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klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick

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Klaus-Adriel Wilkan Khelos
23 ans ▲ Anglais ▲Célibataire





Mon profil
C'est le 24 décembre 1989 à Londres, que les membres de la famille Khelos m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Klaus-Adriel Wilkan. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de politiques depuis 5 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Winthrop House.

10 choses à propos de moi
je suis en quelque sorte la honte de la famille Khelos, je ne conviens pas au portrait que mon père avait dressé de moi avant ma naissance. ▲ pourtant papa, grâce à son immense empire, me donne des sommes astronomiques chaque mois pour que je lui fiche la paix ! merci papa tu es trop aimable !▲ je n'ai jamais écouté les règles, ni celles de mes nourrices, ou même des personnes qui s'occupaient de moi. j'ai toujours décidé moi-même. enfant pourri gâté ? non, j'essaie juste d'attirer l'attention de papa, en multipliant les conneries qu'il rembourse avec son argent. ▲ je suis le roi de la fête, je passe des journées à faire la fête. vodka, gin, tequila, whisky n'ont plus de secret pour moi, ni même les drogues. on comprend pourquoi mon père me hait ▲ de plus, je suis un véritable gentleman, j'offre toujours des verres à des jeunes femmes ou une paire de chaussures louboutin... mais je suis un véritable coureur de jupons. en effet courir après les femmes est mon sport favori depuis que j'ai 13 ans. ▲je suis un spécialiste de littérature, j'adore beaudelaire, laclos, mitchell.. tout ce qui est poésie, théâtre, roman, essai, tout est forcément passé entre mes mains. j'ai d'ailleurs pris goût à l'écriture, et il m'arrive de rédiger quelques lignes quand je m'ennuie. ▲ mon prénom klaus provient de mon arrière-arrière-grand-père, une légende dans la famille khelos, c'est lui qui a bâti notre empire. mon prénom est à la fois un hommage à cet homme, mais aussi un espoir de la part de mes parents afin que je lui ressemble. ▲ depuis mon enfance, j'ai tendance à tout détruire autour de moi, que ce soit intentionnel ou non. j'ai toujours eu la malchance de tout détruire sur mon passage. j'ai détruit la vie de plusieurs femmes, mais j'ai également détruit la mienne... par la faute de mon père ▲ je ne suis pas quelqu'un qui est froid avec les autres. bien au contraire, j'aime être entouré de présence féminine, mais à mon plus grand regret j'ai souvent été seul. voilà pourquoi aujourd'hui je suis devenu un gros connard. je ne suis pas mécontent de mon sort, cela aurait pu être pire. mais tout cela n'est qu'une facette. je suis bel et bien un grand manipulateur, menteur, rusé, mais aussi sarcastique, ironique, malsain.. tous ces défauts cachent certainement une bonne personnalité. ▲ pour finir, je suis un grand fanatique de sport. j'aime le footing, la musculation, le tennis. le culte américain du corps ne m'a pas oublié. pour moi, prendre soin de son corps est quelque chose d'important, c'est prendre soin de soi, et de son bien-être. par contre, je me contredis, étant donné que je suis un gros fumeur, alors info ou intox ?

Vie de merde
▲ Ma vie est une grosse VDM. Mais un jour mon père gagna le pompon. Il avait prévu une journée, où on allait passer la journée à deux. On allait pouvoir voir des joueurs de foot en vrai. J'avais 6 ans, mais mon père appela ma mère au dernier moment pour lui dire qu'il devait se rendre au travail. Malheureusement, j'ai terminé ma journée avec un jus de fruit en regardant le match à la télé. VDM ?



Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement
Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?
    Je n'ai pas besoin d'une seule minute pour donner ma réponse. Bien sûr que je viens, je ne décline aucune invitation. Surtout qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver au cours d'une soirée de ce type, une embrouille, more ? Ouais j'adore gâcher certaines soirées.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?
    Personnellement, les œuvres humanitaires j'en bouffe depuis que je sais à peine marcher. Un nombre incalculable de fêtes, de cotillons, de voyages.. afin de donner un petit chèque. Je ne m'y rendrai certainement pas, je ne suis pas mère Thérésa ! Je leur enverrai un petit chèque de la part de daddy par un de ses assistants. Après tout que chacun garde sa merde et les vaches seront bien gardées !

