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Good to see you again • Deirdre

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Ah le mercredi, ah les amphi, ah les premières années c'était toujours les plus compliqué, ceux qui ne savent pas trop encore ce qu'ils font là, ceux qui veulent montrer qu'ils avaient bien suivit les cours, et ceux qui dorment c'était dur de gérer son audience. Bon j'ai été étudiant aussi et malgré que ces petits avaient 18/19 ans, j'ai aussi eu leur âge et je ne suis pas loin du leur âge non plus à vrai dire. Malgré que j'étais leur professeur. Enfin bon, tout c'était bien passé et on avançait bien. Ca faisait du bien de les retrouver après ce mois loin d'eux. Ca faisait 2 semaines que j'étais revenu et c'était une bouffée d'air comme pas possible. Bref, on était aujourd'hui Mercredi et normalement j'avais rendez vous dans 20 minutes après mon amie Deirdre. Je lui envois où j'étais, après tout le square était assez immense, et les étudiants étaient nombreux à venir se poser au bar ou à différent endroit. Il ne faisait pas non plus beau aujourd'hui, mais la pluie était prévu que pour ce soir. Donc on va en profiter n'est ce pas? Je la cherchais du regard, alors qu'elle m'avait envoyé un SMS en retour pour me dire qu'elle était arrivé sur place. Je fronce le regard, en regardant tout le monde autour de moi puis au loin je l'aperçois debout au milieu de la place. Je me dirige vers elle. "Deirdre!" Je lui fais signe en la voyant, voulant qu'elle se retourne aussi, son visage venait d'apparaitre dans cette foule d'étudiants. Normal c'était un peu la sortie des cours, certains allaient retrouver leur cours de sport et d'autres allaient rentrer chez eux. Ah cette vie des fois me manque, plus trop d'obligation, juste des cours, bosser simplement et savoir ce que je vais faire le lendemain. C'était quand même plus calme que cette vie que j'ai maintenant. Oui au moins j'étais heureux, je n'avais pas d'idées assez sombre. Bon tout cela est maintenant derrière moi même si bizarrement je pense que Deirdre va m'en demander plus. Car oui j'avais quand même disparu pour un mois mine de rien. Contre ma volonté d'ailleurs. "T'es resplendissante dis donc! Tu vas bien?" Je souris en la prenant dans mes bras rapidement. On s'était perdu de vu pendant un moment, d'un côté j'avais l'impression que j'ai perdu tout le monde de vu rapidement pour me concentrer sur une chose, ma famille. C'était une des nombreuses erreurs que j'ai commise et que je ne veux pas refaire maintenant que tout va bien pour moi. Maintenant que je suis dans ma tête plus libre. Et je sens qu'au vu du regard de la jeune femme, plusieurs choses ont du changer dans sa vie aussi. Elle était plus heureuse, elle rendait mieux sur elle.


@Deirdre M. Wheelan
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Il y a de ces fantômes qu'on prend plaisir à retrouver. Tu es un de ces vestiges Andrew et même si la surprise m'a cueillie l'année passée lorsque nos routes se sont de nouveau croisées, je suis désormais heureuse de pouvoir te compter au présent. Les choses étaient différentes alors. Tu étais encore fiancée, et moi seule. Désormais, nous avons quelque peu inversé la balance et bien que je n'ai pas porté ta compagne au plus profond de mon cœur , je me vois peinée de te savoir remué par tous ces bouleversements. Après nos échanges de fin d'été, tu avais disparu quelques temps si bien que j'en avais été inquiétée. Mais tu resurgis et c'est pour le mieux. Nous nous sommes donnés rendez-vous sur le Yard et j'observe un peu distante les étudiants sortir de leurs cours. Ma charge est plus légère cette année puisque je termine simplement ma thèse en vue de passer mon doctorat. Quelques détails à peaufiner finalement et le statut d'étudiante s'arrêtera définitivement pour moi. C'est d'un pincement au cœur que j'accueille ce changement, mais une certaine exaltation au ventre également car je ne me sens plus de ce monde, encore moins de ces préoccupations. Il faut croire que j'ai grandit malgré moi. Et je sens que c'est ailleurs que doit continuer ma route et mon ascension désormais. J'entends ta voix qui résonne et d'instinct mes absinthes se tournent vers ta personne. Un mince sourire aux lèvres, j'avance alors vers toi. Je te prends furtivement dans mes bras, avant de contempler tes traits. Je me souviens de nos plus juvéniles, plus insouciants, plus innocents aussi. Le temps nous a marqué à sa façon. Mais il est pour le mieux. « Merci ! » Mon sourire s'accentue. « Tu n'es pas mal non plus. » Tu ne perds pas de prestance et ce malgré les soucis que tu as du affronter. « Je vais bien, je te remercie. On va prendre ce café ? » que je dis en te lançant un regard complice et nous n'attendons pas plus pour nous mettre en route. Arrivés dans l'établissement, nous commandons nos boissons avant de nous installer. Je viens croiser mes jambes, encerclant la chaleur du café de mes mains en attendant qu'il refroidisse. « Et toi alors ? Tu étais passé où ? » dis-je attisée dans ma curiosité par ce qui a pu se passer de ton côté.
