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I'll never forget what you looked like ‡ Hardin

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C'est bête mais dans la vie tout est question d'habitude. Pourtant tu n'aimes pas forcément les entretenir mais tu as cette pièce au sein de la Eliot que tu dédies à tes études et révisions. Elle est assez retirée peu fréquentée et donne sur la verdure du dehors. C'est une petite bibliothèque ornée de recoins, si bien qu'on peut s'y poser sur des tables à taille humaine et sans être trop dérangée. Tu es la seule dans cette pièce en cette fin de journée et c'est souvent le cas en réalité. Tu refermes le livre de biochimie sur lequel tu planches depuis plusieurs heures. Un soupire s'échappe de tes lèvres peintes et exténuées. Tu tuerais pour une bonne douche là maintenant tout de suite. Te replier sous la couette et tout oublier. Oublier toutes ces choses que tu rumines. Tu restes ainsi statique, trop fatiguée pour bouger quand la porte s'ouvre. Tu grimaces, tu aimes être seule on le sait. Mais avec un peu de chance, l'intrus rebroussera chemin ou s'installera dans un autre coin. Sauf que tes prunelles délavées se relèvent sur une silhouette bien trop familière. « Hardin. » que tu lances avec un mince sourire aux lèvres. C'est si étrange depuis... tout ça. Une éternité pour dire la vérité. Tu ne laisses rien paraître de ce qui t'anime intérieurement lorsque tu l'observes. Tu as cet air distant et détaché qu'on te connaît. Celui pour lequel tu es réputée. « Tu n'es pas avec Bleach ? » Faut dire ce qui est, au gré des années, tu ne l'as que rarement vu sans elle. Il l'a dans la peau, et il a vite oublié l'empreinte qu'ont pu avoir les autres par le passé. Il t'a vite oublié, toi, et c'est insupportable là quelque part au fond. Un peu comme cette sensation insidieuse qui vient étranger ta gorge alors que tu ne demandes rien à personne.

@Hardin Cooper
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Un service à rendre à Hades, et me voilà à la Eliot House. Non pas que je n'aimais pas cet endroit, au contraire. Elle devait certainement être la confrérie la plus luxueuse et confortable du campus. Pourtant concrètement, je devais avouer que je n'y était pas souvent, préférant mon cocon que j'entretenais depuis des années au dernier étage d'un hôtel de luxe à Boston. Ce n'était pas banal d'habiter dans une suite et pourtant, il n'y avait pas d'endroit où je me sentais plus chez moi. Malgré tout ce soir, après avoir passé un moment avec Hades autour d'un whisky, je me décidais à rester. La première fois que j'avais mis les pieds ici, j'avais repéré une petite bibliothèque un peu isolée, et de toute évidence, peu fréquentée. Exactement le genre d'endroit où j'aimais m'isoler et potasser un bouquin d'économie. Mais au moment où je poussais la porte, je remarquais immédiatement que je n'étais pas seul. « Deirdre » dis-je simplement pour la saluer, le visage aussi fermé qu'elle. Il faut dire que nous étions doués tous les deux dans ce domaine. Depuis toutes ces années, nous avions de la pratique... Je traversais la pièce et me dirigeais vers la bibliothèque, en quête de ce livre que je voulais consulter. Un sourire ironique étirait mes lèvres en l'entendant évoquer Bleach, peu étonné qu'elle l'évoque au fond. N'était-ce pas le problème principal entre elle et moi ? Bleach et Duncan ? « Non, elle se repose. Je pensais que tu serais auprès de Duncan d'ailleurs. » Rien d'ironique dans ma voix car pour le coup, la situation était assez grave. Même si je méprisais ce mec, je souhaitais qu'il s'en sorte rapidement après tout ce qu'il c'était passé.
