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((vimila)) - she's poison but tasty

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VICTOR AND CAMILA
(boston/appartement - février 2019)

résultat, c’était exactement ce que j’avais dis. j’ai juste perdu un peu de poids. et juste sous prétexte que je voulais me sentir bien dans mes baskets, j’avais passé la moitié de mon temps à l’hôpital à devoir subir un tas d’examen qui ne servait strictement à rien. alors certes, ils avaient simplement voulu s’assurer que ça ne cachait rien de grave mais j’étais encore en mesure de dire si je me sentais bien ou non. alors ouais, c’était passablement irritée que je reprenais la route pour me rendre chez moi. en fait, j’étais saoulée de tout. j’avais l’impression que y aurait jamais rien qui irait dans mon sens. qu’il faudrait toujours qu’une merde vienne se mettre en plein milieu de mon chemin juste pour m’éviter d’aller simplement bien. et quand je poussais finalement la porte de notre chez nous, j’étais d’une humeur tellement massacrante qu’il serait probablement mieux de me foutre la paix pour les jours à venir. j’prenais même pas la peine de dire bonjour, me contentant de virer mon blouson et de détacher mes cheveux blonds. c’était le clignotement du téléphone fixe qui attirait mon attention et machinalement, j’enclenchais le haut parleur histoire d’écouter le message visiblement en attente. l’hôpital, génial. pire, le message s’adressait à victor. là, c’était le point négatif de partager la vie de quelqu’un qui bossait là-bas. parce que le médecin, il avait rien trouvé de mieux à faire que tenter de le prévenir qu’il faudrait potentiellement surveiller que je prenne bien la peine de m’alimenter. « sept kilos. on me fait chier pour sept putain de kilos. » c’était pas la fin du monde p’tain. c’était chercher la petite bête comme si l’on voulait constamment que quelque chose débloque chez moi. « t’as pas intérêt à t’y mettre toi aussi » que je lance sur la défensive à ton attention. je me fiche de savoir qu’ils te mettent en garde. je vais bien et si je dis que c’est le cas, faudrait juste qu’on me foute la paix en fait. rien de plus.


@victor multrier
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Interdiction de travailler ou de rejoindre l’hôpital pour une durée de deux mois. Génial. Le pied. Haha. Quel humour ! Victor se rendait fou dans l’appartement à tourner en rein, jouer à la play ou regarder des séries inintéressantes sur Netflix. Il avait bien invité Zed durant la journée qui était passé en coup de vent mais ce dernier n’avait pas pu rester bien longtemps. Il était alors affalé dans le canapé quand sa tornade déboula dans l’appartement sans même prendre la peine de dire bonjour. Il releva la tête et vit à son visage qu’elle n’avait pas le moral. Elle parlera quand elle voudra. Il venait de se réveiller d’une bonne sieste d’une heure trente quand Camila appuya sur le combiné. Oups. Pris la main dans l’sac. Il aurait pu être plus discret, mais ses amis de l’hôpital l’informaient alors des avancements des reins de sa petite amie. Il se mordit légèrement la lèvre quand il entendit Camila s’énerver et un petit rire s’échappa de ses lèvres. Plus fort que lui. Leurs états étaient tels que la moindre friction créait des étincelles. Il soupirait en s’appuyant sur ses coudes, éteignant le téléviseur qui tournait sur un vieux jeu de football qu’il n’avait pas eu le temps de finir. « Bébé, c’est sept kilos. Pas un, pas deux, mais sept. » Il soupirait légèrement en s’essayant, se frottant le visage. Il n’avait pas mis la vaisselle dans le lave-vaisselle, ni même fait tourner de machine. « L’hôpital me préviendra toujours. C’est mes collègues, Cam. » Il s’appuyait pour se relever avec sa béquille et se diriger vers elle.

