Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility- Honoré - C'est si dur de résister aux sentiments que l'on éprouve. J'en suis actrice de ce moment.
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- Honoré - C'est si dur de résister aux sentiments que l'on éprouve. J'en suis actrice de ce moment.

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Diamond & Honoré
C'est si dur de résister aux sentiments que l'on éprouve. J'en suis actrice de ce moment.
J'avais dis à Honoré que je voulais du temps. Il me l'avait accordé, j'avais comme eu de l'espoir. J'avais espéré tant de jours de pouvoir être à ses cotés, de pouvoir lui dire combien je l'aimais. Je ne pouvais pas le nier, j'étais complètement amoureuse d'Honoré, ce n'était pas un petit flirt comme j'avais eu pour Jacob, ni même le jeu de séduction avec Ricardo, c'était ... désolant de souffrir autant pour un garçon. Je faisais taire cette peur en moi qui me disait de ne pas m'engager avec Honoré, je pourrais souffrir bien plus que je ne le penses. Je le savais et mes soupçons furent confirmés après les messages que j'avais eu avec Anastasiya. Ses messages qui m'ont carrément tués, perdues et surtout; fait pleurer durant une nuit entière. Comment j'avais pu penser que c'était moindre du coté d'Anastasiya, comment j'aurais pu croire que ça serait passé de son coté. Car en réalité, elle l'aimait bien, elle y était attachée et moi ... je n'avais plus le choix que de faire taire mes sentiments que j'avais pour Honoré et croyez le ou non, je n'y arrivais pas. Quand je le croisais, je ne pouvais m'empêcher de répondre à son sourire, quand je le voyais mes lèvres ne pouvaient s'empêcher de chercher les siennes pour sentir le bonheur. Je vivais un moment de ma vie auquel je devais penser qu'à moi pour être heureuse, mais je n'y arrivais pas. Je m'étais ramollis, j'avais fais place à l'amitié avec des personnes comme la Russe, ou bien d'autres encore. Et c'est ce qui me détruisait à présent, et c'est d'ailleurs pour m'en relever que ce soir du nouvel an, j'avais proposé à Honoré de le passer avec moi. Je ne pouvais pas lui dire directement au téléphone que je devais lui dire "non" au nom de mon amitié avec ma seule plus grande amie. Mais, je m'étais faite belle pour l'occasion, enfilant une magnifique robe rouge qui mettait mon décolleté en valeur, mon dos presque nu sans oublier mes talons de la même couleur. Je ne m'étais jamais donné autant de mal pour un homme, même coiffée d'une longue natte que je laissais choir sur le coté. Je le voyais arriver, et terminant mon cocktail, je me glissais dans la foule pour le trouver. Mais sachant qu'Anastasiya ferait plus attention aux fréquentations d'Honoré, je ne pouvais pas trop me monter... enfin vous voyez, amoureuse. Je passais mes mains dans sa nuque en le regardant, détaillant son visage avec une envie folle de le dévorer. «  Salut... je suis contente de te voir, Honoré.  » Je me pinçais la lèvre, je sentais mes joues se rougirent rien qu'en sa présence. Et dire que je renonçais à ça, l'amour, le plaisir de l'avoir dans mes bras. Quoi que... non, tant qu'il y a rien d'officielle entre Honoré et Anastasiya, je comptais bien profiter de ses bras. D'ailleurs, je ne me gênais pas pour le pousser gentiment contre le mur afin de me blottir dans ses bras et l'embrasser. J'avais envie de faire ça toute la nuit, profiter de ses bras. Je le regardais ensuite dans les yeux, essayant de sourire malgré tout. «  Je te réserve toute la soirée, mon beau!  » Un baiser sur ses lèvres puis j'attendais qu'il m'emmène danser, rêver comme il le faisait déjà depuis des semaines.

