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Il avait déconné, Luke. Il était allé trop loin, et il ne se rappelait que des vagues de cette soirée trop alcoolisé en compagnie de ses camarades d’uniforme bleu. Il se rappelait surtout de la robe rouge de Carson, et de son regard un peu apeuré. De la main d’un autre type sur elle, de l’odeur de ses cheveux qui se perdait dans le musc du whisky qu’il n’avait cessé de boire. Voilà plusieurs jours qu’ils ne s’étaient pas vu, et elle avait finalement accepté un rencard. Ou non ? Ce n’était qu’un rendez-vous d’un client, pour elle, peut-être. Une pointe d’espoir au fond de lui que ça ne soit pas juste un tour de passe-passe et qu’il ne se prenne pas le mur quand elle lui demanderait l’argent, mais à quoi bon inventer une vie où l’affect avait pris racine ? Quand Luke rêvait de Carson, dans la benne de son pick-up, allongé sur une couverture à regarder les étoiles, elle, elle ne devait voir qu’un potentiel pigeon, pompe à fric. Ça ne pouvait être réciproque. Il négligeait dans ses pensées qu’il avait une vie construite, une famille, une femme et deux enfants. Il omettait complètement de les additionner à l’équation, alors finalement, qui jouait avec l’autre, dans ce duo ? Luke se trouvait devant l’aquarium, attendant patiemment l’arrivée de Carson. Est-ce qu’au moins elle allait se pointer ? Il ne pouvait le dire, alors il n’avait qu’un texto qui le confirmait comme expectative d’une petite brune qui pointe le bout de son nez.

@carson oesterwind
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Une adresse, une heure, un rendez vous, et beaucoup d'indécision. Je suis en retard, tout simplement parce que j'ai trop longuement hésité à franchir le seuil de ma porte. A relire des dizaines et des dizaines de textos qui ne faisaient que pointer du doigt ma faiblesse. J'étais obligée de me rendre à l'évidence : après ces quelques rencontres, Luke avait réussi à avoir une influence sur moi que personne d'autre n'avait eu auparavant. C'était plaisant, violent, dangereux, et surtout totalement inédit, et j'ai toujours détesté l'inconnu. Et aimé, aussi. Probablement trop, c'est d'ailleurs pour ça que je me pointe devant l'aquarium, mains dans les poches de mon jean délavé, un col roulé, une veste en cuir. Ce soir, c'est pas un client que j'vais voir, c'est un homme qui m'intrigue beaucoup trop. Je sais pas trop qui je vais voir, en fait, au fond. Mais dès lors que je reconnais sa carrure, ses cheveux blonds, et ses iris bleus qui me cherchent, je sais déjà que quoi qu'il advienne, j'vais devoir lutter pour faire front, et pour ne pas chuter comme une enfant devant cet homme qui occupe chaque recoin de mon esprit depuis des jours. Trop de jours. J'approche, j'ai les yeux sur le sol, jusqu'à ce que j'arrive face à lui. Animal sur la défensive, tendue, dubitative, j'arrive juste à murmurer un « Salut. » Indécis. Pourquoi ce soir, pourquoi ici, pourquoi moi. Pourquoi toi ?
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Les minutes défilaient, et elle ne se présentait pas. L’espoir de Luke s’amenuisait au fur et à mesure que le temps défilait, et il ressentait une peine qu’il ne se souvenait plus connaitre, celle du manque. C’était devenu vital, de poser les yeux sur elle, de s’assurer qu’elle se porte bien. Mais voilà qu’il rêvait à des évènements qui ne se produiraient jamais. Les mains dans les poches, il en sortait une cigarette dans sa petite boite en métal. Il alluma la mèche pour venir tirer une bouffée qui s’évaporait dans la nuit, et un peu plus loin, une silhouette apparut à travers l’aspect blanchâtre de la nicotine. Son pouls s’accéléra si bien qu’il crut à une attaque cardiaque. Un vieux, ça aurait été possible et elle était tellement naturelle qu’il se demandait pourquoi elle mettait autant d’artifices pour ses clients. Elle avait ces traits aquilins que les hommes vénéraient dans les temps anciens, et une déesse, comparée à Carson, avait bien trop de chose à lui envier. Il sourit un peu gauchement, en lui tendant une cigarette. Elle pouvait la prendre ou la refuser, comme lors de leur première rencontre. C’était sa façon à lui d’amorcer les choses. « Ca t’dit une visite d’aquarium en nocturne ? » Le zoo de nuit, l’aquarium aussi. Le voile de la lune cachait ses émotions et ses joues rouges. Il brisait aussi les barrières car le regard était plongé dans une pénombre habituelle. Il poussa la porte pour inviter Carson à passer devant lui et il se dirigea vers la caisse pour demander deux tickets d’entrée. Tout était plongé dans une lumière tamisée légèrement bleutée, histoire de ne pas effrayer les animaux marins qui y circulaient, et n’avait de cesse de regarder Carson. « T’as mangé ? » Le souci du détail.