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On avait développé une amitié avec Deirdre que moi même, je ne pensais pas possible malgré tout ce qui avait pu se passer à la Eliot ou autre. Bon des fois je regrette de m'être comporter comme j'ai pu le faire que ça soit à la Eliot ou simplement en regardant de haut les DBS. Je ne vais pas non plus retourner en arrière pour leur dire pardon de m'être mal comportée car c'était le passé et c'était derrière nous tous. Mais voila, ils avaient eu raison sur Ayma et son caractère surtout. Mais bref on s'en fous. On se retrouve elle et moi, après avoir pris notre commande et qu'on récupère nos boissons, je l'a regarde. Elle semblait vraiment heureuse, elle avait bien changé depuis 1 mois, je vais devoir en savoir plus! Je l'a remercié aussi de sa remarque puis je me concentre sur elle. J'ai du loupé pas mal de chose après mon départ assez précipité mais je vais rattraper tout cela. Elle me demande du coup où j'étais passé durant ce long mois sans signe de vie. Je baisse les yeux. C'était une partie dure à raconter. "Je ne l'ai jamais dis à personne... Mais..." Je prend une grande respiration et je me lance enfin. "Merci!" "J'étais partit à New York quelques jours car ma mère avait fait une rechute.. Elle est décédée quelques jours après.. Son cancer avait pris trop de terrain à nouveau. Donc j'ai du partir sur Londres pour l'enterrement... Ensuite, on va dire que tout s'est enchainé. J'ai eu un accident de voiture le soir même de l'enterrement, car je regardais mon téléphone, avec des photos de ma mère, ma famille... Ayma. Bref plusieurs photos. Et j'ai grillé un feu rouge donc un camion a foncé dans ma porte passager... Hôpital avec léger coma histoire de me remettre sur pied. Et après... J'ai..." Je prend une respiration alors que c'était un peu plus dur de parler de la suite de l'histoire car... Voila je me sentais faible à ce moment là, perdue. Et je n'avais plus aucuns repère. Quand je vous dit que ma relation, mes conneries et tout le reste m'ont détruit. Mais Deirdre devait de le savoir. "J'ai fais une tentative de suicide durant une nuit... On m'a sauvé. Et j'ai été obligé de finir dans un réhabituer pour lutter contre ma dépression de plus en plus importante et le suicide. Après ma séparation avec mon ex femme je voyais que du noir dans ma vie." Je l'avais raconté à personne encore. Bon ma meilleure amie le savait car elle avait été là pour moi et heureusement, elle m'avait soutenu, aider à surmonter tout cela, et à voir que je devais retrouver ma fille. Que je me battais pour Shayleen. Bon bien sur, on avait couché ensemble mais c'était un détail. "Ma meilleure amie était à Londres dès qu'elle a su pour mon accident. Elle a aidé mon père a tout gérer, et elle m'a clairement sauvé aussi en m'ouvrant les yeux. Car je voyais que la mort pour aller mieux." Je soupire alors que je bois une gorgée de mon café encore brulant.