@camila wildingham
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VICTOR AND CAMILA
(boston/appartement - février 2019)

je crois que je suis traumatisée en fait. de tout ça, des gens constamment sur mon dos. j’ai juste besoin qu’on me laisse tranquille alors rentrer ici pour finalement entendre que la première chose qu’ils font c’est t’en parler pour me mettre sous surveillance, ça me gonfle. j’me dis qu’on est pas encore mariés, que t’es pas mon père et qu’ils n’ont aucun droit de faire sortir ce genre d’information sans me le demander au préalable. « et ? » qu’est-ce que ça fait si moi je me sens bien comme ça ? j’voudrais sincèrement qu’on arrête de tourner chacune de mes actions en drame quand ça n’a clairement pas lieu d’être. et je manque une crise cardiaque quand je vois l’état de la cuisine. en fait, c’est tous les jours la même rengaine. j’suis la bonne qui passe derrière toi pour nettoyer le bordel que tu laisses. et ça me gonfle putain. « c’est trop dur de ranger ? » non mais parce que là, ça devient grave. que tu sois pas un fan des tâches ménagères, passons. mais que ça devienne une porcherie parce que tu fous rien d’autre que rester sur le canapé, là par contre, ça ne me fait clairement pas rire. « et c’est MA vie. » donc non, ils ont pas à te prévenir si je ne le souhaite pas. ils ont pas à te dire quoi que ce soit si j’ai pas envie que ça soit le cas. alors ouais, je suis saoulée. et tu sais quoi, j’en ai ras le cul de ranger derrière toi aussi alors tu te démerdes avec ça, j’suis pas ta femme de ménage. « faire le strict minimum c’est trop te demander victor ? » j’suis en train de bouillonner, y a une partie de moi qui a envie de t’étrangler.
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Il le voit, que Camila rentre de plus en plus irritée le soir, qu’elle passe ses nerfs de plus en plus facilement sur lui, mais ce n’était pas comme si Victor lui facilitait la tâche. Il rangeait la manette sous la table basse et venait se frotter les yeux fortement en s’étirant légèrement quand sa fiancée se mit à l’engueuler sur l’état de l’appartement. Il était vrai qu’il aurait pu faire mieux. Mais, car il y avait toujours un mais… non, pas excusable. « Ce que tu peux faire en dix minutes, j’le fais en quarante ! » Il se relève, laissant ses béquilles sur le canapé car l’appartement était suffisamment bien meublé et travaillé pour qu’il puisse s’appuyer et se déplacer à sa guise. Il s’approcha du plan de travail, se tenant de la main droite pour libérer le poids sur sa jambe droite. « J’ai pas l’droit de te dire bonjour ? » Et il savait très bien que c’était le genre de réflexion à ne pas dire quand elle était sur les nerfs comme ça. Alors il recula légèrement et contourna l’ilot central pour se diriger vers l’évier. Il avait l’air con d’un flamant rose, sur une jambe unique, et il se mit à le remplir, soufflant et râlant comme un gosse obligé de faire les corvées de ses parents. Il n’était pas tout à fait réveillé, des cadavres de bière sur la table basse, une hygiène déplorable. Le début peut-être d’une petite dépression succincte, passagère, mais bien présente. Il n’avait jamais réellement pu exprimer ce qu’il ressentait quant à la perte de sa jambe, ni même éprouvé le besoin de le faire, mais il se sentait un peu agressé. Il fronçait les sourcils, en frottant la casserole de pâtes qu’il avait laissé trainer. Et il se mit à ruminer dans sa barbe, plus pour lui-même. « Pas envie… » Un enfant, Victor.

@camila wildingham
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VICTOR AND CAMILA
(boston/appartement - février 2019)

