WINTHROP - défi Némésis n° 1

Ta mauvaise humeur se fait encore plus ressentir quand tu te présentes au secrétariat du Doyen, avec cette lettre, qui annonce un problème au niveau de vos comptes de maison. Tu as passé ta nuit à chercher l'erreur sans la trouver, alors imaginer déjà ta mauvaise humeur, en plus de ça, on te fait attendre. La vieille chouette de l'accueil ne t'aime visiblement vraiment pas depuis que tu l'as traité de tous les noms parce qu'elle refusait de te refaire ta carte étudiante parce que tu l'avais perdue sur le campus et que tu as empiré ton cas en lui proposant un pot de vin de manière complètement naturel du genre "Bon, j'ai 100$ sur moi, ça devrait suffir. Profitez en pour acheter un truc d'un peu plus chic, parce qu'on est pas chez mémé ici. On peut pas être moche et bête et vous n'avez pas les moyens de vous acheter un cerveau, on fait avec ce qu'on a. Et parfois, on a rien." C'était léger non ? Bref, cette femme a la rancune tenace. Tu lèves les yeux au ciel, d'agacement, heureusement que t'as tes lunettes de soleil sur le bout du nez, jurant en Néerlandais, une langue qu'elle ne parle pas, soyons franc, elle est trop peu cultiver pour connaitre cette sublime langue. Ton téléphone sonne, tu décroches et parle fort, exprès dans la salle d'attente, en Français cette fois ci. Ton grand père à l'autre bout du téléphone vient aux nouvelles et devine au son de ta voix ta mauvaise humeur latente. Non mais franchement, la prochaine fois, Aymalyne se tappe ce truc de merde, course pour bébé à faire ou non. Elle a voulu faire un marmot, en plus de ça, elle respecte même pas la clause que tu as ajouté et elle t'envoie discuter avec la Doyenne parce qu'elle doit bien t'aimer, après tout, c'est elle qui t'as placé à la tête de la Eliot House. Finalement, le petit peuple accepte de t'accorder de l'attention, Jesus, MERCI ! Après négociation, la Doyenne accepte ENFIN de te recevoir et quand tu lui présente la lettre et les livres de compte, elle t'annonce très sérieusement qu'elle n'est pas à l'initiative de cette demande. Tu fulmines intérieurement alors que t'as un sourire figé sur les lèvres. T'as clairement perdu ton temps. Tu boue. Alors que la Doyenne t'adresse un grand sourire, te demandant comment tu te portes depuis les attentats. Okay, tu joue 2 minutes aux politesses avant de ressortir du bureau, les autres éliots qui t'accompagnaient, tu les chasses d'un revers de la main et un aire dédaigneux. T'as horreur de perdre ton temps. Rejoignant la maison, classeur sous le bras, tu fais tout pour rester le plus calme possible, mais clairement t'as besoin d'un verre. A défaut d'un footing. Tu poses maniaquement sur ton bureau les classeurs de compte et cherche dans ton armoire du gin, sans en trouver. Tu pousses un peu sur l'alcool en ce moment, alors il n'y a qu'un cadavre. Un soupire excédé, tu réajuste ta chemise, retire ton atèle et descend les escaliers deux à deux pour rejoindre la cave, ralant, grognant en Néerlandais. Oui, tu es mauvaise humeur et tu vas l'être encore plus après ce que tu vas voir. Tu pousses la porte de la cave, qui est bizarrement, dur à ouvrir cette fois ci, un bruit bizarre s'en échappant. Si quelqu'un est entrain de faire une fête, tu les tues. C'est quoi encore ce bordel ? Mais tes craintes sont toutes sauf confirmer. Tu allumes et tombe nez à nez avec 4 jeunes femmes, ligotés, t'ouvres grands les yeux, choqué dans un premier temps. Ton premier réflexe est d'appuyer sur l'alarme incendie, ça préviendras la police et les pompiers, CQFD. Avant d'accourir vers elles. Tu reconnais tout de suite Louison Chamberlain, présidente de la Mather, ancienne amie, Arizona, présidente de la maison des Féministes niaises, complètement amoureuse d'Abélard, Maxine, présidente des copains des SDF, en qui t'as pas franchement confiance, comme ça, à première vue et Aymalyne. Tu retires à Louison son bandeau sur les yeux Loulou, c'est moi, ça va ? Je vais te détâcher. Tu lui embrasses le sommet du crâne, geste protecteur avant de retirer le bandeau des autres filles, mais la musique de fonds te rend dingue, tu vas rapidement vers la prise pour débrancher le tout Vous allez bien ? Vous êtes là depuis combien de temps ? Qui vous a fait ça ? c'est un putain de coup monté contre toi, c'est certains. Tu retournes vers Louison, elle est première que tu détâches. Tes idées fusent de partout. T'es sous le choc et outré qu'on s'en prenne à toi de la sorte. D'ailleurs, je crois que le choc te fait dire de la merde, parce que tu tournes le regard accusateur vers Aymalyne en reprenant D'ailleurs, j'ai perdu mon temps avec ces conneries, la Doyenne ne voulait pas nous voir. On a pas de soucis de compte. ouais c'est pas le moment, c'est mal venu, mais toi, t'es comme ça, un peu en décalé enfaite. Je vous l'ai dis, tu es de mauvaise humeur de base, ça va juste pas en s'arrangeant.

