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JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp

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Joseph Nathanaël Facilieri
35 ans ▲ Américain ▲ Célibataire





Mon profil
C'est le 5 Août 1978 à Rome, que les membres de la famille Facilieri m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Joseph (Nathanaël). Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que professeur d'économie à Harvard depuis sept ans ans.

10 choses à propos de moi
Ma très chère famille fait partie des grands noms de la mafia italienne, de ceux qui se chuchotent avec effroi au coin d'une rue. ▲ J'ai quitté mon Italie natale à 17 ans pour faire mes études aux Etats-Unis.▲ Je fume énormément, cigarettes notamment, pipes parfois, cigares de temps en temps. Mais, celle avec laquelle j'aime passer mes nuits reste Marijeanne... ▲ J'enseigne l'économie, mais je suis versé dans bien d'autres domaines, dont la littérature. J'aime passer du temps, cloîtré chez moi, à lire à haute voix des passages de Poe, ou quelques vers... Toujours dans la langue originale, je suis intraitable sur ce point. ▲ Les femmes sont mon passe-temps, les étudiants mon péché. Mais je ne refuse jamais rien à quelqu'un qui me propose d'éclaircir ma nuit avec un peu de poudre blanche... ▲ Je respecte peu la déontologie des professeurs. Dans le même temps, j'ai été élevé dans la transgression et la manipulation. Cependant, je sais me montrer discret... Mais prudence, je maîtrise bien mieux le chantage que la discrétion. ▲ Je suis assez maniaque sur beaucoup de points. Mon attaché case est toujours rangé de la même façon, tout comme mon appartement. Je me mets parfois dans des états pitoyables, mais mon appartement restera toujours aussi bien rangé. Et je mettrai dehors la première femme qui souillera mes draps avec son rouge à lèvres. ▲ J'ai un poisson rouge, que j'ai appelé Dante, car j'aurai aimé que ce soit mon prénom. Je le donne parfois en lieu et place de mon propre prénom. ▲ J'ai beau être italien j'ai horreur du fromage et des pâtes. Overdose, sans nul doute. ▲ J'ai un crâne humain sur ma table de nuit. En bois, mais extrêmement proche d'un véritable. Je nourris depuis toujours une grande attirance pour les vanités.

Vie de merde
▲ Je rentrais de l'un de mes nombreux voyages de conférences, celui-ci s'étant déroulé en Australie. Or, ce pays est certes réputé pour ses kangourous, mais aussi pour ses prix assez bas en ce qui concerne le tabac. Ainsi, je m'étais acheté plusieurs cartouches, avant de rentrer avec cet or brun sous le bras. Arrivé chez moi, je suivis mon rituel habituel, qui consistait à prendre un whisky en fumant un joint, les yeux dans le vague. Cependant, la fatigue dues aux fuseaux horaire me tomba dessus.... tout comme ma bouteille de whisky alla paresseusement s'écraser sur mes cartouches, les aspergeant de son alcool doré et odorant. Quand je me réveillai, une odeur terrible avait envahi mon appartement. Sans compter l'affreuse souillure de mon parquet.


Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas de pseudo fixe :D et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à partenariait il me semble. Il est superbe, et l'ambiance avait l'air géniale alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, j'aurais besoin d'aide. J'utilise Johnny Depp comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ entre 300 et 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Révolution des canards ! \o/

