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De bourlan ☆ Hawai est à nous

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Juan avait insisté pour que tu prennes une grande chambre. Chambre avec un petit salon quand même, assez pour pouvoir souffler et prendre du bon temps dehors avec la mer et le sable. T'es d'ailleurs assis sur ce dernier, tes fesses sur cette serviette alors que tu es torse nu face au monde. Tu n'aimes pas réellement la pluie et le soleil te calme. Tu retrouves d'ailleurs lentement ta couleur d'origine et c'est appréciable bordel. Ton regard caché par tes lunettes de soleil fixe la mer parce que tu penses au nombre de fois où tu l'as regardé et rêvé de cette mer si calme et agitée. Mais le soleil se couche et c'est agréable de voir les gens s'en aller sauf toi. Tu es silencieux, sans un bruit, Juan assis à tes côtés alors qu'il fixe lui aussi la mer et c'est calme et reposant. Il te fait la lecture espagnole des nouvelles, comme tous les jours mais tu n'es pas concentré et tu ne fais pas attention aux mots qu'il dit comme toujours en fait, tu ne fais jamais attention aux paroles des autres, sauf à sa voix ..


@Deirdre M. Wheelan :heaart:
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C'est un moment que tu aimes avoir pour toi. Cette bascule étrange et éphémère entre le jour et la nuit. Un éphémère dont tu apprécies le silence et cette impression de temps suspendu. De ton masque diurne, tu revêteras bientôt le nocturne, bien plus déluré et empli d'excès. Parce que tu te dois d'honorer ton spring break. Même si avouons-le, tu es plutôt sage à l'heure actuelle. Tes pieds nus se fondent dans le sable et une chemise longue et ouverte laisse ton corps prendre un peu les dernières lueurs de soleil. Tes lunettes sur le nez, tu aimes contempler le couchant au fur et à mesure de tes pas, dans cette habitude que tu as pris d'arpenter la plage. Tu ne fais pas vraiment attention aux autres, mais la langue qui résonne à tes oreilles t'interpelle malgré toi. Espagnol. Ta tête dévie sans que tu n'en fasses vraiment le choix pour se poser sur Valentin. Il a l'air calme et serein en compagnie de Juan et tu en serais presque heureuse si la lueur du coucher ne venait pas autant flatter son portrait. Oui, tu désires toujours l'étrange homme qu'il est. Mais ton visage retourne aux vagues océanes l'air de rien, faire comme si tu n'avais rien vu, c'est peut-être le plus sage finalement.
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T'es assis en silence, en tailleur, ton corps tourné entièrement vers la mer mais Juan parle et tu te lèves stupidement pour marcher. Tu ne sais pas pourquoi, ce petit garçon qui continue de faire son chateau de sable malgré les paroles de sa mère qui lui demande de venir. Tu t'assois à côté de lui, en silence, tu regardes le chateau et en plus il t'explique ce qu'il y a. Sa mère vous observe néanmoins et tu prends sa petite pelle pour continuer avec lui son chateau. Mais Juan n'a pas très envie de te laisser seul à faire. Il s'approche de toi, te regardant avant de t'inviter à te lever et tu te lèves en laissant le petit garçon seul avec son sable. Tu retournes vers ta serviette, ton regard se posant sur tout et n'importe quoi mais surtout sur elle. Elle est là, debout, elle est là, non loin de toi, ses cheveux volants grâce au vent de la mer, elle est magnifique et tu ne sais pas pourquoi tes yeux se remplissent de larmes lentement. Elle t'a abandonné quand tu avais besoin. Elle t'a laissé tout seul quand tu en avais le plus besoin. Tu l'as embrassé, te laissant seul et maintenant elle est là. Tu arrives à sa hauteur, malgré le fait que Juan te suive et tu lâches Tu devrais pas être là. Tu es méchante et tu as pas le droit d'être là Tu te laisses bercer par des méchancetés qui s'échappent de tes lèvres mais aussi des larmes qui s'échappent de tes yeux Tu m'as laissé tout seul, tu as dis que tu m'abandonnerais pas et tu l'as quand même. T'es méchantes, je veux plus te voir et plus te parler, t'es méchante et papa avait raison. Tu es pas assez gentille pour moi et t'es nulle Naturellement les paroles de Juan t'appellent mais tu es trop énervé pour ne pas continuer Et t'es trop jolie pour moi, je veux plus te parler, ni plus te voir. Ni rien du tout. Je suis plus rien. Je suis plus ton quelque chose d'autre. Je veux plus rien faire avec toi, plus rien du tout Mais tu entends ce fameux Alejandro et malgré la crise que tu fais, il te tire par le bras en s'excusant auprès d'elle avec une certaine distinction comme toujours. Mademoiselle Wheelan ou non, tu n'as jamais pu te l'enlever de la tête depuis qu'elle est partit ..
