I'm still waiting. But waiting for what ? - Mav

Lui et moi on se complète, c’est fou mais il n’y a jamais de barrières, jamais de secrets. On se connait par coeur, on sait tout de l’un et l’autre et c’est désespérant. Je soupire et souris en même temps, alors qu’il dit que lui non plus il n’a aucun secret pour moi. c’est bien comme pas bien finalement. Parce que je pourrais jamais rien te cacher que tu sauras que je mens. Insupportable je le dis avec une pointe de rigolade. Nous ne nous sommes jamais disputés lui et moi, et c’est ce qui fait que notre amitié est vraiment solide. Une amitié comme çà, je n’en ai pas beaucoup et je la chéri vraiment plus que tout. Je ne suis pas douée pour les relations amoureuses, c’est d’ailleurs le néant dans ma vie. Je couche à droite et à gauche et c’est ce que je sais faire de mieux d’ailleurs. Et puis il faut bien profiter des bonnes choses n’est-ce pas ? Malgré que tout le monde me dise qu’il faut absolument que je me pose et que je profite réellement des bras et de la chaleur d’un seul et même mec. Je ne suis pas douée pour ça. Je souris. Il a pensé à tout, pour une fois je suis contente que t’ai préféré prendre la voiture plutôt que la moto, parce que je crois que je t’aurais finalement tué je fais un clin d’oeil à mon meilleur ami avant de prendre difficilement place dans celle-ci. une fois cette petite chose retirée, tu m’emmènera faire un petit tour en bécane en dehors de Boston je lui tire la langue et nous continuons notre route. Nous ne mettons pas longtemps pour arriver sur les lieux du crime. Je hausse les épaules quand il me pose la question. pouvoir marcher correctement, mais je dois faire de la rééducation donc ce sera certainement pas ça malheureusement je soupire mais je pense que ce sera de me balader et de prendre un bon bain chaud pendant trois heures j’ai tout un tas de boules de bain lush a la maison et cette fois pas besoin de mettre le pied à l’extérieur.

C'est effrayant et réconfortant effectivement de savoir que quelqu'un vous connaît aussi bien. Peu peuvent se vanter d'en savoir beaucoup sur ton cas Maverick. Et pourtant Apple fait partie des mieux placées. « Ouais je vois ton nez qui s'allonge comme Pinocchio. » dis-tu avec une petite grimace en venant lui toucher le bout du nez. Apple, tu l'as vu dans des états pas possibles, bourrée, triste, amusée, peinée, apprêtée, négligée. Ouais, tu connais tout d'elle ou presque. Et puis vous vous mettez en route et elle est rassurée que tu n'aies pas pris ta moto. Tu te marres franchement. « Je suis pas con à ce point là même si j'aurais donné cher pour voir ta tête. » Et qu'elle s' énerve un peu sur toi parce que ça te fait marrer de l'énerver à l'occasion. Vous vous mettez en route et elle te fait part de ses projets quand elle aura enlevé son plâtre. Elle sait qu'elle peut compter sur toi. Vous arrivez devant l'hosto et tu l'aides à sortir. Bientôt vous êtes dans le service et d'ailleurs, tu croises ton infirmière favorite. Alias Jeannine. Elle ne manque pas de t’ébouriffer les cheveux et de s'inquiéter pour Apple qui a une petite mine. Elle t'a même accusé la bougresse. Mais bref, vous êtes devant le médecin chargé d'enlever le plâtre de ta Belle. Tu la regardes, amusé « Prête ? ». T'as ce sourire de crétin aux lèvres parce que t'es comme un gosse, ça te rappelle tous les plâtres que t'as enlevé toi, t'as un peu l'impression qu'elle rejoint ton club des bras cassés. « J'ai hâte de voir ta mini-jambe. » Ok. Comment casser un moment sympa en vaste blague. Du Maverick tout craché.

