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(becca) when the past slaps you

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Je n'ai qu'une hâte : rentrer chez moi, retirer mes chaussures et me foutre dans mon canapé pour geeker. Enfin, pas facile avec un bras handicapé à cause de l'attentat, mais si j'arrive à conduire avec, je peux très bien remporter une partie de fortnite. Non mais. Quand à mon oeil droit, ma vue est toujours faible mais j'ai retiré mon pansement du coup, quand on me voit, on n'a pas l'impression que je suis quasi aveugle d'un oeil. J'ai juste une marque comme si j'avais reçu un coup de poing et je dis à tout le monde que ça va. J'aurais pu encore garder mon bras stabilisé dans un ruban, ou garder mon cache-oeil, mais sérieusement, j'ai pas besoin de jugements en ce moment. Je veux être normal, faire comme si tout était normal. Lorsque les cours se terminent, je me réjouis d'être dans ma voiture, de mettre le chauffage e la musique à fond. Sauf que quand j'arrive dans le parking, impossible de retrouver ma voiture. Fais chier. J'ai quand même pas eu une commotion. Moi et ma mémoire de Nemo... Alors je fais le tour du parking. Je dépasse une blonde, n'y prêtant pas tout de suite attention. « putain c'pas possible, t'as rien de bon dans le citron laszlo.  » que je dis à voix haute, je m'auto-insulte. Je reste planté là, je pose mes mains sur mes hanches et je soupire, en espérant que ma voiture me tombe du ciel comme ça, bam. Y'a toujours cette présence féminine à côté de moi mais je suis trop concentré à chercher où j'ai bien pu garer ma voiture ce matin dans ce foutu parking.

@Becca Windford-Stoe
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C’était le moment de rentrer. Moment bénis de chaque journée que je passais à l’université. J’allais enfin pouvoir prendre un bon bain et me détendre après l’horaire de sport qui vient de me frapper de plein fouet. Du coup je marchais jusqu’à ma voiture jusqu’à ce qu’un mec passe à côté de moi. Ce parfum, cette chevelure, je le reconnaissais tout de suite. Je m’arrêtais, parce que je ne savais pas si c’était une coïncidence ou clairement une caméra cachée. Laszlo. Il disait son prénom et je savais qu’il ne s’agissait pas de n’importe qui. Je savais qu’il s’agissait de cette même personne que j’avais connue il y a trois ans. De ce gars important que j’avais abandonnée comme si de rien n’était lors d’une nuit pas si ennuyeuse que ça. Une nuit beaucoup trop perturbante. Il avait l’air perturbé, impatient aussi pour le coup. Je ne savais pas si je devais dire quelque chose ou simplement me fondre dans la masse comme d’habitude. Disparaître comme je l’avais fait préalablement. « C’est possible que si que tu y crois. » Après tout, je savais qu’il était intelligent. Je n’en doutais pas. Il allait reconnaître ma voix ou simplement faire abstraction s’il était censé. Pourquoi est-ce que je faisais ça ? Même moi je ne le savais pas. « Salut Laszlo. » Une moue gênée mais en même temps je me tenais droite. Je me devais d’assumer tout ce qu’il me reprocherait, parce que j’avais fait une erreur, je l’avais abandonnée et je m’en voulais.
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Attendez, cette voix je... je la connais. Je n'ai même pas encore posé le regard sur cette personne que mes poils s'hérissent. Mon coeur pince. Merde. Becca. Ma Becca. Faut croire que je suis abonné aux crises cardiaques, mon passé vient me fouetter de plus en plus ces derniers temps. Je tourne la tête vers elle et je constate que c'est bien elle. Je reste sans voix. Ma bouche reste ouverte, attendant de gober une mouche. Des flashs reviennent, des éclats de rire, des câlins... et la drogue. Surtout la drogue. C'est elle qui m'a plongée dans tout ça, qui m'a montré un autre moyen de subir la vie quand on a plus la force de se battre. Je déglutis et je fais la même moue gênée qu'elle. « salut becca. » ou Bec pour les intimes, mais on en est plus à ce stade. On l'a jamais vraiment été. Je le pensais. Mais elle est partie du jour au lendemain sans me donner de nouvelles après une tendre nuit passée ensemble. Je perds mes moyens. Qu'est-ce qu'elle fout ici ? Je n'ai aucune envie de lui parler. « aurevoir becca. » que je m'empresse de dire avant de lui laisser le choix d'en placer une. Je chasse son regard et je continue d'avancer en espérant vite trouver ma voiture pour me barrer de ce parking. Je suis pas rancunier, enfin pas trop, juste que quand une situation me fait paniquer, j'ai tendance à fuir.