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Tu as disparu pendant un mois et je me suis un peu inquiétée mais même si l'amitié avait pris place entre nous, nous n'étions pas spécialement proches. Je sais que tu es un homme occupé et moi-même j'ai eu à faire mais ce que tu me révèles me bouleverse quelque part. Machinalement, ma paume se pose sur le dos de ta main alors que tu me racontes ton histoire. Mon regard s'égare sur tes traits, sur ta stature qui pourtant ne trahit pas le moins du monde l'enfer par lequel tu es passé. « Je suis désolée pour ta mère. Je sais ce que c'est. » Quand bien même je n'avais que dix ans, j'ai pu constaté à quel point ce genre de maladie peut arracher tout le prestige d'une personne. Nous ne sommes pas grand chose face à un fléau pareil, si ce n'est impuissant. Nous devons continuer à avancer malgré ces terribles images. Et je peux tout à fait concevoir que tu n'aies pas pu trouver la force de continuer. Parce que tu as tout perdu et que tu dois tout reconstruire désormais. « Tu reviens de loin. » dis-je en caressant mes doigts contre les tiens. Et je suis heureuse que tu sois là, que tu aies choisi de voir ce qu'il y a de beau quand seulement l'horreur se dessinait sous tes yeux là. Que ta meilleure amie tienne suffisamment à toi pour t'épauler dans tout ce désarroi. « Je suis heureuse qu'elle ait pu être là et t'aider à revenir ici. Parce que ta fille compte sur toi et parce que tu vaux mieux que tout ça. » Tu vaux mieux que cette femme, tu vaux mieux que de te laisser engloutir par des démons. Je ne te connais plus tellement finalement, je n'ai dans ma tête que ces prémices que saupoudrent la jeunesse sur des esprits encore innocents, mais tu es une des seules personnes me reliant encore à un lointain passé. « Et comment tu vas maintenant ? » Tu sembles avoir récupéré quelque peu mais c'était ma façon à moi de te montrer que je suis là. Que je peux être une épaule sur laquelle te reposer quand le monde s'avère trop cruel et impitoyable. Il n'y a qu'en se serrant les coudes qu'on parvient à affronter la tempête, même si finalement, nous la traversons toujours seul. Quelques mains tendues peuvent aider.
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Je l'a regarde, elle savait ce que c'était? Je fronce le regard, elle m'en avait jamais vraiment parler qu'elle avait aussi perdu quelqu'un de sa famille. Bon après tout c'est vrai qu'on a pas vraiment discuter la première fois qu'on s'était rencontré, puis après on s'était perdu de vue. On s'était certes retrouver à l'Eliot House mais c'était vraiment il y a plus de 3 ans maintenant. Ensuite les différents entre les DBS, Aymalyne et tout le reste avaient pas aider dans notre amitié. Mais je pense qu'on avait tous les deux évolués aujourd'hui. "Vraiment? Tu as perdu quelqu'un aussi?" Je l'a regarde en buvant mon café, cette gorgée chaude me faisait du bien. Je suis vraiment contente de l'a retrouver. J'aimerais développer une réelle amitié avec elle maintenant. Je lui avais confié mes soucis, et surtout mon gros secret. Je ne voulais pas que tout le monde sache que j'étais suicidaire à une époque où je ne broyais que du noir. C'était une partie de ma vie ou je me suis perdu, où je ne me suis plus reconnu. Maintenant j'ai de nouveau la tête haute. Je me suis retrouvé. "Revenir de loin c'est le terme oui." Je souris, mais bon au moins je prenais cette situation avec le sourire, peut-être parce que dans le fond je devais simplement me dire que voila, je n'avais pas le choix que d'avancer. Mon ex femme m'a oublié en 2 semaines, je dois faire de même. Je dois prendre mon temps mais en même temps zapper cette partie de mon histoire. Il ne restera que ma fille qui me rappellera quelque chose de beau que j'ai vécu. Etant de retour sur Tinder et surtout en ville, je veux m'amuser, être libre. Ne plus être attaché à quelqu'un dont je ne suis pas sur d'aimer autant que mon ex. Quoi que est-ce que je l'ai vraiment aimé pour ce qu'elle était? C'était la plus grande question que je me posais depuis que je suis divorcé et depuis que j'ai ce poids en moins sur les épaules. "Oui elle peut être très motivante... Si tu vois ce que je veux dire." Je rigole. Mais oui elle n'avait pas tord, ma fille compte