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• Le nouvel an… C’est mon premier loin de ma famille, du moins, ce qui m’en restait, c’est mon tout premier ici et je n’avais pas vraiment réfléchi avec qui j’allais bien pouvoir le passer. J’avais pris l’habitude de soit le passer avec des amis en France, soit allé dans ces putains de soirées mondaines qui te donne envie de gerber tes tripes tellement tu te fais chier, sauf que là, tout ça c’était bien loin, à plusieurs millier de kilomètres, et je n’avais aucune envie d’y retourner… Qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire alors ? j’en sais rien, je trouverais bien, après tout, je me suis fait des amis ici, alors bon, je pense que j’aurais bien pu trouver… Mais, sans attendre, j’ai reçu un message de Diamond qui me proposait qu’on le passe ensemble, je n’avais pas pu m’empêcher de refuser, et puis, j’avais vraiment aucune envie de refuser après tout. Notre relation était assez étrange, avant, nous n’étions que de simple plan cul, on se voyait pour coucher et point, c’était finit, mais, tout avait bien évoluer, désormais, nous couchions ensemble, mais il y avait quelque chose en plus, quelque chose de bien mieux, de bien plus grand, de bien plus beau que de simplement coucher et se casser. Alors, pourquoi j’irais refuser ça étant donné que je savais que j’allais passer une belle soirée ? C’est pourquoi je me prépare, enfilant une tenue classe mais tout de même décontracté. C’est après une bonne heure que je fus enfin prêt et que je pu aller rejoindre la belle. Entrant dans cet endroit qu’elle m’avait indiqué, je la vis au loin s’approcher de moi et là, je fus comme choqué… Elle était magnifique dans cette tenue, il n’y avait rien à redire, la perfection, même mieux… Une fois face à moi, elle prit la parole. . « Salut... je suis contente de te voir, Honoré. » Un sourire sur les lèvres, j’avais envie de la prendre avec moi et de lui faire l’amour direct en fait, c’est fou comme une tenue peu mettre en valeur une personne, déjà qu’au naturelle elle était parfaite, mais dans cette robe, c’est inexplicable… « T’es magnifique… » Officiellement, nous n’étions pas ensemble, alors, on avait aucune raison de s’embrasser ou je ne sais quoi, mais, j’en avais envie, j’en avais terriblement envie. C’est quand je commença à m’approcher d’elle qu’elle m’emmena contre un mur pour me devancer et m’embrasser. « Je te réserve toute la soirée, mon beau! » Déposant mes mains sur les hanches de la belle, je la serra contre moi pour l’embrasser amoureusement avant de décoller mes lèvres des siennes et de la prendre par la main pour l’emmener dans là où tout le monde était. « J’sais pas vraiment danser tu sais… Tu veux prendre le risque ? » Un léger sourire sur les lèvres, je détaillais la tenue de la belle de haut en bas. J’savais même pas qu’une robe aussi belle pouvait existait en fait… Comme quoi, avec elle, j’en découvre tous les jours… •
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Diamond & Honoré
C'est si dur de résister aux sentiments que l'on éprouve. J'en suis actrice de ce moment.
