(crystal) w.t.f.

   Depuis mon coma, je ne suis pas sortit réellement. Je suis rester chez Davi, il voulait à tout prix me laisser une chambre afin de surveiller. Ça ne me dérangeait absolument pas, mais j'ai besoin de sortir, de prendre l'air, me renfermer sur moi-même ce n'est pas bon au contraire j'en deviens folle. Alors cette soirée à la kirkland house était une bonne excuse pour m'aérer un peu l'esprit, me vider la tête et ne penser à rien d'autre qu'à faire la fête. Même un peu trop, j'ai bu alors que d'habitude je ne bois pas à outrance, j'ai danser comme jamais et je ne me souviens plus de rien d'autre en faites. Je suis si fatiguée, pourtant je viens de me réveiller, ouvrant un oeil puis l'autre difficilement. Sauf que découvre l'endroit où je suis, mon lit n'est pas mon lit. Je suis assez septique, je ne reconnais rien de l'endroit où je me trouve, ce n'est pas chez mon frère ni même chez moi ou dans ma chambre de la Kirkland. Merde, il s'est passer quoi? Je tourne ma tête et j'étouffe un cri. Non ce n'est pas le moment de crier, mais qui est-ce? Attends, je le reconnais. Je fronce les sourcils, je suis perplexe et en plus je sens que je suis nue, Laszlo à mes côtés. Je me redresse d'un bond sans réfléchir. "Laszlo?!" Attends, va falloir que tu m'expliques stp. Éclaire-moi... Je regarde autour de moi, une capote utiliser, oh non... Je me sens tellement mal à l'aise, je suis gênée et j'ai envie de partir en courant. "Non c'est pas vrai?! Enfin désolée c'est sûrement pas la réaction à laquelle tu t'attendais..." Je ne sais plus où me foutre, j'aimerais me cacher dans un trou de souris là. Je lâche un soupire, je ne veux pas qu'on me voit de cette façon, je ne suis pas comme ça et comme si j'ai des comptes à rendre à qui que ce soit je me justifie. "Ecoute, je ne suis pas ce genre de femme... Fin déjà comment ça a pu arriver? Je... Merde !" Je me sens mal, je ne veux pas lui faire de mal en lui disant que je ne me souviens plus et encore moins en lui disant que je regrette.

  Un cri. Je sursaute. Je voulais continuer à faire le mort mais mon corps m'a trahi. Merde. C'est normal ce genre de comportement ? Qu'une fille hurle dans votre lit au petit réveil. Déjà que j'ai mal au crâne... je fais une grimace puis je pivote vers elle tout en gardant la couverture sur mon corps. Moi pudique ? Totalement. Sa réaction me semble excessive et je ne sais pas où me mettre. " ouais c'est moi, sorry." que je réponds d'une petite voix mal réveillée. Désolé, c'est pas l'homme de tes rêves, je peux comprendre. Elle soupire. Ben voyons c'est si grave que ça d'avoir couché avec Laszlo Griggs ? il semblerait oui. Après tout, je suis pas un de ces gars canons de la winthrop house. Je suis le vice-président des geeks svp. Mais bon, t'es toi-même une geek, j'sais pas si ça joue ? Crystal se met dans tous ses états et je tente de la rassurer. "écoute c'est pas grave... crystal, c'est bien ça ?" c'est la première fois que je prononce son prénom en même temps. Peut-être que je le dis pas comme il faut. "il ne s'est rien passé ok ? calme-toi, personne n'en saura rien, je t'en fais ma promesse. " si ça peut la rassurer, sauver sa réputation ou je ne sais quoi. Après l'avoir fixée dans les yeux pour qu'elle puisse voir ma sincérité, je me mets en position assise en frottant mes yeux. Je cherche mon slip, mais tout ce que je trouve, c'est un soutif. "j'crois que c'est à toi." j'en suis sûr même. Aucune fille n'est venue dans ma chambre à la Kirkland. A part toi. Je la sens mal à l'aise, je le suis aussi, mais j'en fais pas tout un fromage. Moi je suis plutôt content d'avoir eu une belle fille comme elle pour partager mes draps en exclu.