@Becca Windford-Stoe
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Quand il se tournait vers moi, quand je voyais enfin ce visage qui m’avait hanté pendant longtemps, j’avais mal au cœur. J’avais vraiment mal, parce que je voyais qu’il était dans l’incompréhension et dans une stupeur évidente. Il disait mon prénom et j’avais failli sourire. Je m’étais retenue, parce que ce n’était pas le moment ou même le contexte. J’étais partie et je devais assumer les conséquences de mon acte. Même si ces conséquences n’étaient pas des plus joyeuse, même si je devais faire face à la personne que j’avais le plus aimée sur le sol américain. Il me disait au revoir et ça me brisait un peu plus. Je le voyais continuer sa route se retournant, et je ne pouvais littéralement pas le laisser faire ça, du coup, ouais, je lui ai posé la main sur son épaule pour le stopper dans sa course. « Je suis désolée. Mais… » Mais quoi ? Bougre d’idiote de rien du tout. En vrai je ne savais même pas comment lui expliquer la situation. « Il faut arrêter de faire comme si on n’avait jamais été lié de quelques manières. » J’étais désolée d’avoir prétendue le contraire. Je le lâchais pour ne pas l’embêter.
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Je prends mes clics et mes clacs et je me barre. Sauf que Becca, elle me rattrape. Surprenant, je dois l'avouer. Je m'arrête net, même si je lui tourne toujours le dos, comme dans les grandes scènes de cinéma. Un pas en arrière et j'embrasse ma tendre aimée, un pas en avant et je quitte sa vie. Sauf que là, dans mon cas, je n'ai pas envie de me retourner. « pardon ? » c'est juste risible. Je pivote et j'affronte son regard, sourcils froncés, traits sévères sur le visage. Est-ce qu'elle se rend compte de ce qu'elle vient de dire ? Calme-toi Laszlo, tu vas pas en faire tout un fromage, c'est du passé tout ça hein. Ouais ben justement, j'ai jamais vraiment oublié ce passage. L'épisode Becca m'a toujours laissé un goût amer dans la bouche. « parce que pour toi on était lié ? c'est pas l'impression que tu m'as donnée. ou alors c'est une drôle de façon de le montrer. » je souris ironiquement. Elle avait le droit de partir, je ne dis pas le contraire. Mais prévenir ? Au moins ça. J'ai cru qu'elle était morte, que j'avais fait un truc grave, je m'en suis voulu pendant des mois. Je crois qu'elle ignore tout le bordel qu'elle a foutu dans ma tête et dans ma vie en se volatilisant. Toute ma vie on m'a abandonné, dès mon enfance. C'est ma plus grosse phobie. Donc pardon si j'ai du mal avec les retrouvailles spontanées.

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J’aurais peut-être dû me taire. J’aurais peut-être même du partir sans même qu’il ne me voit, mais voilà j’avais osé ouvrir ma bouche et revenir. Même si j’avais tout fait pour ne pas le revoir durant des années cette fois était différente. J’avais entendu sa voix et vu son visage. Je ne pouvais pas laisser passer cette chance. En l’écoutant j’avais l’impression qu’il pensait ne rien compter pour moi. Je ne pouvais pas le laisser dire, c’était entièrement faux. « J’ai fait une erreur Laszlo, une grosse erreur. » Ça m’énervait un peu, parce que je n’appréciais pas qu’il pense ça de moi. Même si j’avais été faible et que j’avais disparue, je ne pouvais pas nier que j’avais un attachement pour lui. « Je comprends que tu me déteste mais… » Et voilà, encore ce mais sans suite parce que j’étais fermé sur le monde et sur mes sentiments. « Mais j’ai eu peur. » Il ne savait pas ce que ça m’avait rappelé, il ne savait pas que toute cette histoire, je l’avais déjà vécue dans le passé. Et que comme toutes les histoires, elle c’était mal finit. Trop mal. Sauf que j’avais une deuxième chance pour rattraper les choses. La preuve, il n’avait plus essayé de s’enfuir, donc c’est qu’il n’est pas fermé à la discussion.
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Je compte pas l'insulter de tous les noms en public comme ça, même si dans ma tête, ça fuse de tous les côtés. Je suis pas un gars méchant qui blesse gratuitement. Mais quand il s'agit de contrôler ma colère, j'ai du mal. ça se voit sur ma tête toute rouge que mes émotions sont en feu. Arrête de parler Becca, laisse-moi partir, c'est tout ce que je te demande. Mais elle insiste, elle avoue ses tords, et moi, je suis scotché. « pourquoi tu me le dis seulement maintenant ? t'imagines ce que ça m'a fait de savoir que tu t'étais volatilisée ? aucun message, aucun appel, aucun mot, même ça, t'as pas été capable de le faire... alors tu vois, tes excuses, j'ai du mal à y croire. » j'ai ce rire narquois qui me sort de la bouche, car je suis juste en train de rêver en fait. C'est un cauchemar, rien de plus. « peur de quoi ? de moi ? qu'est-ce que je t'ai fait ? » je suis le grand méchant loup c'est ça ? La peur, moi aussi je l'ai ressentie, plus d'une fois, surtout cette nuit là où on s'est rapproché. Mais tu vois, dans tes bras, elle s'était évaporée, je me sentais enfin apaisé et en sécurité avec quelqu'un. Mais t'as tout gâché, c'était trop beau pour être vrai. Je suis abonné aux coups tordus avec les filles.