énormément pour moi, je ne peux pas me voir sans elle. C'était ma vie, elle était ma première fille, ma petite princesse. Je l'a regarde, elle me demande comment je vais maintenant. Je souris en la rassurant. "Je vais mieux. Je me retrouve de plus en plus. Je retrouve celui que j'étais et la carrure que j'avais. Je ne suis plus le chien que j'étais avec Ayma. J'étais dans une relation destructrice que je détruisais moi de mon côté et elle n'arrangeait rien. Je suis passé à autre chose, même si c'est encore assez proche. J'ai toujours une rancoeur sur ce qu'elle m'a fait, sur comment elle m'a oublié en 2 semaines. Mais... Je veux avancé, et j'ai retrouvé des amis que je n'avais plus, je me refais des amitiés. Puis regarde on se retrouve." Je souris de plus belle, c'est vrai j'avais toujours une rancoeur sur Aymalyne et ça ne changera pas pour le moment. Mais j'avance, et j'avais Sara pour m'aider, j'avais mes amies, mes plans culs. Je suis bien, heureux. Mon nouvel appartement me plaisait, mon métier me plait, et le boulot reprend. Enfin je me concentre à nouveau maintenant sur elle. "Et toi alors... Qu'est ce qu'il s'est passé de neuf dans ta vie? J'ai du en louper des choses!" Chaque vie avance à son rythme mais depuis la fin de la Eliot, je pense qu'elle doit être à la Pflo maintenant... Puis bon, elle était pas loin d'être en dernière année non? Enfin si je compte bien. Elle avait mon âge, j'avais clairement des années d'avance. 7 ans de droit m'avaient achever mais elle, ses études c'était pas de la partie de rigolade non plus. Puis elle doit avoir un homme dans sa vie aussi. Non?

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Il est vrai que jusqu’ici nous nous étions côtoyés sur des sujets plus légers Andrew. Mais la perte d’un être cher n’est pas une notion totalement inconnue pour moi. Bien au contraire, j’ai mon lot de fantômes dans le cimetière. Condamnée à ces errances solitaires que seuls ceux qui ont perdu peuvent comprendre. « Ma mère est morte lorsque j’avais dix ans d’un cancer du poumon, c’est ainsi que je suis arrivée en Amérique. » Je me suis souvent demandée ce qu’il serait advenu de moi sans cet événement. Je serai sans doute moins fragile, bien plus diabolique et sauvage. Car ma mère n’était pas un être que je chérissais, elle ne m’a apporté aucune affection mais lorsqu’elle est décédée, elle représentait mon seul repère dans ce monde. La seule attache possible. Mes lèvres carmines s’étirent doucement. Morrigan, tu hantes parfois plus que mes pensées, et davantage que l’ombre du nom duquel tu m’as infligé. Douleur. Mes yeux se relèvent à toi Andrew, et mes sourcils se haussent lorsque tu évoques ton état d’esprit actuel. Je ne porte pas Aymalyne dans mon cœur naturellement mais je te pensais plus heureux avec elle. « Je suis contente que tu te sois retrouvé alors. » Car il n’y a rien de pire que se perdre. Je souris davantage. « Et qu’on se retrouve également. » Cela fait du bien d’avoir une relation apaisée dans son cercle, car je dois avouer être davantage entourée par le chaos que par le calme ces derniers temps, et rien ne vaut un bon café en compagnie d’un ami. Justement tu viens m’interroger sur mon propre sort et je me racle la gorge doucement, parce qu’honnêtement « On va dire que c’est un peu compliqué. » Je ris quelque peu. C’est plus que ça, mais dans tout ce désordre, je trouve une forme d’équilibre, paradoxalement. « J’ai rencontré quelqu’un, je t’en ai parlé rapidement. On ne vient pas du même monde, mais c’est une évidence, sauf que ce n’est pas du goût de tout le monde. Je travaille aussi au Nephilim , tu sais ce nouveau bar qui a ouvert sur Boston, je suis directrice de la communication là bas, et je pense qu’en janvier, je quitterai définitivement les bancs d’harvard pour me lancer dans la vraie vie. C’est exaltant, mais effrayant je dois bien l’avouer. » J’avais hâte de me lancer dans la vie professionnelle et d’accomplir mes ambitions mais en même temps, je redoutais de me séparer de ce cocon rassurant qu’avait pu représenter le campus pendant toutes ces années. « Tu m’aideras ? » que je te demande avec un petit sourire un peu perdu. Je suis pourtant plus qu’adulte, mais je me préparais à une étape décisive de mon existence.
