Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDe Bourlan ☆ Soit aussi fort qu'Hercules
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De Bourlan ☆ Soit aussi fort qu'Hercules

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C'est stupide mais tu as demandé à Marcos de t'aider à aller dans cette chambre. Tu ne peux ni bouger, ni marcher ou autre chose avec ta chambre et ton bras alors c'est compliqué. Il veut prendre le fauteuil roulant mais tu as dis non, tu ne veux pas du fauteuil roulant, t'es pas handicapé ou malade à ce point-là. Mais c'est le chantage qui te pousse à accepter. Il t'emmène à Deirdre et tu prends le fauteuil roulant. Sinon il ne t'emmene pas à Deirdre. Horrible sensation. Tu finis par accepter et il prend soin de ne pas te toucher légèrement pour que tu puisses te mettre dans ton fauteuil. Difficilement et tout lentement, tu arrives à y aller. Il ajoute un plaid et tu vois qu'il essaye prendre soin de toi mais tu ne l'aimes pas, il ne te connait pas et Juan est avec Sophia. Tu finis par soupirer alors qu'il insistes pour pousser le fauteuil. T'es pas à l'aise, tu fixes le sol, regardant droit devant toi, bien que tout cela soit compliqué. Ton téléphone dans ta main, tu regardes autour de toi pour arriver dans l'ascenseur et tu fixes un instant le paroi quand Marcos commence à parler mais t'es trop pris dans tes songes pour penser à autre chose qu'à Deirdre dans son état. Elle a dit qu'elle était pas belle, qu'elle était pas dans un bon état. Mais est-ce qu'elle sait qu'elle est toujours magnifique quoi qu'il arrive ? Et voilà que l'ascenseur s'ouvre et tu arrêtes le fauteuil pour te lever. Bon Marcos est bien plus rapide et sa main forte sur ton épaule t'empêche d'avancer. Ok, t'as essayé, t'as testé, t'as perdu. Tu finis par arriver devant sa chambre, après discussion avec la dame de l'étage, tu regardes sa porte et tu n'as même pas la force de frapper, il le fait à ta place. Mademoiselle Wheelan, pardonnez cette instrusion, je me permets de vous [...] Mais tu le coupes Ca va, elle a comprit non ? tu regardes Marcos avec ton air fatigué et il te pousse jusqu'au lit en silence avant de se reculer pour partir. Ah ouais, donc il te laisse dans le fauteuil horrible et il se barre ? Enculé d'espagnol va ! Bref, tu la regardes, tu la fixes et tu décides de t'asseoir sur le fauteuil plus en hauteur pour être au moins à sa hauteur. Tu t'aides de ta main qui ressent la force et tu t'asseois après quatre essais enfin dans la chaise. T'es une petite larve mais tant pis, tu lui souris doucement Tu es belle parce que c'est vrai après tout .. Elle est magnifique ..

@Deirdre M. Wheelan
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Tu n'as pas revu Abélard depuis votre arrivée à l'hôpital. Tu sais juste qu'il est sain et sauf et qu'il a été transféré dans une clinique privée. Protocole royal sans doute. C'est étrange ce calme après toute cette émulsion. Les cris, les balles, l'explosion, les mouvements. Ici tout est immobile et en suspens. Le blanc délavé de l'hôpital est insupportable, tu étouffes, ta solitude en fardeau, tu ne sais même pas ce qu'il est advenu des tiens. Tu n'as pas de famille, personne pour te rendre visite, ni te réconforter du cauchemar que tu viens de vivre sinon Eux. Mais ils ont vécu la même chose que toi, ils ont partagé le drame et vous voilà tous en fragments, disséminés par l'horreur aux quatre coins de l’hôpital. Tu as pris des nouvelles de Valentin parce que tes pensées se sont rapidement dirigées vers lui et tu as appris qu'il était blessé mais vivant et non loin de toi surtout. C'est impossible, c'est interdit mais tout ton corps meurtri veut le voir, veut sentir ses yeux sur toi. T'as pourtant l'air d'une drôle de coquille vide là Deirdre. Les cheveux disséminés et noircis par endroits par le sang séché, la joue entaillée par un fragment, les côtés brisées et tous ses fils qui pendent de tes bras. Sang, antibiotiques, glucose et autres joies. Le cœur surveillé par une électrode, tu dois supporter ce bip insupportable, vingt quatre heures encore. Témoin sournois de ton humanité et de la présence du membre noble au sein de ta poitrine. Il ne manque pas de te trahir ce lâche à l'entrée du Winthrop alors que tu découvres les traits de ce Marcos qui ne tarde pas à quitter la pièce. Sans doute qu'il n'est pas au courant de l'interdit que tu représentes. Et tu chéris son incompétence, faut être honnête. Un sourire étire tes lèvres exsangues lorsque tu le vois. Tu as mal pour lui alors qu'il se déplace difficilement sur le fauteuil mais tu es heureuse de l'avoir près de toi. Sa main qui attrape la tienne et tes sourcils qui se froncent doucement sous le mouvement. Il n'est pas vraiment en meilleur état que toi.«  Je suis horrible tu veux dire, habituellement, j'aurais payé quelqu'un pour ne pas qu'on me voit comme ça. » Sans déconner, c'est juste horrible. Tu es tout sauf présentable, toi qui est toujours impeccable. Tu portes sa main à tes lèvres pour les embrasser doucement. Tu sais comme ses blessures vont être difficiles pour lui, sportif et musicien. « Tu souffres beaucoup ? » que tu lui demandes avec un regard triste. Parce que ça t'es insupportable. Toi t'es habituée à souffrir mais pas lui, et t'es prête à souffrir encore plus pour qu'il aille mieux. Mais ça ne marche pas comme ça.
