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De bourlan ☆ La provocation a souvent bon gout

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Tu la regardes elle, aspirante toute la vie de cette pièce, cette femme dont la peau est douce et délicate. Et surtout elle, ton quelque chose d'autre. Tu viens essayer de dormir, mais les yeux ouverts c'est compliqué alors tu la regardes, tu la fixes, tu l'observes. Et elle le voit. Tu souris doucement, un peu plus que d'habitude pour hocher la tête négativement, ajouté d'un Non dis-tu avant de la regarder dans les yeux de nouveau. Tu te redresses pour l'embrasser simplement Merci Parce qu'elle est là maintenant, elle est venue malgré le fait de lui avoir dit bonne soirée et c'était bizarre. Mais tu ne voulais pas de ça toi, tu voulais qu'elle vienne pour dormir avec elle parce que tu avais besoin d'elle. Tu caresses sa joue maintenant, ton autre main jouant avec ses doigts et voilà que tu baisses les yeux. Tu regardes tes mains caressées ses doigts sans pression normal, tu la touches sans filtre ou autre envie stupide, non tu la touches parce que tu as envie de la toucher ..
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Non te rétorque-t-il et un doux sourire vient hanter tes lèvres. C'est stupide d'être aussi idiote. Mais voilà Valentin a pris une place à part dans ta vie. Il est ce jardin secret que tu préserves là où les curieux aimeraient observer, comprendre. Impossible de comprendre ce quelque chose d'autre qui vous unit. Qui vous sépare aussi à l'occasion. Ses phalanges dans les tiennes, il vient se redresser pour prendre tes lèvres et te remercier. Tu rétorques d'un nouveau baiser, te passant de mots mais un léger sourire vient adoucir tes traits. « Je vais fumer une cigarette. » dis-tu doucement avant de te lever et de gagner sa porte-fenêtre. Tu prends le brin empoisonné entre tes doigts, te hisse sous la lumière nocturne et vient enflammer le brin, là entre tes lèvres, tes bras se croisent sur ta silhouette gracile pour tenter d'apporter une illusion de chaleur face au froid ambiant, mais tes yeux se ferment sous la délivrance du poison, mauvaise habitude qui s'insinue davantage dans ton souffle ces derniers temps. Elle est le remède parfait à ton manque de sommeil et au trouble qui t'anime souvent.
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Tu l'observes, tu la regardes et voilà qu'elle va fumer, tu lui souris doucement, tu la regardes, elle si féline dans sa tenue quitter ton lit pour venir vers le fenêtre. Tu finis par te redresser pour prendre une roulée, peu importe ce qu'il y a à l'intérieur, tu en as besoin aussi. Tu prends ton briquet au couleur de l'Espagne et tu la regardes dans les yeux Tu es fâché d'être venu ? tu demandes parce qu'elle ne voulait pas au début, elle ne voulait pas du tout. Et tu ajoutes lentement Tu es fâché contre moi ? tu viens même t'approcher d'elle, venant poser ta tête contre sa peau, cette jugulaire face à toi, bien que ta cigarette, enfin ce truc soit coincé dans tes doigts. Je suis désolé dis-tu avant d'embrasser lentement sa peau, juste une fois en fait.
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T'es là songeuse, la fumée grisâtre serpentant nonchalante et fuyante de tes lèvres. Tu aimes bien la vue qu'on a de chez lui même si ça ne vaut pas la tienne. Il te rejoint bientôt tandis que tu resserres tes bras sur toi même. Il te demande si t'es fâchée. « Non Valentin. » Juste réaliste finalement, mais est-ce qu'il a conscience de la réalité lui ? Sans doute pas. Tu te contentes de hocher négativement de la tête une nouvelle fois. Non tu ne lui en veux pas. Comment lui en vouloir d'une chose dont il ne mesure même pas les conséquences ? C'est impossible. C'est toi qui a fait n'importe quoi Deirdre. Pas lui. C'est lui l'innocent de cette histoire. Et toi t'es la pire des criminelles. Mais ses lèvres viennent se planter là dans ton cou, et tu réprimes un frisson. Tu es faible. Tellement faible. C'est terrible. « Ne t'excuse pas.  Que tu dis doucement en venant poser de nouveau la cigarette à tes lèvres pour en aspirer le poison. « Pourquoi on fait ça ? » que tu demandes plus pour toi que pour lui. Parce que lui va rien comprendre et tu vas juste le paniquer un peu plus.