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Mon parcours
« Tu devrais peut-être nous dire qui est la taupe. A moins que tu ne craignes pas pour la vie de ta femme... » Dans la salle aux murs d’albâtre, il faisait pourtant noir comme dans un four sans fin. Il y régnait un brouillard désagréable. Ou peut-être n'était-ce que la brume qui voile le regard d'un homme lorsque se déchaînent en lui d'extrêmes sentiments, comme le plaisir, la colère, ou le pire de tous, la peur. Un homme, qui n'avait pas troqué son costume de gangster depuis les années cinquante, tenait une matraque de fer dans le creux de sa main rugueuse et cruelle. Déjà, il sentait le sang qui en coulait, avant de venir s'écraser sur le sol. Ses dents grincèrent, et son visage affreusement ridés se scinda en deux dans un sourire démoniaque, viscéral. En face de lui, un homme, attaché à une chaise. Son visage et son corps ruisselaient de sueur d'effroi et de sang, mais chaud cette fois. Il respirait à raison de plusieurs énormes bouffées d'air par seconde, les larmes aux yeux. Il déglutissait sans cesse. D'une voix chevrotante, muée par la peur, il répéta les mêmes mots que depuis le début de son épuisante torture : « Je vous l'ai déjà dit... Joseph... C'est lui... » Le parrain, avec un grognement de rage, décrocha un nouveau coup dans le visage de son détenu, à l'aide de son poing cette fois ci. Des tintements se firent entendre. Probablement les dents du prisonnier qui retombaient sur le sol, ne sonnant guère différemment que de petits cailloux que l'on projette sur du marbre. « Je commence à en avoir assez de toi. », lâcha Francesco Facilieri, appelé également le Faussaire de la Faucheuse, en raison sans doute des nombreuses vies qu'il aurait arraché à une mort naturelle. Ou bien à son dynamisme et sa cruauté toujours intacts malgré les années passées. En somme, chaque être humain qui tombait entre ses mains voyait ses chances de vie réduite. Grandement. Or, celui ci n'allait pas faire exception. Mais sa souffrance se présentait comme terrible, sourde. Personne en Italie ne se permettrait de douter de la famille « principale » des Facilieris. On pouvait douter des cousins, des neveux, mais jamais de la branche principale, pure. Ainsi, en remettant en cause l'intégrité de Joseph, cet homme remettait en cause l'intégrité de sa boîte crânienne. D'autant plus que, dans sa vie entière, Francesco Facilieri n'avait eu que trois enfants : Joseph, Marco et Anna-Carolina. Cette dernière était la prunelle de ses yeux, mais il l'a un jour retrouvée morte noyée. Quant à Marco, il mourut très jeune d'une malformation du cœur. Ainsi ne restait plus de la plus belle branche de l'arbre que Joseph, le dernier enfant en date, et sans doute l'ultime. L'horloge biologique est cruelle envers tout le monde, et Scarletta, malgré son statut d'épouse de l'un des hommes les plus puissants d'Italie, ne pouvait rien y faire. Ainsi, comme tout « bon » père, FF faisait tout pour conserver en vie la chair de sa chair, le sang de son sang. Mais le prisonnier, même sous la menace de mort et sans avoir dormi depuis deux jours et demi répétait sans cesse ce prénom : Joseph. Joseph. Joseph. Le nom de son fils résonnait de plus en plus fort dans le crâne de Francesco, qui sentait ses barrières mentales céder au fur et à mesure. Tant et si bien qu'il avait ordonné de se charger de lui personnellement, sans que personne n'entre. Par simple précaution, certains de ses frères pouvant se révéler un peu trop... zélés. Il sentait que ses nerfs allaient craquer. Il sortit son pistolet, un magnifique Colt rutilant, malgré son grand âge, et le pointa vers le visage sale et détruit du prisonnier. « Et maintenant, tu arrêtes de jouer ? Que gagnes-tu à calomnier mon fils alors que je pourrais tuer ta femme, tes enfants et toi avec ! » Sa vieille main tremblait. Le détenu jeta un regard vers le vieil homme, dont le visage perdait de sa superbe à mesure que le temps s'écoulait. Il releva les sourcils, son regard se faisant suppliant. « Croyez moi... Votre fils a dénoncé nos... vos frères. Je suis certain de ce que j'avance. Je suis le seul à être au courant, croyez moi... Croyez moi... Croyez moi... Croyez m... » Un coup de feu retentit, un bruit lourd se fit entendre, ainsi que celui du bois percutant le sol. Un douille rebondit sur le sol, alors qu'un semblant de fumée s'échappa de la vieille arme, qui ne tarda pas elle aussi à goûter au sol froid. Le Faussaire de la Faucheuse sorti de la pièce, traversa quelques salles avant de faire le signe de tête significatif à ses sous-fifres : jetez moi ça dans la Méditerranée. Soudain, un de ses neveux arriva en courant. Essoufflé il lâcha en une seule bouffée : « Monsieur, votre femme au téléphone... C'est Joseph... » Le visage de Francesco restait de marbre. Mais au fond de lui tout se détruisait. « … Monsieur, votre fils a disparu. »