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Tu ne sais même pas si c'est normal d'être aussi faible face à ce situation. Et c'est compliqué pour toi et Marcos qui en profite pour te présenter aussi officiellement non mais c'est une blague. Bon déjà il s'en va, il profite d'un instant pour réfléchir à ces conneries. Tu passes ta main dans tes cheveux pour éviter de les avoir dans tes yeux et tu essayes de te mettre au niveau de ce fauteuil près d'elle. Tu galères, c'est sur et tu finis par la regarder avant de sourire faiblement. Mais elle détruit ton compliment d'un coup de pied. C'est violent quand même. Non t'es joli Parce que tu en es certain en fait, c'est bizarre, tu le sais qu'elle est magnifique mais tu ne sais pas comment lui dire. Tu fixes rapidement tes blessures avant de la regarder et tu hausses les épaules légèrement. Je vais bien Mais tu la regardes, elle, son corps, tu veux voir si elle a des cicatrices, des bobs ou pire Toi ? Tu as mal ? Tu veux quelque chose ? Tu veux un câlin ? Papa dit que les câlins soignent toutes les blessures Vrai ou non c'est gentil et mignon non ? Et tu relèves les yeux vers elle pour sourire faiblement. Tu te laisses toucher par ses mains ou ses doigts, c'est appréciable, tu aimes bien
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Il  t'observe et tu ne peux pas t'empêcher d'être un peu gênée. Tu lui as toujours offert cette image de toi forte et impeccable. Certes, ta seule faiblesse c'était lui, être séparée de lui. Mais physiquement, t'as toujours entretenu cette image de perfection. Alors que là, t'es juste brisée. T'es juste à ton image. Tu souris toutefois faiblement puisqu'il ne semble pas comprendre et te trouve à son goût. « Merci. » que tu dis doucement alors que déjà ta peau réclame la sienne. T'as ce besoin de savoir qu'il est vraiment là. Tu lui demandes si il va bien parce que tu vois tous ces bandages autour de lui et tu imagines les plaies. Il est dur au mal apparemment et tu peux pas t'empêcher de l'admirer pour ça. Tes billes se posent sur les siennes, tu oses vraiment le regarder cette fois, puisqu'il ne te trouve pas horrible. « J'ai mal oui, surtout quand je respire fort. » Un peu comme là en fait depuis que mes battements se sont accélérés, témoins de ma faiblesse Valentin. Heureusement, t'es trop dans ta bulle pour que tu le remarques. T'es trop dans ta bulle pour savoir ce qui se passe dans mon corps misérable quand je t'évoque. Et tant mieux. « Tu penses vraiment pouvoir me faire un câlin ? » Un calin de gens en miettes. Aussi éclopés l'un que l'autre. Tu glisses tes doigts au dessus de son poignet pour venir t'imprégner doucement de sa peau. « Pardon. » que tu déclares coupable. T'avais oublié, il aime pas ça lui. Alors que toi. « Tu vas aller où ensuite ? » Son père ne va pas le laisser là, il te l'a dit, peut-être qu'il va le rapatrier en Espagne. Tu ne sais pas, mais ce dont tu es certaine, c'est que quelque chose en toi encore se brise. Tu n'es pas assez cassée faut croire Deirdre.