J'avais vraiment très peur en ce moment, et je comprenais pourquoi je n'avais pas voulu m'engager. Je comprenais pourquoi j'avais refusé les hommes dans ma vie jusque là, la souffrance, la retenue, l'envie, la passion. Tout cela se mélangeait dans une histoire, et c'était vraiment très dur. Et quand je le regardais, je ressentais tellement de bonheurs, c'était ça ce que je recherchais depuis des années, l'amour, la passion, aimer quelqu'un. Et depuis qu'il était là, j'en étais transporté. J'aurais tellement aimer pouvoir pavaner mon amour pour lui, montrer à toutes les filles d'Harvard qu'il m'appartenait et qu'en plus de ça, la moindre fille qui s'approchait "trop" de lui risquait sa vie. Mais ce n'était pas possible, une seule personne me retenait pour notre relation et ce n'était pas ma famille, ni le peu d'anciens amants que j'avais mais bien ma plus grande amie. Que devais-je faire en ce moment précis ? Lui en parler. Mais je n'osais pas, j'avais peur de sa réaction. D'ailleurs, je risquais pas de lui dire rapidement, c'était trop bon de l'avoir à mes cotés. Je me sentaisrougir des pommettes à force de discussion. « T’es magnifique… » Hm, que d'attention. J'avais tout fait pour que cela lui plaise, qu'il soit fier d'être à mes cotés. Et avec encore plus de surprise, j'appréciais lorsqu'il était contre moi. Je le sentais son regard sur moi et je trouvais ça très agréable. Allez Diamond, profites ! C'était bien ça le truc à faire ce soir, profiter du bonheur qui m'était possible d'avoir. Dansons jusqu'à ce que nos corps n'en puissent plus et en demandent plus que ça. Je le suivais jusqu'à la piste, me demandant bien si ses talents au lit étaient les mêmes pour danser. « J’sais pas vraiment danser tu sais… Tu veux prendre le risque ? » Je ris, c'est vrai que s'il me l'affirme, c'était possible que ce soit vrai. Je me rapprochais de lui, toujours tout sourire l'appréhension naissante en moi. Je tapotais doucement ses épaules, regardant autour de moi. «  C'est pas grave, on peut faire autre chose.  » Je me retenais de l'embrasser, je ne pouvais pas le faire devant tout le monde. Si quelqu'un venait à lui dire qu'il m'avait vu avec Honoré à s'embrasser au milieu du bar, ça ne passerait pas du tout. Tout le temps que j'étais avec lui, ça me rappelait aussi le fait que je ne pouvais pas l'aimer comme je le voulais. Je passais ma main sur sa joue tendrement, tout en le regardant fixement dans les yeux de la même manière. «  On peut parler aussi du pourquoi Anastasiya est amoureuse de toi et que du coup, je peux pas continuer comme ça avec toi ?  » je grimaçais avant de quitter sa main pour m'enfuir dans un coin sombre du bar. Je connaissais l'impact de mes mots, j'avais parlé à Anastasiya, il m'avait offert du temps pour le faire. Autant le dire tout de suite. J'étais d'ailleurs visible d'où j'étais, ce n'était pas non plus le noir complet. J'invitais Honoré à me suivre de la main avant de joindre mes deux mains ensemble. j'étais stressée. Je devais lui parler de cette histoire, ne pas rester seule dans mon choix. Après tout, ça me concernait pas seulement moi mais aussi Honoré. Et lorsqu'il approcha, je ne pus m'empêcher de le dire soudainement, c'était sorti droit du corps. «  Je t'aime.  » Deux mots, sept lettres qui s'étaient échappés de mes lèvres. Ils résumaient tous mes sentiments pour Honoré. J'espérais qu'il ne prenne pas peur à ce que j'ai dis mais... je voulais le dire avant de lui dire la suite qui serait beaucoup moins romantique.

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Diamond & Honoré