   J'ignore ce qu'il m'a pris de crier ainsi. Et ni même d'avoir coucher juste pour une nuit. Non ce n'est pas contre toi, Laszlo. T'es un mec canon et si gentil, je ne te connais pas tant que ça et j'avoue je n'ai jamais oser venir te parler d'ailleurs. Parce que t'était en couple et aussi qu'on n'a pas vraiment eu l'occasion de se parler. Enfin bref, ce n'est pas le fait d'avoir coucher avec toi, mais de ne pas avoir eu le souvenir et d'avoir offert mon corps comme ça juste pour la nuit, ça ne me ressemble pas. "C'est pas ce que je voulais dire..." Je ne pourrais sûrement pas me rattraper après avoir dit ça, mais faut pas le prendre contre toi. C'est contre moi que je suis énerver c'est tout. Enfin j'essaie de me souvenir, c'est en regardant la capote que les souvenirs reviennent peu à peu. Bon ce sont des choses qui arrivent, on était juste deux adultes consentants et célibataires alors il n'y a pas de mal en soi. Faut savoir relativiser. Déjà tu te souvient de mon prénom et ça me fait doucement sourire. "C'est bien ça." Tu me dis qu'il ne s'est rien passé, c'est pas vraiment la vérité. La capote utilisé en est la preuve ainsi que me retrouver nue à tes côtés également. D'ailleurs je cherche mes sous vêtements et mes vêtements en balayant la pièce du regard, mais je le repose sur toi pour te répondre. "Bon d'accord. Je me calme, je suis calme. C'est juste que... Enfin laisse tomber." C'est juste que je suis mal par rapport à ce que tu pourrais penser de moi, mais ça je le garde pour moi. Je suis assez gênée de la situation. Je me mets aussi en position assise, ébouriffant mes cheveux, comme si ça allait me remettre les idées en place. Je n'ai jamais connu ce genre de situation en vérité. Je reprends mes esprits peu à peu, quand tu finis par retrouver mon soutien gorge, je me mordille la lèvre inférieure. J'ose à peine te regarder, petit sourire aux lèvres. "Oui. Merci." Quoi dire d'autre? J'suis gênée, c'est dingue. Bon faut que je me ressaisie. Je crois que j'ai besoin d'une bonne dose de café. Je prends mon soutien gorge et m'assis au bord du lit pour le mettre, de toute façon il m'a déjà vu nue la veille. Je baisse les yeux. "Si tu cherches ton slip, il est juste là."

  Disons que par le passé, j'en ai eu des filles qui ont hurlé de peur au petit matin. Coucher avec Laszlo, ce mec trop bizarre et qui en plus, a une réputation du mec qui ne sait pas baiser. Donc une de plus une de moins, perso, j'en suis habitué. ça me fait juste chier que ça soit tombé sur Crystal car... c'est Crystal quoi. Je ne la connais pas personnellement comme j'aimerais depuis qu'elle est à la Kirkland, mais elle me rend timide, elle est si douce et belle, elle a tout pour me faire chavirer. Je suis juste déçu à ce niveau là. Un côté de moi se réjouit d'avoir eu cette nuit ensemble mais l'autre ne sait plus quoi penser. Je lui demande de se calmer, gentiment, et elle ne finit pas sa phrase. " quoi ? t'as honte d'avoir couché avec le pauvre laszlo ? t'inquiètes, tu seras pas la première. " que je dis d'un petit ton ironique qui me pique droit au plein coeur. Je suis plutôt douer pour me faire du mal tout seul. Faut croire que je suis doué qu'à ça. Je l'observe chercher après quelque chose et il ne faut pas être sorcier pour comprendre qu'elle veut vite ses vêtements pour se tirer. Je trouve son haut et je lui tends avec un petit merci en retour. "oh tu sais, je suis bien à poil." je souris, je me fous d'elle bien sûr c'est pour rire, pour essayer de détendre l'atmosphère. Je me lève, j'expose mes fesses deux secondes sans gêne et j'attrape mon slip de la veille pour l'enfiler. Je regarde la chambre et je remarque un bordel pas possible. "putain qu'est-ce qui s'est passé ?" je sais pas si j'ai hâte qu'on me rafraîchisse la mémoire. Je pivote vers la brune sans pour autant trop la regarder dans cette tenue qui lui va si bien. " tu veux quelque chose à boire ? je vais nous chercher des petits pains si tu veux rester manger ici ou... t'en aller." quitter ma chambre, pour aller dans la tienne. Me laisse pas déjà si vite, essayons de rendre ce moment moins gênant si possible.