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Face à cette envie de ca^lin, tu restes contre elle en silence, même si ta roulée se consume entre tes doigts, t'es bien là. Tu ne pourrais jamais bougé. Enfin presque, elle ne veut pas que tu t'excuses et elle ne veut pas que tu sois comme ça avec elle ou alors tu n'as pas compris. Tu te recules légèrement pour tirer sur ta cigarette, tu la regardes et tu fronces les sourcils légèrement Faire quoi ? Un câlin ? Tu aimes pas les câlins ? Quoi ? C'était pas la question première ? C'était la question première alors calmos Val, ça va bien se passer après tout, c'est juste toi qui fabule comme toujours. Tu passes ta main dans tes cheveux pour terminer cette roulée et la mettre dans le cendrier, laissant la fumée s'échappée simplement de tes lèvres. Tu veux qu'on discute ? Parce qu'elle veut discuter ça se voit ou t'es fou d'elle en fait ..
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Il est contre toi et tu as envie de taire ce malaise en toi. Parce que tu es bien avec lui contre toi. C'est simple, facile, même si il est pas doué parfois, t'es plus douce, plus sincère avec lui et ça tu ne le contrôles pas. Tu découvres une partie de toi-même que tu ne soupçonnais même pas. T'as cette envie naïve d'être meilleure, d'être une autre. Mais ce n'est pas toi Deirdre. Ça n'a jamais été. Tu souris malgré toi, tristement, triste à en crever. « Si tu le sais que j'aime ça, mais ce n'est pas de ça que je parle. » Il s'éloigne, termine sa roulée alors que tu continues à consumer ta propre cigarette, ta peau se hérisse, tu trembles légèrement sous le froid ambiant mais tu n'y prêtes pas la moindre attention. Et lui non plus finalement. La vérité c'est qu'il ne sait rien de toi. « Oui. » rétorques-tu cette fois. Tu veux discuter. Tu le dois, mais tu ne le veux pas en fait. Compliqué dirons-nous. « Y'a rien de bon à ce qu'on continue ça Valentin. » La cigarette s'embrase à nouveau et tes dents viendraient presque la mordre, tu souffres comme un diable. Mais c'est ce que tu es finalement non ?
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Tu regardes ta Deirdre face à toi en fronçant les sourcils, tu comprends pas trop sa question et encore moins sa réaction Ce n’est pas de ça que tu veux parler.. D’accord .. tu t’en veux, tu pensais comprendre et voilà que tu laisses ta cigarette de côté, terminée dans ton cendrier et tu la regardes dans les yeux. Ta main vient prendre une de ses mèches de cheveux pour la mettre correctement et tu fixes lentement ses yeux. Tu finis par avancer, te posant sur le lit parce qu’elle veut discuter et tu discutes toujours assis sur le lit en silence. Mais tu comprends pas ce qu’elle veut Ca ? Tu parles pas des câlins .. C’est de quoi que tu parles ? Je comprends pas la phrase .. Honnêtement, tu ne comprendras jamais cette phrase sauf si elle t’explique .. Et encore en fait. Tu sais pas trop si c’est normal ou pas mais pourtant, tu essayes de faire en sorte de comprendre en fait ..
