Léandre Z. Eytan-Marshall (×) Simone Nobili

Léandre Zaël Eytan-Marshall

20 ans ▲ Américain ▲ Célibataire

Mon profil

C'est le 14 septembre 1992 à Los Angeles, que les membres de la famille Eytan-Marshall m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Léandre Zaël. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de psychologie depuis 2 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Quincy.

10 choses à propos de moi

J'ai des tocs : j'aime que tout soit parallèle et bien rangé. ▲ Comme la plupart des gens, j'urine sous la douche. ▲ J'ai sucé mon pouce ( et seulement mon pouce ..) jusqu'à mes 17 ans. J'avoue avoir été très difficile d'arrêter mais aussi libérateur. ▲ Je suis claustrophobe depuis mes 12 ans. ▲ Il parait que je suis sur-doué. ▲ J'aime être sarcastique comme pas possible. Rassurez vous, je le vis très bien. ▲ Je tiens encore un journal intime et y range bon nombre de mes essais. ▲ Je suis encore puceau mais beaucoup pensent que je collectionne les filles. ▲ Très timide, il m'arrive de devenir aussi rouge qu'une tomate dès qu'une fille m'adresse la parole, qu'elle soit séduisante ou non. ▲ J'aime être seul.

Vie de merde

▲ ~~Aujourd'hui~~, à vrai dire, il y a quelques temps de cela, alors que j'étais interné à l'hôpital psychiatrique - bien que je déteste cette formulation - j'ai rencontré un garçon, tout juste un peu plus vieux que moi, qui apparemment avait l'air très ... sain d'esprit. Tellement sain d'esprit que nous nous étions mis d'accord pour nous soutenir durant notre malheureux séjour. Toutes les deux semaines, des médecins venaient visiter les patients pour y prendre note certains progrès ou au contraire, des aggravations. Parfois, ils procédaient en prenant deux patients, en les mettant côte à côte et en les comparant, tout simplement. Juste avant que notre tour arrive, je m'étais arrangé avec mon ami pour jouer la comédie et paraître légèrement ... malade mental. Quant à lui, il devait jouer également la comédie, mais sans trop exagérer pour que les médecins prennent en compte son progrès. Enfin, c'était ce qu'il était censé faire. Arrivés dans la salle, je me suis mis à jouer je ne sais quelle maladie, un mélange de trisomie 21 avec un peu de syndrome de Gilles de la Tourette mélangé à de la Parkinson. Mon ami, lui, s'est tout simplement contenté de ne rien faire. Résultat : les médecins l'ont laissé sortir, et j'ai fini dans un autre bâtiment de l'hôpital, le plus sécurisé de tous, spécialement conçu pour les personnes sévèrement atteintes. J'avais tellement bien joué la comédie qu'ils ont même écris un article qui a paru dans le journal local disant que j'étais un des cas de folie les plus sévères qu'il puisse exister. VDM. Ou mieux : TLBM.

Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'hésite. J'hésite, et hésite encore, puis je finis par y aller, histoire de me changer les idées. C'est tout.
Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Je trouve que c'est une excellente idée, et je ne manquerai pas d'y participer car il faut bien que des personnes y participent.
Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Sûrement pas.
Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Comment tu la trouves ?

Complètement inutile à souhait. Non, sérieusement, les filles, ça n'a jamais été mon truc. Je pense que si une Cabot m'approchait, je préférai fuir tel un lâche que de rester près d'elle. Réaction totalement puérile dans un sens, mais c'est ce que je ferais.
Les Winthrops font une enchère tous les ans. Aimerais-tu un jour y participer ?

Pourquoi pas, dans une autre vie.
Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

La crise ne touche pas tout le monde, apparemment.
Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Y aller tel un véritable élève sérieux et assidu, peut être pas, mais y aller quelques jours durant cette semaine oui, avec joie.

Derrière l'écran

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Dina et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Sea, Sugar and San Diego. Cela fait déjà des mois que j'hésite à faire partie de l'aventure mais vu que j'ai cédé à la tentation, j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Simone Nobili comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 750 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ :meditation:

(Invité)

Mon parcours

one.

When life used to be easy and when I used to be innocent.

Just another angel born in Los Angeles.