La doyenne a convoqué des eliots ou t'en sais rien mais toujours est-il qu'étant en conflit avec cette dernière tu décides d'ignorer ses directives et même mieux, tu vas a la résidence eliot pour bosser un peu tranquille. Tu t'installes dans ta pièce qui te parais si vide au final. Tu n'y est jamais parce que tu n'en as pas besoin tu as fais ton bizutage ici mais rien d'autre. Tu allumes ton ordinateur et tu finis par démarrer la conférence sur l'europe et les conséquences du brexit a laquelle tu dois participer et ne parlons pas des révolutionnaires bonnets jaunes auquel tu ne comprends rien il faut le dire, tu es tellement a des années lumières de ce système et de cet univers. Tu finis par entendre un bruit de porte et tu te fais interpeller par ton père. Tu as un temps d'arrêt avant de couper le son, quitter ta place pour ouvrir ta place et hurler d'en haut Si c'était possible de faire moins de bruit ça arrangerait tout le monde encore des débiles qui pensent que la eliot est la nouvelle mather house c'est franchement aberrant de voir la sécurité qui a été diminué a croire que la présidente a pioché dans la caisse pour sa progéniture et que vous, vous devez vivre dangereusement. Et tu la connais l'excuse de la doyenne qui est contre les confréries tu restes toujours contre une partie de ta présidence heureusement que ton frère est là. Enfin, tu retournes a ta place et vient ton tour de faire une présentation sur un point précis de la réunion. Tu as bossé ta présentation et tu as même ton tableau numérique comme support tu es impeccablement préparé et tu commences ton speech toujours de façon précise, méthodique avec un anglais impeccable quoi qu'un fort accent belge parce que tu ne peux pas renier tes origines ça va ? C'est alors qu'en plein milieu d'une phrase tu commences a entendre un gros bruit puis sentir des gouttes. L'alarme incendie au beau milieu de ton discours. Tu fulmines alors que ton ordinateur se coupe tous simplement. L'incendie ne t'auras pas, on a essayé de t'avoir une fois mais tu as résisté et cette fois encore. T'attrape un sac, tu déposes dedans les choses les plus précieuses pour toi. Le cadre avec ton frère, celui avec Potter et ton ordinateur ainsi que ton polo bordeau. Tu fermes le sac et t'es trempé il faut le dire. Tu n'as plus beaucoup de temps et tu dévales les marches alors que tu boues au fond de toi, tu arrivais sur la partie la plus importante, la plus pointue de ta prose. Discours d'une heure préparé pendant 5 heures réduit a néant par des rebelles incendiaires Je vais les tuer moi même si je les choppe. c'est alors que tu entends ces bruits étranges vers la cave. Des bruits franchement bizarres tu comprends pas franchement. Si ils font une fête et qu'un drogué a appuyé sur ce bouton ça va franchement pas le faire. tu voulais du calme, être tranquille pour travailler c'est trop demandé apparemment. A la forteresse il y a un problème de connexion et au consulat tu es sans cesse dérangé c'était ta seule planque si maintenant des détracteurs s'amusent a venir ici aussi. Tu descends vers la cave et tu finis par voir Hades détacher des filles et tu le regardes en reprenant C'est quoi ce bordel une fois ? avant de reprendre C'est pas le lieu pour vos soirées SM sérieux laissez votre dépravations dans des lieux adaptés certains ont une carrière et une vie qui les attend. tu fais même pas franchement gaffe avant de comprendre qu'il y a un problème de toute évidence quand tu vois la panique dans le regard de ton frère. Quoi ? T'es au courant qu'il y a un raz de marré là haut ? que tu dis en anglais parce que c'est la politesse pas de néerlandais en public. Hades parle a la blonde du lot et tu finis par sortir Qu'est-ce que vous faites là toutes d'ailleurs ? Si certains veulent se débarrasser de vous qu'ils vous jettent dans un fossé pas ici Faites leur bien passer le message. oui toi tu as un dossier impeccable et franchement tu vas même pas aider tu ne vas pas t'inclure dans ces conneries là. Oui une chose est sure Abelard, t'es toujours un parfait connard qui se fiche des gens qu'il ne considère pas. Apparemment elles ont été enlevé et toi t'as qu'une chose en tête. Tout le monde se fait enlever et retrouver mais pas lui. Et ca ne fait qu'accentuer la colère et la haine que tu peux éprouver pour les quatre drôles de dames dans le salon.

