dessus!» Je ne pus m’empêcher de rire en me levant, il me remit mes amendes et en quittant la pièce je lui répondis. « Ouais t’inquiète, on s’appel et on déjeune mon beau.» Puis je quittai rejoindre mon sauveur à l’entrée du poste de police. Non en vérité je n’étais pas un dur, c’était une façade que je me donnais, un peu plus et j’éclatais en sanglot, les flics c’est ce qui me faisait le plus peur au monde. Avec toute les histoires de brutalités policière et d’abus de pouvoir je suis ultra nerveux, mais je ne peux pas m’arrêter de faire des graffitis sinon j’étouffe, c’est mon moyen de m’exprimer et de vivre, sans ça je crois que je deviendrais fou. J’entrai dans la voiture de mon ami les mains tremblante et le cœur battant la chamade, je devais à tout prix trouver un moyen de finir mes œuvres plus rapidement, je devais arrêter de me faire prendre de la sorte, sinon j’étais bon pour une crise de nerf.