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Revoir son visage provoque toujours ce sentiment étrange. Tu ne peux pas lui en vouloir d'avoir développé d'autres attaches, tu ne peux blâmer le chemin scindé en deux et les directions différentes empruntées. Mais un sentiment de trahison subsiste à tes lèvres. Parce que tu es égoïste Deirdre, vaniteuse également et qu'une part puérile en ta personne aurait souhaité que le choix s'oriente sur toi. Mais Hardin a toujours été proche de Bleach. Bleach était le choix logique, du cœur et de la raison. Tu n'avais pas grand chose à offrir en contrepartie. Et c'est naturellement que tu évoques la Jumelle de ton protégé. Tu souris malgré toi à sa réponse. Et il balance la balle tout aussi naturellement de ton côté. « Je suis passée ce matin, mais il n'a pas que moi tu sais. » Tu es proche de lui mais pas aussi proche que Hardin peut l'être de Bleach. Tes mains referment le livre machinalement. Tu ne peux décemment pas rester ici éternellement en sa compagnie. Le trouble qu'il provoque est trop enfoui, trop ancien, trop gênant pour le lisse de ta personne. Tu viens ranger l'exemplaire entre deux autres, non loin de sa quête. Tes billes se relèvent à lui et milles questions se bousculent à tes lèvres et tu n'oses en poser aucune. « Tu es avec elle ? » Que tu demandes finalement sans trop savoir pourquoi cette vieille rancœur vient s'offrir sur un plateau . Tu exècres cet aveu de faiblesse, l'importance que tu y mets. Mais si c'était le cas, alors le sacrifice en aurait au moins valu la peine.
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Je n'étais pas à l'aise. Moi qui jonglais si facilement avec les gens, leurs pensées et leurs espoirs, avec Deirdre, c'était différent. Je réfléchissais. Trop. Au passé, à cette gêne qui planait et qui persistait depuis si longtemps entre nous. Pourtant il suffisait juste de s'en foutre, de passer à autre chose. Mais non. Alors je m'accrochais à ce qu'il y avait de plus simple à faire: entretenir cette rancœur et nos différends. Elle évoquait rapidement Bleach, ce qui ne m'étonnait pas. Je lui répondais naturellement, cachant cette tension qui me gagnait ces derniers jours chaque fois que je pensais à ma meilleure amie qui avait évité la mort de peu, derrière mon masque impassible. J'évoquais alors naturellement Duncan, lui renvoyant la balle. Un sourire ironique venait étirer mes lèvres en entendant sa réponse, puis disparut tout aussi vite, captant très bien les sous-entendus qu'elle y mettait derrière. « Oui, il parait que certains arrivent à le supporter » commentai-je, un brin de mépris dans la voix. Difficile de cacher à quel point je n'aimais pas ce type. J'attrapai un livre et l'ouvrai pour regarder la table des matières, peu enclin à me détourner de mon objectif. Sauf que Deirdre venait se pointer juste à côté, rangeant son livre, puis se tournant vers moi. Alors que je gardais résolument mes yeux tournés vers mon bouquin, plus ou moins concentré. Puis la question fusa, me faisant hausser les sourcils. Et relever mon regard vers elle, mon épaule s'appuyant sur la bibliothèque. Percevant cette faille en elle, cette rancoeur bien trop palpable, et déstabilisante. « En quoi est-ce que cela t'intéresse ? Tu n'as jamais compris notre relation de toute façon » dis-je calmement en rangeant le livre que j'avais pris pour en chercher un autre, celui-ci ne me convenant pas.
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Tu aimerais être indifférente, repenser à lui en bons termes, un peu comme un souvenir rassurant mais savoir que tu as avancé depuis. Mais non, c'est impossible, parce que ton choix s'est effectué dans la contrainte. Parce que tu jugeais son amitié sincère mais qu'il a préféré la délaisser au profit de sa favorite. Parce qu'encore une fois, tu as été cette alternative qu'on laisse de côté. Et que dire quand il a choisit pour cible ta meilleure amie. Un coup de poignard en plus finalement. Et toi Deirdre, tu es de ces femmes assez solide pour encaisser. La rancoeur est là pourtant, insidieuse et sournoise. Elle transparaît dans ton timbre, dans le métal de tes iris. Tu aimerais ne rien ressentir vis à vis de lui en fait. « Oui j'y arrive parfaitement. Duncan est un ami sur lequel je peux compter. » Contrairement à toi Hardin. T'es trop volage pour les autres, trop exclusif pour elle. Et oui, je n'ai pas honte de nourrir une certaine jalousie à l'égard de tes choix. Je m'en jugeais digne quand je n'ai récolté que ton mépris. Et ceci est un affront impardonnable pour un orgueil que je tente de hisser malgré lui. Alors, cette question se formule à travers mes lèvres. Sans doute un aveu de trop sur mon ressentiment. « Tu ne réponds pas à ma question Hardin. Elle va te balader combien de temps avant de comprendre ? » Comment un homme comme lui pouvait choisir d'être une ombre ? Comment pouvait-il se contenter de faire pâle figure à côté de sa Reine, alors qu'il méritait la prestance et la lumière. Tu ne comprendrais jamais non.
