Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« we need to talk about Abelard » ∇ DEIRDRE
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« we need to talk about Abelard » ∇ DEIRDRE

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we need to talk about abelard
— with @deirdre m. wheelan

J'suis désolée de te dire que tout ça, le massage précédent, et nos corps dans un jacuzzi, c'est juste pour un défi. Enfin, pas tout ; la partie où j'te raconte mes lèvres croisant celles de Caleb, et le reste avec, et le creux de me reins qui se rappellent de ce souvenir dans une pointe électrique, c'était le bonus. La mission s'est quelque peu perdue dans le flot d'informations que j'déballe. J'arrive à m'en souvenir quand mon pied frole l'eau, et que le reste de la silhouette fait de même. « Okay, t'as le droit de dire que cette après-midi spa était une excellente idée ! » On voit encore les cicatrices, mais on essaye de se faire pardonner de nos peaux, de les faire morfler comme ça. La tête se penche en arrière, s'appuie sur le rebord du jacuzzi, les paupières se ferment. Les lèvres laissent s'afficher un fin sourire, signe de l'esprit qui s'avance sur le sujet. « T'aurais dû inviter Abé, pour te faire pardonner de ta froideur. » Qu'elle taquine, faisant référence à l'homme inquiet de ne plus avoir de réponse de la sublime. Pour en arriver à lui envoyer un message, fallait vraiment que le prince trébuche.
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Tu as accepté cet après-midi spa avec elle parce que c'est elle et que tu ne lui refuses rien. Vous êtres entrain de barboter gentiment dans le jacuzzi depuis plusieurs minutes déjà. Les confessions vont bon train et t'es vraiment heureuse d'avoir pu retrouver ta meilleure amie. Pour un moment rien qu'à vous. Tu as opté pour le maillot une pièce, ta cicatrice étant encore trop visible selon toi, tu ne tiens pas à te donner en spectacle, ni même à faire pleurer sur ton sort. « Je le dis. Mais tu as toujours d'excellentes idées. » Elle n'est pas ta meilleure amie pour rien et tu lui envoies ce genre de sourire dont seules les personnes qui comptent peuvent se gratifier. Elle évoque alors Abélard. Abélard avec qui tout est étrange depuis quelques temps, là où c'était facile avant. Tu adoptes une moue boudeuse parce que tu n'aimes pas évoquer ce sujet. « Abé et moi dans un bain ? Il veut déjà pas que je lui fasse la bise alors me côtoyer en maillot de bain !  » Il te rejette, il t'en a expliqué la raison certes mais tu ne comprends pas et tu en souffres.

@Alexis Callaghan « we need to talk about Abelard » ∇ DEIRDRE 73120010
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Une pause dans la tumulte, une petite parenthèse dans les remous du post-désastre, dans les soins, dans les inquiétudes, un truc à vous, quelques heures pour vous extraire du nid de serpents. Elles y retourneront le glaive entre les dents, mais tout à l’heure, quand les plaies auront été apaisées par des rires. Ici, on fait plus vraiment attention aux bleus, aux blessures restantes. On est tous un peu foutu, après les faits. Lex elle, les exhibe, les aime, particulièrement celles laissées par Il. Putain, fous-toi la tête dans le four, avec tes pensées de cabot mièvre. Faut se concentrer sur la mission, légèrement délaissée au profit de conversations plus légères ; nécessaires. Abelard et ses idées foireuses. Le problème Abé, c’est que Deirdre n’a pas vraiment envie de parler de ta personne. Je la sens qui se crispe un peu, et d’ordinaire, je ferai un pas en arrière, pour son confort. « Arrête, me dit pas que t’as pas envie de le voir en boxer dans un bain à remous. » Même moi, je prends. Se pince les lèvres, et s’arme de malice. « Ce que j’ai vu de lui.. ça appelait à voir le reste. » Qu’elle souligne d’un fin sourire amusé. C’est facile, jusque-là. « Il a peut-être peur de pas se maîtriser. » Reprends, hilare : « Genre, trop d’excitation. » Lex, t’es censée l’encenser, par sous-entendre qu’il a un soucis de précocité.