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?
    Je n'auditionnerai pas, je n'ai aucun talent.. Je pourrai éventuellement conquérir dans les pires casseroles, danseurs... A part pour s'amuser, je ne vois pas pourquoi j'irai perdre mon temps pour faire des trucs comme ça !

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?
    Très belle ? Ça m’intéresse, donnez-moi son numéro de téléphone et je vous répondrai un peu plus tard.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?
    Hum une vente aux enchères.. Pourquoi pas. Ca peut être intéressant, je pense que quand on connait les personnes de l'organisation, il y a de quoi s'amuser. Vous m'avez séduit, je suis partant !

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?
    Que du positif, étant donné que j'arrive de cette façon. Peut-être pas avec une Ferrari, personnellement je préfère les porsches, mais après ce n'est qu'une histoire de goût !

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?
    Les premiers jours je m'y rendrai. Je suis un expert en littérature, mais si je trouve que la conférence n'est pas à la hauteur ou intéressante, je ne vois pas ce qui me pousserait à continuer de suivre la conférence.. Sauf la présentatrice peut-être..



Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle darling-sweet ou nissa et j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à google. Personnellement, je cherchais un rpg. Je devais absolument m'inscrire sur celui-là. Non seulement, je trouve le design agréable, et le fait qu'il y ait beaucoup de monde est amazing, mais je suis tout autant tombée amoureuse de l’organisation des profils et de l'aspect du forum, alors rien que pour ça je vous, aime; mais ça on a du déjà vous le dire klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 3850463188 alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, jj'aurais besoin d'aide. J'utilise ed westwick comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 400 ou + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ :sex1: :sifle:

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Mon parcours

chapitre 1 : welcome baby !

« C’est un garçon, monsieur ! ». James fit rouler entre ses doigts le verre de whisky qu’il avait entamé pendant que sa femme était en train d’accoucher. Il but le reste en faisant une légère grimace. Il se redressa et se heurta à une photo. Celle de sa femme et lui durant le lycée. Un amour à sens unique, elle ne venait pas d’une grande famille, ses parents étaient des sangs nobles mais sans sous, ce mariage avait été arrangé pour redorer le blason de la famille Anglaise. Sans sous, ils ne pouvaient aller à la cour, le business de la famille Khelos était puissant, de quoi effacer les dettes et donner un peu d’argent. Il n’est pas utile de préciser qu’en tant que famille de noblesse, la dot était obligatoire. Mais qui a aimé dans cette histoire ? James. Il était fol amoureux de cette femme, elle était la beauté incarnée, l’image même de la perfection. Jamais il n’avait vu une telle créature. Kaitlynn n’aimait pas l’idée de se marier avec ce type, rien que pour son argent. Elle ne voulait pas vivre comme les femmes du XIXème siècle. Elle ne voulait pas être privée d’amour. Elle se rendit vite compte qu’il était amoureux d’elle et prêt à tout pour la séduire. Elle faisait l’armure, elle ne voulait pas se montrer tendre avec lui, mais elle ressentait bien quelque chose pour lui. C’était indéniable. Il reposa la photo, sur l’immense meuble en acajou massif. Un grand sourire, il rentra dans sa chambre. En effet, la jeune femme avait décidé d’accoucher à la maison. James avait cédé à ses caprices. Son visage angélique était endormi après un tel effort. Il sourit en déposant un baiser sur ses lèvres. Il n’avait jamais été aussi heureux. Une sage-femme se rapprocha de lui. Elle portait dans ses bras, une couverture bleue enroulée autour d’un petit corps. Elle le donna au père. Il vit pour la première fois son fils, ce dernier se sentit apaisé dans ses bras. En effet, un léger sourire était dessiné sur ses lèvres. Il ressemblait à sa mère, il semblait si petit, si fragile, c’était un cadeau de la nature, même du destin. Il caressa son visage et déposa un baiser sur son front. Afin de montrer sa satisfaction et sa fierté de père. « Comment s’appelle-t-il ? ». James fut retiré de ses pensées, il redressa sa tête, et berça légèrement son enfant de gauche à droite. Avec un grand sourire, il regarda la sage-femme et lui répondit : « Il s’appelle Klaus- Adriel Wilkan Khelos ! »

chapitre 2 : why daddy doesn't like me ?