Je connais que trop bien ce sentiment .. celui où on comprends assez vite qu’on est en danger, que nos sens son en éveil pour essayer de capter une information qui nous permettrait de .. nous échapper. J’étais tranquillement devant ma télé quand j’ai aperçu dans le reflet de l’écran quelque chose s’abattre sur moi. Un sac, sur ma tête. Et s’ensuivit le même schéma qu’il a 22 ans. Je gesticule comme je peux, j’essaie même de crier mais le masque et la couverture que j’ai sur moi, absorbe les sons. On ne n’entends pas et je m’épuise trop vite. Alors j’angoisse, je pleure en silence et je capitule. Des bruits de gouttelettes se font entendre lorsque les réviseurs nous laisse. Parce que je sens bien que je ne suis pas seule. J’entends vaguement des voix, féminines il me semble. Je me dis que c’est sûrement mon destin, mourir enfermée et attachée. Et puis tout s’enchaîne vite, la panique, les plaintes et soudain la delivrance. Les frères De Belgique sont là, nous détachant les unes les autres. Nous sommes 4. Maxine, Aymalyne, Louison et moi. Je sèche mes larmes et masse mes poignet quand j’entends la réflexion d’Abelard. Sans réfléchir et tant bien que mal, je me dirige vers lui et lui envoie une énorme baffe qui raisonne dans toute la pièce. Mon regard est noir. Je pourrais le tuer sur place.  « On vient de se faire enlever pauvre con. Et toi tout ce que tu trouves à faire c’est montrer encore plus de méchanceté que possible. L’heure n’est pas vraiment propice à ce genre de réflections déplacés ! » j’ai été enlevé, enfermé et violé pendant 10 ans de mon enfance, alors ce genre de comportement, pas avec moi.

