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Aela Ferguson
feat chloe moretz
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✧ maison ou pas pour l'instant
Maison bien sûr ! Il est hors de question pour moi de ne pas vivre toutes les expériences de la vie étudiante. Je n'aimerais peut-être pas ça, même si j'en doute. En tous les cas, je ne le saurais pas si je n'essaye pas. Est-ce que c'est comme dans les films ? Mieux ? Moins bien ? Je me ferais ma propre opinion. Mais ce qui est sûr c'est que je ferais tout pour intégrer une maison. La question était surtout de savoir laquelle. Je ne me suis pas longtemps posé la question. La Adams House est faite pour moi. Une personne ouverte d'esprit, sans gène et qui se fiche de ce que le monde raconte, c'est moi tout craché. J'espère vraiment réussir mon bizutage, mais bon, je ne vois pas pourquoi je n'y arriverais pas. Croire en la réussite c'est déjà la moitié du chemin. C'est ce que je me suis dit quand j'ai postulé à Harvard et regardez où j'en suis maintenant. Rien n'est impossible, il faut juste s'en donner les moyens.
✧ les petites anecdotes
Pour commencer, il faut savoir que je n'aime pas parler de moi. En tous les cas des choses importantes. Les personnes qui savent que je suis une enfant adoptée se comptent sur les doigts d'une main. Ceux qui savent pour mes troubles sont encore moins nombreux. Certaines personnes en ont été témoins bien entendus, mais ceux qui savent vraiment ce qui se passe sont rares. Je ne le sais même pas moi même après tout. En général, j'évite le sujet. Je suis une fille très sociable, mais j'accorde très rarement ma confiance. La confiance ça se gagne. Et j'ai un gros problème de confiance. Le fait que je pense avoir été abandonnée par mes parents biologiques en est probablement la cause. Mais bon, même ça, je ne le sais pas. ▲ J'ai été dans un orphelinat jusqu'à mes quatre ans. Je n'en ai absolument aucun souvenir. Aucun souvenir de cette période, aucun souvenir de rien avant ça. Le néant. Les spécialistes m'ont dit que j'ai occulté involontairement toute cette période de ma vie trop douloureuse pour moi. J'aimerais m'en rappeler pourtant. J'essaie parfois, de toute mes forces. Mais rien. Pas de flashback, pas même une sensation ou une impression. Je pourrais demander à mes parents mais je ne le ferais pas. Ils connaissent peut-être la réponse. Ou peut-être pas. En tous les cas, je sais que cela leur ferait du mal. Ils n'ont jamais pu avoir d'enfant naturellement. Et même si ils ont été honnête avec moi sur mon adoption, ils n'aiment pas en parler. Pour eux je suis leur fille, et ce sont mes parents. Point à la ligne. Et ils ont raison, je sais qu'ils ont raison. Pour autant que je sache, je suis américaine, ma famille étant américaine et ayant passé ma vie aux Etats-Unis. Mais quand même... ▲ J'ai peur des feux d'artifices. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne vais jamais en voir et je ne suis jamais sereine quand j'en entends un. Peut-être parce que quand j'avais sept ans, je me suis cachée dans le salon pour regarder la télé avec parents et qu'ils ont regarder un film d'horreur qui se passait lors d'un feu d'artifice. En tous les cas le passage que j'ai vu. Donc j'ai peur des feux d'artifices mais j'adore les films d'horreurs. Oui je sais, j'ai un problème. ▲ Au début c'était des cauchemars. Des frayeurs nocturnes. Je me réveillais en hurlant sans pouvoir me contrôler. La première fois, je devais avoir 6 ans. Mes parents ont consultés. Choc émotionnel qu'ils ont dit. J'ai suivi une thérapie pendant des années. Une séance deux fois par mois. Cela m'a aidé. Je n'ai pas retrouvé des souvenirs pour autant mais je vais mieux. J'ai encore des crises, mais moins souvent. Et moins longtemps. Cela peut se manifester de différentes façons. Simples insomnies. Crises d'angoisses. Quelques absences et j'en passe. Je vis avec maintenant. Cela fait parti de mon charme comme on dit si bien ! ▲ J'ai horreur d'écouter les messages vocaux sur mon téléphone. C'est pour cette raison que j'ai enregistré un répondeur qui fait une dizaine de minutes. Neuf minute quarante deux exactement. Si, si, je vous assure, je me suis chronométré. Mais