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De bourlan ☆ Hawai est à nous

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Face à ses paroles, tu ne peux pas t'empêcher de serrer les dents lentement pour souffler finalement. Tu passes ton regard sur elle, puis finalement sur le sol et tu la regardes de nouveau Je t'emmerde ! Je suis pas un gamin ! Et je fais ce que je veux Parce que t'es énervé et c'est sortit tout seul. Tu en as rien à foutre qu'elle te lâche, en fait si, mais qu'elle te traite comme ça, non. D'ailleurs quand tu vois Juan arrivé, vaut mieux qu'il est pas entendu ça, mais ça n'a pas l'air et tu te tournes vers elle. Parce que sa meilleure amie est horrible et elle t'aime pas c'est sur. Sauf que la réponse tombe, elle s'est servie de toi et tu l'observes, tu ne t'imaginais pas ça, mais elle l'a dit, tu recules légèrement, tu la fixes, tu la fixes vraiment elle, elle est elle seule parce qu'elle vient de détruire une chose à l'intérieur de toi et tu ne sais même pas ce que c'est putain. Tu t'apprêtes à parler mais c'est Juan qui le fait en premier en demandant des explications Y'a pas d'explications. C'est une salope. C'est tout. Elle a joué et elle a gagné. tes paroles sont froides, destructrices de toute information et c'est même rare de te voir dire un mot aussi vulgaire, mais au moins c'est clair et sérieux dans ta tête, d'ailleurs, Juan demande des excuses envers Deirdre mais tu hoches la tête, légèrement embuhé par tes larmes Non, parce qu'elle a joué. Elle s'est servie de moi pour son jeu avec sa copine. Et elle s'en fiche de moi, de toi, de tout ça. Juste pour rigoler et se moquer de moi. Donc c'est une salope Elle veut que tu grandisses, tu vas le faire mais tu renifles pour humecter tes lèvres et finalement tu recules pour souffler fortement. Non tu préfères de loin t'en aller en fait, oui tu t'en vas parce que sinon tu vas encore plus méchant. D'ailleurs, tu aurais du prendre ton sac avec tes cigarettes, ça aurait peut-être mieux passé ..
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L'acier s'empare de tes paroles. Tu es loin d'être la Douce et tendre Deirdre. Parce que c'est ce que tu es, une femme froide, insondable, aux orbes métalliques. Tu lui en as trop dévoilé. Tu as laissé la frontière se raccourcir entre sa bulle et la tienne. Et c'était bon oui. T'étais bien dans cette bulle avec lui. Mais tu dois le protéger. Tu dois te protéger toi aussi. Parce que la survie, c'est ce qui importe. Ses paroles sont dures, abruptes. Ton menton se relève sous l'affront. Mais tu aimes qu'il s'empare de sa colère paradoxalement. Tu ne manies rien aussi bien que la haine. « Tu as tout compris pour une fois faut croire. » Tu es une salope. Un mot un peu trop vulgaire pour te résumer mais bien celui qu'il choisit. Ce n'est pas ça la réalité, mais tu préfères qu'il se persuade de ce mensonge, ça vaut mieux. Tu te rapproches à ton tour, attisant le charbon ardent sous lequel tu effectues cette danse macabre. Juan assiste impuissant à cette scène de haine après vos ébats pas si chastes. Quoi qu'il en pense, quoi qu'il en dise. Tu auras été sa première. Tu l'auras marqué bien plus qu'il ne pense. « Tu as envie de me frapper Valentin ? » que tu lances un mince sourire aux lèvres et le regard provoquant. Parce que t'es suicidaire en plus d'être machiavélique faut croire. Mais tu peux pas t'empêcher de vouloir provoquer quelque chose en lui. De le pousser à bout.
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Ton corps est quand même proche du sien et tu finis par serrer ton poing violement. Tu l'entends, t'es en colère et Juan arrive jusqu'à toi comme pour te demander de te calmer mais t'es incapable. Tu l'insultes de salope, une belle salope par contre. Merde, reste concentré. Et tu finis par reculer, faut que tu t'en ailles et maintenant mais t'es incapable de partir quand elle te parle comme ça. Tu te tournes vers elle et c'est Juan qui pose sa main sur ton torse, et il est rentré dans ta bulle d'énervement, il a comprit qu'il fallait que tu te calmes. D'ailleurs, la voix de Juan te fait baisser la tête juste au mot Stop Juste ce mot et tu es incapable de te détendre quand même. C'est insupportable tout ça, tellement insupportable et destructeur à la fois. Ton regard se pose un instant sur le sol et il se relève vers Juan qui te fixe, mais tu dois te calmer un peu quand même. Ce comportement n'est pas le tien et il ne sera jamais le tien en fait. Je m'en vais prononces-tu avant de lever les yeux vers elle Je veux plus te parler ou t'envoyer des sms. Je veux plus rien à faire avec toi. Je veux plus jamais te voir Ta voix est calme et même si tu as encore la main ferme de Juan sur ton torse, il te fait reculer légèrement mais tu es incapable de dire quoi que ce soit d'autre Je t'aimais bien moi finis-tu par dire, les larmes aux yeux, ton changement de comportement est impossible et tu soupires, ouais tu l'aimais bien toi, tu l'aimais bien plus que ça.