et tu vois, tout ça, ça me gonfle depuis un moment. sauf que j’ai jamais rien dit. j’t’ai laissé faire en me disant jour après jour que ça allait s’arranger. que tu finirais par avoir le déclic. là ? si on combine ma mauvaise humeur et ma journée de merde, je ne suis clairement pas en condition de continuer à accepter ça. « donc je suis ta bonne ? » j’réponds d’un ton sec, serrant les poings. me cherche pas maintenant victor, vraiment pas. parce que là, t’as peut être une excuse mais ça a pas toujours été le cas et pourtant, ça change pas le fait que t’es du genre à foutre les pieds sur la table et à laisser la merde s’empiler. « t’as surtout le droit de faire autre chose que te bourrer la gueule. » ça te va comme réponse ça ? parce que j’ai des tas de trucs bien plus piquant en réserve et je ne suis pas certaine que tu le prennes bien. prenant la direction de la chambre, j’récupérais une serviette propre puis finissait dans la salle de bain, allumant l’eau pour qu’elle remplisse la baignoire. là, j’avais clairement besoin de me détendre. et en repassant dans la pièce principale pour récupérer le téléphone que j’avais laissé sur le bar, c’était pile le moment que tu choisissais pour râler. « ouais, à part me sauter et utiliser mes cartes de crédit t’as pas envie de grand chose » j’venais jusqu’à toi retirant la casserole que tu pouvais avoir dans la main pour la balancer dans l’évier. « vas y, bouge de là. » j’vais le faire, comme d’habitude. t’as qu’à.. retourner dans le canapé, boire tes bières et t’abrutir devant tous les matchs que tu pourras trouver puisque visiblement, c’est la seule chose que tu sais faire.
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Victor est un petit con. Il l’a toujours été. Sa chambre adolescent était une porcherie et son appartement une fois arrivé à Boston était une déchetterie, sa mère passant une fois par semaine pour faire son ménage, espérant par la même occasion le rallier à sa cause scientologique. « J’ai pas dit ça, c’est juste que j’mets plus de temps à me déplacer. » Et que ça lui fait faire des efforts considérables qui rendent certaines parties de son corps douloureux, mais Camila ne voulait pas entendre. En même temps, il avait vraiment l’air minable, à ne chercher aucune excuse pour ses comportements d’adolescent pré-pubère. Alors devant sa casserole, grattant les restes de pâtes qu’il s’était fait cuire, il râlait parce qu’il avait l’air idiot à mettre tout son poids sur une jambe, flamant rose, en équilibre. Il tanguait un peu, toujours pas habitué à travailler que sur un pied mais sa petite-amie revient à la charge pour le repousser et il sautilla en arrière pour éviter de basculer. Bouge de là. « Parle-moi mieux Cam. » Pas de soucis, il était en tort, mais déjà qu’il prenait sur lui pour éviter de parler mal après les nombreuses remontrances de Camila, c’était un peu l’hôpital qui se fout de la charité. Il se décala, récupérant le sac dans la poubelle pour le mettre devant la porte. Quand il se déciderait à sortir, il le jetterait. Avec le nœud accroché aux béquilles. Il se dirigea vers la chambre pour ramasser le linge, les chaussettes, les boxers, les tee-shirts. Il se dirigea vers la salle d’eau pour voir un bain qui coulait, alors il en profita pour arrêter le robinet et que ça déborde. Il ressortit de la pièce après avoir mis ses affaires dans la machine et alla vers le plan de travail. « J’suis fatigué ok ? Au moindre effort, j’ai les muscles qui s’épuisent et franchement, ça m’donne pas envie de forcer dessus. » Alors qu’au contraire, sa rééducation passait par le dépassement de soi et d’envoyer son corps se battre plus intensément dans la douleur musculaire. Il se dirigea vers l’évier où se trouvait Camila pour prendre une éponge et nettoyer le plan de travail quand le téléphone sonna. Et Victor n’avait aucune envie de répondre. Il laissa sonner, encore et encore… Pas envie. Rien ne pouvait être plus important que ce qu’il se passait entre ses quatre murs et… Bip. « Victor, c’est Nyssa, on a reçu ta prothèse. Passe demain, il faut la tester. » Si tôt ? Ca avait du bon d’être de la maison. « Ah ben tu vois, Cam, tous tes problèmes vont être réglé ! » Prothèse en carbone. Merveilleux. Robotisé en plus.


@camila wildingham
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VICTOR AND CAMILA
(boston/appartement - février 2019)