n'empêche que ça marche, je n'ai jamais de messages vocaux. Les gens ont tellement la flemme d'écouter qu'ils n'attendent pas. En même temps, même moi j'aurais la flemme de m'écouter pendant dix minutes dire n'importe quoi pour me laisser un message. J'ai de trop bonnes idées parfois. Non ? ▲ On ne peut pas dire que je sois née avec une cuillère en argent dans la bouche. Malgré le fait que je sois une enfant adoptée, je n'ai jamais été pourrie gâtée et je n'ai jamais obtenue ce que je voulais en faisant un caprice ou du chantage affectif. Une des valeurs essentielles que mes parents m'ont transmise c'est qu'il faut travailler pour obtenir ce que l'on veut. Quand j'étais petite, si je voulais un jouet en particulier, je devais aider ma mère à débarrasser la table ou mon père dans le potager du jardin. J'ai commencé à travailler très jeune pour me faire de l'argent de poche. Que ce soit des petits boulots le week-end ou l'été, je n'ai jamais été faignante. Ne vous faites pas des films, je ne croulais pas sous les tâches et on ne m'a jamais forcé à quoi que ce soit comme cendrillon. On m'a simplement appris que rien n'est gratuit et rien ne s'obtient facilement. ▲ Quand j'avais une dizaine d'année, ma mère m'a amené chez le coiffeur. Je suis ressortie de là avec une coupe courte, les cheveux m'arrivant juste au niveau des oreilles. J'en ai été traumatisée, vraiment, vraiment. Je crois que je ne suis pas allée chez le coiffeur pendant presque quatre ans après ça. Je sais, pour une fille c'est sacrilège. Mais j'avais vraiment trop peur, je tiens trop à mes cheveux. Finalement, la force des choses oblige, j'ai fini par y retourner. Tout s'est bien passée cette fois. Depuis, j'y vais une à deux fois par an seulement, et je ne m'aventure jamais à faire de coupe trop farfelues. Je crois que je ne franchirais plus jamais les portes d'un salon de coiffure sans avoir une certaine appréhension maintenant. ▲ Le premier et le seul amour que j'ai connu s'appelait Lucas. Il avait 8 ans et j'en avais 7. Un petit blondinet tout mignon qui partageait toujours ses cookies avec moi au goûter. Et surtout c'était le seul enfant de l'école qui n'avait pas peur de moi quand je faisais une de mes crises. Il était gentil avec moi et me tenait la main à la récréation. Bon vous l'avez compris, je n'ai jamais connu l'amour, le vrai. Celui avec un grand A. Mais bon, je relativise. Je n'ai que 19 ans, j'ai la vie devant moi. Et puis quand je vois parfois les ravages que l'amour peut faire ou nous faire faire, je me dis que je ne suis pas à quelques années près. ▲ J'avais une tradition avec mes parents le dimanche matin. Mon père se levait plus tôt et se rendait à la boulangerie au bout de la rue chercher des viennoiseries pour ma mère et moi. Quand on se levait, la table ronde de la cuisine était dressée avec la bonne odeur de croissants qui se rependait autour. Maintenant que je suis partie, je garde quand même cette tradition. Enfin à ma façon. Le dimanche, que je me lève à 8h, à 10h ou à midi, je vais chercher mes petites douceurs puis je rentre chez moi les déguster devant les dessins animés. Oui, je sais, je reste une grande enfant dans l'âme. ▲ J'ai vécu au quatre coins de l'Amérique. Enfin des Etats-Unis pour être précise. On ne peut pas dire que j'ai déjà eu un endroit où je sois restée plus de trois ans. Mes parents étant de vrais aventuriers, j'ai un peu changé de maisons et d'école comme on change de chaussettes. Mais je ne me plains pas, j'adore ça. C'est probablement pour cela que je ne tiens pas en place, que j'ai besoin de sortir et de bouger. Non, mes parents ne sont pas riches. Ils n'ont pas un empire commercial et n'ont pas non plus gagné au loto. C'est juste qu'ils ont la chance de pouvoir travailler d'où ils veulent. Mon père est agent immobilier à son compte et travaille de la maison et ma mère est cuisinière à domicile. Ils ont une bonne situation. On n'a jamais manqué de rien. Mais on ne roule pas sur l'or non plus car il y a des mois avec et des mois sans. En fonction de la demande. Si cela se trouve, je passerais plus d'années à Harvard que nul part ailleurs. Etrangement, cette idée me plait quand même assez. ▲ Je pense que je me