• Lorsque j’étais avec Diamond, je ne me posais pas de questions. Je ne cherchais pas à savoir si ce que je faisais était bien ou mal, si ce petit jeu du chat et de la souris était vraiment nécessaire. Je ne cherchais pas à comprendre et je me laissais aller dans ce bonheur qu’elle me procurait. C’était ça que j’aimais chez elle, cette joie de vivre qu’elle avait, ce beau sourire qui était tout le temps collé à son visage, sa façon d’être, cette joie communicative. Avec elle, j’étais sûr de passer un bon moment, j’étais sûr de ne pas me prendre la tête, elle restait elle-même, je restais moi-même, aucun jeu n’était joué, aucun masque n’était porté, ont restaient tout simplement de jeunes adultes qui passaient du bon temps ensemble, rien de plus, rien de moins. On c’était mis d’accord, je lui avais laissé un peu de temps pour qu’elle réfléchisse à notre relation que l’on aurait très bien pu améliorer et construire, car oui, j’avais envie de me mettre avec elle, j’avais envie de pouvoir m’afficher avec elle, de ne plus devoir se cacher comme l’on faisait, mais, c’était bien plus compliqué que ça, ce n’était pas juste une histoire de cachette, de chat ou de souris, c’était bien plus que ça, c’était tout à fait différent, mais comme à chaque fois, je ne décide malheureusement pas de comment les évènements vont se dérouler et s’enchainer, alors, je subis, je subis et je fais en sorte de trouver une solution qui pourrait arranger tout le monde, sauf que cette fois ci, la solution était bien difficile à trouver, ce n’était plus simplement une histoire de cul, c’était beaucoup plus, du cul, des sentiments partagés, une envie d’aller plus loin, et j’en passe… Sauf que ce soir c’était le nouvel an, c’était pas juste une petite soirée comme ça, et, je savais très bien qu’après avoir bu quelques verres, je n’allais pas rester à dix mètres de Diamond et juste lui faire signe de la main, faut pas rêver hein… Je l’avais suivi sur la piste de danse tout en lui avouant que j’étais un bon gros caca à ce niveau-là, jamais je ne m’étais intéressé à ça en fait, j’suis plus le genre de gars qui va se balader dans la soirée et parler à pas mal de monde, donc, pas besoin de danser, mais, cette fois ci sur cette piste, la belle brune me scotcha sur place… « On peut parler aussi du pourquoi Anastasiya est amoureuse de toi et que du coup, je peux pas continuer comme ça avec toi ? » Hein ? Quoi ? Allez bam, bonne année bonne santé et toute la merde qui va avec ! J’étais là pour passer une bonne soirée et là elle me dit qu’on peut pas continuer ensemble, en fait, ma soirée avec être merdique là non ? Elle m’attrapa la main pour m’emmener dans un coin plus calme ou elle me fixa avant de me balancer un autre électrochoc en pleine gueule… « Je t’aime… » OKAY ! Là, je pige plus rien, un coup c’est on ne peut pas continuer, et le coup d’après c’est je t’aime… Je ne pus m’empêcher de sourire pour ensuite prendre ces mains entre les siennes et répondre. « Ca me touche que tu me dises ça, mais… Tu peux pas me balancer ça après m’avoir dit qu’on ne pouvait pas continuer… Faut que tu m’expliques là… » J’aurais très bien pu lui dire que moi aussi et lui sauter dans les bras, mais on se serait voiler la face et on aurait pas parler sérieusement… •
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C'est si dur de résister aux sentiments que l'on éprouve. J'en suis actrice de ce moment.
Je crois qu'Honoré et moi on devait former le plus beau couple de ce campus, voir même du pays mais là c'était clairement mon égo qui parlait. J'aimais Honoré, il était tellement... c'était mon idéal, l'homme parfait et même si on avait quelques soucis quant à notre relation, ça n'enlevait pas la beauté de nos sentiments. Enfin pour ma part, rien ne changeait quant à la passion, l'amour que je ressentais pour lui. Même si je savais que ce ne serait que de courte durée le bonheur qu'on avait tous les deux. Anastasiya, ma proche amie, l'aimait et moi je ne pouvais pas lui faire ce mal et lui retirer ce bonheur d'être auprès d'Honoré car oui... C'était un pur délice d'être à ses cotés, dans ses bras, dans son coeur. Je me sentais tellement heureuse que de lui avoir dit que ce n'était pas possible entre nous, ça me faisait tellement mal. J'avais même ressenti le besoin de lui dire ce que je ressentais pour lui, c'était la première fois que je le disais à haute voix. Vu qu'il ne voulait pas danser, on pouvait parler et il viendrait toute façon un moment où on devrait lever la question, on ne pouvait pas se voiler la face très longtemps. Se cacher n'était pas une bonne façon de vivre ses sentiments. Je regardais Honoré, il s'approchait de moi et la première envie que j'avais c'était de lui sauter dessus pour l'embrasser