et comme je n’ai pas trop envie de jouer les marionnettes et bien je ne mens jamais mais là, je suis clairement en train de mentir. En vérité, je ne mens vraiment jamais quand on y pense. Avec moi, c’est toujours tout ou rien. Blanc ou noir, mais jamais gris. C’est aussi ce qui fait que je n’aime pas me prendre la tête et que en général, je ne me la prends pas d’ailleurs. La vie est bien trop courte pour se prendre la tête. Il faut en profiter, faire ce que nous voulons faire, et se donner les moyens de les faire surtout. On a toujours le choix de faire ce que nous voulons faire. Nous descendons pour partir pour l’hôpital. Heureusement, monsieur a troquer a moto pour la voiture, je crois que s’il ne l’avait pas fait, je l’aurais tuer. Comme d’habitude quoi. on ne sait jamais écoute, parfois tu peux l’être mais puissance mille je le taquine mais cela a toujours été comme ça entre nous. Je lui tire la langue et prends place à l’intérieur du véhicule. Je ne suis pas très confortable là dedans, mais c’est à cause du plâtre qu’on va enfin me retirer. Nous arrivons à l’hôpital et je sais que l’attente va être un enfer. Je soupire et lève les yeux au ciel. Je déteste attendre. C’est comme attendre un sms ou bien un appel qui n’arrive jamais ou bien trop tard. L’impatience aura ma peau. oui, l’impatience se fait sentir le médecin est enfin là. Il me prévient qu’il doit partir voir un patient rapidement mais qu’il sera de retour très vite. Oui, il y a plus urgent que moi finalement. moi je n’ai pas bien hâte et tu vois, même le médecin n’a pas envie de voir ma petite jambe non plus je fais une grimace rien qu’en y pensant. il va falloir que je muscle tout ça de toute manière moi et le sport…

Elle ne ment jamais. C'est ce qu'elle te dit et c'est un point commun que vous avez finalement. Vous êtes trop entiers pour vous encombrer d'hypocrisie, du moins la plupart du temps. Désormais à l'hôpital. Le médecin se pointe pour finalement repartir quelques instants plus tard. Tu vois bien que Apple s'impatiente et qu'elle stresse un peu. « T'inquiète ça fait pas mal, ça chatouille juste un peu. » Et après c'est super bizarre de sentir sa jambe si légère mais finalement on s'habitue rapidement et la liberté retrouvée prend le dessus sur le reste. « Je vais t'aider à te muscler va. » Que tu peux pas t'empêcher de vanner avec un grand sourire aux lèvres. T'es capable de tous les entraînements pour l'aider à retrouver la forme, et elle sait à quel point, tu peux être dévoué. Le médecin revient bientôt et il sort le petit appareil qui permet de découper le plâtre. Apple te prend la main et tu rigoles doucement face à sa peur, mais tu te veux rassurant. Le toubib entreprend finalement d'enlever le plâtre et voilà la demoiselle maintenant libérée. Sa jambe est un peu plus maigre que l'autre, mais rien de trop alarmant, vu que Apple a perdu de partout. « Tu veux essayer de te mettre debout ? » demande-tu en te levant. Le médecin l'encourage à le faire car il va falloir qu'elle récupère les sensations doucement. Et toi tu te marres encore. « Allez Bambi en route. » Oui tu te moques, mais sinon c'est pas toi.

Je stress un petit peu de retirer ce plâtre mais j’ai vraiment hâte de pouvoir virer les béquilles même s’il me faut un peu de rééducation. Ne serait-ce que pour le bien être de ma jambe qui a vraiment pris cher le jour de l’attentat. Les médecins m’ont toujours dis que j’avais eu beaucoup de chance de m’en sortir indemne malgré la côte et la jambe dans le plâtre et je le sais. Je sais que j’ai eu beaucoup de chance mais je ne veux plus y penser c’est tout. oui ben déjà que ça me chatouillait au pied parfois et que je ne pouvais rien faire, alors je pense que je suis clairement immunisée de toute manière je sais que çà ne fait pas mal et je n’appréhende pas pour ça de toute manière. Je ne veux pas voir l’état de ma jambe. Je ne suis déjà pas bien grosse et il va falloir que je vois pour y remédier aussi. Je n’aime clairement pas mon état de toute manière. je n’aime pas le sport et tu le sais, mais là, je ne vais pas avoir le choix, de toute manière, j’ai déjà une séance de rééducation de prévue demain je crois je hausse les épaules et le médecin arrive finalement. Je le laisse découper mon plâtre. Il ne manque pas de me dire que c’est une jolie citation que j’ai sur celui-ci. Je lui explique que c’est un petit boutonneux avec des lunettes qui me l’a écrite, juste pour emmerder un petit peu mon meilleur ami. Enfin libérée, le médecin me confirme bien ma première séance de rééducation demain à 9h. Yeah ! Je fais oui de la tête lorsque Mav me demande d’essayer de me mettre debout. Je prends ses mains et la sensation est vraiment bizarre. Oh tais-toi et ramène moi quel idiot, je vous jure.