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Le regard laconique, un jeune homme se laissait bercer par les cahots du train. Seul dans son compartiment, il laissait ses pensées s'enfuir de sa boîte crânienne trop volumineuse à son goût. Sa tête était ainsi, lui disait sa mère, grâce à son QI très élevé. Cela dit, il n'y était pour rien. Pourquoi devait-il payer pour ce qu'à voulu le Dieu du Pape ? Il est bon de préciser celui du Papa, car le Dieu chez les Facilieri n'était autre que l'argent. Et non pas la mort, car, comme l'indique son surnom, le chef de famille prenait grand plaisir à la tromper, elle aussi. Le jeune homme jouait avec ses lunettes rondes, les enlevait, les remettait à sa guise sur son nez. Lassé de ce jeu, il extirpa une cigarette de l'un de ses nombreux paquets avant de l'allumer nonchalamment. « Quelle belle époque ! » songea t'il, en se disant qu'il serait regrettable qu'il ne soit plus possible de fumer dans les trains. De sa poche, il sortit un petit magnétophone de poche, sur lequel il tenait un journal intime oral.
« 5 Octobre 1995. Je suis dans un train partant tout juste de Paris, qui m'emmènera à Prague. Je préfère acheter plusieurs billets de train à mon nom et d'autres sur un faux, afin de brouiller les pistes. Cela fait déjà deux mois que je me suis réfugié à Paris, et aucun homme de mon père ne semble m'avoir retrouvé. Ce n'est pas leur territoire, ils se sentent sûrement comme des tigres au milieu d'un essaim de requins. Terrorisés. Hors de leur élément. J'ai eu 17 ans le jour de mon départ. Mon père m'a toujours dit que ce que je souhaitais le plus je devais m'en emparer. Et ce jour là, je me suis offert le plus beau cadeau d'anniversaire : je me suis emparé de ma liberté. Je vivais sous le joug de mon héritage seul depuis la mort de mes frères et sœurs et aujourd'hui, je me sens capable de faire tout ce que je voudrais, sans demander à personne. Je pensais au départ que cette idée de cadeau n'était qu'un caprice. Mais c'est plus que ça. Ce fut le souhait que mon âme quémandait à corps et à cris. Je ne pouvais lui refuser. A Paris j'ai connu tant de splendeurs, tant de femmes, tant d'hommes... Ma vie est à portée de main. Et comme toute personne progressiste de notre millénaire, j'ai décidé de me tourner vers les États-Unis, où tout est réalisable. Surtout avec l'argent qui sommeille sur mon compte, pour dire vrai. Je n'allais tout de même pas me passer de cet argent blanchi. » Soulagé, le jeune homme décrocha un sourire. Puis se ravisa, se disant qu'il était stupide de sourire à une banquette.

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En se penchant poliment, Joseph remercia les élèves de leur attention, en leur souhaitant un bon repas, non sans leur offrir un regard brûlant, de ceux qui vous consument de l'intérieur, et qui vous consumeront tant que vous n'aurez pas regardé ces yeux le plus près possible. Le professeur rajusta son costume, attendant d'être seul dans le gigantesque amphithéâtre harvardien. Il s'assit sur son fauteuil, et, ne vérifiant même pas s'il restait quelqu'un de caché dans la salle, étala une ligne de poudre blanche sur son petit bureau penché. C'était son petit jeu. Tout ce qui glissait était perdu, ce qui l'obligeait à parfaire sa technique et sa rapidité. D'un seule inspiration, il emmagasina tout cela dans ses vieux sinus. Ses sinus de 35 ans. Jamais on ne l'avait retrouvé. Durant toute la durée de ses études, de sa licence jusqu'à son doctorat, qu'il décrocha à 27 ans avant d'être recruté dans l'une des plus prestigieuses universités d'Amérique, il s'était senti traqué. Chaque camarade, chaque professeur pouvait être un envoyé dont le second nom de famille serait Facilieri. Mais désormais, plus rien ne le retenait. Son avenir s'annonçait d'autant plus brillant. D'un bond, il se mit debout sur sa chaise, avant de sauter sur son bureau penché et de hurler de pleine voix : « BRILLANT ! »

Avant de tomber. Le bois résonna en tombant sur le sol et un bruit de corps lourd s'abattant sur le plancher se fit entendre.

Que d'ironie.
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JOHNNY !! JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 3850463188
Mon deuxième dieuuuuu hanwii Vous voulez m'achever ma parole ? JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 1881463262 Bref, trèèès bon choix et bienvenue parmi nous ! :)
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Bienvenue parmi nous JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 3400909363
Depp en plus hanwii
Bonne chance pour ta fiche and have fun JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 185272391
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Bienvenue Sparrow ! /PAN/

Bon courage pour ta fiche ;)
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omagaaaaaad :ôô: bienvenue JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 1001568715
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Bienvenue sur ILH JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 3850463188

Bonne chance pour ta fiche hanwii

Have Fun ♥️
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Merci à vous tous ! :luv2:
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gosh johnny JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 4205929361


Bienvenuuuuuuuuuuuuuue JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 3850463188
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Merci à toi ! JOSEPH NATHANAËL FACILIERI ► johnny depp 1508216586
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