(crystal) w.t.f.

  Je peux pas comment l'expliquer mais je vis un rêve éveillé là, je vous jure. Je donnerai ma place pour rien au monde. Oh non, je préfère rester là, à regarder Crystal boire son café. Elle est tellement belle... je pourrais la regarder pendant des heures sans m'en lasser. J'en peux plus, j'adore son doux parfum. On dirait un chien qui renifle mais osef, c'est ma nouvelle drogue. J'étire un sourire sur mes lèvres suite à sa bêtise qu'elle vient de lâcher. " moi, une petite amie ? non mais tu m'as bien vu ? " j'en ai eu deux dans ma vie et c'est déjà deux de trop. Je suis le genre de gars qui n'arrive pas à vivre à deux, à penser pour deux. J'ai beau aimer, j'ai beau ressentir des trucs, la vie en couple ce n'est pas pour moi. C'est juste trop de pression, énormément de prises de tête et c'est nocif pour moi, vraiment. Après avoir déposé mes lèvres dans sa nuque, elle dépose son café, reste un moment statique jusqu'à venir capturer mes lèvres. Je souris contre sa bouche puis j'accompagne son baiser en me penchant pour qu'elle se couche sur le matelas. " là aussi ça peut rester entre nous. " je chuchote au creux de son oreille, puis je glisse mes mains le long de ses hanches puis jusqu'à ses cuisses. Je la dévore du regard, passionnément et j'attrape sa culotte pour la glisser le long de ses jambes. " t'as bien fermé la porte hein ? " non mais on sait jamais, souvent y'a des gens qui débarquent dans ma chambre en mode yolo viens Laszlo on se fait une partie ! Non, ma partie là c'est Crystal, et je compte bien la mettre ko aha. Sans plus attendre, je me mets entre ses jambes, je presse mon corps contre le sien et je prends encore du plaisir à déposer mes lèvres dans sa nuque. Je glisse mes doigts dans ses cheveux, tendrement et j'ai déjà envie qu'elle soit mienne.

   J'suis comme ça moi, si un mec me plaît et qu'il a une petite amie je ne vais pas aller lui parler sauf en tant qu'ami bien entendu, mais par respect pour le couple je n'ai pas oser t'aborder parce que je pensais sincèrement te voir en couple avec quelqu'un. Or tu me dis que ce n'est pas le cas, je me suis faite des idées apparemment, je me sens conne, puis ce que tu me dis me fait rire. "Oui, justement. Pourquoi pas." T'as tout pour plaire alors je ne vois pas pour quel raison tu ne le serais pas. D'ailleurs ça me surprends que ce ne soit pas le cas. N'importe quelle fille saine d'esprit voudrait être à tes côtés, il suffit de te regarder et ce que je fais si bien que je finis par t'embrasser, mes lèvres capturant les tiens, j'ignore ce qu'il me prends, mais en te regardant je vois dans tes yeux ce charme époustouflant et me prends un élan de confiance inouïe. M'allongeant sur le lit, le désir commence à se faire savoir et je sens que toi aussi t'as envie qu'on recommence, cette fois nous sommes totalement conscients et l'alcool n'est plus présent, ça confirme notre envie l'un de l'autre. J'esquisse un sourire en coin en t'entendant. "Ça m'est égal." Que tout le monde soit au courant je m'en fous, je te veux et j'en suis certaine. On pourrait même le faire encore et encore, je suis sûre de ce que je veux et c'est toi. Tes mains me caressant, parcourant mon corps, des frissons m'envahissent par ta tendresse et éveille l'excitation en moi. Effectivement ce détail de la porte fermé à clefs, je n'y avais pas penser, mais je ne voudrais pas qu'on soit déranger non plus. "Certaine. On est tranquilles." Ton corps coller au mien, tes baisers dans ma nuque et ton regard ainsi que tes doigts caressant mes cheveux me donne encore plus envie de toi, doux et attentionné, je me rends compte que je suis bien ici avec toi et je ne veux pas aller nul part ailleurs. Finalement et ce n'est pas pour casser l'ambiance, mais je te demande. "T'en as encore?" Que je te murmure au creux de l'oreille en parlant de préservatif bien sûr. Toujours se protéger. Ma respiration haletante, j'avais très envie que tu me réponde oui et au pire on ferais sans, prendre des risques tant pis, mais j'ai envie de toi là maintenant.

  Je ne suis pas ce loveur Crystal, enfin plus. Depuis mon histoire trop passionnelle et destructrice avec Phoebe, je n'ose plus m'aventurer dans quoi que ce soit. T'es bien la première fille que je touche depuis ma rupture. Depuis Janvier, ça fait tellement longtemps. Mais je suis content, moi qui pensais que j'allais avoir ce blocage continu. C'est faux. Tu es bien là, tu me désires, je te désire et je me dis de profiter en fait, de retirer toutes les barrières et de me laisser aller. Tant pis si je me casse la gueule après, tant pis si je tombe amoureux et que j'en souffre. C'est ça aussi se sentir vivant, se laisser porter par ses émotions et ses sentiments, en bien ou en mal. On ne peut pas être continuellement heureux hein. Sinon, on s'ennuierait bien dans notre vie toute rose. " t'as l'air si sûre de toi. " je viens l'embrasser et je tire doucement sur sa lèvre inférieure. J'arrive pas à croire qu'on va le refaire là. Omg je suis trop excité, et elle peut le sentir. Je suis pas un sauvage moi, je suis du genre tendre et doux quand je fais l'amour, yep. Du coup, caresser son corps, toucher chaque parcelle de sa peau fait partie de mes compétences pour la mettre à l'aise. Je souris quand elle me demande si j'ai encore de quoi se protéger. T'inquiètes, depuis que j'ai mis Abigail enceinte, je ne cesse de sortir couvert. " bien sûr, attends. " je me sépare d'elle deux secondes, le temps d'enfiler la petite protection puis je replonge entre ses cuisses, déjà prêt à la pénétrer. 

   Comment dire que ça fait depuis bien longtemps que je ne me suis pas lâcher autant. Je dois dire que les relatons d'un soir n'est pas mon domaine, je ne sais même plus comment ça s'est passer hier soir entre nous, mais maintenant je suis sobre et quand je te regarde je veux qu'une chose, toi. Le truc c'est que j'ignore où ça va nous mener, si ça se trouve plus tard on ne fera que se croiser à la kirkland et tu fera ta vie de ton côté. En tout cas je veux profiter de ce moment avec toi, de chaque seconde à tes côtés, de tes lèvres que j'aime m'accaparer. Je te souris quand tu me dis que j'ai l'air sûre de moi, effectivement je suis sûre d'avoir fermer à clefs et surtout espère qu'on ne nous dérangera pas. Tu viens capturer mes lèvres de nouveau en tirant sur ma lèvre inférieure, fermant les yeux et appréciant ce moment. Mon dieu t'es si doux, si attentionné et chaque parcelle de ma peau frissonne à tes caresses. Je te demande si t'as encore de quoi te protéger, faut dire que je ne veux pas qu'il y ait de risques, tu me rassures sur ce point-là. "Super." Tu te détaches de moi quelques secondes pour l'enfiler et j'ai bien hâte.
 

     

oui on clôture comme ça