et continuer de lui dire "Je t'aime", ça avait été tellement bon de lui dire, ça venait du cœur ! J'étais libre de le dire mais ... c'était pas aussi facile qu'on le croit. « Ca me touche que tu me dises ça, mais… Tu peux pas me balancer ça après m’avoir dit qu’on ne pouvait pas continuer… Faut que tu m’expliques là… » je souriais timidement lorsqu'il m'avait dit que ça le touchait, c'est vrai que ... beh ça m'intimidait tout ça ! J'avais eu tellement peur de lui dire "oui" et maintenant que je l'avais fais, je me sentais comme sur un petit nuage même si... l'histoire d'Anastasiya me faisait carrément descendre sur Terre. Je remontais mes mains le long de son torse pour les passer autour de son cou pour me rapprocher de lui. Je devais tout lui dire. «  J'ai parlé avec Nastiya et ... elle t'aime... beaucoup. Et le fait que j'ai dis que tu étais avec quelqu'un, elle voulait "s'occuper de son cas"... et ... même si je suis son amie, elle m'en voudrait ... de ce qu'il se passe...  » je passais lentement ma main sur sa joue avant de déposer un baiser sur ses lèvres. J'en avais marre de ne pas vivre mon amour. Et je devais me décider, prendre une décision. Et lorsque j'y réfléchissais tout en le regardant, j'avais comme l'impression que le choix était fait. «  Je... je lui dirais. je vais prendre le taureau par les cornes et je lui dirais que je t'aime plus que tout au monde et que... je me vois pas passer une vie entière loin de toi. Je sais qu'elle me détestera, qu'elle m'en voudra de tomber amoureuse du même garçon qu'elle mais... t'es à moi, je te partagerais pas. Même à Ana.  » Puis soudainement, je l'embrassais. Je sais pas si c'était un élan de folie mais d'imaginer qu'elle irait dans ses bras, qu'ils s'embrasseraient... Non, je ne voulais pas de ça ! J'aimais trop Honoré pour le laisser filer. J'aimais trop lui appartenir comme il m'appartient. Je le serrais fort dans mes bras. "A moi... A moi..." répétais-je dans ma tête, sans compter mon cœur battant à chaque seconde qui passaient lorsque je lui offrais mon amour.

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• Une putain d’envie qui m’avait habité depuis le premier jour où j’avais croisé son regard, c’est comme ça que je pourrais décrire la chose qui m’habitait et qui s’amusait à me balancer des petits pics lorsque je n’étais pas à ces côtés, c’était comme un espèce de manque qui me rappelait de ne pas faire le con, de ne pas aller voir ailleurs et de me laisser aller à ces côtés. Vivre caché n’était pas la chose que j’aimais faire, bon, bien sûr, ça ajoutait un peu de piment, c’était plutôt drôle au début, mais, à la longue, ça devient vite lassant, chiant, faire attention aux regards qui pourraient croiser votre chemin, à tous ces passants qui vous fixe comme si vous n’étiez qu’une putain d’erreur de la nature qui n’aurait jamais dû foutre les pieds sur cette putain de terre, du moins, c’est pas le cas, mais c’est l’impression que tu finis par avoir, l’impression d’être observé en permanence sans pouvoir rien foutre, devoir garder tes mains dans tes poches pour qu’on ne pense pas que tu sois avec cette fille, il faut que l’on vous voies comme deux amis, rien de plus, rien de plus bordel ! C’est ce que je me rabâchais sans cesse dans ma putain tête de chevelue frisé… Sauf que cette personne me sorti de mes pensées. « J'ai parlé avec Nastiya et ... elle t'aime... beaucoup. Et le fait que j'ai dit que tu étais avec quelqu'un, elle voulait "s'occuper de son cas"... et ... même si je suis son amie, elle m'en voudrait ... de ce qu'il se passe... » C’est pas drôle, on est d’accord, mais, à ce moment-là, j’ai pas pu m’empêcher de rigoler, c’était bien Ana ça, et c’est comme ça que je l’aimais, mais, ce n’était pas pareil qu’avec Diamond, c’était différent, comment ? je ne sais pas vraiment, mais ça l’était. Avec Ana, jamais nous n’avions couché ensemble, on se contentait de passer de belle journée ensemble, des journées à rire, s’amuser comme des gamins rentrant dans l’adolescence et se foutant complètement de la vie d’adulte qui nous attendait. Je n’eus pas le temps de répondre que la belle brune attrapa mes lèvres pour