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Je l'a regarde, on avait jamais parler de nos parents pendant nos conversations et j'apprend alors que sa mère était morte elle aussi, lorsqu'elle était jeune. C'était pire. Déjà moi à 27 ans j'ai du mal alors je n'ose même pas imagine pour elle... A 10 ans. Le choc que cela peut faire, que cela peut procurer. Une absence de mère.. Est-ce pour cela qu'elle était des fois aussi froide, pour se protéger des souffrances? Je savais qu'elle n'était pas celle qu'elle osait montrer quand on était encore à la Eliot. On avait tous une image à donner de cette confrérie du mauvais sort c'est vrai mais bon on a tous eu des soucis non? On les cache juste bien. Et j'en suis la preuve vivante. "Cancer aussi? Vraiment... C'est vraiment de la merde ce truc." On l'avait tous en nous, j'en suis sur... C'était juste pas déclarer. Mais voila, on avait ce gène qui foutait la merde. "La mienne c'était le cancer du pancréas..." C'était impossible a gérer, et voila, elle allait si mieux, puis elle a fait cette rechute lors de ma rechute. Mais justel le poumons ce n'est pas mieux non plus... De toute façon aucuns cancer n'est le mieux, c'est juste celui qui arrivera plus tard pour vraiment tenir bon. Enfin bref.. C'était pas très joyeux de penser à tout cela. Je voyais que cela était compliqué pour elle de parler de ça, de se rémorer tout cela. C'était normal. Puis elle chasse ses idées de sa tête, j'en suis surpris, c'était si rapide. Enfin depuis l'âge de 10 ans, elle avait appris à faire avec. Je pense encore à ma mère, j'aimerais savoir si elle est heureuse pour moi, de l'homme que je deviens maintenant que je suis débarrassé de mes démons et que je ne suis plus avec Aymalyne. Qu'elle appréciait vraiment. Pas comme mon père. Lui il apprécie un peu plus Sara. Mais ça c'est un détail puisqu'on est pas ensemble. "Oui et ça fait du bien de te retrouver vraiment! Puis bon on est passé outre la Eliot maintenant." Je rigole.. Cette maison où elle aurait fait une bonne présidente mine de rien. Elle me dit que sa vie était plus compliqué que ça. Elle avait rencontré quelqu'un. C'est vrai elle m'en avait parlé, je souris, j'étais content de savoir cela. Elle avait vraiment besoin même si elle aime être seule aussi pour se retrouver je pense. Elle me dit que cet homme était pas du même monde u'elle. Je fronce le regard. "Comme ça du même monde? Tu sais... Justement c'est en étant avec des gens pas du même monde, comme tu dis que des fois on est les plus heureux. C'est pas du gout de qui? Des DBS? On s'en fous d'eux, vis ta vie et soit heureuse." Je n'ai jamais apprécié les DBS du moins j'aimerais enterrer cette hâche de guerre maintenant que je ne suis plus avec Aymalyne, mais c'était mort. Je voudrais quand même parler avec eux, m'excuser de mes actions, et de même avec Noah. Il y a que les cons qui ne changent pas d'avis. Je sors de mes pensées lorsqu'elle me dit qu'elle avait trouvé un boulot et qu'elle s'y plaisait. Je souris, et oui elle va quitter les bands de l'université, ça va la changer c'est clair, c'est une autre vie. "Tu t'y plait? C'est le principale! Puis bon ç un moment faut quitter Harvard et grandir. Tu sais, je n'y suis plus depuis 2 ans maintenant et je me sens plus libre. Plus de problèmes de confréries, de gamineries... Bon je suis prof là bas maintenant mais c'est différent. " Elle me demande alors de l'aider, je souris en hochant la tête, bien sur que je l'aiderais. "Hey mais bien sur, puis bon si ils cherchent un avocat, je suis là." Je rigole. "Ba quoi? Je fais ma petite promo." Ca faisait du bien de se retrouver comme ça, dans un esprit si léger, si calme et détendu.