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Tes yeux s'attardent machinalement sur son poing qui se resserre. Sur cette violence qui monte en lui et qui sans doute va s'abattre sur toi. Tu le redoutes oui, mais c'est ce que tu mérites. C'est tout ce que tu mérites pour avoir joué avec quelqu'un comme lui. Sauf que tu ne connais même pas les règles de ce putain de jeu. Tu le savais dès le départ que tu lui ferais du mal, mais voilà, tu n'as pas pu empêcher ça. Il recule finalement, sans doute en proie à une sorte de lutte. Et tu surprends ton corps qui se tend toi aussi Deirdre. Ton regard qui ne peut pas se détacher de lui. Ta respiration s'accélère. L'acier s'effrite et bordel. Tu encaisses non sans mal, tes prunelles s'égarant à la main masculine sur son torse. Tu aimerais être cette main là posée. Rien d'autre. T'aimerais oublier. Le mal qu'on vous a fait. Mais sa voix résonne à nouveau et tes billes se relèvent aux siennes. Tu te contentes de hocher la tête en silence. Parce que tu as rien à dire. T'es plus rien en fait. Et c'est sans doute mieux ainsi. La main de Juan le fait reculer finalement, et ses derniers mots viennent t'assaillir. Il n'est pas amoureux de toi mais quand même. Toutes ces images te reviennent en tête. Toutes ces sensations. Et tu sens l'eau se frayer un chemin aussi, et tu tiens bon. Si ce n'est ce sel que tu goûtes à tes lèvres. Et que tu viens effacer d'un mouvement impatient. « Félicitations pour ton poste de Vice-président. » que tu lâches comme lors d'une conversation banale. Parce que t'es incapable de gérer ça. Et parce que finalement c'est peut-être la seule bonne chose que tu as fait pour lui de l'encourager sur cette voie.
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Tu la vois, elle est là, si proche, si facilement proche de toi et si belle aussi. Ton corps s'approche du sien mais c'est la main de Juan qui te fait reculer. Alors tu lui avoues le fait que tu l'aimais bien, le fait que tu ne la voulais que pour toi. Enfin plus le fait que tu l'aimais bien. Parce que le reste, bah rien n'a voulu sortir. Tu te tournes pour commencer à avancer, la main de Juan sur ton dos, ferme et protecteur mais sa remarque te fait t'arrêter et tu tournes les yeux vers elle. Tu ne sais pas pourquoi, tu renifles légèrement et pourquoi tu essayes de cacher le fait que tu pleures mais c'est trop tard, elle le sait déjà Tu as dis que tu voulais plus me voir. Alors je te l'ai pas dis.. Mais c'est grâce à toi. et tu finis même par ajouter Parce que tu peux être gentille qu'avec moi. Et je m'en fiche, parce que pour moi c'était réel même si tu vis dans ce monde si cruel et enfermé, elle a toujours été gentil et délicate avec toi et tu ne sais même pas si c'est normal en fait
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La main de Juan passe dans son dos, tandis que sa silhouette te fuit finalement. Meilleure chose qui soit. Pour lui s'entend. Alors tu le félicites malgré toi, semant quelques miettes au vent. La faiblesse qui parle Deirdre. Pourtant, tu y étais presque. Il se retourne pour te dire que c'est grâce à toi, mais tu secoues la tête doucement, accentuant ce mouvement de tête. « Ce n'est pas moi, c'est toi Valentin. Mais je suis contente d'avoir pu t'aider. » Au moins là dessus dirons-nous. Parce que pour le reste, tu as juste creusé un beau fossé empli de ruines. Tu souris délicatement à ses paroles mais ne rétorque rien. Parce que tu as été forte et tu dois continuer à l'être. Pour lui. « Vas-y maintenant. » que tu dis doucement. Presque tendrement. Trop tendre pour une sentence sans appel. Le vent s'empare de tes cheveux, et tu remets tes lunettes sur tes orbes. Afin d'imposer cette distance. Afin d'imposer ce qui doit. Tu te prends à envier ces personnes qui se fondent dans le sable, mais tu restes campée et digne, les deux pieds au sol. Le voyant partir à sa fuite. Parce que c'est encore la meilleure option pour lui.


THE END
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