m’offrir un doux baisé après avoir repris la parole. « Je... je lui dirais. je vais prendre le taureau par les cornes et je lui dirais que je t'aime plus que tout au monde et que... je me vois pas passer une vie entière loin de toi. Je sais qu'elle me détestera, qu'elle m'en voudra de tomber amoureuse du même garçon qu'elle mais... t'es à moi, je te partagerais pas. Même à Ana. » C’était beau, j’étais content qu’elle me dise ça, ça voulait dire qu’elle avait fait son choix, mais, un côté de moi m’empêchait d’être totalement épanoui, je ne voulais pas faire de mal à Ana, je ne voulais pas briser une amitié entre ces deux amis. Alors, caressant la joue de la belle brune, je lui offris un autre baisé avant de répondre à ces phrases. « C’est beau ce que tu me dis, et ça me touche, vraiment, mais… J’ai pas envie que vous vous preniez la tête à cause de moi, j’veux pas être le gars qui a brisé votre amitié… » C’était vraiment une situation merdique, j’peux vous l’assurez… De toute façon, j’me suis toujours foutu dans ce genre de situation, la première fois c’était entre Solweig et Colombe… •
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J'avais peur de perdre la personne que j'aimais. J'avais déjà donné mon cœur à quelqu'un par le passé. Ce qu'il en a fait ? Il l'a brisé, marché dessus sans vraiment faire attention à la personne que j'étais. Et maintenant que ça se répétait, ce n'était pas lui qui ne voulait pas de mon cœur, mais moi qui avait peur de lui donner. Et pourtant, qu'est ce que je rêverais de l'embrasser devant tout le monde, lui tenir la main, me blottir dans ses bras quelque soit le moment de la journée. Mais apparemment, je n'y avais pas le droit. Je ne blâmais pas mon amie de l'apprécier au delà de l'amitié, mais je voulais vivre l'amour, je voulais que ce soit honoré jusqu'au bout ! Et même sur ma lancée, je décidais de le dire à Anastasiya, je pétais un câble, je le savais mais ce n'était pas vivable. Être proche de l'être aimé sans pouvoir le toucher, c'était impossible pour moi. Je désirais être dans ses bras, avoir quelques baisers de temps à autres... Bref, j'étais malheureuse sans Honoré, et je ne pouvais faire que ça, en parler à Anastasiya et assumer ce qu'il se passait. J'aimais trop Honoré. « C’est beau ce que tu me dis, et ça me touche, vraiment, mais… J’ai pas envie que vous vous preniez la tête à cause de moi, j’veux pas être le gars qui a brisé votre amitié… » Je soupirais. J'avais l'impression qu'on échangeait les rôles comparé à la dernière fois. Je secouais la tête, je ne voulais pas l'entendre dire ça. Je serrais le Winthrop contre moi, je le câlinais tendrement. je n'arrivais pas à me faire à cette idée étant donné qu'il était à moi mais que je ne pouvais pas le dire à qui que ce soit... sauf lui. C'était frustrant, et ça ne me plaisait pas du tout. J'imaginais toutes les filles qui pouvaient essayer de le draguer croyant qu'il n'avait personne dans sa vie. A cette idée, je le câlins encore plus. Cependant, je devais parler avec lui, pas dévier sur un sujet comme les câlins et les bisous... Je me dé-serrai de l'étreinte, le regardant droit dans les yeux. «  Je dois lui dire. J'en ai marre de me cacher. J'ai pas envie que les filles du campus croient que tu es encore accessible, je veux le dire à tout le monde que je t'aime, je veux que tu me prennes dans tes bras n'importe quand et pas seulement dans un coin sombre pour que personne ne nous voit.  » Je baissais la tête, un peu triste. «  Je suis d'accord que je serais triste de perdre mon amitié avec Ana, mais on va se cacher combien de temps ? On est plus des enfants... J'ai le droit de t'aimer librement et elle se rendra compte avec le temps que je ne lui cherchais pas du mal mais seulement le bonheur...  » Je me pinçais la lèvre. Le plus dur n'était pas d'en parler à Honoré pour prendre une décision, mais ce sera de l'avouer à mon amie. Je passais ma main sur le visage d'Honoré. «  Si elle m'en veut, et décide de ne plus me parler. Tu resteras avec moi, hein ? Je suis tellement... bien avec toi.  » Autant lui dire encore un autre "Je t'aime" mais ce n'était pas si facile que ça de l'avouer !