Angel ? Bon d'accord, j'exagère peut être un peu. Mais c'est comme ça que l'on m'a toujours appelé et avec du recul, c'est vrai qu'au fond j'étais un véritable petit ange. Je suis né à Los Angeles, Hollywood City autrement dit, et j'y ai passé des années merveilleuses. Les meilleures, je ne sais pas, mais elles valent le coup d'être retenues. J'étais tout petit, mais j'arrive parfois à me souvenir de quelques détails comme des images, des bruits, des musiques ...
Mes parents m'ont souvent dis que j'étais le garçon le plus sage au monde. Je ne pleurai pas, je ne pleurnichai encore moins, et étais très obéissant ce qui m'étonne encore aujourd'hui. Les caprices pour ne pas faire la sieste ? Mes parents n'en ont jamais connu. J'étais le premier à dormir dans les dortoirs et le dernier levé.

Live.Love.Laugh.

A l'âge de 6 ans, j'appris que j'étais hémophile. Enfin, mes parents me l'ont dit à mes 6 ans, mais je pense qu'ils l'avaient découvert quelques temps plus tôt. A l'époque, je ne savais pas vraiment ce que c'était, et surtout si c'était quelque chose de bien ou de mal qui allait m'avantager ou me désavantager. L'affaire s'est éclaircie à mes 9 ans quand j'appris que c'était une anomalie génétique en réalité, et donc une maladie. C'est alors que je compris que dorénavant, j'allais sans arrêt être assisté et surveillé à chacune de mes actions. Quand j'allais jouer dehors, il y avait toujours un adulte à veiller à ce que je ne trébuche pas ou que je ne me fasse une égratignure. Quelque part, cela me plaisait d'être en quelque sorte chouchouter, j'étais jeune et j'avais nécessairement besoin d'amour et d'attention et c'est précisément ce que j'ai reçu toute mon enfance. Que demander de plus quand on est tout petit ?
C'est au collège que je compris que l'hémophilie était bien plus qu'une maladie, et que je devais " à cause d'elle " adopter un certain rythme de vie différent des autres, et ce pour le reste de ma vie. J'avais une certaine inquiétude à ce sujet mais je savais qu'avec l'aide de mes parents, tout allait bien se passer. Je pensais naïvement qu'ils seraient toujours près de moi, et que je n'avais pas besoin d'amis pour combler un vide que mes parents s'occupaient déjà à combler.

J'avais tort.

two.

Weird ? No, just different.

England. Israël. France. United States.

Sur un autre point où j'étais chanceux, c'était les départs en vacances. Depuis tout petit, j'avais voyagé dans des tonnes de pays, et rencontré des tonnes de personnes différentes. Mais j'avoue avoir toujours eu une préférence pour l'Angleterre, l'Israël, la France et les Etats Unis mêmes; et pour cause, mes parents étaient tous deux originaires de ces pays. Ainsi, j'adorai rendre visite à ma famille dans ces pays et par la même occasion, y apprendre la langue et des choses sur la culture locale.
Je suis allé trois fois en Israël et c'est en y prenant des cours particuliers que j'y ai appris l'hébreux. La France, 5 fois, et c'est aussi en prenant des cours et en me faisant quelques amis que j'ai appris à parler le français de manière fluide. Quant à l'Angleterre, 6 fois, et j'avoue avoir toujours été passionné par la culture britannique tout comme par l'accent. Il m'arrivait souvent de l'adopter pendant toute la durée de mon voyage là bas, puis de revenir aux Etats Unis et parler comme un vrai petit britannique. Cela prenait des jours à ré adopter l'accent américain, mais ça ne me gênait pas plus que ça.

Wonderland does exist after all.

(lire)

J'adorai passer mes journées à lire étant petit. La soif de savoir et de connaissances me poussait sans cesse vers de nouveaux lires et œuvres à lire, à déguster. J'étais en permanence motivé par le commencement d'un nouveau roman, fantastique ou policier ; ou intéressé par les études de grands scientifiques, philosophes ou écrivains. On appelle maintenant cette excitation, une passion. J'étais clairement un passionné des livres, et le suis toujours maintenant. J'aime la langue, qu'elle soit écrite ou imagée, car il faut le dire, je n'ai pas commencer à lire dès ma naissance. Mes parents ont d'abord commencé à me montrer des albums, des dessins, et me racontaient des histoires autour de simples images. C'est en partie grâce à eux, et à ces images que je me suis forgé tout un univers à moi, un univers où mon imagination était le création de tout ce qui y vit. Mais c'est aussi en partie grâce à mes nombreux voyages que ma passion s'est agrandie.

