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De bourlan ☆ La provocation a souvent bon gout

Anonymous

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C'est stupide, tu es partit comme ça alors que tu vis ici et en fait tu trembles de toute cette connerie. Tes lèvres laissent échapper la fumée de l'hiver et tu tee rends compte que ton corps entier à froid mais tant pis. Tu sors de ta poche ce joint qui traine et par stress, tu te laisses partir lentement dans cette drogue qui est à toi. Tu es collé contre ce mur, te laissant tomber parce que tu penses que ta vie est terminée mais elle arrive, elle est en face de toi, juste en face de toi, elle est si belle, si importante à tes yeux. Tu te relèves simplement, laissant, ta cigarette tombée alors tu t'approches d'elle pour l'embrasser. Ta main retient sa tête pour ne pas qu'elle s'échappe, parce qu'elle ne pense pas ce qu'elle dit, c'est impossible, tu n'y crois pas, tu n'y crois plus en fait ..
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Il n'écoute rien à ce que tu dis, tu as toujours cette impression qu'il s'enferme quand tu abordes les choses importantes et ça ne peut pas continuer. Votre quelque chose d'autre. Tu vois qu'il te regarde finalement et lâche son joint pour venir t'embrasser, t'as un mouvement de recul, par instinct mais sa main vient se poser sur ta nuque pour t'empêcher de fuir. C'est bête, mais tu aimes qu'il t'assaille avec cette folle détermination et ses lèvres se posent sur les tiennes alors tu oublies l'espace d'un instant ton serment, tu te laisses happée par son goût sur tes lèvres, et après une courte respiration, tu viens toi-même prendre en ôtage ses lèvres à lui. D'ailleurs tes mains se plaquent sur le tissu de son haut pour venir l'empoigner et le plaquer là contre le mur froid et épais de la bâtisse. Diablesse que tu es, tu l'embrasses comme si tu en allais en crever. Parce que Valentin c'est à la fois ton remède et ton pire poison. Une addiction qui n'a aucun sens. Tu t'écartes de lui, un peu échevelée, déboussolée mais déterminée à nouveau. « Je m'en vais. » Parce que c'est un cercle infernal dont tu ne vois pas la sortie, alors tu la provoques en pertes et fracas, en détruisant tout comme à chaque fois.

END
(Invité)