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• Je voulais être avec elle, j’en avais terriblement envie, tout mon corps ne désirait qu’une chose, être collé au sien. Mes lèvres voulaient entrer en contact une fois de plus avec les siennes, j’avais envie de la serrer dans mes bras, de profiter de cette soirée au maximum, de profiter de demain, d’après demain, de la semaine prochaine, du mois prochain même, je voulais profiter de tous ces moments de pure bonheur que je pourrais passer à ces côtés, ces moments où l’amour serait présent, ces moments où nous pourrions rire, nous amuser, sortir, découvrir de nouveaux endroits, je ne sais pas, mais faire tout simplement ce qu’un couple fait. J’aimerais me réveiller à ces côtés, pouvoir l’embrasser en lieu public si j’en ai envie, ne pas devoir nous cacher comme des gamins de treize ans seraient obligé de faire, on a passé ce stade putain de merde, on en est bien loin, on a plus de vingt ans, et on sait ce que l’on veut, on sait quel sont nos désirs, on le sait, mais non, on se cache, on ne vit pas à cent pour cent cette relation qui pourrait être si belle, et, ça me fait chier, ça me fait chier de me dire que d’autres garçons peuvent venir la draguer. Elle était à moi et à personne d’autre… Le pire, c’est qu’elle était du même avis que moi, on partageait le même désir, les mêmes envies de devenir un vrai couple et de ne pas devoir se cacher… « Je dois lui dire. J'en ai marre de me cacher. J'ai pas envie que les filles du campus croient que tu es encore accessible, je veux le dire à tout le monde que je t'aime, je veux que tu me prennes dans tes bras n'importe quand et pas seulement dans un coin sombre pour que personne ne nous voit. » [...]. « Je suis d'accord que je serais triste de perdre mon amitié avec Ana, mais on va se cacher combien de temps ? On est plus des enfants... J'ai le droit de t'aimer librement et elle se rendra compte avec le temps que je ne lui cherchais pas du mal mais seulement le bonheur... » […]« Si elle m'en veut, et décide de ne plus me parler. Tu resteras avec moi, hein ? Je suis tellement... bien avec toi. » Je ne pus m’empêcher de sourire à sa dernière phrase. Est-ce qu’elle pensait vraiment que j’allais la lâcher et la laisser ? Faut pas compter là-dessus. La serrant dans mes bras, j’alla chuchoter à son oreille tout en caressant ces cheveux. « Compte pas là-dessus, j’te laisse pas… Si je t’ai dit que je te voulais, c’est pour te garder… » Après avoir finir ma phrase, je déposa un doux baisé sur les lèvres de la belle comme pour la rassurer, lui faire comprendre que même si ça me faisait chier en vers Ana, je ne la lâcherais pas pour autant… •
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L'amour me rendait vraiment dépendante de la personne que j'aimais. C'était comme prendre de la drogue, et devenir accro. Honoré était donc pour moi une drogue dont je ne pouvais pas me passer. Et pire que de la drogue, je ne partagerais pas du tout mon homme, rien ne pouvait me laisser l'échapper, pas même mon amitié avec Anastasiya. C'était même ce qui me poussait à le dire à l'Eliot. D'ailleurs, je me sentais enfin libre avec Honoré, libre d'aimer comme je le voulais. On allait être heureux ensemble, je le savais surtout que mon beau Winthrop n'allait pas s'ennuyer avec moi, je comptais bien lui montrer que j'étais la femme la plus parfaite de sa vie. Seulement, ses histoires de filles j'avais peur que ça le fasse partir, qu'il aille voir ailleurs pour éviter des problèmes. Et je ne voulais pas ça, je ne savais pas si j'arriverais à m'en relever. Bref, il me rassura en quelques mots. « Compte pas là-dessus, j’te laisse pas… Si je t’ai dit que je te voulais, c’est pour te garder… » Je rougissais, hm, il était vraiment romantique des fois, je découvrais cette facette de lui que je trouvais vraiment très agréable. Je répondais à son baiser, je tombais même encore plus sous son charme. C'était vraiment affolant comme sensation, mon corps était en appétit de sa présence. Pas spécialement que du sexe, mais de lui tout simplement. Je passais tendrement ma main sur sa joue en le regardant de la même façon. «  Tu es vraiment un amour, Honoré...  » Je l'attirais un peu dans un endroit intime, pas que je voulais me cacher mais je voulais me retrouver dans ses bras pendant des heures. je ne perdais pas de temps pour déposer mes lèvres sur les siennes et j'étais déjà au paradis. L'embrasser était pour moi une façon de lui dire que je l'aimais sans avoir à dire quoi que ce soit. Je glissais mes mains sous son tee-shirt pour retrouver les caresses de son torse jusqu'à les passer dans son dos pour le rapprocher de moi. «  maintenant que ... on est tranquille, ça te dit de m'emmener boire un verre pendant qu'on se câline, qu'on s'embrasse... devant tout le monde... Je pourrais t'apprendre un petit peu à danser... et ... j'aurais danser tellement sensuellement contre ton corps si musclé ... que tu m'aurais emmené dans un coin sombre... je te laisse imaginer la suite... » Je frôlais ses lèvres avec les miennes, me retenant de l'embrasser. J'avais envie de le jouer un petit peu avec lui. Je lui cédais tellement de choses depuis... mon corps, mes sentiments... Fallait bien qu'on s'amuse un peu non ? Je passais ma main sur sa joue, j'étais brulante de désirs pour lui.

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Diamond & Honoré

• Le trente et un décembre était le jour de mon anniversaire, et ça, peu de personne le savait. Je n’étais pas le genre de gars à vouloir recevoir un millier de message pour me souhaiter un joyeux anniversaire et toutes ces merdes que l’on peut recevoir pour la même occasion. Je n’étais pas le genre de gars à aimer les cadeaux vous savez, en fait, une personne qui restait un bon ami pour moi était un cadeau, je n’avais pas besoin de matériel emballer dans du papier cadeau pour apprécier une personne. Alors non, Diamond ne savait pas que ce soir, en cette soirée du nouvel an, c’était mon anniversaire. « Maintenant que ... on est tranquille, ça te dit de m'emmener boire un verre pendant qu'on se câline, qu'on s'embrasse... devant tout le monde... Je pourrais t'apprendre un petit peu à danser... et ... j'aurais dansé tellement sensuellement contre ton corps si musclé ... que tu m'aurais emmené dans un coin sombre... je te laisse imaginer la suite... » Elle me cherchait, c’est sûr et certain, je commençais à la connaitre et je savais à quoi elle pensait, je n’étais pas con, je savais très bien ce qu’elle voulait que j’imagine. Elle était là, contre mon corps, et me retenir de l’embrasser n’était pas possible, et, j’avais envie de la provoquer à mon tour, pourquoi serait-elle la seule à pouvoir le faire après tout ? Alors, un léger regard autour de nous pour m’assurer que personne ne nous regardait, je laissa ma main glisser sous la robe de la belle et toucher sensuellement son intimité. Un large sourire sur le visage, je retira rapidement ma main avant de l’embrasser amoureusement et de lui donner une réponse pour ce programme qu’elle venait de me proposer. « Et tu sais quoi ? C’est mon anniversaire aujourd’hui, et tu es le plus beau cadeau que j’aurais eu jusqu’à maintenant pour un anniversaire… » J’étais bien avec elle. A la base, cette relation qui n’était que sexuelle avait fini par évoluer, et, ce soir, elle atteignait enfin son but, elle atteignait enfin quelque chose de concret, quelque chose de beau, plus besoin de se cacher ou je ne sais quoi, non, maintenant, on allait pouvoir enfin vivre cette relation comme on le voulait… •
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