@carson oesterwind
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Il était là, moi aussi, et pourtant j'étais toujours plus dans le flou et l'indécision quand aux événements à venir. Pourquoi est-ce qu'il tenait à ce point à se faire pardonner son comportement de la dernière fois ? Et pourquoi est-ce que j'suis si désespérée à l'idée de le revoir, rien qu'une fois ? Il tend une cigarette, et pour cette fois, je tends la main, je prends, je sors un briquet de ma poche arrière de jean, j'allume. « Merci. » Ca me donne l'occasion pour tourner la tête et arrêter de garder les yeux rivés sur lui, aussi. Je crache ma fumée, et à sa question, je hausse une épaule. « C'est une passion, les lieux publics de nuit ? » Y a pas d'animosité, juste une sincère curiosité dans ma voix, alors que j'observe les lieux, plongés dans une lueur tamisée associée à l'heure tardive. « Tout me va. » Finis-je par dire. Tout était mieux que les restaurants de luxe et l'inconfort de la dernière fois. Les cigarettes écrasées, dernières fumées relâchées, on entre assez rapidement, et je tourne littéralement en rond dans l'entrée jusqu'à ce qu'il revienne avec les deux places, pour passer l'entrée et commencer la visite. Du moins, visite... a demi, puisque je regarde les poissons sans vraiment les observer. Songeuse, perdue dans beaucoup trop de pensées. Chacune d'entre elle habitée par la silhouette qui déambule entre les aquariums, à mes côtés. « J'ai grignoté. » J'étais bien incapable de manger quoique ce soit de consistant avant de venir. Mais ça, j'allais bien me garder de le dire. Je me contentais de naviguer entre les étendues aquatiques, entre les lumières bleues, les silhouettes des poissons qui ondulent dans leur élément. Au moins, ils en ont un. Et les silences durent. Pour une fois, ils me dérangent. Ils sont de trop, et pourtant je sais pas trouver mes mots. « Pourquoi avoir voulu me voir ? Pourquoi tout ça ? » Bon, autant mettre les deux pieds dans le plat. Et toujours, mon regard, incapable de se tourner vers le sien.
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Luke récupérait les tickets après avoir réglé et il offrait la première place à Carson en lui tendant. Avant d’entrer, ils en profitèrent pour fumer leur dernière cigarette avant la visite, et finalement, le mégot écrasé sous le pied, Luke menait la marche pour se diriger vers les aquariums de toutes tailles, de toutes formes et de tous contenants. Les poissons, les raies, les algues, les requins, les crustacés, les couleurs étaient encore plus vives quand on les regardait de nuit, parce que les lumières diurnes empêchaient leurs pleins potentiels. Avec des yeux d’enfant, Luke les observait, émerveillés par tant de grâce et d’empires qu’ils s’étaient créés. Les silences pesaient. Ils étaient gênants. Ce n’était pas arrivé les fois précédentes, il n’y avait eu que des moments de calme qui apaisent les esprits mais ce soir, c’était un malaise, des picotements dans l’estomac qui donnaient envie de fuir. Et Carson, ça lui plaisait pas, donc elle ouvre la bouche pour chercher des explications et Luke se sent démuni. Comment lui en donner quand même lui était incapable d’honnêteté ? Elle fuirait. Il contractait la mâchoire plusieurs fois, signe d’un stress un peu trop présent. Elle l’impressionnait et le déstabilisait. Elle n’avait aucune putain d’idée de l’impact que sa vie avait sur lui. « Je… » Il réfléchissait encore, regardait ses pieds, cherchait une échappatoire. « Parce que. » La réponse brève. Pitoyable, celle du lâche qu’il était et qui le terrifiait parce qu’incapable d’avancer sans dire un traitre mot qui signifie quelque chose de réel. « Tu m’en veux pas, pour l’autre soir ? » Il détourne l’attention, il ne veut pas être confronté de trop près. C’était terrifiant, tout ça. Mais plus Carson le regardait, plus elle semblait lire en lui. Mais quand on avait autant de choses à cacher, on fermait son cœur. Et Luke, lui, il faisait tout l’inverse. Il lui offrait sur un plateau chauffé à blanc.