« Maria, je pars au travail, chargez-vous que Klaus se tienne un peu tranquille ! ». La bonne femme acquiesça, d’origine mexicaine, elle n’avait pas vraiment le choix. Elle devait se plier aux exigences de la famille pour satisfaire Monsieur et Madame afin d’obtenir son permis de résidence en Angleterre. Klaus n’était pas bien loin, il savait que son père partait au travail, encore une fois. Mais il ne voulait pas le laisser partir. Il n’était jamais présent pour lui. Bien sûr, il y avait sa mère et Maria, mais ce n’était pas pareil, elles ne jouaient pas au foot, elles. Il courut rejoindre son père, avant que les portes de l’ascenseur se referment. Ding.. Ding, c’était trop tard encore une fois ! Klaus n’avait pas pu embrasser son père. Ce dernier était parti sans l’embrasser, ni même le regarder une seule fois. Il avait à peine cinq ans, ses jeunes souvenirs ne lui permettaient pas de savoir si son père avait été présent au moins une fois en 5 ans. Par ailleurs, M. Khelos n’avait pas passé une seule minute à s’occuper de son propre fils. Il avait été un jouet qui l’avait émerveillé 5 mins. Au final, il avait fini au placard comme tout ce qui n’est plus d’usage. Malheureusement pour lui, Klaus était un enfant et il le collait comme la peste, ce qui avait tendance à l’énerver et à le faire fuir. Kaitlynn débarqua dans la pièce, elle vit son fils recroquevillé sur lui-même. Elle avait l’habitude de cette scène, c’était toujours la même chose. Son mari partait abandonnant tout sur son passage, il ne faisait pas attention aux dégâts qu’il causait. Elle se rapprocha de lui, se baissant, le petit garçon bondit dans ses bras pour pleurer une nouvelle fois. Attristée, sa mère le prit dans ses bras pour le bercer. La seule personne qui ne lui tournait pas le dos, était sa mère. Ce fut la seule personne que Klaus aima. La seule qui lui prit le cœur fut sa mère. Du moins c’était la seule qui se souciait de lui.