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Tu la fixes, tu la regardes, elle est allongée à côté de toi, assis contre ce fauteuil, tu es bien. Tu la regardes en souriant doucement et ta main se pose sur son coeur quand elle te dit qu'elle respire fort Ca va aller mieux si je fais ça ? c'est idiot non ? Mais t'es pire qu'un idiot toi aussi. Et voilà qu'elle veut un câlin après ta demande et tu fronces les sourcils en réfléchissant Je sais pas si j'arriverais à me mettre dans le lit pour te faire un câlin .. dis-tu honnêtement. Tu essayas de bouger néanmoins sans succès et tu sentis tes doigts sur ta peau, ton coeur se serra et accéléra beaucoup trop vite, jusqu'à ce qu'elle les retire. Mais tu ne dis rien. Tu finis par hausser les épaules à sa question Je sais pas. Papa a dit qu'il allait prendre soin de nous. Mais je ne veux pas rentrer en Espagne. Donc sans doute ici. je sais pas. Sophia ne veut rien me dire Parce qu'elle est peut-être pas au courant, parce qu'elle préfère vivre dans le déni ? Tu finis par rapprocher sa main de tes lèvres pour embrasser le dessus. Tu la regardas ainsi pour sourire doucement. Elle était si belle qu'elle en devenait presque irréalle
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Tu accueilles cette main sur ton cœur avec un frisson à la fois de douleur et de réconfort. Tu pensais même pas qu'on puisse ressentir les deux en même temps. Tu te relèves soudainement, un peu gênée, surtout parce le bip a bel et bien accéléré, ce traître et que tu n'assumes pas. Le geste t'arrache une grimace de douleur alors qu'il doit sans doute reculer sous l'effet de surprise. Tu t'en veux. « Je ne pense pas non plus. » que tu dis essoufflée avec un sourire aux lèvres néanmoins. Pour cette fois, vous ne pourrez pas vous sauter dessus. Alors tu le questionnes sur l'endroit où il se rendra ensuite, il parle de sa sœur, de son père, de toute cette vie ou tu n'es pas, ou tu n'as jamais été, et ou tu ne seras jamais finalement. Ta tête te tourne un peu par cette stature assise que tu as pris mais tu tiens bon. « Il va bien s'occuper de vous. » Et ça veut surtout dire cette distance entre vous qui va s'ériger pour de bon. Son père ne t'approuve pas, vous arriviez à déjouer Juan de temps en temps. Mais avec son père et ses blessures en plus, c'est juste un espèce de dernier écho qui sonne entre vous. Sa main prend la tienne et vient la porter à ses lèvres. Et tu l'observes, et tu te sens mal, encore une fois. T'as mal. Partout. Et la machine s'emballe comme une folle. Ça t'énerve. Tu soulèves le tissu pour en arracher l'électrode d'un geste sec, froid et colérique. Il a sans doute dû apercevoir ce pansement sous ta poitrine mais t'es soulagée, au moins le bip ne retentit plus. Et tu peux laisser aller la détresse à l'intérieur de toi en toute tranquillité.
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Tu la regardes, tu la fixes un instant mais ça ne marche pas. Et tu ne peux pas sérieusement te déplacer du fauteuil à son lit. Tu n'étais qu'un handicapé, incapable de le faire, c'est pas possible. Tu passes ta main sur sa joue doucement avant de sourire faiblement. Tu n'as pas non plus envie de partir et tu l'entends à son coeur qui bat vite. Bizarrement c'était insupportable, tu ne supportais pas ça du tout et le pire dans tout ça, c'était que tu avais mal au coeur rien que d'y penser. Tu finis par entendre encore son coeur battre quand ses paroles sortirent de sa bouche et d'un geste, elle envoyait tout balader avec ses fils. Tu recules surpris et aussi un peu effrayé par ses gestes. Elle était belle, il n'y avait rien à dire même ses petits pansements étaient beaux, tu étais obnubilé par tout ça mais ce n'était qu'un détail peut important, tu n'avais pas envie de la perdre pour ça. Tu finis par mordre légèrement ta lèvre pour ajouter Tu viens avec moi ce n'était pas une question, simple vérité délicate qui se trone entre vous. Tu veux qu'elle vienne avec toi, peu importe où ton père décide de t'emmener, ton appartement, une clinique ou peu importe.