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Vous êtes bien là à barboter dans l'eau tiède. Ta cicatrice ne te fait quasi plus mal et elle est habilement dissimulée derrière le bandeau de ton haut. Bref tout est parfait et tu ne sais pas pourquoi Alexis te parle d'Abelard. C'est suffisamment compliqué entre vous en ce moment. Tu soupires malgré toi. « Comment ça ? Raconte. » Elle l'a vu comment. Là ça t'intrigue. Et ça pique ta curiosité faut l'avouer. Tu sens ta gorge s'oppresser doucement. Elle l'a vu sans habits ? Tu ris toutefois à sa remarque suivante. « Tu rigoles on parle du maître suprême dans l'art du contrôle. » C'est bien ça son problème, il contrôle tout de sa vie, de ses amours, de ses amis. Mais toi t'es incontrôlable Deirdre et il semble que les choses ne s'arrangent pas entre vous. Tu ne veux pas entrer dans la case qu'il te dédie.
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Mettre les pieds dans le plat, aborder les sujets qu'il faudrait éluder, voilà une passion bien encombrante de demoiselle Callaghan. Le défi l'y aidait, assurément, mais, les remarques lui brûlaient les lèvres de façon habituelles. Ce n'était que pousser encore un peu son naturel à s'exprimer. « Quand je suis allée te voir à l'hôpital, ses molosses de la sécurité m'ont arrêté. Et il est venu me sauver, torse nu, habillé de ses électrodes. » Agite sa main près de ses traits, genre, trop de chaleur. « Très patient sexy de Grey's Anatomy, tu vois. » Le genre de patient que tu croises pas dans les hôpitaux, normalement. Repose ses avant bras sur le rebord du jacuzzi, ses prunelles sondant l'éternelle alliée. « Bon, c'est quoi le problème entre vous ? » Okay, il a rêvé de toi, okay, il est mal à l'aise parce que c'est Abélard, mais ça semble léger, pour foutre votre petit royaume en l'air. « Vous allez pas rester en guerre froide éternellement, c'est ridicule. » C'était distrayant, un temps, mais ça a assez duré, il va falloir teinter son drapeau d'un peu de blanc.