chapitre 3 : good bye mum

Durant son enfance, Klaus apprit toutes les bonnes manières. Tout se rapprochait de l’étiquette. Pendant que les enfants jouaient au ballon, aux gendarmes… Klaus lui, restait chez lui. Il apprenait la danse, des langues vivantes, l’art de la table… Des tas de professeurs ne cessaient de rentrer et de sortir du grand manoir. Ils ne cessaient de laisser place au courant d’air. Klaus n’avait pas le temps de respirer, sa vie était programmée et chronométrée, il ne devait pas perdre une seule seconde à s’abrutir devant une télé ou à jouer tout seul. Sa mère lui forgeait une éducation et une vie dont elle avait toujours rêvé. Elle avait toujours voulu que ses parents s’occupent d’elle et lui donne la meilleure éducation. Malheureusement pour elle, le manque d’argent était trop colossal pour qu’elle puisse faire quoi que ce soit. Quant au père de Klaus, il faisait son activité favorite : il faisait des chèques pour prouver sa présence. Il était de moins en moins là.
Tous les soirs c’était la même chose, Klaus était dans le grand salon, il racontait sa journée. Sa mère l’écoutait par politesse, mais elle était préoccupée. Elle se faisait du souci pour son mari, mais elle avait surtout entendu des bruits de couloir. Il paraissait que si James ne rentrait pas, c’est qu’il voyait d’autres femmes. Son pire cauchemar venait d’arriver. Comme à chaque fois, Klaus alla se coucher. Il embrassa sa mère sur la joue. Maria l’emmena dans sa chambre. Mais une nuit, tout ne se passa pas comme prévu. Kaitlynn était allongée devant la cheminée. De grandes flammes jaillirent de cette dernière. Un verre de vin blanc à la main, elle l’avala tout en le regardant. Elle n’était pas dans son état normal. Elle rêvassait, elle était dans un autre monde. L’accumulation de son taux d’alcoolémie n’arrangeait rien. Elle n’en pouvait plus de cette cage dorée, et de cette vie pleine de complexes. Elle attendait toujours son mari. Au final, il terminait avec une autre. Ce soir-là, l’orage grondait dans la banlieue Londonienne. Si bien que le petit garçon ne trouva pas le sommeil. Il descendit les escaliers, dans le noir, Maria dormait profondément et n’avait pas surveillé le petit. Tant mieux ! Il voulait sa mère, non cette nourrice ou bonne. Cette dernière n’était pas dans son état normal, elle déambulait dans le grand salon, les larmes aux yeux, les cheveux ébouriffés et le maquillage saccagé. Il n’avait jamais vu sa mère dans un tel état. Elle, qui faisait toujours attention à son apparence, elle ne se permettait aucun écart. Elle était la parfaite petite épouse. Seulement cette nuit-là, elle avait décidé d’en finir une bonne fois pour toute. Elle tenait dans ses mains un poignard. Elle le regarda de tous les côtés et le plaça au-dessus d’elle. Elle vit son fils à travers le reflet. Effrayée, elle cacha le poignard derrière son dos. Elle le raccompagna dans sa chambre, un faux sourire sur les lèvres. Elle le rassura, tout allait bien se passait. Comme à son habitude, elle l’embrassa sur les lèvres et ferma la porte en lui assurant que demain il allait être plus heureux. Sans ne se soucier de rien, le petit garçon resta allongé. Il voulait écouter sa mère. Une des règles de chez les Khelos, on écoute, on ne bronche pas. Klaus l’avait appris à ses dépens. Il n’avait pas droit à l’erreur.
Kaitlynn se dirigea dans la salle de bain, un verre en main, elle fit couler un bain. Elle avala un paquet de somnifères et se plongea dans son bain chaud. Quelques minutes après, elle n’était plus de ce monde laissant son fils. Le lendemain matin, James rentra du travail et alla chercher son fils dans sa chambre. Un brunch était organisé, il fut surpris de ne pas voir sa femme prête dans le hall, il la chercha partout sans succès. Klaus poussa une porte, par accident, un cri strident retentit dans tout le manoir. Son père accourut de toutes ses forces. Il vit dans la baignoire, le corps de son épouse inanimé. Elle était décédée. Il tira le rideau de la salle de bain et demanda qu’on prépare son fils. Il se baissa pour appeler une ambulance. Un triste regard voila son visage, lui faisant prendre 10 ans de plus. Il n’arrivait pas à croire qu’il avait perdu sa femme. Elle était toute sa raison d’exister et elle avait disparu, sans rien lui dire. Il se mit à pleurer, mais une heure après, l’histoire fut réglée. Son épouse avait été emportée, la salle de bain était nettoyée et Klaus allait prendre un vol pour l’internat le plus éloigné d’Angleterre.