suis un peu fait manger le cerveau par les médecins, les publicités et tout ça, mais je n'aime pas prendre de médicaments non nécessaire. C'est à dire que tant que je n'ai pas un mal de crâne qui me fiche par terre, je n'avalerais pas d'aspirine. Je pense que ca vient aussi d'un jour quand j'étais petite. Je ne me souviens pas de ce que j'avais mais j'étais malade. J'avais évidemment été chez le médecin qui m'avait prescrit un traitement. Traitement qui m'a rendu encore plus mal. Rien de grave non plus. Quand je suis retournée le voir deux semaines après, il s'est rendu compte qu'il ne m'avait pas donné le bon médicament. Du coup, j'attends aussi d'être au bout de ma vie, à 40° de fièvre pour aller consulter. ▲ Il y avait une fille, elle s'appelait Lily. On peut dire qu'elle était ce qui se rapproche d'une meilleure amie pour moi. On faisait les quatre cents coups ensemble pendant deux années de l'adolescence. Toutes les conneries, vous pouvez être sûres qu'on était derrière. On se racontait absolument tout. Presque tout. Ce que Lily ne m'a jamais dit, c'est qu'elle était malade. Elle était condamnée. Je l'ai appris le jour où ses parents m'ont appelé pour me dire qu'elle était à l'hôpital. Deux jours après, elle était partie. J'en ai pleuré pendant des semaines. Inconsolable. Vraiment. Depuis ce jour, je vis au jour le jour. Je profite à fond de chaque instant. En son honneur. La vie est bien trop courte pour tout prendre au sérieux. Et je ne veux pas passer à côté de la mienne. ▲ Mon premier animal de compagnie était un hamster appelé Hamtaro. Oui je sais, je n'ai pas eu beaucoup d'imagination pour le coup. Bon, pour de vrai, c'était un poisson rouge. Mais un poisson rouge ça ne compte pas, tout le monde en a eu. Bref, un jour alors que je dormais dans mon lit superposé dans ma chambre, j'entends du bruit. Je devais avoir cinq ou six ans, et j'ai eu une peur bleue. Mes parents dormaient à l'autre bout du couloir. Prenant mon courage à deux mains, je suis descendu de mon lit voir d'où le bruit provenait. J'ai crié quand mon hamster dont j'avais dû oublier de fermer la cage est passé sur mes pieds. Mes parents ont accouru et je ne vous mens pas, quand ils ont vu ce qu'ils se passaient, ils sont parti dans un fou rire incontrôlable. Eux en train de rire au larmes à côté de moi, pleurant de peur. Ca me fait bien rire maintenant. Tout ça pour dire que maintenant que je me retrouve seule, j'aimerais bien me reprendre un hamster. Mais de là à le faire, rien n'est moins sûr. ▲ Je n'ai pas dit à mes parents que j'avais envoyé un dossier pour intégrer Harvard et que j'ai fait une demande de bourse. Pas parce que je ne voulais pas leur dire, mais je ne voulais pas me porter la poisse. Et puis, je ne voulais pas non plus qu'ils soient déçus pour moi si la réponse s'avérait être négative. Il faut savoir que mes parents ont la fâcheuse tendance à ouvrir mon courrier. Et le jour où la lettre est arrivée, je n'étais pas chez moi. C'est donc ma mère qui a ouvert la porte. Ma mère qui a ouvert l'enveloppe. Et elle a failli tomber dans les pommes. Véridique. C'est mon père qui me l'a dit. Elle ne m'a rien dit pendant une semaine et en rentrant à la maison après les cours le vendredi suivant, une petite voiture grise avec un gros ruban rouge m'attendait devant la maison. Mes parents m'ont serré dans leur bras en me disant qu'ils étaient extrêmement fière et m'ont tendu la lettre. J'ai sauté partout comme une gamine de cinq ans. Aussi bien pour la réponse positive que pour la voiture. Ils m'ont également annoncé dans la soirée que maintenant que j'allais quitter le domicile familiale, ils allaient en profiter pour bouger un peu partout dans le monde, et non plus seulement sur le continent. Un jour comme ça, ça se fête. Et c'est ce qu'on a fait. J'allais réaliser un de mes rêves, et mes parents l'un des leurs. Que demander de plus. ▲ Dernière chose et non des moindres, je déteste les concombres. Je ne sais pas pourquoi je vous dis ça. Je ne sais pas d'où ça me viens. Mais je déteste manger des concombres, voir des concombres ou même parler de concombres. Je crois qu'en fait c'est le mot "concombre" que je n'aime pas. Mystère et boule de gomme.