Elle appréhende ce moment tu le sens, alors toi, tu fais tout pour la dérider à ta manière. Tu te marres à sa réponse.« Ouais c'est horrible quand ça fait ça, vive les aiguilles à tricoter. » C'était ta passion quand tu avais ton plâtre et franchement, tu aurais pas survécu sans. D'ailleurs, tu en avais toujours à ton appart, vu le nombre de plâtres que tu avais expérimenté. Et puis, tu viens la charier sur le sport, mais elle reste sérieuse, ce qui n'est pas son habitude et prouve sans doute qu'elle est stressée. « Je t'emmènerai si tu veux. » Parce que t'es franchement prêt à tout pour l'aider. Elle raconte au médecin que c'est un mec boutonneux qui a écrit sur son plâtre, loin de te vexer ça te fait plutôt rire. Et tu rajoutes même. « En échange, il a eu une photo d'elle et le soir il fait des trucs étranges avec. » Le toubib est gêné puis se met à rire franchement, parce que honnêtement, qui ne fantasmerait pas sur Apple ? Et puis tu l'aides à se mettre debout. Tu viens entourer sa taille de ton bras solide et tu l'aides à marcher doucement. « A vos ordres Madame. » dis-tu tout à fait sérieusement en souriant au médecin pour lui dire au revoir. Libérée la petite pomme. Enfin pas de toi apparemment, mais y'a plus qu'un boulet dans sa vie maintenant.

les aiguilles à tricoter ? Pourquoi tu me l’as pas dit, c’est quoi cette astuce ? j’en rigole même presque. Je ne connaissais pas cette astuce, mais en même temps, je n’avais jamais eu de plâtre encore de ma vie. J’ai dû attendre que les petits picotements passent alors que je pouvais plus vite m’en débarrasser. Tant pis, au moins, ça prouve que je suis une guerrière. Je suis contente que l’on me retire enfin mon plâtre. Je ne vais plus avoir ce poids en trop et je vais pouvoir reprendre mon quotidien et toutes les activités que j’avais avant d’avoir ce fichu truc tout blanc autour de ma jambe. Je suis un peu stressée pour la suite, mais je pense que la rééducation va bien se passer. J’espère en tout cas que d’ici le mois d’Avril, je n’aurais plus aucuns soucis avec ma jambe même si le médecin me dit qu’il faut que je fasse tout de même attention. t’en fais pas, vas en cours, j’arriverai à survivre il oublie vite que je suis une jeune femme indépendante. Je lui fais un clin d’œil. Je n’ai pas vraiment envie de l’embêter et il faut que j’essaie de vivre aussi sans avoir besoin tout le temps de son aide. Mais c’est quelqu’un de bien mon Mav, vraiment et heureusement que je l’ai. Alors que je le taquine, je le vois venir et je l’entends sortir la plus grosse connerie devant le médecin. Ce mec est complètement dingue. Je hausse les épaules, pour aller dans le sens de Mav alors que le médecin se met carrément à rigoler. Dieu merci, Mav ne l’a pas complètement choqué. Il m’aide finalement à me mettre debout et à marcher un petit peu. Le médecin me fait comprendre que je peux aussi encore garder les béquilles histoire de mais je n’en ai pas envie. Il va falloir que je me fasse violence. Je remercie le médecin et nous filons. tu sais de quoi j’ai envie là ? et je sais que son esprit pervers va très bien fonctionner d’un bon gros burger. Si on pouvait aller chez Wendy’s ce serait top