je sais bien que je ne devrais probablement pas m’en prendre à toi de la sorte. c’est.. mesquin et disproportionné. puis t’es pas non plus au top de ta forme et t’as tout un tas de problème à gérer. problème que je tente de surpasser avec les miens comme s’il n’y avait que ma parole qui comptait et probablement que par la même occasion, j’en deviens la pire égoïste. quel genre de personne laisserait son futur mari galérer à cloche-pied dans ces conditions juste pour nettoyer une casserole et ramasser trois conneries sur le sol ? visiblement moi. puis ouais, sûrement que je te parle pas. je ne comprends d’ailleurs même pas comment tu peux garder un calme olympien alors qu’en temps normal, t’aurais été le premier à me claquer la tête juste pour avoir osé te répondre. pourtant, j’choisis quand même de t’ignorer, continuant à nettoyer la vaisselle que tu avais laissé traîner comme si ce n’était pas important. je suis nulle pour les excuses et j’ai pas envie d’en faire. j’ai passé une mauvaise journée et ce que je constate là de suite, c’est que peu importe ta condition, t’as visiblement pas l’air de vouloir faire des efforts. tu veux pas te battre ? soit. moi je t’ignore, on évite au moins les hurlements que les voisins doivent avoir du mal à supporter tant ils sont récurrents. puis quand tu reviens, j’suis toujours en train de gratter la même casserole désormais propre, les yeux dans le vide. « ok » que je réponds simplement. je peux l’entendre, je suis pas un monstre. le problème étant juste qu’avant tout ça, tu ne faisais pas grand chose non plus attendant probablement qu’un miracle se produise. dans le fond, tu m’avais prévenu mais j’y peux quoi moi si je trouve ça plus qu’irritant ? et soudainement, je lâche la casserole, mes deux mains s’agrippant sur le rebord du plan de travail, soufflant douloureusement. y avait ce genre de moment où la douleur pouvait se montrer insupportable et où les anti-douleurs étaient devenus une habitude plus que mauvaise si on prenait en compte mes problèmes d’addictions. pourtant, j’attrapais quand même le flacon en plastique glissant deux des cachets dans ma bouche alors que le répondeur se déclenchait. nyssa, toujours nyssa. ça aussi ça me saoulait. tellement que je faisais presque abstraction du fond du message. attends.. une prothèse ? déjà ? « t’es pas un problème » que je ronchonne. c’est pas ce que j’ai dis. alors fais semblant de ne pas comprendre si tu veux, ça devient une habitude. « nyssa est vraiment merveilleuse » tu la sens l’ironie là ?
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La main qui s’étirait le long de l’inox pour récupérer les dernières miettes d’un pain rassis depuis trois-quatre quand la nouvelle tomba. Un petit sourire étira ses lèvres. La semaine d’avant, un l’orthopédiste était venu prendre ses mesures et faire un moulage de son moignon afin de créer la prothèse, et parce que malgré tout, son chef de secteur l’appréciait, il avait demandé à passer prioritaire pour son élève pédiatre. Il s’approcha de la poubelle pour jeter les miettes qui étaient dans le creux de sa main et il revient ensuite vers l’évier pour poser son éponge, Camila qui lui dit ne pas être un problème. Victor hausse les épaules en donnant un petit coup vers la droite et la bousculer gentiment quand soudain… putain, pas encore. Il soupire et recule, en allant vers le canapé récupérer une béquille parce que sa jambe droite fatigue. « Putain mais… » Il secoue la tête en fermant les yeux. « Putain ouais, elle est merveilleuse parce qu’elle est ma partenaire et que c’est un putain d’médecin. » Il allait dans la chambre pour ouvrir la fenêtre et aérer. Il se rendait compte en ouvrant qu’il n’avait pas respiré l’air frais depuis quelques jours déjà, et peut-être que Camila, malgré ses colères et ses piques avait raison et qu’il fallait qu’il se bouge le cul au lieu d’avoir cette vie sédentaire de petit solitaire. Mais un truc ne lui convenait pas, alors il revient à la charge après avoir tiré la couverture pour aérer le matelas. « Attends dis-moi un truc, t’es en train d’faire de l’ironie sur Nyssa ?! » Ok, Louison il comprenait, mais Nyssa ? Il serrait les dents. « Putain mais… on est en binôme, c’est ma… femme de médecine ! Ça veut dire qu’on travaille bien qu’ensemble, c’est comme ça, c’est naturel ! » Cette relation improbable qu’il avait développé avec la jeune femme lui avait appris à se stabiliser dans les moments de pression lors d’une suture ou d’un soin, et Victor, lui, il lui avait appris à prendre un peu plus confiance en elle. C’était une relation de travail, et ils s’étaient très rarement vus en dehors, excepté sur le campus d’Harvard quand ils se croisaient. « Tu fais chier Camila. Même moi j’m’entends bien avec tes mecs ! » Si elle savait qu’ils se voyaient en dehors avec Noah pour parler business… Non, pas maintenant. Ne rien lui dire. Pas pour l’instant. « J’ai l’droit d’la voir ma mère même si c’est une nana ? Ou elle aussi elle est rayée de la liste sous prétexte qu’elle a pas de queue ?! » Ok, là, c’était la fatigue, la tension, l’ennui, qui parlait.