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Il est vrai que je ne parle pas souvent de ma mère. Je n’ai pas envie de servir au monde le couplet de l’orpheline misérable. Je ne cherche pas la pitié. Aussi, je me passe des détails. Ma mère était une femme cruelle et froide, empoisonnée comme je peux l’être, mais c’est la maladie qui a eu raison d’elle. « Oui, même elle y a succombé. » C’est une maladie qui ne fait pas de différences, bons ou mauvais, riches ou pauvres, elle s’avère impitoyable. Tu me parles à nouveau de la tienne. Et j’imagine que tu lui portais un attachement bien plus sincère que j’ai pu porter à la mienne. « Je suis vraiment désolée. » Je sais comme cette maladie peut abîmer, rendre la plus forte des personnes pareilles à l’ombre d’elle-même. Mais il semble que finalement, tu t’en remettes, que le bonheur te guette encore quelque part. Tu es désormais entré dans la vie active même si moi je hante encore les bancs de l’université pour quelques semaines. « La Eliot n’est plus qu’un souvenir et cette nouvelle confrérie juste une blague. » Je fais désormais partie des vestiges d’un passé et mon prénom ne se conjugue plus au présent. J’appartiens déjà à autre chose. Je m’étais éprise de cette homme qui n’était pas de ma classe, j’avais tout quitté, renoncer à tout pour lui. Et même si je n’ai plus rien désormais, je ne regrette pas. « Je vis ma vie oui. » et qui sait ce qui adviendra de la suite ? Je me prépare à de nouvelles choses, avec ce seul objectif désormais, servir uniquement mon ambition. « Et alors, ça fait quoi d’être professeur ? » Mon sourire s’étend une nouvelle fois, je pense que moi-même lorsque je quitterai la faculté, je la déserterai pour de bon, j’ai hâte de passer à autre chose. Je souris à nouveau en pensant que parmi mes exs figurent deux avocats, et je les imagine tous les deux doués en la matière. « Avec plaisir, même si j’espère ne pas trop avoir à faire recours à toi. Du moins, sur cet aspect là. » Mes épaules se haussent, les avocats sont indispensables mais on aime s’en passer. « Les choses vont mieux avec Aymalyne ? » Car une enfant est au milieu, et j’espère que l’environnement sera plus serein pour elle, mais aussi pour toi.
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Ca touchait vraiment tout le monde et c'était fou... Même si on avait de l'argent ou pas, le cancer allait les toucher, sans vraiment regarder qui il touche. Donc oui j'avais peur moi aussi d'avoir ce gêne et mine de rien, Shayleen peut aussi l'avoir. Mais si je devais réfléchis comme ça je ne pourrais pas avancer. C'est pas possible. Je souris en la regardant. "Ne t'en fais pas tu sais que je gère." Je suis comme ça, je prend clairement sur moi, toujours. Je n'aime pas trop parler de mes soucis, et puis après tout, je suis devenu assez doué pour montrer ce que je ressens. Après oui j'ai craqué dernièrement, mais j'ai pu avoir l'aide qu'il me fallait. Je fronce le regard lorsqu'elle me dit que cette nouvelle confrérie qui est censé remplacer la Eliot, est juste une blague. Je n'ai jamais eu vraiment de nouvelle de cette confrérie, mais bon tout ce que je sais c'est que les membres de la Eliot ont fini dans cette nouvelle. Mais ça parce que je suis prof donc j'ai quelques petites informations. "Une blague? Ca n'a pas la prestance de la Eliot? Après la Eliot perdait sa prestance mine de rien c'est mieux qu'elle n'est plus.." Je souris, c'était dernière moi, dernière nous. Deirdre aussi allait grandir et quitter cette université, on prenait de l'âge et voila, on va tous arrivé à un moment où on va avoir un travail, enfin moi je l'ai déjà et depuis plus d'un 1 maintenant. Je suis bien plus épanouie maintenant que je ne suis plus étudiant. Certes, je suis professeur de droit, mais