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L’incompréhension de Laszlo était évidente à chaque fois qu’il reprenait la parole. Je comprenais à chaque fois un peu plus ce que je lui avais fait. Je me détestais de l’avoir laisser comme ça, mais nous avions deux personnalités et deux histoires différentes. De nombreux blancs subsistaient, et je voyais que cet abandon ne l’avait pas laissé de marbre. Bien au contraire, j’avais l’impression de lui avoir enlevé quelque chose. « Je te le dis maintenant, parce qu’entendre ta voix m’a donné une claque de trois ans en arrière. Je ne peux pas imaginer ce que tu as ressentis, mais j’essaie quand même de m’excuser parce que c’est important de le faire. J’ai merdé, je sais. Même envoyer un message je ne pouvais pas le faire. » Il pensait que j’avais eu peur de lui, mais c’était loin d’être le cas. Je ne savais pas si c’était l’endroit le plus approprié pour essayer de m’ouvrir à lui une dernière fois avant qu’il ne me jette pour toujours. Pourtant, j’allais quand même essayer un peu. « Tu ne m’as rien fait, au contraire tu étais exactement comme il le fallait, sauf que… Sauf que tout ça, c’était trop réel. Je te ruinais la vie, je t’ai ruiné ta vie. » Ce n’était pas lui le problème, ça ne l’avait jamais été. C’était moi. Il n’avait rien fait d’autre que d’être le parfait Laszlo. Qui pourrait lui en vouloir pour ça ? Personne.
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Je suis le genre de garçon qui prend facilement les choses à cœur et qui se renferme comme une huître. Je laisse rarement les gens me toucher et quand je retire ma carapace, à chaque fois, mais je dis bien à chaque fois, sans exception, je me retrouve plus bas que terre. Alors, est-ce que c'est ce que Becca essaye de me dire ? Qu'elle n'a pas eu peur de moi-même mais peur d'avoir mal ? A cause de l'attachement et des sentiments ? Vu à sa façon de pas très bien trouver les mots pour s'exprimer, ça doit être ça. Je suis pareil. « qui te dit que tu me ruinais la vie ? » c'était tout le contraire. Tu rendais ma vie meilleure près de moi. Cela ne durait pas longtemps mais c'était suffisant pour me donner une motivation de me lever le matin, car je savais que j'allais te voir. Je retrouve mon calme peu à peu, je sais pas pourquoi mais c'est comme si tout mon corps refusait de montrer des signes d'énervement face à elle. « écoute, je veux plus en parler, d'accord ? c'est du passé tout ça. » faire remonter tout ça n'était pas prévu dans mon planning aujourd'hui. J'entends bien ce qu'elle dit, je trouve juste pas les mots pour lui répondre. Je dois un peu digérer quoi.

@Becca Windford-Stoe
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Franchement, plus j’entendais sa voix, et plus j’avais l’impression de revenir à cette soirée. De sentir de nouveau cette émotion que je pensais enfouit à l’époque. C’était étrange, mais en quelque sorte logique. Je n’avais pas mis de point final, j’avais juste ouvert une parenthèse sur tout ça. On ne c’était, jamais dit au revoir, c’était plutôt un vague à plus tard. Quand il reprenait la parole, je ne comprenais pas vraiment comment il pouvait dire ça. Selon lui je ne lui avais pas ruiné la vie. Impossible. « Je sais que je te ruinais la vie, même si tu ne le penses pas. » Avec les drogues, avec ce monde dans lequel il était entré par ma faute. Je lui avais gâché la vie de différentes manières, mais il ne le savait pas encore. Il ne voulait plus en parler, c’était du passé. Je n’avais pas fait tout ça pour le rendre triste, mais je savais que ça avait été le cas. J’aurais été bête pour ne pas m’en être aperçue. « Je comprends, et j’espère sincèrement qu’un jour j’arriverais à me rattraper. » Il comptait Laszlo, il avait toujours compté même s’il pensait le contraire. Je n’avais pas disparue par plaisir, je l’avais fait parce que j’étais nocive pour lui. « Enfin si tu le veux bien… » Je ne jouais pas la maline pour le coup.
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