@carson oesterwind
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On patauge, sur place. Sans trop savoir où se diriger, sinon nos pieds qui traversent l'aquarium, suivent la visite machinalement. Ce sont nos esprits qui pataugent, qui se perdent, qui s'égarent, et le mien, il est saisi de bien trop de questions, trop de non-dits que j'ai besoin de combler. Mon pas ralentit, mais mes yeux, eux, évitent toujours les siens. Et sa réponse n'en est pas une. Curiosité non assouvie. Je soupire, je hausse les épaules. « Ok. » Je suppose que j'allais devoir me contenter de ça. J'ai appris à me contenter de peu. Pour autant, maintenant que le dialogue est lancé, il reprend la parole, pose une question. Je ris, une pointe d'amertume qui perce malgré moi dans la voix. « Lequel ? » Le soir où tu t'es enfui sans prévenir en me laissant en plan dans ma salle de bain, ou celui où tu m'a fusillé du regard, au restaurant ? C'est plus fort que moi, faut que je le soulève. Et un instant, y a mes iris qui cherchent les siens, avant d'adopter à nouveau une attitude nonchalante. « J'vous ai dit, y a rien à pardonner. » Il ne me doit rien, tout comme je dois rien à personne. Et malgré les mots qui filtrent mes lèvres, y a comme un message d'erreur dans ma tête, qui me rappelle qu'y a une différence entre ce que je dis, et ce que je pense. Jolie menteuse, toujours. « Vous avez du vous taper une sacré gueule de bois. » Et il me semble même l'avoir entendu vomir ce soir là, alors que je m'enfuyais pour trouver le premier bus qui me ramènerait chez moi.
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Les minutes ralentissaient pour étendre le temps dans l’espace. Carson avait un pouvoir de magie sur Luke et même si une tension désagréable le grattait, il l’échangerait pour rien au monde. C’était autre chose que son quotidien de métro boulot dodo où sa famille hurlait parce qu’il était incapable de rentrer à l’heure ou de manger ne serait-ce qu’un peu de ce qu’elle avait préparé. Mais était-ce de sa faute qu’il ne puisse plus l’aimer de la sorte ? Il n’avait plus une seule once d’amour pour elle, de l’affection tout au plus. Elle restait la mère de ses enfants et c’est un lien qui ne partirait jamais. « Les deux soirs. Je ne sais pas ce qu’il m’a prit. » Si, il le savait très bien. Il était en train de tomber amoureux d’elle et ça le démangeait de la toucher un peu plus mais il n’en faisait rien, incapable de se contrôler alors quand ils entraient en contact. Luke tapotait contre une vitre où un animal était accroché pour le voir réagir. Aucune réaction, comme s’il était mort s’il ne voyait pas sa langue immonde nettoyer le verre avec son muscle buccale. Il recula, un peu écœuré et se dirigea ensuite vers une immense cuve où l’on pouvait tourner autour et où des méduses dansaient les unes autour des autres. Ce spectacle était sublime à voir. Il était d’un côté, Carson de l’autre. « Tu me troubles beaucoup, Carson. » Et il avait parlé doucement. Presque un murmure. Il espérait presque que ça ne soit pas entendu mais au fond de lui, c’était tout le contraire.

@carson oesterwind
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Les deux. Au moins, il avait conscience d'avoir merdé le premier soir aussi. Mais où était l'erreur ? Dans le moment qu'on a échangé, fugace mais bien trop réel, dans ma douche, ou dans la fuite qui a suivi ? La réponse à cette question elle changerait bien des choses, et j'étais pas bien sûre de vouloir l'entendre. D'être prête à l'entendre. Alors je me contente de hocher la tête, d'approuver ses mots. D'avancer, les yeux rivés sur les étendues d'eau, les ongles qui glissent sur la vitre fraiche, de temps en temps, juste pour voir les poissons qui suivent, attirés par le mouvement, et ceux qui restent immobilent, perdus dans un océan qui n'est pas le leur, qui n'est qu'une prison d'eau. Et le silence retombe, doucement, tandis qu'on arrive dans une salle au milieu de laquelle se trouve une cuve cylindrique, dans laquelle les méduses dansent, colorées, fascinantes. Je m'arrête devant, les yeux levés vers les animaux qui montent, descendent, s'élèvent comme s'ils volaient. Parfois j'me dis que moi aussi, j'aimerais voler comme elles. Tu me troubles beaucoup, Carson. Je baisse les yeux, doucement, distingue sa silhouette floutée par les eaux, de l'autre côté du cylindre. J'ai la gorge nouée, alors que je baisse les yeux vers une petite meduse proche de ma vitre. « Et vous me troublez également. » l'aveux quitte mes lèvres comme si je crachais de l'acide. Ca brule, mais mon ton est doux. Empreint d'une certaine crainte. Et presque avec tristesse, je redresse mes iris vers les siens, distinguant faiblement son visage entre les méduses et l'eau. « Je trouble beaucoup d'hommes, Luke. Vous n'avez pas à vous en vouloir pour ça. » Puis d'affirmer, en m'éloignant du cylindre, poursuivant la visite la démarche lente : « Ca vous passera. »