chapitre 4 : good bye london

York, ville d’Angleterre. Voilà où Klaus demeurait depuis la mort de sa mère. Sept ans étaient passés, Klaus avait maintenant 14 ans. Il vivait à l’internat, il ne voyait sa résidence que pour les fêtes et les vacances. Cet internat était destiné à tous les enfants de personnes riches et célèbres. Ils prenaient en charge leur éducation et les formaient pour devenir des ladies et des gentlemans. L’art anglais, un art auquel le jeune homme ne montrait aucun intérêt. Le seul qu’il voyait c’était qu’il était enfermé dans cette bâtisse. Il pouvait à peine respirer, si ses notes étaient excellentes, son moral n’était pas vraiment au rendez-vous. Il n’avait pas eu des nouvelles de son père depuis plus de quatre mois. Il n’était pas rentré pour noël. Klaus s’était retrouvé avec Maria devant une dinde brûlante. Il avait fêté Noël avec le personnel. Maintenant il devait rentrer Londres pour les nouvelles vacances. Il clôtura ses valises, un membre du personnel les plaça dans la limousine de son père. Il monta à l’intérieur en priant pour ne pas se retrouver encore une fois de plus dans cet endroit. Son rêve allait être réalisé !
Londres était brumeux et terne comme à son habitude, mais c’était son charme. Un grand sourire aux lèvres, il vit sa maison. Lorsque le chauffeur se gara, le jeune homme rentra en courant pour aller chercher Maria, mais à sa place, il trouva une autre femme. Une femme trop élégante pour être une domestique. « Qui êtes-vous ? ». La jeune femme lâcha son verre et se rapprocha de lui avec un léger sourire hypocrite. Elle le prit dans ses bras afin de le serrer contre lui. « Oh tu dois être Klaus ! Je suis tellement ravie de te rencontrer ! ». Son père arriva derrière lui en renouant sa cravate. Klaus serra ses poignets. Il savait que son père n’arrêtait pas de ramener ses amantes, ses maîtresses, ses putes.. Enfin appelez-les comme vous voulez. Il ne pouvait pas supporter toutes ces poufs qui décidaient en une seule seconde qu’elles allaient être sa mère. Personne ne pouvait la remplacer, elle était morte ! « Il vous a dit qui il avait ramené avant vous ? ». La jeune femme ouvrit la bouche, elle était assez grande pour gober les mouches. Elle se retourna contre James pour s’expliquer contre lui. La tornade Klaus était lâchée. Il se dirigea dans sa chambre, où il rangea ses affaires. Restant sur le balcon, il s’alluma une cigarette. Il n’en pouvait plus de toute cette pression. Il vit la jeune femme claquer la porte du manoir, les larmes aux yeux. Un sourire ironique traversa ses lèvres. Ça allait barder, il allait en entendre parler toute la soirée. Mais peu importe, personne ne rentre chez lui, surtout pas une fille des bas quartiers qui se prend pour sa mère. Ce fut l’heure du dîner, comme à son habitude, il descendit pour rejoindre la cuisine, il n’aimait pas manger seul dans la salle à manger, il préférait manger avec Maria. Mais cette fois-ci, la table n’était pas dressée pour lui. Il se dirigea vers la salle à manger, son père l’attendait de pieds fermes. Il était assis, se faisant servir de la soupe. Klaus s’assit machinalement sur la chaise, il posa sa serviette sur ses genoux. Les couverts en argent entre les doigts, il regarda son père du coin de l’œil. « Décidément Klaus, je me demande ce que je vais faire de toi. Ta mère meurt par ta faute, et maintenant tu chasses mes conquêtes, pour qui te prends-tu ? ». Il lâcha brusquement sa cuillère, regardant son père. Le regard vif et glacial. Sa mère était le sujet sensible. « Mère n’est pas morte à cause de moi ! Vous vous trompez père ! N’avez-vous pas honte de ramener vos choses ici, alors que vous m’expédiez de l’autre côté de l’Angleterre pour votre plaisir personnel ?! ». Son père essuya ses lèvres avec sa serviette, il la déposa sur le rebord de la table et croisa ses doigts avant de les faire craquer, un par un. « Tu vas apprendre le respect jeune homme. Je comprends pourquoi ta mère s’est suicidée. Tu n’es rien, tu n’es capable de rien. Tout ce qu’il y a autour de toi, tu le détruits et pour te consoler tu fais souffrir le monde. Mais sache une chose, jamais tu ne gagneras mon amour, tu n’es qu’un étranger pour moi ! Ta mère t’aimait certes, mais avec moi ce ne sera pas la même donne ! Jamais tu n’auras à faire à moi. Je ne veux pas être confronté à toi. Je te ramène à Londres, pour que tu finisses tes études, et qu’on essaie de faire de toi un gentleman, avant que tu ne salisses notre nom. Ta mère doit bien se retourner dans sa tombe en te voyant, petit idiot ! »La conversation s’arrêta là. Le jeune homme prit la fuite en courant. Il ne pouvait plus se mesurer à son père. Il avait touché la corde sensible et avait provoqué au fond de Klaus, un sentiment d’incompréhension, de haine et de chagrin.