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Tu as préféré ignorer sa présence mais t'es perturbée qu'il soit là, tu marches doucement pour qu'il ne te voit pas. Mais la fatalité finit par arriver. Il vient vers toi et tu sens toute la colère qu'il t'envoie. Normal après tout. Ce sera peut-être plus facile comme ça. « J'ai le droit d'être où je veux. » répète-tu d'un ton implacable et froid. Tu te ne laisseras pas dicter ta conduite par Valentin, même si précisément, tu veux tout sauf être ici. Sa colère passe encore, mais ses yeux qui pleurent. Tu détestes ça mais il ne peut tout bonnement pas te faire une scène ici au milieu de tout le monde. « Il avait raison oui. Je ne te l'ai pas caché. » Tu l'as averti même à plusieurs reprises. Tu allais le détruire et c'est ce que tu es entrain de faire, non ? T'es cruelle Deirdre. Et par ton attitude tu le protèges finalement. Tu sais que Manon est venu lui parler et c'est que le début si vous continuez ça. Tu l'imagines sous la glace d'Abelard ou le feu de Hades. Il n'y survivra pas. Sans parler de Noah. Non. Non. Il s'énerve encore plus et tu sens ton corps trembler doucement mais sûrement. Tu sais plus quoi faire. C'est de ça qu'on parle lorsqu'on évoque le déchirement ? Y'a Juan qui se pointe, qui essaie de le tirer par le bras alors qu'il te rejette toujours un peu plus. « Ce n'est rien. » dis-tu envers le garde du corps du prince. « Je l'ai mérité. » dis-tu doucement avant de tourner ton regard vers Valentin. Parce que t'es cruelle et méchante, égoïste aussi, il a raison dans toutes ces paroles même si quelque chose en toi est brisé, tu sais que c'est la bonne solution.
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Elle t'a énervé rien que par sa présence alors que tu pleures toutes les nuits que Dieu te fait sans elle. Parce que tu as mal au coeur, parce que tu as mal tout simplement. Tu la regardes dans les yeux mais cette fois ci c'est la colère qui s'installe en toi Non tu n'as pas le droit d'être là ! Parce que c'est toi qui veut plus me voir Point pour toi ? Tu as le droit de le dire n'est ce pas ? Tu sais que tu as le droit et que c'est elle qui est partit. Tu fixes un instant son regard alors qu'elle dit que ton père avait raison mais c'est pas ça que tu veux Non ! Parce que tu étais mon quelque chose d'autre et tu devais pas m'abandonner, tu avais pas le droit de le faire !! T'avais pas le droit du tout ! prononces-tu avant de te faire tirer par Juan mais tu n'arrives pas à te laisser faire parce que ton corps s'attire toujours vers le sien, toujours quoi qu'elle fasse, qu'elle te rejette ou non, elle t'attire étrangement et tu n'arrives pas à te l'enlever de ta tête putain. Tu finis par te laisser aller alors qu'il te prend dans tes bras, mais il ne te touche, il mime juste le geste et tu te laisses aller contre lui en silence, laissant les larmes coulées lentement contre l'homme de main qui a prit soin pendant trop de temps. Mais le fait que Juan demande te t'excuser, tu le pousses et tu t'en vas en courant parce que tu es incapable de le faire, incapable de t'excuser ou même d'essayer de rattraper la merde qu'elle a foutu à l'intérieur de toi ..
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Tu savais dès le départ que ça finirait mal. Et t'espère juste être assez forte pour tenir cet objectif que tu t'es fixé. Un peu comme quand on enlève un sparadrap d'un coup sec sur une plaie. Parce que c'est ce que tu es pour lui Deirdre. Une plaie. Tes sourcils se froncent quand il se met plus en colère encore en te disant que tu n'as pas le droit d'être là. Tu n'aimes pas qu'on te dise ce que tu peux faire ou pas. Valentin ou non. Et puis il continue, et se réfugie dans les bras de Juan, t'es mal à l'aise, encore plus devant son garde du corps,qui finalement t'avais accepté. Mais c'est ça la vie aussi, c'est pas toujours rose. Et toi c'est plutôt la vie en noir pour être honnête. Il s'en va en courant maintenant et tu regardes Juan, un peu interloqué. Il te regarde, du style, on récolte ce qu'on sème. Alors tu cours après Valentin finalement, tu l'attrapes par le bras. Bon dieu, tu te donnes en spectacle là, horrible. « Valentin, arrête ! » Tu l'attrapes et le tire à toi. « Retourne avec Juan, c'est bon, je m'en vais. » Il va pas courir nulle part et aller se droguer encore. Il a besoin que quelqu'un veille sur lui, parce que toi t'as juste réussi à foutre un peu plus de bordel dans sa vie.