Tranquillement, je reviens sur mes pas pour récupérer mon téléphone. C'est à mi-chemin de la maison que je me suis rendue compte de mon oubli. Chose faite, je fais un dernier tour des lieux quand je tombe nez à nez avec un mec qui m'est totalement inconnu. Rien qu'à voir ses vêtements je sais déjà qu'il n'est pas un Eliot, il est impossible qu'il partage la vie d'une d'entre nous. Je peux sa... Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il pose sa main pleine de bactéries sur ma bouche me trainant au sous sol. Furieuse, je me débats comme une furie mais, impossible d'avoir le dessus sur lui. Lorsque j'arrive en bas, je tombe nez à nez avec Arizona, Louison et Maxine toutes ligotées. Putain, c'est quoi ce bordel ? Sans perdre de temps, il m'attache à mon tour accentuant ma colère. Il faut rester rationnelle et ne pas jouer les héros stupidement. Peu de temps après, ils partent les uns après les autres fiers de leur coup. Automatiquement, mon regard ce porte sur Arizona. Pas que le sort des deux autres ne m'inquiète pas mais, je connais plus la présidente des Roses, question d'affinité. Ari ? Ils t'ont touché ? Tu ressens des douleurs quelque part ? Ce qui m'inquiète est qu'elle a été touchée pendant les attentats, si ils ont été trop violent ça risque d'avoir de fâcheuses répercutions sur sa guérison. Pardonnez-moi les filles ce n'est pas que votre état ne m'intéresse pas  mais, Ari... Est-ce qu'ils vous ont brutalisé ? Comment... Pourquoi...? À peine avais-je commencé mes questions que la voix d'Hadès résonne non loin de nous. Bon, c'est le moment pour nous de nous faire entendre. Sans perdre une seconde, je hurle de toute mes forces jusqu'à le voir arriver en colère. Une fois détachée, je me lève et ramasse mon téléphone qu'un des idots a balancé sur le sol quand la voix d'Abélard s'élève pour cracher sa merde verbale. Ni une, ni deux la main d'Arizona s'échoue sur sa joue. Un rictus m'échappe. Voilà un sale boulot que je n'aurais pas à accomplir moi-même. Je m'approche d'Hadès totalement furieuse. Toi et moi, on discutera de ça demain. Je me tourne ensuite vers Abélard avant de poursuivre. Le seul message que je vais faire passer et que tu as intérêt à enregistrer est le suivant. Peu importe pour qui tu te prends j'en ai rien à foutre ! Le respect tu connais ? Le savoir vivre te dit quelque chose ? Évidemment que non pour la grande et fabuleuse Abélard. Continue sur cette voie et je te jure que tu finiras dans mon bureau ! Maintenant soit tu aides les filles ou tu nous fais le plaisir de prendre la tangente toi et ton putain d'ego de mes deux. Ça fait beaucoup trop longtemps que je ferme ma gueule, là il a choisi le mauvais moment. Sur ces mots, j'appelle la sécurité pour qu'ils interviennent au plus vite, qu'ils récupèrent les preuves que ces idiots ont pu laisser.

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Tu profites de ce temps de la journée pour effectuer ta séance de sport quotidienne. En tenue adaptée et baskets, ce qui est suffisamment rare pour le souligner, tu effectues ton footing, écouteurs sur les oreilles. Courir te faire encore mal, davantage lorsque ta respiration s'amplifie mais tu ne supportes pas de rester inactive et de ne pas être maîtresse de ton corps. Le campus est toujours un lieu qui t'a rassuré pour courir. Depuis maintenant sept années, ce lieu est un peu devenu ta maison, ton repère et d'ailleurs, la musique dans tes oreilles ne suffit pas à couvrir l'alarme qui résonne entre les murs de la Eliot. Intriguée et un peu inquiète, tu te demandes ce qu'il se passe et si certains ont besoin d'aide, alors tu te rends à l'intérieur. Les jets d'eau sont à leur pleine manœuvre et finissent de terminer le tableau peu élégant que tu représentes. Même si tu as toujours la classe Deirdre, disons que ton apparence est inhabituelle. Tu observes plusieurs étudiants qui parlent de la cave et entend des voix au fond, dont certaines familières. Tu pousses les plus jeunes de la confrérie pour rejoindre le noyau sous terre. Tes billes surprises se posent sur Abelard, puis Aymalyne qui lui parle très sèchement, enfin sur Hades et les présidentes ou vice présidentes des autres confréries. Tu ne les connais pas vraiment mais a déjà vu leur tête. Tu comprends aussitôt que Nemesis est sans doute de la partie et tu te demandes jusqu'où le ridicule et le malsain poussera ce qui s'apparente à une très mauvaise blague. Abelard s'enrobe de son arrogance ce qui vient heurter les victimes de ces clowns malsains. Ton regard se fait plus froid néanmoins aux paroles de ta présidente. Et tu interviens. « Pas besoin de monter sur tes grands chevaux Aymalyne ils n'y sont pour rien, calme-toi, ça n'arrangera rien dans ton état. »  Les De Belgique restent les De Belgique ce n'est pas nouveau, et ce n'est pas très digne de perdre patience de la sorte même si tu peux comprendre avec ce qu'elle vient de vivre.  « Je pense que la priorité est de savoir si tout le monde va bien. Est-ce que toi ou les autres avez mal quelque part ? Est-ce qu'ils vous ont fait du mal ? » C'est ça l'essentiel, pas l'esprit mal placé de Pierre, Paul ou Jacques. Tu aides les filles à se débarrasser de leur lien, tend ta bouteille d'eau à celles qui le souhaitent. « Les secours ne tarderont pas. » Et tu te demandes simplement qui a pu faire ça. Sans doute des personnes qui n'ont pas l'ombre d'un jugement.