A mes 10 ans, j'appris que j'étais sur-doué. Je savais depuis déjà tout petit, que j'étais différent des autres garçons, et ce n'était pas là une excuse pour expliquer pourquoi je n'avais pas ou très peu d'amis. Je m'amusais différemment et avais des centres d'intérêts totalement opposés des autres petits garçons de mon âge. Mais je ne me doutais pas une seule seconde que j'étais plus intelligent que la normale. Je n'avais pas spécialement d'excellentes notes, bien que j'étais un garçon studieux; je ne m'exprimais pas d'une manière qui laissait penser que, et je ne m'ennuyais pas du tout en cours. C'est en passant des tests demandés par mes grands parents qu'on découvrit cela.
En réfléchissant, j'aurais aimé ne jamais le savoir. J'aurais aimé gardé mon "innocence" de petit garçon normal. J'étais celui qui me considérait comme un martien, je mettais à l'écart des autres moi même, tout ça parce que je pensais ne pas être comme eux.

three.

Everything comes with a price, doesn't it ?

Mad, you said mad ?!

Ma vie était bien trop parfaite jusque là et il fallait bien s'attendre au fameux revers de la médaille. Je devais m'y attendre et pourtant, je ne l'ai jamais fait. J'étais peut être encore trop innocent, ou peut être trop optimiste pour penser qu'un jour tout pouvait basculer.
Et pourtant, ce jour arriva.
Je perdis mon père à mes 13 ans. Foudroyé par une crise cardiaque, il n'avait pas vu venir la mort; tout comme ma mère et moi qui furent choqués par son décès durant plus d'une année. Pas seulement tristes, mais choqués; ma mère choquée d'avoir perdu son mari et le père de son fils, et puis moi, choqué d'avoir perdu mon repère dans la vie et mon exemple jusque là.
Cependant, j'étais prêt à prendre le "relais" et à m'occuper de ma mère, seul. J'étais étrangement déjà très mûr pour un garçon de 13 ans malgré tout, et m'imposer comme le seul homme de la famille, le dernier homme de la vie de ma mère.
Seulement, il a fallu qu'il arrive. Lui. Il a fallu que ma mère le prenne comme compagnon et que je l'accepte en tant que beau père. Pour tout dire, je ne l'ai jamais considéré ainsi. Non, à la place, je l'ai toujours considéré comme un homme qui avait réussi à séduire ma mère par je ne sais quels moyens, et qui avait réussi à s'incruster dans la vie de ma mère et la mienne tellement facilement que ça en devenant déconcertant, voire inquiétant. Je me méfiais de lui. Je m'en suis toujours méfier, encore aujourd'hui.

And this is where the old me is dead and gone.

Puis vint le tour à ma mère de mourir. J'avais alors 15 ans. Les séquelles causées par le décès de mon père étaient toujours présentes, et le décès de ma mère, autrement dit, ma génitrice et la première femme de ma vie, les aggravaient davantage. C'était comme si on me réouvrait des plaies qui avaient à peine commencé à cicatriser. Et puis, pour couronner le tout, je devais à présent me retrouver avec ... lui. Cet inconnu qui avait pris une place dans mon foyer et qui s'y était affirmer tel le seul vrai homme de la maison. Sornettes. Il n'en était rien de tout ça.
J'avoue ne m'être jamais bien entendu avec lui mais notre relation s'est d'autant plus détériorée quand ma mère a pris la décision de l'épouser. Evidemment, je n'avais pas mon mot à dire dans l'histoire même si j'ai eu l'occasion de parler de nombreuses fois. Seulement, voir ma mère montrer un semblant de joie à nouveau, et afficher ces sourires presque semblables à ceux qu'elle montrait autrefois m'empêchait de faire quoi que ce soit. J'étais peut être faible, ou tout simplement, un bon fils. J'hésite encore là dessus.