c'était que pendant quelques heures et pas tous les jours. "Différent, c'est l'envers du décor tu sais. Donner mon savoir à des étudiants c'est assez drôle mine de rien car tout ce qu'on m'a donné, je le transmet. Bon les premières années sont assez compliqué, puis ils sont si jeune. Après je suis quand même proche des âges des dernières années. Et bon, on s'occupe aussi des étudiantes, je profite maintenant... " Je rigole, ba oui, c'était ma vie de célibataire, je suis plus avec ma femme, je suis divorcé non? Alors je vais pas me gêner pour distribuer du plaisir. Je souris, certes avoir recours à un avocat n'était pas toujours bon, mais des fois c'était aussi pour des bonnes choses mine de rien. Mais bon, je suis là, et puis je l'a connais depuis des années, alors la défendre c'était pratique. Puis bon elle n'aura pas les même honoraires que les autres. Elle me demande si avec Aymalyne ça allait mieux. Je secoue la tête. "Clairement pas. Il y a des choses que je ne pardonnerais jamais. Donc c'est assez tendu, on se parle que brièvement et en froid pour Shayleen et voila. On se tient à notre planning et point barre. Elle compte bien les jours pour bien les rattraper si j'ai Shayleen un peu plus longtemps. Bref. Tendu." Je lève les yeux, j'espère qu'un jour cela se calmera du moins pour ma fille, car voir ses parents comme ça ce n'est jamais bon. Elle ne comprend pas encore et quand elle comprendra, ça sera différent...

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Tu es un homme fort, c’est simple et facile à constater, il suffit de se retourner et de contempler tout ce que tu as traversé. Tu es pourtant toujours debout, face à moi aujourd’hui, à me rassurer d’un sourire alors que beaucoup d’autres se seraient contentés de baisser les bras, de se noyer dans les tourments et de ne plus vraiment reprendre le dessus sur tout ça. Mais pas toi. Tu es comme moi. Et même si la jeunesse et la candeur nous unissait autrefois, nous avons finalement évolué avec la même force. « Je sais. » Un mince sourire anime mes traits alors que je te fais part du quotidien universitaire. Cette nouvelle confrérie n’est pas à mon goût. Et je ne me sens tout simplement plus à ma place, à trop vouloir brasser les étudiants, il n’y a plus de véritable identité, ni même d’élite. « La Eliot était une confrérie reconnue malgré tout. » Et je n’insisterai pas sur les dégâts qu’a fait ton ex, chacun a son point de vue sur ce passé et je sais que nous n’avons pas le même. Ce qui est fait, est fait de toute manière et on ne pourra plus rien changer. Je préfère plutôt t’interroger sur ce que tu penses de ta nouvelle activité d’étudiant. Mon regard plus empli d’une complice lueur alors que tu évoques ton vécu. « Tu fais encore chavirer les cœurs ? » Tu as toujours été un homme qui aimait la compagnie des femmes apparemment, je n’ai jamais vraiment su puisque je m’en suis tenue aux prémices mais là aussi nous semblons avoir évolué de la même façon, même si aujourd’hui je dois bien l’avouer, je suis plus sage. Je me demande si les choses se sont arrangées avec Ayma car malgré tout je pense à votre petite qui se retrouve au milieu de tout ça, et je suis la première à pouvoir témoigner des dégâts causés par la séparation du couple parental. « C’est malheureux pour la petite mais le principal c’est que tu sois là pour elle. Elle comprendra en temps voulu. » Moi-même j’aurais aimé pouvoir grandir dans le giron réconfortant d’un père. L’absence, ça crée des êtres tordus comme moi. « D’ailleurs, tu ne m’as jamais présenté ta fille c’est une honte. » Je souris à nouveau en te défiant du regard, à vraie dire, je le comprends parfaitement, mais c’est bien plus drôle de te provoquer un brin.
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