✧ l'admission à harvard
Pourquoi Harvard ? Pour prouvez à mes parents biologiques que je vaux quelque chose. C'est bête peut-être. Je me suis moi-même souvent posé la question de pourquoi je voulais réussir dans le vie. Faire de grandes études. Avoir un bon métier. Mes parents adoptifs m'ont toujours dit que je ferais ce qui me rendra heureuse, qu'il n'y a pas de sous métier et tout le toin toin. Je suis d'accord avec eux. Je les aime plus que tout au monde et je ne leur serais jamais assez reconnaissante pour tout ce qu'ils ont fait pour moi. Donc au fond je m'en veux d'avoir cette petite voix dans ma tête que n'arrête pas de me dire que si mes vrais parents ne m'ont pas gardé, c'est parce que je n'étais pas assez bien pour eux. Ce qui est débile. Car je ne sais même pas la raison de mon adoption. Mes parents biologiques ne m'ont peut-être pas abandonnés. Ils ont peut-être eu un accident. Ou alors ils étaient dans l'incapacité de m'élever correctement. Je ne sais pas et je ne le saurais jamais. Mais soyons honnête, la plupart des enfants qui ont été adopté ont été abandonné. Alors c'est une façon de prendre ma revanche et de leur dire que j'ai réussi. J'ai toujours été une très bonne élève donc ce n'est pas mes résultats scolaires qui m'ont inquiété quand j'ai postulé à Harvard. Non, c'est plutôt l'entretien. J'en ai fait des cauchemars. Quand je suis sortie du bureau, je n'avais aucune idée si j'avais réussi ou échoué. Absolument aucune. Le doyen m'a simplement harcelé de questions qui n'avaient rien à voir les unes avec les autres. Et même si j'avais préparé cette entrevue comme une acharnée. Je savais déjà ce que j'allais répondre à la plupart des questions de base, et bien je jour j, j'ai répondu totalement spontanément. Oubliant tout ce que je m'étais dit avant. Mais bon au final, cela m'a bien réussi. Harvard, me voilà !
✧ le caractère de con
J'ai la joie de vivre. Je vois toujours le verre à moitié plein et les choses du bon côté. Je positive comme on dit. Il est rare de me voir sans le sourire aux lèvres et j'ai tendance à contaminer les gens qui m'entoure avec cette bonne humeur. ▲ On ne peut pas dire que je sois rêveuse ou croyante. On me dit souvent que je suis rabat-joie d'ailleurs mais je ne crois que ce que je vois, comme saint Thomas. Je m'appuie plutôt sur la science que sur les théories douteuses et farfelus que l'on peut entendre à droite à gauche. Cela ne veut pas dire que je n'aime pas les ragots. Bien au contraire. Mais je chercherais quand même à savoir ce qui est vrai ou non. ▲ Je m'énerve très rarement. je ne sais pas si c'est une qualité ou non mais je suis plutôt calme comme fille. Il ne faut pas trop me chercher pour autant. Je prends sur moi, je prends sur moi, je prends sur moi mais quand j'explose, j'explose ! ▲ J'adore faire la fête. C'est simple, j'ai horreur de rester enfermée entre quatre murs. Il ne faut jamais me demander deux fois pour une virée shopping ou une soirée deux rues plus loin. Je ne suis jamais la dernière non plus pour faire la folle, il ne faut pas avoir honte de sortir avec moi. Vous êtes prévenus. ▲ Malgré mon côté extravertie, je suis très sérieuse en ce qui concerne mes études. Autant j'adore sortir. Autant si il y a un gros devoir à rendre qui compte pour la moitié de ma note, je peux rester le nez dans les bouquins pendant des heures et des heures. Sans rire, dans ces moments là, je suis injoignable. Portable éteint et tout et tout ! ▲ Je suis d'une fidélité à toute épreuve, aussi bien en amour qu'en amitié. Je pourrais tout donner pour les gens que j'aime. Quand il s'agit de mes proches, je ne compte pas. J'ai le cœur sur la main. Par contre tu me trahis une fois, tu n'auras pas la chance de recommencer.
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas :giggle: Cela fait bien 3 ans que j'ai arrêté les forums et je reviens juste donc je n'ai pas pensé à un pseudo pour le moment . J'ai 25 ans même si ce n'est pas poli de demander son âge à une demoiselle :suspect: . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un top-site. Le forum est beau , a l'air actif et puis j'ai craqué sur le scénario alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Chloe Moretz comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya. pour l'avatar et Ecstatic Ruby pour les icons. Je fais environ … Comme je vous l'ai dit, c'est une reprise sur les forums donc je ne sais plus du tout combien de mots j'avais l'habitude de faire mais en général je m'adapte avec la personne en face et mon personnage est un scénario crée par Laszlo Griggs .
Je souhaite ▲ je ne veux pas être parrainé
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
Je souhaite ▲ je ne veux pas être parrainé
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9582]☆[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t100453-f-soeur-biologique-perdue-a-l-autre-bout-du-monde]☆[/url] <span class="pris">MARIE AVGEROPOULOS</span> • “ Aela Ferguson ”[/size]
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