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Tu cours, t'es stupide mais tu n'oses rien faire d'autre que de courir sous l'envie soudaine d'être libre de tout ça. Et quand tu t'arrêtes pour essayer de voir où tu peux aller, ton bras se fait retenir par quelqu'un et tu te tournes vers la personne. Ju... Deirdre. Non, elle est pas censée te toucher et encore moins te parler mais elle le sait et ton coeur bat bien plus fort que tu ne veux l'admettre. Tu déglutis différement avant de renifler légèrement Lâches moi prononces-tu, tu tires légèrement mais elle t'attire à elle et tu sens son odeur, tu sens son corps, tu sens son être entier noir sombre et destructeur Me repousse pas lâches-tu finalement alors que tu l'embrasses. T'as pas besoin de ça, t'as pas besoin de ce baiser, t'as pas besoin de son corps contre le sien et de tes mains sur ses joues. T'as pas besoin de tout ça.. Mais clairement si. Juan peut dire que tu n'as besoin de rien mais t'as besoin de cette envie soudaine, de cette noirceur si sombre et endiablée, tu as besoin de cette femme aux cheveux corbeaux. Tu as besoin de cette puissance soudaine et de cette violence qu'elle te créée en toi. Tu as besoin d'elle finalement ..
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Tu es perdue alors que tu lui cours après. Tu ne devrais pas faire ça. Tu aurais dû le laisser partir. Mais faut croire que tu culpabilises de lui faire aussi mal. Et tu as mal toi aussi. Pourtant, t'es certaine d'avoir fait la bonne chose, mais tu ne peux pas réfléchir deux minutes que tu te retrouves à la retenir. Tes billes le contemplent sans le lâcher malgré son ordre. Et puis, tu ne sais pas comment réagir non plus lorsqu'il vient s'approcher de toi, poser ses lèvres sur les tiennes. Tu es faible Deirdre, mais cruelle. Alors tes lèvres s'accrochent aux siennes l'espace d'un instant, trop habituées à lui pour le repousser, mais la raison reprend et les paumes s'appliquent au torse nu du Prince, l'écarte avec force. « Arrête ça ! » Parce que tu ne peux plus faire ça, tu lui as dit. « On va nous voir et tu veux quoi, qu'ils te détruisent ? » Parce que tu repenses à Manon, au mal dont elle est capable. Et tu veux juste le préserver de tes enfers quelque part. Car si eux sont les Dieux, toi tu en es la Reine.
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En fait, tu l'embrasses, parce que tu ne sais pas quoi faire, tu paniques et elle te repousse, tu la regardes, tu la ixes Quoi ? tu la regardes dans les yeux avant de hocher la tête négativement Tu vois ! T'es méchante, t'es vraiment très méchante ! Pourquoi tu continues ? Pourquoi t'es venu me chercher alors que tu t'en fiches de moi ? Pourquoi ? Réponds moi ! Sauf que ça t'énerve parce qu'elle vient et tu as pensé qu'elle voulait un bisou toi ! T'as pensé ça stupidement mais non. C'était pas ça, pas ça du tout. Tu l'observes, tu attends ta réponse mais c'est Juan qui débarque pour remercier Deirdre J'ai rien fait ! C'est elle, elle qui veut pas me dire la vérité. Parce que elle veut pas me dire pourquoi elle continue d'être comme ça Et même si Juan te tient le bras pour t'empêcher de t'en fuir, tu t'en lèves de son emprise pour lâcher Manon, elle avait raison. T'en a rien à foutre de moi et tu voulais juster jouer avec moi Parce que finalement, même si elle aussi était méchante, elle disait vraie !


(allez cadeau jpp De bourlan ☆ Hawai est à nous 1881463262 )
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Tu le mets en colère et paradoxalement, ça te détruit et ça t'encourage. Parce que plus, il te détestera et plus les choses seront faciles. La distance aisée à installer entre vous. Il l'ignore Valentin, l'acier dont tu es capable en réalité. Il a toujours vu en toi, la gentille et faible Deirdre. Tu en as beaucoup trop exposé finalement, n'écoutant que le traître qui martèle ta poitrine. Tu es ferme et tu n'écoutes que ta tête, tu rejettes ton corps totalement. T'appliquant à t'égarer la où se cache la colère.« Parce que tu fais n'importe quoi. On ne s'enfuit pas en courant comme un enfant. T'es plus un gamin Valentin. Grandis! » Et c'est une attaque en traître. Il aime à croire qu'il est encore innocent, se cachant derrière sa condition. Mais il doit grandir et maintenant. T'es pas de celle qui regarde l'élévation tendrement. Non, toi tu forces les choses. Tu es cruelle et abrupte. Et il te détestera plus encore oui. Il évoque ensuite Manon et tes sourcils se froncent. Cette fille est vraiment capable de n'importe quoi. Mais c'est la réalité qui se rappelle entre vous. « C'est vrai que parmi tous les hommes, j'ai choisi toi pour jouer. » Que tu rétorques renfrognée. Tu parles d'un challenge. T'aurais préféré éviter, mais t'as rien contrôlé dans tout ça en vérité. Qu'il pense l'inverse c'est plus confortable. « Manon est une de mes meilleures amies, et tu as vu la peste qu'elle est ? Pas de raison que je sois différente. » Fuis petit Prince. Tant qu'il est encore temps.
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