Je suis partagée encore la colère, la peur et l'indignation. Pour le moment le plus important est de savoir comment vont les filles mais, c'est sans compter sur l'arrivée de Deirdre pour venir mettre son grain de sel encore une fois pour défendre Abélard sans même connaître les faits. On s'occupe des filles Deirdre. La prochaine fois avant de parler demande le pourquoi on est furieuse contre ton adorable ami. D'où il se croit en droit de balancer qu'ils auraient dû nous jeté dans le fossé au lieu de perturber sa petite vie tranquille avec l'ego qui lui sert de meilleur ami ? Les filles sont au plus mal et crois-moi si Arizona ne lui en avait pas mis une, je l'aurais fait ! Je n'ai donc pas à me justifier plus longtemps sur cette mise en garde. C'est quand même tout un monde ! C'est dingue de voir ça ! J'espère que je n'étais pas aussi naïve quand je faisais partie de la Team.

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Tu aides comme tu peux, parce que c'est encore ce qu'il y a de mieux à faire alors que tes billes se posent sur cette harpie toute puissante qui vous sert de présidente. « Il n'est pas adorable, je te le concède. Je disais simplement que l'attitude d'Abelard n'est pas la priorité mais vous. » Et c'est plutôt généreux et logique ça non ? Bon, elle est sans doute énervée par tout ça. Et tu décides de ne pas rebondir davantage sur ses mots. Hormis peut-être un . « Il serait peut-être plus sage de se concentrer sur les auteurs des faits à ce que je sache personne ici présent ne vous a ligoté et séquestré. » Plutôt que de convoquer de façon abusive toute personne qui ne l'approuverait pas ou qui aurait un peu trop d'arrogance à revendre. C'est le cas de la plupart des bleus, ça non ? On est pas chez les Quincys et on ne l'a jamais été. « Puisque vous vous en occupez, je vais accueillir les premiers secouristes. » Et tu remontes au rez-de-chaussée de la confrérie où ton aide sera sans doute bienvenue contrairement à la cave.

Te voilà interrompu au beau milieu d'un speech fort préparé par des gouttes qui te tombent dessus et l'alarme incendie. Furieux tu descends en bas avant de rejoindre la cave pour retrouver Hades avec quatre filles ligotés et quand tu vois Aymalyne ça t'étonnerais pas que ce soit un truc SM vu ses vices. Tu les engueules et tu es malaimable parce que grâce a cette nouvelle frasque vous allez tous vous retrouver en première page du Harvard Daily News et la eliot entière va se retrouver entacher donc oui effectivement si les kidnappées avaient pu être balancer dans un fossé ça t'aurais arrangé. La plus grande, Arizona arrive et te giffle. Toujours aussi timbré celle là, après t'avoir embrassé de force maintenant elle t'en fou une. Tu serres les dents et tu reprends Mais si tu n'es pas contente force a toi de partir. Comme si j'allais être ravi que quelqu'un kidnappe des filles dans une cave pour que je me retrouve mêler malgré moi a une affaire d'enlèvement. Tu marches non ? Et bien moi je pense a ma réputation. et Aymalyne t'adresse la parole. Tu la regardes et t'encaisse. Deirdre arrive et te défends, tu retrouve ton alter égo de toujours. Elle est belle, elle est rayonnante et t'es bien content d'avoir trouvé quelqu'un a ta hauteur. Deirdre s'en va grâce a l'attitude déplacée de l'autre que tu regardes pour reprendre. Tu sais quoi je rectifie. Ils auraient du n'en balancer qu'une seule dans un fossé je me serais pas préoccupé de son sort et si t'avais pas vidé les caisses pour enlever les caméras de surveillances et le système dernier crie de Cole on en serait pas là je te le dis. Vous tenez toutes debout ? Donc maintenant plutôt que de passer tes hormones sur moi fais en sorte premièrement que ça ne se reproduise pas. Et ensuite trouve une explication pour justifier que des non eliots aient réussi a entrer chez nous dans la maison que t'es censé protéger et on en reparlera maintenant je vais aller aider Hades et surtout. ton regard est sombre, noir, tu la supportes pas c'est comme ça tu peux pas faire autrement quand on te trahi quand on est taré on est pas dans ta vie. Surtout ne me parle plus et ne m'approche plus j'ai pas envie de te donner des raisons de balancer encore que je t'ai fais un gosse imaginaire. la méchanceté ? Ah ça oui tu connais surtout quand elle te provoque. Quand t'as postulé tu savais déjà que j'te supporterais pas t'as accepté de faire avec alors maintenant tu vas voir les secours et t'arrête de me parler. t'es claire et net. T'es un eliot exemplaire tu ne fais pas de frasque. Tu n'as pas d'enfant illégitime, tu n'es pas connu pour tes histoires sordides donc bon t'as passé 6 mois a l'ignorer qu'elle te chauffe pas. Tu pars vers Hades en compagnie de Louison et tu le regardes Elle va bien ?