Mon beau père et moi ne nous sommes jamais entendu mais j'étais loin d'imaginer qu'il serait prêt à faire ce qu'il a fait. Je n'aurai jamais pensé qu'il voulait se débarrasser de moi, bien que d'une certaine manière, cette petite crainte grandissait en moi jours après jours. Comme pour tuer quelqu'un à petit feu, il s'y est pris doucement, pas à pas.
Il m'a d'abord fait suivre par je ne sais combien de psychologues en disant que j'étais dépressif, voire suicidaire après avoir perdu mes deux parents et qu'une aide médicale était nécessaire dans mon cas. Il allait même jusqu'à affirmer que je faisais des choses parfois inconsciemment, et que cela pouvait porter atteinte à la fois à ma sécurité comme à la sienne.
Puis, à mes 16 ans, après avoir fait les demandes aux services appropriés avec l'appui des psychologues qui m'avait suivi, j'ai fini par devenir un patient d'un l’hôpital psychiatrique, situé à Washington, de l'autre côté des Etats Unis. Une fois cela de fait, son but était atteint. Il avait réussi. Il s'était enfin débarrasser de moi définitivement, et par la même occasion, il avait réussi à me faire souffrir comme aucune personne ne m'avait encore fait souffert.

Je n'étais plus qu'un interné. Enfermé et piégé. Voilà ce que j'étais devenu, voilà où j'avais finalement atterri après avoir travaillé très dur toute mon enfance et avoir essayé tant bien que mal d'être le plus gentil petit garçon et le meilleur fils pour mes parents.

Cette expérience me changea à tout jamais.

four.

So many questions that won't get an answer. What a pity you say ? Uh, I'd rather say .. for the moment.

Past, present and future are linked together, that we want it or not.

J'ai dû alors passer deux ans dans cet hôpital et j'en sortis à la veille de mes 18 ans. Malheureusement, les séquelles sont toujours présentes aujourd’hui et honnêtement, je ne sais si un jour, elles finiront par disparaître. Elles sont ancrées en moi. Mes blessures, mes cicatrices ne font qu'un avec moi à présent. Comme je m'y attendais, l’hôpital s'est imprégné dans ma peau, dans mes veines, et bien que je n'avais nullement besoin d'un petit séjour là bas, j'ai changé. Je n'ai pas eu le choix. J'ai dû changer, pour survivre, pour ne pas devenir littéralement fou. Les choses qu'on voit dans ce genre d'endroit et les gens qu'on y côtoie peuvent chambouler tout l'esprit d'un jeune homme comme moi.
Je n'en ai jamais parlé à personne, et cela m'étonnerait qu'un jour je le fasse. cette partie de mon passé doit y rester, et je réalise maintenant que j'ai perdu mon énergie à la cacher, la dissimuler au fond de moi. C'était une erreur de réagir ainsi. Je le sais, maintenant.

What if it wasn't that bad after all ?

C'est comme ça que j'ai décidé d'étudier en psychologie. C'était un domaine qui m’intéressait depuis tout petit; et à la sortie de l’hôpital, ce devint presque une obsession. Je voulais comprendre. Je voulais des réponses, mais personne n'était là pour me les donner. Je devais donc y répondre seul, et je savais pertinemment que par le biais de la psychologie, j'allais mieux comprendre .. les humains et leurs comportements. J'ai pu tirer profit de mes nombreux voyages que j'avais effectué étant plus jeune grâce au bon nombre d'informations que je connaissais déjà sur les différentes cultures que j'avais alors rencontrées et cottoyées. Celles ci m'ont permis de me pencher plus sérieusement sur chacune de ces cultures, et les comportements des sociétés. Enfin, lors d'un voyage en Angleterre où j'y ai séjourné quelques mois, j'ai pu approfondir mes connaissances; en assimiler d'autres sur la psychologie et me généraliser dans ce domaine.

five.

There is no point. That's the point.

HARVARD, Here I am.