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Tu as mal c'est insupportable. Tout ton corps hurle et tu ne maîtrises plus cette colère froide. Il en a peur tu le vois et tu peux rien faire contre ça. T'es pas recommandable Deirdre. T'es pas douce, t'es sauvage, incontrôlable quand tu souffres trop et il ne connaît pas encore cette part d'ombre en toi. Il doit le voir à ton regard et tu as envie de hurler mais au moins cette machine n'est plus là à te rappeler ta faiblesse constamment. Tu détestes être aussi faible à cause de lui. Tes billes se posent sur les siennes quand il te répond. « Ton père voudra jamais Valentin. » C'est pas la vraie vie ça. La vraie vie c'est Celle où tu es la fille peu recommandable, celle qui a vendu ses charmes, l'orpheline, la paria. Tu peux travailler autant que tu veux Deirdre, contrôler ton apparence, soigner tes relations. Tu seras toujours que cette merde, pas la belle Princesse que tu prétends. « Vaut mieux que tu partes Val. » Ta voix se fait plus froide et tu peines à retenir cette eau qui veut monter sur le rebord de tes prunelles. Ta gorge se serre. Ça sert à rien tout ça. Ça n'a pas de sens. Et t'as jamais autant voulu son corps contre le tien.
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Alors c'est comme ça que cela doit se passer. Tu la regardes et tu baisses les yeux quand elle te dit que ton père ne voudra jamais. Tu finis même par soupirer. Comme les grands finalement. Tu peines à bouger alors tu préfères ne pas oser t'approcher d'elle pour au moins essayer de la résonner mais c'est trop compliqué. Tu n'oses pas. Comme si Marcos avait entendu votre conversation, après sa remarque sur le fait que tu devrais partir, il avait ouvert la porte et marcher vers toi. En te voyant dans cet état, il s'était rendu jusqu'à toi pour t'aider à t'installer dans le fauteuil. Tu n'avais pas dis un seul mot, rien du tout. Tu avais mal au coeur, tu avais tellement mal au coeur. Marcos roula le fauteuil jusqu'à la porte mais tu l'arrêtas avec ton pied pour te tourner vers elle T'as pas le droit de faire ça ! C'est toi qui m'abandonne et pas l'inverse. Tu as pas le droit d'être triste. Parce que. Parce que t'es égoiste et nulle de faire ça. Si tu voulais plus être mon quelque chose d'autre, il fallait le dire et j'aurais rien dis. C'est nul et t'es nulle ! Maintenant t'es en colère en deux secondes, t'étais triste y'a deux minutes quand même et heureux y'a cinq. Mais Marcos préfère te sortir de là alors, en silence, il te pousse malgré le fait que tu croises ton bras contre ton torse comme si de rien était. En plus tu boudes maintenant, l'horreur ..
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Tu l'observes quand son regard se baisse et tu te brises un peu plus. La réalité, elle est difficile à encaisser. Insupportable. Bienvenue dans mon monde mon Altesse. T'as envie de hurler, de pleurer, d'oublier que tu existes là, entre tes draps qui sentent la lessive aseptisée du médical. Mais tu dis rien. T'encaisse, parce que tu vois pas de solution. Il va partir avec son père et celui-ci fera toujours barrage pour des personnes comme toi. Et tu n'as pas le temps de toute façon parce que Marcos fait de nouveau irruption. Tu regardes ses bras trop épais s'emparer de son corps. T'as envie de taper ce gorille. On le traite avec plus d'attention, plus de douceur, pas comme ça. Tes billes se font assassines quand elles se relèvent sur l'homme de main. Ta mâchoire se resserre. Et c'est son dos que tu contemples à ton Altesse. Sa jambe valide empêche le passage et il t'assassine, en bonne et due forme. Echec et mat. Vous êtes doués pour vous aimer, mais c'est à croire que vous vous découvrez un talent pour vous détruire aussi. Il paraît que l'un va pas sans l'autre. «  Je ne suis pas quelqu'un de bien, tu as raison . » Les mots s'arrachent de ta gorge. Au moins, lui aussi a compris. Il était temps. Il la voit désormais cette noirceur qui t'habille. « Ton père a raison, je ne suis pas assez bien pour toi. Et je suis trop nulle aussi. » Tu te rallonges. Tes yeux se ferment. T'as mal, tu vas crever non ? Ce serait si bien. « Merci d'être passé Valentin. » Ta voix est plate, aussi exsangue que ta peau et tu te retournes face au mur. Ton corps se secoue, tu comprends pas. Toute cette eau. Tu comprends pas. Tu te noies putain.
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