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Tu vois l'interrogation dans son regard, ses sourcils qui se froncent. L'incompréhension. Tu t'en veux. Tu t'en veux de lui faire ça, parce que tu as toujours su que tu étais mauvaise pour lui. Tu lui as même dit plusieurs fois, mais il venait t'embrasser et alors t'es plus capable de rien quand il fait ça. Mais là votre petit jeu devient trop dangereux. Vous allez vous cramer et c'est mutuel. Il vient remettre une mèche de tes cheveux, et tu écrases ta cigarette tandis qu'il regagne le lit, tu le rejoins, mais ne t'assieds pas. Il te demande des détails. Et tu as peur de lui donner. Parce que tu ne sais pas comment il va réagir à tout ça. « Notre relation Valentin. On peut pas continuer ce qu'on fait. Parce que ta famille veut pas, mes amis te détruiront, et je vais te détruire moi aussi. » Tu baisses ton regard vers lui. « On est pas amoureux, c'est toi qui l'a dit. Et tu mérites d'être amoureux de quelqu'un. » Pas de toi parce que t'es une incapable, qui détruit tout sur son passage. Et tu veux surtout pas le détruire lui.
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En fait, t’es assis comme un idiot sur ton lit et elle te rejoint. Tu restes silencieux à l’idée d’être aussi proche d’elle alors qu’elle voulait juste parler. Tu finis par baisser la tête doucement, ta main venant s’amuser avec la sienne alors qu’elle commence à parler mais tu t’arrêtes, tu ne sais pas pourquoi, tu relèves les yeux vers elle, tes lèvres se pinçant légèrement et tes yeux se perdent ses pupilles magnifiques D’accord.. Que dire de plus ? Que voulez-vous dire de plus ? Tu ne sais pas quoi dire et tes yeux la quittent pour les baisser vers le sol, tu ne dis rien d’autres et tu n’oses rien dire d’autres.. Elle ne veut pas de toi, elle veut pas être avec toi et elle n’est pas à toi, voilà la chose. Voilà le problème et la drogue n’arrange rien dans ton corps, tu ne ressens rien qu’un besoin soudain d’attention ou d’autres choses. Alors tu te lèves et tu te décales d’elle pour venir quitter ta chambre, enfin t’as oublié que tu étais ta chambre surtout, ça aide pas du tout ça et tu quittes l’appartement comme un idiot. Tes mains tremblantes ont pris ta veste et tu ne sais plus quoi faire, une fois dehors, où aller, que faire, quoi dire ou quoi réaliser maintenant. Tes yeux commencent à devenir rouges, et tout coule seul mais t’es incapable de rester normal..
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Tu t'attendais à pire, tu ne sais même pas pourquoi t'es venu lui dire tout ça. Sans doute parce que tu sens que les choses t'échappent et que comme d'habitude, c'est tout facile de tout détruire Deirdre. Ruiner les preuves avant qu'elles n'existent. Il te répond simplement et se lève. Te laissant seule dans l'appartement. Tu ne sais pas quoi faire, t'es un peu éberluée là, seule dans sa chambre. Tu as cette conscience d'être cruelle, mais que c'est la bonne chose à faire pour lui. Tu viens mordre ta lèvre avec une certaine violence, frustrée par tes mots, mais avec cette impression d'avoir été juste. Tu veux juste pas écouter la douleur et la peine qui se réveillent là au fond. Il a compris, sûrement ? Tu ne sais pas, t'en sais rien. Tu te lèves après quelques minutes. Enfile ton manteau pour te frayer un chemin nocturne. Tu ne sais pas où il est parti, et tu t'inquiètes. Tu laisses la porte de l'appartement entrouverte parce que tu n'en possèdes pas les clés, lui non plus sans doute, et tu ne sais pas où elles sont rangées. Tu arrives au dehors et l'aperçoit non loin de là. Il allait juste mal et toi tu en rajoutes une couche. T'es juste la plus cruelle. T'es tentée de partir sans un mot mais tu ne peux pas rien faire. Alors tu t'approches, doucement. « Je suis désolée Valentin. Ça fait mal, mais ce sera pire encore après. » Tu ne prêtes pas attention à tes yeux qui s'embuent, parce que tu peux pas être faible. Tu dois être forte. « Tu peux remonter. Remonte s'il-te-plaît. Je m'en vais. » Et y'a pas de raison qu'il fuit au dehors si tu n'es plus dans l'appartement.
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