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Evidemment qu'elle appréciait Duncan. Il y avait longtemps maintenant qu'elle avait choisi son camp. C'était peut-être bête et puéril de penser ainsi. Mais dans les fait, c'était ainsi que les choses c'était passées. Elle avait choisi de le soutenir lui, alors que j'étais prêt à verser du sang pour elle. Et c'était ce que j'avais fait. Je m'étais battu bec et ongle contre tous ceux qui avaient osé la regarder de travers, la juger, ou tenté de la corrompre. J'avais manipulé, menti, séduit pour mieux détruire. J'avais écarté son frère lorsqu'elle n'avait pas eu la force de le faire tant il l'avait blessée. Trahie. Déjà à l'époque j'étais prêt à tout pour Bleach, et ça n'avait pas changé. Deirdre elle, n'avait pas choisi la même voie que moi. Et alors que nous avions été des amis proches, voire même plus que des amis... nous étions devenus des inconnus. Pouvait-elle comprendre ma relation avec Bleach ? De toute évidence, non. Et ce constat devenait une défense quand elle cherchait à me déstabiliser. « Avant de comprendre quoi ? » demandai-je vivement en me tournant finalement vers elle, agacé, sous tension. Qu'elle ne me parle pas de sentiment, ça me donnait la gerbe.
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Tu lui en veux oui. Parce que son choix n'a fait que nourrir cette menace insidieuse qui torture perpétuellement ta carcasse. C'est aussi puéril que viscéral, une rage sourde qui lancine. Cette peur qu'on te délaisse. Peut-être parce qu'on ne t'a jamais choisi. Ton propre père a préféré mener sa vie tranquille et rangée plutôt que de s'abaisser à reconnaître le fruit adultérin qui mûrit sous tes traits. T'es cette honte qu'on cache Deirdre. Celle qu'on n'assume pas. Hardin n'a fait que marteler le pieu sous le sein déjà meurtri. Il l'ignore sans doute, aveuglé par cette quête de Bleach. Cette meilleure amie pour laquelle il a opté, celle pour laquelle il s'abaisse à vivre dans l'ombre, qu'il côtoie en silence perpétuellement. La proximité et la chaleur se sont muées en distance et en glace. La barrière d'acier se déploie entre vous, car rien n'est pire que d'être piquée au vif pour toi. Ton orgueil déployé comme un vulgaire tapis. Tu détestes ça. Tu le hais oui. Ton sourire se fait mauvais lorsqu'il t'interroge. Les billes délavées qui ornent tes traits parfaits brillent d'une lueur vindicative, comme lorsqu'on se prépare à l'attaque. « Que tu es amoureux d'elle. Tout le monde le voit Hardin. C'est un peu pathétique à voir. » Je te parle de ces émotions que tu redoutes, que tu exècres, ces sourdes menaces pour l'intégrité. Tu te crois au dessus d'elles, distant et intouchable. Mais tu es comme le commun Hardin, tu t'inclines, tu t'abaisses pour ce regard un peu trop doux, ces lèvres tentatrices. Je le sais moi que tes phalanges désirent davantage d'elle. C'est la seule raison que j'accepte pour pardonner ton absence, ta mise à distance. Mais tu t'aveugles, obstiné impulsif. « Tout le monde sauf toi. » reprend-tu plus doucement en ne le lâchant pas du regard.
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Deirdre et son orgueil mal placé, Deirdre et son visage de glace. Au fond, j'avais toujours admiré cette fille. Elle avait quelque chose en plus, quelque chose qui m'avait toujours attiré, et qui m'avait séduit à l'époque. Je me souvenais encore quand nous étions toujours fourrés ensemble, comme une évidence. Rassurés de se savoir là pour l'autre, complices au milieu de cette vie de fou que nous imposait nos parents. Et puis il y avait eu Bleach. En réalité, les choses avaient déjà changées avant que Deirdre ne prenne le parti de Duncan. Ça n'avait été que le coup de grâce, le point final à ce qui n'était devenu qu'un souvenir. Et même si malgré tout, les souvenirs étaient toujours bien présents là dans un coin de ma tête, je les éloignais. Que voulait-elle que je comprenne ? Qu'elle était jalouse ? Je détestais parler de tout ça, ça m'agaçait. Comme une mouche qu'on a sous le syeux et qu'on tente de chasser. Alors, crache moi ce que tu meurs d'envie de me dire Deirdre, qu'on en finisse. « Que tu es amoureux d'elle. Tout le monde le voit Hardin. C'est un peu pathétique à voir. » Bam. Les mots tombèrent comme un gong, et si je m'étais attendu à quelque chose de ce genre, j'avais tout de même cette impression de m'être pris une gifle. Frappé par cette vérité que j'enfouissais vainement. Mais je me reprenais rapidement, masque d'ironie sur le visage. J'avais de l'entraînement. « Qu'est-ce que ça changerait ? » Suis-je réellement amoureux de Bleach ? Peut-être, j'en sais rien. Dans tous les cas, ça ne changerait rien, alors à quoi bon.« Quant à toi tu devrais arrêter de montrer à quel point tu rêverais d'être à sa place. Parce que ça aussi c'est pathétique » continuai-je avec le même sourire qu'elle. Celui qui sait appuyer où ça fait mal.