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S’il aperçoit la silhouette de Carson bouger derrière la cuve, il l’observe comme si elle était l’une de ses danseuses qu’on peut trouver à l’intérieur du cylindre. Ses cheveux qui épousent son visage pour se coller petit à petit au verre de l’aquarium par électricité statique, ses mains baladeuses qui sont d’une grâce de ballerine, il pourrait les regarder bouger toute la journée que ça l’apaiserait pour le reste de l’année. Elle paraissait ailleurs, mais elle répondait à ses mots avec un effet miroir et Luke sentit son palpitant rater un battement, un pincement qui s’accroche à tous ses sens pour le réveiller. Un sourire intérieur mais une façade peut-être trop froide qu’il lui rend. Il ne veut pas paraitre trop faible, ni trop ouvert. Parce qu’il est en train de la laisser creuser un sillon dans chaque organe vitale de son corps pour en devenir un et c’était la pire chose à faire pour le moment. Il avait le pire voile, il avait choisi médecine alors qu’il était incapable de se suturer une plaie tout seul et son mensonge s’étalait bien plus loin dans le temps. Mais elle le prenait pour n’importe quel homme. Elle paraissait dépitée de ce constat, comme si Luke n’avait pas plus d’importance qu’un vulgaire client. Ça lui passerait. C’était comme si ce sillon se remplissait de glace pour venir l’attaquer en pleine carotide. « Non, c’est faux. » L’égo qui fait mal, un peu. Elle avait tapé dans son orgueil d’homme, surtout après avoir été capable de lui avouer un peu de ses émotions. C’était pathétique, mais au moins, il y avait de l’honnêteté dans ce ramassis d’inepties qu’il était capable de sortir à la seconde pour la garder un peu plus près de lui. « Me prend pas pour un simple client Carson. » Il était vexé. Il fronçait les sourcils, et repassait son regard sur les méduses. En fait, elles étaient sublimes à voir, elle avait la grâce d’une plume et la couleur d’une lumière qui éblouit. Mais d’un toucher, elles étaient capables de vous mettre à terre, de brûler votre peau jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de vous. Mais vous les admirez quand même. Comme Carson. « J’ai envie de… » t’embrasser. Mais c’était un mot qu’il allait taire. Parce qu’il savait qu’à partir de ce moment-là, tout serait différent.

@carson oesterwind
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La dernière fois, il m'a demandé. Si un client était déjà tombé amoureux. Et je m'étais jamais inquiété de ça jusque maintenant. Pas parce que ça m'incommodais. Au contraire, ça me plaisait. Je me surprenais à en vouloir plus. A penser à lui le soir. A songer à sa main contre ma hanche, à notre proximité, à son regard sur moi. A trop de choses à la fois. Tu dis que c'est faux, Luke, mais c'est un mécanisme de défense. Ça passera. Y a tellement mieux que moi, que ça. Une gamine sans histoire, sans relief autre que les courbes qu'elle emploie pour arrondir ses fins de mois. « Je devrais. » Que je rétorque, murmure, plus pour moi même que pour quiconque, sans toutefois savoir s'il m'a entendu. Je devrais le prendre pour un simple client. J'évite de poser les yeux sur lui, pourtant y a mes doigts qui longent la vitre cylindrique, qui contourne, qui s'approche de lui, pas à pas. Je devrais, mais j'le fais pas. J'le fais pas et ça me bouffe. Alors j'repousse, par réflexe. Ignore sa requête coupée en plein élan, bien que l'ayant comprise. Bien que crevant d'envie de lui dire. Faites le. Faites le et abattez mes barrières pour de bon. « Et vous devriez me prendre pour ce que je suis. » Je mets pas les mots, mais il comprend. Encore quelques pas, et y a plus de verre pour nous séparer. Juste quelques centimètres. « Vous irez nulle part avec moi. Y a rien qui m'entoure sinon du chaos et du vide. » J'lui laisse une chance. Une chance de s'éloigner avant que j'en aie plus la force. Les filles comme moi sont pas compatibles avec un homme comme lui. Avec une carrière accomplie, et tout qui lui tend les bras.
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