Je suis un peu désorientée quand on nous délivre. La lumière est douloureuse pour mes yeux. Et la voix d'un des De Belgique pour mes oreilles. Je reconnais assez vite Abelard avec sa voix insupportable et son air méprisable. Autant dans d'autres circonstances, je me serais contentée de tracer ma route, autant cette fois, je n'ai pas envie de garder ma langue dan sa poche. Je rassure Aymalyne sur ma situation et je vais même l'enlacer dans mes bras. « Je vais bien Ayma. Et toi, t'as rien ? » Quand on pense que l'année dernière nous étions ennemi à cause d'Abelard et qu'aujourd'hui, grâce à l'alliance de la Cabot et la Eliot nous sommes plus proches que jamais, je ne peux m'empêcher de sourire à la blonde pour lui montrer que tout va bien. Et puis je m'approche du Eliot et le giffle le plus fort possible. Ma main claque contre sa joue et je vois dans son regard qu'il se contient pour ne pas répondre d'un geste à son tour. Essaie donc, je vois que tu ne me connais pas, que je pense dans ma tête. Chacune de ses phrases sifflent comme une insulte. Visiblement, être Prince d'un pays, ça n'apprends pas forcément les bonnes manières. « Oh merci grand Abelard de Belgique de me donner la permission de m'en aller. Soit un peu intelligent, si j'avais pu partir avant je l'aurais fait !   » Je ne cherche même pas attendre une réponse de sa part. De toute manière il appartient à se genre de personne incapable de se remettre en question et encore moins capable de ressentir une quelconque empathie. Je regarde une dernière fois les filles et notamment Louison et Aymalyne.  « Je vous attends en haut avec les secours les filles. Je préfère ne pas rester ici sinon j'en connais qui va terminer dans un caniveau la tête arraché. » Pas un regard pour le Eliot, je me contente de monter les escaliers sans même chercher à entendre une réponse.

Je vais le tuer ! J'ignore comment mais, il me sort royalement par le cul ! Je l'écoute jusqu'au bout balancer ses affabulations avant de partir dans un fou rire nerveux en l'applaudissant. Bravo ! Très mauvais jeu d'acteur mais, j'apprécie l'effort. Ce qui te fais chier c'est que j'ai battu "les grands De Belgique", que tu ne peux plus faire ce que tu veux avec tes plans à la con ! Comme si j'avais voulu de ton appuie. Je me serais tiré une balle dans le pied avec ton soutient. Quant a la sécurité, elle a été doublement renforcée, les caméras de surveillances sont à la pointe de la technologie. Eh oui, grand manitou de mytholand, quand tu veux inventer des choses pour me rabaisser renseigne toi avant. Maintenant, que tu as fait ton cinéma, tu peux rentrer chez toi. La pourriture nauséabonde qui sort de ta bouche commence sérieusement à nous intoxiquer. Excusez-moi les filles mais, si je reste une minute de plus... Téléphone en main, je m'apprête à sortir avec Arizona. Il ne vaut pas la peine de plus d'attention de ma part, il est juste pathétique. Quoique... Si un jour, je dis bien SI, tu deviens Président tu pourras l'ouvrir en attendant tu restes à ta foutue place, tu respects les membres de cette maison et tu te tiens à carreaux ! Oh ! N'oublies pas une chose, JE dirige la Eliot. Sur ce, je monte à l'étage m'occuper du bien être des filles avant de m'entretenir avec la sécurité dans mon bureau.

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