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Il pense t'avoir tenu à distance. Toutes ces années n'ont fait que nourrir l'espace entre vous, mais ta rancune est tenace, comme si elle datait d'aujourd'hui. Tu n'oublies pas les doigts qui t'écorchent, les lèvres qui t'évitent. Et ta vanité se fâne un peu plus de savoir qu'il enterre la sienne pour Bleach. Alors tu passes à l'attaque oui, tu lui lances ce que tout le monde pense sans oser lui dire. Tu n'oserais pas la comparaison canine mais tu n'en es pas loin. Hors le Hardin que tu connais était un Lion, pas un vulgaire caniche. Tes prunelles brillent de leur incandescence lorsqu'il te rend la pareille, un sourire s'étire sur tes lèvres mais il n'a rien de bon. C'est le diable qui te sourit Hardin. « ça fait longtemps que j'ai n'ai plus de rêves Hardin. » Tu as voulu autrefois oui être ce choix sur lequel il se porterait. Celle qu'on garde et non celle qu'on laisse, mais tu as poursuivi ton chemin depuis et tu n'as rien à lui envier autant être honnête. « Je ne me contente pas des restes. Mais tu sais, le plus drôle dans cette histoire, c'est que tu attends dans l'ombre une personne qui ne te remarque même pas, qui dispose de toi comme d'un vulgaire domestique. » Tu penses sincèrement qu'elle nourrit une amitié profonde pour toi Hardin. Mais tu ne les connais que trop ces inconstantes Deirdre. De celle qui aime amasser une cour pour mieux disposer de ses sujets. « Voyons, tu vaux mieux que ça. » Tu mérites la lumière, tu mérites qu'on s'intéresse réellement à toi. Tu mérites le devant de la scène et non l'ombre à laquelle tu te destines.
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L'attaque comme meilleure défense. Au fond, nous sommes les mêmes elle et moi. Pas étonnant que nous ayons formé un duo imprenable à l'époque. Mais si tout ça n'est que du passé, notre poigne elle, est toujours présente. Et Deirdre vient une fois de plus de me prouver la sienne. Elle a beau rester impassible, je sais au fond j'ai vu juste, que j'effleure une vérité. Si réellement elle n'a plus de rêves, si vraiment elle ne s'en soucie plus, est-ce qu'elle réagirait de cette façon ? Mais voilà qu'elle repart à la charge. Ma mâchoire se crispe en l'entendant me comparer à des "restes", attisant un peu plus ma colère et ma rancoeur que je ne laisse pourtant pas déborder. « Tu vois Deidre, c'est là que tu te trompes » que je réponds, calmement, abandonnant définitivement la raison pour laquelle je suis venu ici, pour simplement me concentrer sur elle. « Je n'attends rien. Je donne certes, mais reçois bien plus que tout ce que j'ai pu recevoir par le passé ». Y compris toi. C'est facile, tellement facile d'être mauvais. Pourtant dans ma tête, les choses sont claires. Bleach n'est pas mon poison, elle est mon oxygène. Etre simplement à ses côtés est, en soi, une satisfaction. Et ça, Deirdre ne peut pas le comprendre. Elle ne peut pas comprendre que sans elle... je ne parviendrai pas à me maintenir à flots. « Je suis l'homme de Bleach et je le serai jusqu'au bout, que ça te dérange ou non » dis-je dans un murmure. Avant d'afficher un sourire amusé à mes lèvres. Qu'importe tout le reste au fond, je sais que je ne peux déroger à cette règle. Quitte à finir seul. « On se recroisera, je suppose » que je lance alors, prenant le chemin de la sortie. J'en ai fini pour l'heure.
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