Après être allé en Angleterre et y avoir passé quelques mois, je me décidai à rentrer aux Etats Unis et à intégrer la meilleure université américaine et la plus prestigieuse.
Harvard. Je fus accepté parmi les meilleurs élèves, et ce vu mon excellent dossier scolaire que je possède, même si j'estime n'avoir aucun mérite la dessus puisque mes excellentes notes sont dues à mon QI supérieur à la normale, c'est tout.
Cela fait deux ans maintenant que je suis à Harvard, et que j'y étudie en psychologie. Tout se passe bien pour le moment, même très bien, depuis que je vis seul et depuis que je ne suis plus à Los Angeles. A vrai dire, je n'y suis pas retourné depuis ma sortie de l'hôpital, pas même pour aller chercher des vêtements ou certaines de mes affaires. A cette heure ci, l'homme que les autres considéraient comme être "beau père" a sûrement du les jeter ou les donner à je ne sais qui, même si cet acte de générosité m'étonnerait beaucoup venant de sa part. Malgré tout, je ne lui souhaite pas du mal, seulement de vivre très loin de moi. Je ne veux plus en entendre parler; maintenant, la place est reversée à mes études et à mon véritable avenir.

I missed my old friend that most call Loneliness.

Au fond, je n'ai peut être pas autant changé que je ne le pense ou le prétends. Je suis différent dans de nombreux aspects, mais certaines choses sont restées les mêmes qu'auparavant. J'aime être seul. Il m'arrive de parler pendant des heures, mais ces moments sont très rares. La plupart du temps, je reste seul ou ne dis pas un seul mot si je suis avec quelqu'un. Beaucoup interprètent ceci en disant que je suis mystérieux, d'autres que je suis arrogant, et encore d'autres que mon attitude est hautaine. Peu importe pour ma part, ça m'est complètement égal qu'on me considère comme le garçon mystérieux que personne ne connait ou comme celui qui se croit important. Je n'ai jamais eu besoin d'adopter une certaine attitude en présence d'autrui tout ça pour être bien vu. C'est pourquoi, en deux ans passé à Harvard, je ne me suis fait aucun amis. Quelques connaissances, certes, mais zéro véritable amis. Pour tout dire, ça ne me dérange pas plus que ça, je préfère n'avoir aucun amis, qu'en avoir qui pourraient penser que je les délaisse intentionnellement, ce qui bien sûr serait complètement absurde et faux. Je ne sais pas, peut être que dans l'avenir, les choses changeront. A nouveau.

Epilogue.

Le fait qu'après avoir lu ma fiche, on ne sache quasiment rien de mon caractère ne veut en rien dire que je suis un garçon très compliqué. Au contraire, malgré mon histoire très mouvementée, je pense être le genre de garçon facile à vivre. Du moins, c'est ce que l'on m'a toujours dis à mon sujet. Très têtu, il m'arrive parfois de reconnaître certaines de mes erreurs et de m'en excuser. Je suis très auto critique, et me remets souvent en cause, même quand cela n'est vraiment pas nécessaire. On me dit honnête et franc, sans pour autant être méchant. J'estime que l'honnêteté est l'une des meilleures preuves d'amour et de respect qu'il puisse exister; c'est pourquoi, j'essaye moi même de m'y tenir et ne rien cacher. Toute vérité est bonne à dire, il parait ... Un de mes plus gros défauts est mon côté sarcastique et je ne le cache pas. J'aime les sarcasmes pour je ne sais quelle raison, peut être parce que d'une certaine manière, cela m'amuse. Mais ce qui me définit par dessus tout, c'est mon côté très solitaire et introvertie. J'aime être seul, penser, voire méditer avec pour seule compagnie moi même.

(Invité)

BIENNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNVENUE PARMI NOUS !
Bon courage pour ta fiche & excellent choix d'avatar Léandre Z. Eytan-Marshall (×) Simone Nobili 4205929361

Léandre Z. Eytan-Marshall (×) Simone Nobili 4205929361

(Invité)

Léandre Z. Eytan-Marshall (×) Simone Nobili 3850463188

Léandre Z. Eytan-Marshall (×) Simone Nobili 2109348208

(Invité)

Welcoooooooooooooooooooooome ! Léandre Z. Eytan-Marshall (×) Simone Nobili 2511619667

~~Me laisseras-tu te violer ?~~

(Invité)

- SIMONE T'ES BONNE.
Bienvenuuuuuuuue parmi nous et bonne chance pour ta fiche de présentation! :p:
Et je veux un super lien au passage, voila je sors.. Léandre Z. Eytan-Marshall (×) Simone Nobili 2511619667

(Invité)