   C'est la première fois que ça m'arrive en faites, alors forcément je suis assez perdue. J'aurais préférer que ça se passe autrement, qu'on apprenne à se connaître et faire les choses bien. Je ne regrette pas, enfin j'en sais trop rien. Je n'avais pas l'intention de te faire mal ou dire du mal, enfin t'as l'impression que je regrette que ce soit avec toi que j'ai coucher et pas un autre alors que ce n'est pas le cas du tout. Je suis gênée, absolument pas contre toi, juste du fait de me réveiller sans savoir ce qui s'était passer et de savoir que finalement on a coucher ensemble alors que je n'ai pas envie que tu penses que je suis une fille facile. Je mets un peu trop de temps à te répondre, alors je finis par te répondre. "Non... Ce n'est pas toi, enfin ce n'est pas que j'ai honte d'avoir coucher avec toi. Juste que ce n'est pas mon genre les histoires d'un soir... Enfin je dis pas que j'attends le mariage ou quoi, mais... Fin t'as compris quoi." Je bafouille un peu, t'as sûrement rien compris de ce que je venais de dire, mais tant pis. Au pire tu va me détester et ne plus vouloir me parler et je le comprendrais. Ce n'est pas que je ne suis pas bien à poil, mais je préfère remettre mon soutien gorge parce que la situation est déjà bien gênante comme ça. D'ailleurs tu fais une petite blague pour détendre l'atmosphère et je me mets à rire doucement. "Après tout t'es chez toi, ici." Répondais-je pour te taquiner un peu, genre reste à poil si tu veux, on est plus à ça près, on s'est déjà vu nus alors. Puis quand tu te lèves, je ne peux pas m'empêcher de regarder ton joli petit cul, qu'est-ce qui m'arrive là? Enfin merde après tout, j'ai des yeux. Et c'est là que je vois le bordel qu'on a mis, même toi t'as du mal à y croire et tu ne comprends pas, je me mets à rire de nouveau. "On a du avoir très envie de passer à l'acte... Au point de foutre le bordel !" Ouais tout casser ne nous a pas déranger apparemment, enfin il n'y a pas de casse, mais c'est un bordel pas possible. "Je t'aiderais à ranger." La moindre des choses, parce que je suis coupable aussi. Vraiment on a dû bien se sauter dessus, ça devait être bien intense. Tu demande gentiment si je veux quelque chose et d'un petit sourire je te réponds. "Je veux bien un café, steuplaît." Si je m'en vais, tu va penser que je veux fuir, ne plus te voir, alors qu'on a rien fait de mal non plus, nous étions deux adultes consentants. Je cherche mes autres vêtements pour m'habiller.