chapitre 5 : london is mine

La vie Londonienne était un véritable bonheur. Klaus n’était plus obligé de rester coincé entre quatre murs. Il était étudiant au sein de l’un des meilleurs lycées de Londres, un lycée dans lequel la bourgeoisie et l’argent étaient les seuls mots que comprenaient les individus. De plus, le jeune homme ne dérogeait pas à la règle. Il avait compris que son père payait tout. Il n’avait qu’à brandir sa carte de crédit pour tout obtenir. C’était un véritable luxe. Les journées du jeune homme rythmaient toujours de la même façon. Il enchainait les soirées, les bals masqués et les réceptions, mais ce n’était qu’une partie de plaisir quand tous les jeunes se retrouvaient loin des adultes dans une ambiance différente. Si tout en haut rimait avec hypocrisie, les jeunes eux se lâchaient. Ils piquaient les grands crus de papa et maman et se laissaient aller à toutes sortes de drogues toutes nocives. Le but était de mal terminer la soirée. Il n’y avait aucune règle à respecter. Ils avaient tous été aussi frustrés par leur enfance qu’ils devaient décompresser du mieux qu’ils pouvaient. Ce soir ce fut un bal masqué. Pendant que ces jeunes dames se pomponnaient et cancanaient sur les garçons de la soirée. Ces derniers étaient tous réunis à l’arrière de la résidence, une bouteille à la main et un sourire sur les lèvres. Klaus était regroupé avec des amis à lui, ils parlaient de filles et de sport, des sujets qui n’étaient pas facilement abordables devant leurs parents. Ils se donnèrent à cœur joie pour terminer les crus qu’ils avaient rapporté, ils commencèrent à fumer ou à consommer des drogues dures. C’était le choix. Maintenant la soirée pouvait commencer. Les jeunes se retrouvèrent dans une grande salle décorée pour l’occasion. Klaus avait un grand sourire aux lèvres, l’univers de la nuit était le sien. Connu de tous pour ses exploits avec les femmes il avait l’impression d’exister aux yeux des autres. La soirée battait son plein, les jeunes femmes commençaient à ne plus tenir sur leurs hauts talons de prix et commençaient à se lâcher. On n’arrivait plus à distinguer les bonnes manières que leurs parents leur avaient inculquées durant toutes ces années. Klaus trouva sa proie, une jeune femme, qui semblait être perdue. Il arriva près d’elle, un grand sourire aux lèvres. « Mademoiselle semble perdue, je me trompe ? » La jeune femme acquiesça et se laissa guider. Il l’emmena dans une grande suite au-dessus de l’hôtel. Une vue imprenable s’offrait à eux. Il ouvrit le bar et lui servit un verre de whisky. Cette dernière l’accepta et le but d’une traite. Elle savait qu’elle allait être son dessert. Elle ne s’en plaignait pas pour autant. Dès qu’il finit son verre, leurs corps se serrèrent et s’emmêlèrent dans les draps sans qu’on ne puisse distinguer qui était qui.
La jeune femme dormait paisiblement au petit matin. Klaus reprit ses affaires. Il laissa à son chevet un petit mot en vantant les succès de la jeune femme et en mettant ses initiales sur un bout de papier. C’était sa signature. Il s’habilla et prit directement la voiture pour rentrer chez lui, son chauffeur était en bas et l’avertit que son père était rentré, au petit matin. Les vacances étaient finies et l’enfer venait de recommencer. Il fallait savoir que le père de Klaus savait tout ce qu’il savait. Il surveillait son compte en banque et trouvait des sommes astronomiques en vins, vêtements, maroquineries, mais aussi de grandes sommes d’argent liquide étaient prélevées. Il savait que son fils faisait la soirée toute la nuit, il ne se souciait pas de ce qu’il pouvait se passer pour lui, mais plus de l’importance de son nom. A son arrivée, Klaus eut droit au comité d’accueil. Le grand manitou le réclamait dans son bureau Ce dernier s’exécuta et rentra dans l’immense et intimidante salle. Son père derrière son bureau était perplexe et énervé, ses pommettes étaient dures et son sourire était crispé. « La nuit était bonne ? ». Klaus referma la porte et lui offrit son sourire ironique. « Excellente père ! ». Ce dernier s’esclaffa, il était dépassé par son fils et ne savait pas s’il devait le tuer, ou l’envoyer en Antarctique pour en être débarrassé. « Tu n’arrêteras donc jamais Klaus ? Ces nuits à coucher avec n’importe qui, à boire, à fumer je ne sais quoi, ou même consommer des drogues dures. Et encore s’il n’y avait que ça, tu ne travailles pas, tu perturbes les cours et la psychologie de tes camarades. Heureusement que tu as de bonnes notes, et encore je me demande comment tu fais. Je n’ai pas besoin de te dire ce que je pense de toi. Tu me déçois énormément. » Klaus se releva, il n’avait pas envie d’en entendre davantage. C’était toujours la même chose, il en avait l’habitude à force. Il se retourna avant de tirer sa révérence. « Vous voulez que je vous dise ? Changez de refrain père, celui-là je l’entends depuis que j’ai 14 ans, vous n’êtes pas fier de moi, je suis une honte pour la famille, on a compris ! Vous perdez votre temps, et votre argent. Alors faisons comme d’habitude, recevez des femmes, travaillez… Et moi je vais me coucher, on verra qui aura raison dans l’histoire, un jour vous serez fier de moi ! Et vous m’implorerez de vous pardonner de toutes vos histoires ! ». Il tira sa révérence mais son père ajouta une chose « Ah moins de déplacer des montagnes, je ne serai jamais fier de toi ! »