Elle te demande pour les aiguilles à tricoter, toi tu fais que te marrer. « Pour se gratter sous le plâtre c'est pratique. » Ce qui ont connu ça, savent la torturer que ça peut être. « Je te souhaite pas de renouveler l'expérience. » que tu dis d'un ton sérieux alors que toi tu les multiplies sérieusement. Tu es une sorte de géant en miettes. Mais bref, cette histoire de plâtre, c'est bientôt de l'histoire ancienne. Enfin pour elle, ça se poursuivra avec la réeducation, elle t'assure qu'elle peut y aller seule. « Lorsque je serai libre, aucun problème. » Si tu peux l'aider, tu seras toujours présent et elle le sait de toute façon. Vous sortez finalement après quelques échanges avec le médecin. Et la Demoiselle te fait part de son envie secrète. Tu souris largement, parce que quand on te parle de bouffe, tu as tout de suite les idées plus claires. « ça tombe très bien y'en a un pas très loin d'ici. » Tu l'aides à monter en voiture et vous partez en direction du fast-food. A proximité, tu peux sentir les odeurs caractéristiques de bouffe qui te font immédiatement gargouiller le ventre. Tu es si faible Maverick. « Après toi. » dis-tu en lui ouvrant la porte.

je n’y ai même pas pensé, j’aurais dû même si je n’en ai pas chez moi. je hausse les épaules. Parfois, j’ai beaucoup moins de jugeote que mon meilleur ami mas parfois, il faut le laisser être plus intelligent. Je lui tire la langue, alors qu’il ne sait même pas pourquoi. Ah non, je ne veux absolument pas renouveler l’expérience. Lui est bien plus casse coup que moi, et c’est certainement lui qui se retrouvera de nouveau avec un plâtre mais je ne lui souhaite pas non plus pour autant Ah non merci, mais toi je le sens gros comme une maison par contre, et je viendrais te passer l’aiguille à tricoter dans le plâtre je plaisante. Il le sait. Je n’espère en aucun cas qu’il finisse encore avec un plâtre. Je peux y aller seule, et j’ai envie de me sentir de nouveau indépendante. non mais ne t’en fais pas Mav, j’y arriverai je lui fais un petit sourire. Il va finir par comprendre pourquoi je ne veux pas qu’il soit là. D’une parce que je n’ai pas envie de souffrir devant lui, car qui dit rééducation, dis que je vais aussi devoir forcer. Et de deux, il faut vraiment que je le fasse moi même et que je me sente de nouveau libre de mes mouvements. Il fait déjà beaucoup pour moi de toute manière. Il peut dorénavant se reposer. parfait, j’ai vraiment une faim de loup je sais que c’est de la mal bouffe mais j’ai vraiment trop faim et il faut que je grossisse un petit peu. milkshake, burger, frites tout ça, j’ai hâte j’en salive d’avance. Il m’aide à monter en voiture et nous roulons en direction du Wendy’s le plus proche. Je pénètre doucement à l’intérieur, ayant encore du mal à marcher et nous faisons alors la queue pour prendre commande. on mange ici?

Y'a des chances pour que ce soit toi qui te retrouve dans le plâtre une nouvelle fois avant elle. C'est clair. Tu souris à sa remarque parce qu'elle te connaît bien et le pari n'est pas très risqué à prendre. « Trop aimable. » Tu la sais dévouée et tu sais qu'elle ferait n'importe quoi pour toi aussi. Mais l'inverse est vrai. Alors elle décline poliment ta proposition de l'accompagner quand tu pourrais à la réeducation mais toi tu sais que tu le feras sans lui laisser le choix dès que possible. Et puis, vous décidez d'aller au fast-food, une fois à l'intérieur elle s'apprête à faire un carnage niveau commande, un peu comme toi. « Ouais sur place , j'ai trop la dalle. » Rien que les odeurs, ça te donne trop faim en vérité. Ton ventre commence à gargouiller sévère. Le serveur prend vos commandes et vous vous retrouvez bientôt avec deux plateaux bien remplis. « Bon app ! » que tu lances avec un grand sourire avant de croquer dans ton burger. Apple et de la bouffe, définitivement la belle vie.