  Elle me plait genre, vraiment. Je dis pas des paroles en l'air comme ça. C'est déjà rare que je m'intéresse à une fille et c'est vrai, même si j'ai jamais osé le pas avant, l'approcher, maintenant qu'on a fait ce qu'on a fait, je réalise de plus en plus que je pourrai bien craquer sur elle. Chose qui est déjà surement faite vu la façon dont je m'exprime avec elle et comment je la regarde. Je pensais réellement qu'elle venait de vivre le moment le plus honteux de sa vie grâce à moi, mais non, elle se rattrape et je comprends totalement. " si tu veux être rassurée, ce n'est pas du tout mon genre non plus. à mon compteur, j'ai eu quatre filles, je crois. " et j'ai vingt-trois ans donc je vous dis pas à quel point j'étais lent. " j'ai encore du mal à y croire que j'ai pu t'intéresser, ne fusse qu'une soirée." je rougis. Car personne ne s'intéresse à Laszlo Griggs. Mon nom a du être tapé plusieurs fois sur facebook pour savoir de qui on parle. Je la regarde se rhabiller doucement et je me mords la lèvre. Est-ce que j'ai encore envie d'elle ? Evidemment. Je pourrai me rapprocher d'elle, passe mes mains dans le creux de ses reins pour l'embrasser mais là, c'est sur qu'elle prendrait la fuite. " on était sans doute en manque tous les deux. " que je dis amusé alors que je m'éloigne pour lui faire un café. J'ai entendu sa proposition pour m'aider à ranger, et ça me fait plaisir. Mais j'espère qu'on pourra quand même continuer à papoter dans le lit une fois quelque chose dans l'estomac. Je descends à la cuisine des kirkland, je fais couler un café, j'ai pas demandé comment elle le boit mais tant pis, puis je remonte dans ma chambre. Content de constater qu'elle est toujours là et qu'elle n'est pas partie. " tu aurais pu t'enfuir ! " je ferme la porte puis je m'assieds près d'elle en lui donnant la tasse chaude. " fais gaffe, c'est un peu chaud... " je me mets à l'aise à ses côtés, et je l'observe. J'ai des questions qui me brûlent les lèvres. Elle est belle, beaucoup trop belle. " tu crois que ça va se reproduire ? " toi et moi, est-ce que tu en as envie ? Ou est-ce que c'est vraiment une erreur fatale ? Car moi, je pense que j'apprécierai bien retrouver ta chaleur dans mon lit. Ouais, j'en ai envie en fait.

   C'est drôle, d'habitude j'aurais peut-être fuis pour me cacher dans un trou de souris et éviter le malaise. Sauf que toi tu me rends les choses faciles, la situation détendue et tu me mets à l'aise. Ton sourire et ta gentillesse me fait craquer, je pourrait avoir envie de te sauter dessus si tu continue. Mais c'est sûr que t'es pas un mec qui a profiter de mon état pour coucher avec moi, parce que tu viens de me dire que t'es pas ce genre de mec et je te crois, tu te justifie de par le nombre de femmes que tu as pu avoir et je souris bêtement. "C'est surprenant ! Pas que je te pensais être un mec à femmes, mais t'es plutôt mignon." Merde je l'ai dit tout haut? Oups c'est sortit tout seul et maintenant je me sens conne. "Oh et bien je pourrais dire la même chose... En faites j'ai jamais vraiment oser te parler, mais t'as l'air d'être quelqu'un de bien." Tu pourrais être le mec pour qui je craquerais. T'es même le mec pour qui je craque sans vouloir l'avouer. Mais c'est moi qui va finir par te faire fuir si je continue à dire de tels choses... Je te demande un café, besoin de ça pour me remettre de la cuite de la veille, ça fera pas de mal. Avant ça on parle de la veille et du bordel justement qu'on a mis pour coucher ensemble et je me mets à rire légèrement en ajoutant. "On avait très envie l'un de l'autre en tout cas." C'est normal comment résister devant un mec comme toi? Tu dois faire fondre toutes les femmes sans t'en rendre compte. T'es pas le genre de mec vantard et ça me rassure, je n'aime pas ce genre là, toi t'es plutôt celui qui ne crois pas trop en lui, tu te rabaisses alors que t'as tout pour toi. Tu m'apporte mon café et fais une remarque qui me fait encore rire. "Pourquoi fuir? J'suis bien ici et tu n'es pas un psychopathe, en plus tu m'emmènes un café bien chaud, merci." Plaisantais-je. Je prends la tasse qui est chaude, soufflant un peu dans celle-ci. L'odeur du café déjà ça me réveille doucement et je te regarde dans les yeux, tu me pose une question très difficile et je fais mine de réfléchir. "Hum... Ça se pourrait bien. Tu voudrais que ça se reproduise?" Autrement dit, tu pense que ça serait une bonne idée et que je pourrais vraiment te plaire? Je savoure une première gorgée du café en attendant ta réponse.