chapitre 6 : now it's my tourn

Rien n’avait changé depuis ce dernier accident. Klaus était toujours le même, mais il était meurtri par son père. Il avait grandi sans sa mère, la seule figure qu’il aimait. Celle qui l’avait protégé et aimé. Mais elle était partie comme une lâche, il la haïssait pour cela et ne se rendait jamais sur sa tombe. Il ne lui pardonnait pas de l’avoir laissé avec cet homme. En effet, cet homme n’était pas son père, mais son géniteur, il ne s’était jamais occupé de lui. Il le descendait à chaque fois et ne lui laissait jamais aucune chance. Depuis le temps, il avait compris qu’il devait se débrouiller seul sans l’aide de personne. Son père avait honte de son fils et n’acceptait jamais de lui parler ou de se déplacer pour lui. Après on s’étonnait qu’il tourne mal. Klaus ouvrit le courrier, ce matin était une grande chance pour lui. Il recevait ses listes d’admissions pour sa future université, il s’en fichait royalement. Il voulait juste se tirer d’ici. Il ouvrit la longue lettre rédigée par son lycée. Il avait été accepté à Oxford, et Harvard. Une chose assez impressionnante. Il avait décidé de partir à Harvard pour être loin de ce foyer. Il appela Maria, qui lui prépara une bonne coupe de champagne, il partagea ce succès avec elle, sa mère de substitution. Elle savait qu’il allait y arriver, elle avait prié sans cesse et ses prières avaient été entendues. Le jeune homme prépara rapidement ses affaires. Il allait devoir rentrer dans deux semaines, mais il était si pressé, qu’il ne pouvait se contenir. Ses valises prêtes, il prit le jet de son père pour rejoindre l’Amérique. Il envoya une seule chose à son père, ou plutôt il laissa une seule lettre. Il l’avait déposé sur son lit avant de partir. « Maintenant je vais à Harvard ! Vous en pensez quoi père ? Ce n’est pas assez prestigieux à votre goût ? On verra qui rira le dernier maintenant ! J’en profiterai pour salir votre nom de l’autre côté de l’Atlantique. »

Voilà la fameuse histoire de Klaus-Adriel Wilkan Khelos

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BIENVENUUUUE klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 3850463188

Je veux un lien parce que Klaus + ed klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 4205929361
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AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !! klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 4205929361
Un lien s'impose .. désolée, c'est genre obligatoire hanwii :loukas:
Sinon, bienvenue sur ILH klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 152426858
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OH MON DIEU JE MEURS klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 4205929361 klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 4205929361 klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 4205929361
Bienvenue parmi nous klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 185272391
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ED hanwii hanwii
Welcome *-* !
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Bienvenue sur ILH klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 3850463188

Bonne chance pour ta fiche hanwii

Have Fun ♥️
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MON DIEU ÉPOUSE MOI PARCE QUE ED klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 4205929361 je veux un lieeeen obligé hanwii
Bienvenue klaus-adriel wilkan khelos ► ed westwick 73120010
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Bienvenue parmi nous !
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Ouaaahhhh toutes ces femmes rien que pour toi ! MDR

Bienvenue ! hanwii !
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