@camila wildingham
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VICTOR AND CAMILA
(boston/appartement - février 2019)

pourquoi tu fais l’étonné ? tu sais comment je suis. tu le sais que la jalousie chez moi, c’est presque maladif. et je trouve que depuis le début de notre relation, je suis quand même restée plutôt soft vis à vis de tout ça. alors quoi ? c’est pas si étonnant, j’ai toujours été comme ça, je l’ai jamais caché. sauf que là, visiblement, c’était en trop. et ce qui est encore plus en trop, c’est ta manière d’appuyer sur le fait que ouais, elle est terriblement merveilleuse. j’te jure que je me retiens là. je me retiens de pas lâcher un flot d’insultes avec tout ça mais putain, tu le mériterais. j’voudrais bien la voir ta tronche à toi si j’te disais à quel point mael peut être merveilleux. j’suis pas certaine que ça te ferais rire. alors tu comprendras que pour le coup, je ne plaisante absolument pas. et alors que tu quittes la pièce, j’en profite pour couper l’eau, inspirant profondément à la recherche du calme que j’ai probablement perdu en me levant ce matin. mais forcément, faut que tu reviennes à la charge. « et ? » si je fais de l’ironie sur nyssa, quel est le problème ? j’en ai tous les droits, tu m’empêcheras pas d’avoir un avis ou de juger les situations. « ma femme de médecine » p’tain, j’sais pas si je dois rire là. tu te rends compte que c’est ridicule ou pas du tout ? du coup, mael c’est mon homme non ? y aura pas de souci là dessus. « ouais, après les avoir tous insultés copieusement. » j’ai jamais tenu de propos déplacés sur nyssa donc j’crois pas que tu puisses comparer en fait. puis j’crois pas que tu m’ai non plus entendu dire qu’untel était mon homme et qu’ensemble, c’était naturel. alors va te faire foutre tiens, ça te ferais probablement du bien. « wow » j’pourrais presque t’applaudir pour la bêtise de tes mots là. t’es ridicule, tu le sais au moins ? et tu me saoules en fait du coup, j’sors de la cuisine pour prendre la direction de la chambre, empoignant un sac où j’y glisse quelques affaires de rechange. « j’vais chez cléo, profites en. » pour faire ce que tu veux, voir qui tu veux, peu importe. je m’en fous. et y avait un paquet qui tombait de l’armoire, que je ramassais agacée. « oh, c’était pour toi. » je le lâche sur le lit, dépitée. tu sais qu’on est supposés se marier ? bah j’avais fais la démarche de te choisir une alliance, juste parce que ça me tenait à coeur mais puisque t’as tellement de « femme », nique toi avec ça.
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Et malgré tout, il avait passé outre les surnoms mignons et les marques d’affection qu’elle offrait à Maël ou à Noah, il n’avait plus rien dit, alors que Victor, il n’était pas plein de je t’aime et de mon cœur ou mon amour envers le peu d’amis féminines qu’il avait. Et encore. Il avait très peu d’amis, si Ella était considéré désormais comme tel. Il soupirait quand elle décida de faire ses affaires pour partir chez Cléo. Victor souleva les sourcils à sa fuite, parce qu’elle se plaignait souvent qu’il fuyait le conflit mais elle en faisait de même. « Bah va, écoute. J’vais faire un harem avec toutes mes femmes pendant ton absence ! » Ironie à la con, il était énervé et il n’avait pas de patience. Puis Camila jeta sur le lit un paquet, et il profita de son départ vers la porte pour ouvrir la petite boite et… voir une alliance pour homme. Elle était partie l’acheter, malgré les conditions physiques qu’elle menait et le peu de temps que lui laissaient ses dialyses. C’était peut-être l’attention dissimulée la plus tendre et belle qu’elle lui a faite. Mais sa fierté d’homme de la maison était tel qu’il ne disait rien, juste ému par l’attention sans pour autant retenir Camila. Il sortait de la pièce, et la regardait partir. « Amuse-toi bien hein. » Et clopinant comme un con, il s’installa dans l canapé pour allumer la télévision et démarrer la playstation quatre. Tant pis. Il restera le même connard qu’il y a quelques minutes, d’autres couches en plus, histoire de bien faire comprendre à Camila que lui aussi, il en avait ras le cul.

@camila wildingham
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