  Je rougis, et pas qu'un peu. Elle me trouve mignon. Je l'ai déjà entendu. Je suis pas le mec canon que tout le monde arrive à pécho, genre le dieu grec du campus, et je préfère ne pas l'être. Quand on me dit que je suis mignon, on associe ça souvent à = un gars bien. Je me trompe ou pas ? Et est-ce que je suis un gars bien ? Je pense, mais je ne m'en rends pas encore compte. Je me prive de tout, de plein de choses et surtout des filles. Je pense que ma chance est passée trop de fois à côté sans que je le remarque pour la saisir. Là, avec Crystal, j'ai des signaux, je les vois bien, pour la toute première fois. " mignon du genre, on a envie de me faire des papouilles c'est ça ? " que je lance amusé. Comme une peluche. Allez, prends-moi comme ta peluche, serre moi fort le soir pour t'endormir, ça me va totalement. Plus la peine de me demander si je suis un mec bien tout compte fait, Crystal le confirme. " je suis si impressionnant que ça ? " que tu aies jamais osé venir me parler. Si c'est mon rang de vp, honnêtement, je ne suis pas plus important qu'un autre. C'est plus Amalthia qui est à la tête de la maison, moi je ne fais que l'épauler quand elle a besoin d'aide. Je m'éclipse lui faire un café avant que la conversation ne devienne plus étrange. Oui, on avait fort envie l'un de l'autre, et pour ma part, j'en ai encore envie. De retour dans ma chambre, je donne le café à mon invitée et je viens m'asseoir près d'elle. Je la contemple. Et mes pensées traversent ma bouche. Fuck. Tant pis. Sa réponse m'étire un large sourire sur les lèvres et je penche doucement mon visage pour déposer mon menton contre son épaule.  " à fond, je pense qu'à ça maintenant. " sans être trop brusque ou collant, je tente une approche douce en venant déposer mes lèvres sur sa peau, puis je niche mon visage au creux de son cou. " j'adore ton odeur. " ce petit parfum fruité qu'elle porte ou tout simplement son shampoing mais c'est très agréable pour les narines. Bordel, dépose ce café, bois-le d'une traite, ou fais quelque chose de plus amusant en attendant qu'il refroidisse.

   Voilà j'ai oser dire que t'es mignon et ça a l'air de te faire plaisir, en même temps normal non? Je suis un peu gênée, malgré que tu rends la situation facile. "Peut-être bien..." Que je te réponds, sincèrement on a envie de lui faire des papouilles et pas qu'un peu. J'ignore si c'est la timidité qui m'envahit, mais c'est vrai que je t'avoue n'avoir jamais oser venir te parler, pourtant t'es pas quelqu'un de méchant au contraire, je te dis que t'as l'air d'être un mec bien, doux et tout ce qui va avec. Je me mets à rire légèrement en t'entendant me demander si t'avais l'air impressionnant. J'hausse les épaules. "Je ne voulais pas avoir de problèmes avec ta petite amie." L'excuse bidon du siècle. Surtout que t'es célibataire depuis un bon moment. Sauf que voilà il y a eu les attentas et ça m'a mis des barrières, j'ai mis pas mal de distances envers mes proches. Finalement tu viens apporter mon café bien chaud, soufflant dessus pour le boire. Tes propos m'ont surprise je l'avoue, je ne m'attendais pas à ce que tu veuilles qu'on recommence. Cette fois nous sommes sobres, je me dis que ça pourrait très bien se reproduire parce qu'après tout si on a finit par se jeter dessus et coucher ensemble avec les effets de l'alcool c'est sûrement qu'on ressent tous les deux la même choses l'un envers l'autre, ce désir indéniable. Posant ton menton sur mon épaule, tes paroles me font de nouveau sourire. Tes lèvres venant se poser sur ma peau me procure des frissons. Je pose mon café, au final je n'en veux même plus, je suis bien réveiller et l'alcool a bien redescendu. Tu niches ton visage au creux de mon cou, tournant ma tête pour poser mes yeux sur toi longuement. Alors tu veux vraiment que ça se reproduise? Je ressens une envie forte de t'embrasser et sans plus attendre, mes lèvres se posent sur les tiennes pour savourer le goût de ce baiser langoureux.