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Elle t'explique les raisons de sa vision d'un Abelard torse nu. Tu imagines le spectacle et tu souris malgré toi. « Oui, il est carrément bien foutu. » Faut dire ce qui est. Appelons, un chat un chat après tout. Tu barbotes gentiment lorsqu'elle te demande la raison de cette tension entre vous. Tu lui as expliqué le rêve érotique mais c'est sans doute plus grave que ça. « Je ne sais pas, il est différent depuis les attentats, déjà il était confus, et depuis il est distant. Il veut savoir avec qui je couche et ce genre de choses, il s'en foutait avant, je crois qu'il ne me voit plus comme avant. » Il t'idéalisait avant. Tu étais cette femme inatteignable, parfaite, recommandable et maintenant, il voit le sombre, c'est différent. Et puis tu le sens, il est pas bien et ça t'embête mais tu ne peux pas le laisser tout contrôler, hors de question. « Je ne sais plus comment faire avec lui. Je veux qu'on soit comme avant. » Que tu sois son roc, qu'il soit le tien, ce socle sur lequel vous puisez votre force, pas deux entités qui s'effritent à force d'affronts.
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Tout ça, ça te dépasse Alexis. Les paroles qui se retiennent, les gestes qui se stoppent, ces kilomètres de non dit, et ces attachements qui se démontrent tout en délicatesse, tout en politesse. Toi, c'est plus rugueux, c'est plus tranché. Alors, tu les regardes de loin, tu apprends sur la pudeur, en les voyant. Tu apprends sur les méfaits de la rancœur, aussi, de ces silences trop appuyés. Se pince les lèvres, marque un temps avant de reprendre : « Il veut peut-être.. te protéger ? » Des autres, de ces nouveaux hommes qui gravitent autour de toi. Tu changes, et il le voit. « Je sais pas, vu ce que vous avez vécu, vous avez subit quelque-chose de fort, et vous étiez ensemble, alors ça rapproche forcément. » Les événements vécus à deux vous ont liés, d'une autre manière. « Tu ne peux pas faire comme si rien ne s'était passé. » Comme si l'attentat, comme si lui qui t'imagines les yeux clos, c'était rien. Vous êtes aussi têtus l'un que l'autre, et j'ai l'impression d'être la seule avec les yeux ouverts.
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Le clair de tes prunelles s'abaisse à l'eau. Parce que tu réfléchis mais tu ne comprends pas. Tu le sais , cette distance entre vous tient à autre chose que ce stupide rêve qu'il a fait envers toi. Il tente de te protéger pense Alexis. « Je ne sais pas. » que tu réponds, toujours songeuse. Puis elle évoque, l'incident, les flashs te reviennent avec précision. Tu as lutté pour être là, mais lui n'a jamais perdu son sang froid. Il est tellement fort. Impossible à déstabiliser et tu te sens tellement faible parfois, pas à sa hauteur. « Peut-être que je lui rappelle ce jour là. » Peut-être que te cotoyer lui rappelle le traumatisme, ravive le séisme qui a saisit vos vies ce jour là. Tu ne sais pas, mais c'est différent depuis, il faut être lucide. « Je sais. Mais je n'arrive pas à lui parler. » Vous ne vous comprenez plus, vous attisez le feu entre vous et séparer le heurt de ce mur de glace. C'est aussi pénible que véridique, et tu te sens capricieuse de ce que tu as perdu avec lui. Tu n'es qu'une enfant pathétique Deirdre.
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Pauvres humains, qui réclament un retour à la normal, après le séisme. Qui évite du regard les meubles détruit, qui ignorent les corps malmenés, les esprits torturés, le sommeil qui manque, parfois. Je vois encore Callum, mort, quand mes cauchemars. Ce n'en est pas vraiment, ce sont juste des souvenirs. Moi, la guerrière, je n'ai été que la pauvre demoiselle, portée par l'homme, alors que le monde s'autodétruisait. Et, devant mes yeux, le véritable amour, le pur, finissait dans les larmes de la pure Roxanne. Et, vous, vous êtes là, à vous livrer une guerre froide, qui prend son essence dans l’impalpable, dans un rêve. « J'crois qu'on a besoin de nos alliés, particulièrement en ce moment. » Tu es la mienne, je suis la tienne. Mais, lui aussi, lui surtout, te soutient quand tu as besoin de stabilité, d'un être inflexible. « Si un jour, vous vous retrouvez bloqués dans un petit endroit exiguë, tu peux dores et déjà m'accuser. » Qu'elle reprend, un fin sourire aux lèvres. Tu m'excuseras, parce que tu me pardonnes toujours. « Soyez imparfaits ensemble, pour une fois. » Se racle la gorge. « Abelard est quand même assez... exceptionnel, faudrait pas prendre le risque de le perdre. » Ca, c'est pour le défi, ça m'arrache un peu la gueule. « Dans son genre », qu'elle rajoute juste après, avec une douce malice.
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Depuis quand Lex est-elle la voix de la raison ? Depuis quand c'est elle qui incite à la souplesse et la raison ? C'est ton rôle habituellement Deirdre, non ? Tu ne peux empêcher un fin sourire sur tes lèvres rosées alors qu'elle argue en faveur de ton alter ego. Tu sais que leur relation se nourrit de tumulte mais de respect également. Tes billes restent songeuses, pensent à toute allure, difficile de sortir de ce trouble, de ce qui semble être une impasse sans retour dans votre relation. Un stupide rêve. Un stupide cauchemar. Tu n'en sais rien en fait. « Depuis quand tu trouves Abélard exceptionnel ? » Tu souris plus franchement cette fois. Ces deux là n'hésitent pas à échanger habituellement sous couvert de pics et coups bas. « Il t'a payé ou quoi ? » Tu perçois le stratagème, l'alambiqué du cerveau froid et stratège du futur roi des Belges. Alexis qui ne te parle que de lui, c'est trop étrange. « Je serai toujours là pour lui de toute manière. » Il est une de ces rares âmes qui pourra te malmener, t'écorcher, te déchirer et à laquelle tu continueras de te soumettre. Il est peut-être même le seul. Ton échappatoire et ton fardeau. Ni Dieu ni Maître, c'est ton credo. Mais la sentence s'ombre de flou lorsqu'il s'agit de ton inflexible Prince. « Si toutefois, il veut toujours de moi à ses côtés. » Car tu n'en es plus certaine. Tu n'es plus certaine de rien.
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