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(jyun) - l'important, c'est que tu sois vivant.

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l'important, c'est que tu sois vivant // @ryu-jin nam-kim ※※※ Tu sembles surpris de mon geste tandis que mon regard se voulait espiègle. C'était l'effet voulu que j'attendais, alors je me saisissais une nouvelle fois de mon phone pour t'écrire. « Oups, tu viens de découvrir mon plus grand secret. Faut dire que ta chair a un parfum très attirant aussi ! » et voilà, je ne pouvais pas faire plus toqué que ça. T'allais vraiment finir par me prendre pour une folle, mais je m'en fiche, parce que tu me connaissais assez pour savoir que j'étais en train de jouer. Quoi que le jeu commençait à prendre une tournure inattendue. Surtout là, quand tu glissais ta main contre ma nuque pour m'en retenir prisonnière. Et plus tu approchais ta tête de la mienne, plus mon cœur s'emballait. Un peu trop d'ailleurs. Mamamia, il se passait quoi là ? Mon souffle se voulait bruyant, très bruyant. Mes mains tremblaient et j'avais l'impression aussi que mes jambes allaient lâcher. Je ne pouvais plus m'échapper, plus aucun mot n'arrivait à sortir de ma gorge lorsque tes lèvres glissaient sur la peau de mon cou. Je fermais naturellement les yeux sans savoir pourquoi, tandis que tes dents se plantaient dans ma chair et tel un vampire, tu me marquais d'une morsure. Mon cœur rata un battement, mes yeux s'ouvraient grandement et la surprise se lisait sur les traits de mon visage. La proximité commençait à devenir un brin excitant. Je sentais ton souffle chaud, la température de ta mains sur ma nuque brûlante qui trahissait mon état. Pire encore, je sentais tes lèvres m’appeler, ou alors c'était les miennes qui t'appellaient. J'hésitais durant une poignée de secondes à repousser ce désir avant de céder. Oh et puis merde, je glisse mes charnues long de ta joue pour prendre possession de tes lèvres tel une conquérante en territoire conquis. La pression est forte, mais pourtant, je ne franchissais pas la barrière pour l'instant. Je savourais le goût de ta bouche sans état d’âme avant d'esquisser un sourire intérieur. La petite voix de ma conscience m'assène que je n'aurais pas dû le faire et je la fais immédiatement taire en laissant ma langue passer enfin la barrière pour aller jouer avec la tienne dans une explosion de sensation intense. L'une de mes mains échoue sur ta joue alors que mon corps se penche légèrement pour t'obliger à reprendre ta place initiale. Je sentais la terre se mouvoir sur ma langue, le cœur tremblant d’un oiseau captif. Soudain, manquant de souffle, je stoppe mon geste, honteuse. Je recule en posant une main contre mes propres lèvres pour y faire rouler quelques doigts. J'venais bien de baiser ta bouche ? J'avais vraiment fait ça ? Oh putain... « Pardon... » que j'écris rapidement et rajoutant dans un sms à là suite afin de sauver mon geste un peu déplacé. « On a qu'à dire qu'on est quitte !? » voilà, maintenant adieu ! Même que je pensais un instant avoir entendu quelqu’un frapper à la porte, mais je me rendais compte que c’était mon propre cœur, que j'entendais frapper dans ma poitrine. Le truc c'est que je paniquais et je ne savais plus où me mettre. Peut-être qu'il était temps pour moi de rentrer ? Histoire d'oublier ce phénomène un peu étrange qui venait de se produire. J'osais même plus te regarder, parce que mes yeux brûlaient étrangement d'un soudain désir de reprendre tes lèvres...
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Un jeu dangereux, voilà dans quoi tu te lances malgré toi, mais t'es joueur et d'une certaine façon, tu te dis qu'avec elle, les limites, elles resteront quand même là, parce que vous vous connaissez depuis des années. Tu te persuades tout seul qu'il ne peut rien se passer entre vous. Rien de plus en tout cas. Vous êtes des amis de longues dates, certes d'internet à la base, mais vous vous connaissez que trop bien pour savoir qu'entre vous c'est de l'amitié pure et dure.

Et pourtant.

Pourtant, alors que tes lèvres se posent sur la peau fine de sa gorge, que tes dents viennent martelé doucereusement sa chair, tu ne peux t'empêcher de ressentir un petit quelque chose. Un petit quelque chose que tu ne devrais pas, comme une attraction, une envie soudaine, que t'espère plus que passagère. Tu te cherches déjà des excuses pour cela, pour ce que tu es entrain de faire  et les pensées qui doucement commence à germer dans ton esprit.

Tu lâches ta prise sur elle, cherchant à reprendre tes distances, à ne pas succomber à ce charme que tu ne peux t'empêcher de lui trouver alors que tu l'as vue rougissante dans tes bras. Un aspect de la jeune femme que tu ne connaissais pas. Une fragilité plaisante, charmante. Tu te fais violence et pourtant, elle te fait supplice. Elle vient te narguer de ses lèvres, vile tentatrice, succube bien trop attirante. Tu fermes les yeux, un frisson parcourant ton échine dorsale, tes poils se hérissant sous celui-ci. Tu déglutis, pour te retenir alors qu'elle s'approche de plus en plus de tes lèvres pour finalement les capturer. Ne pas céder, ne pas craquer. Pourtant, même si tu tentes de ne pas répondre à ses lippes qui dansent contre les tiennes, tu finis par ne plus savoir résister. Et c'est ainsi, le plus naturellement du monde que tu réponds à son baiser, tes pulpeuses valsant avec les siennes, ta langue narguant la sienne quand elle vient se joindre bal. Tu ne peux d'ailleurs t'empêcher de glisser tes mains dans le creux de ses reins, pour chercher à l'attirer encore plus contre toi, vous retrouvant couché sur le lit, elle t'ayant forcé à reprendre appui sur l'oreiller et toi, l'ayant contraint à te suivre pour rester collé à toi...

Et un ange passe.

Elle se recule, s'extirpe de tes bras et l'un comme l'autre, vous prenez conscience de ce qu'il vient de se passer. Tu déglutis une nouvelle fois, tu sais pas quoi penser. Ou plutôt, tu sais pas ce que tu peux penser, ce que tu es en droit de penser. Tu redresses d'ailleurs un peu tes jambes, pour soulever légèrement le draps et masqué plus facilement ce qu'elle vient de te faire ressentir, parce que ce n'est pas ça qu'il doit se passer entre vous, ce n'est pas votre amitié que d'agir de la sorte. Tu toussotes un peu à ses écrits, parce que t'as rendu le baiser, t'es aussi coupable qu'elle de vos actions à cet instant. T'aurais réellement pu la repousser, mettre un terme au baiser et au lieu de ça t'as fait tout l'inverse...

Tu portes ta main à ta nuque, pour la masser un peu, tes mains ayant machinalement quitter son corps quand elle s'est relevé, qu'elle a reprit contenance. "Je..." Non en fait, tu sais pas quoi dire, tu sais pas quoi faire... Alors, tu te tais. Tu la regarde juste comme un imbécile, un imbécile malaisé. Parce que t'imaginais pas un dérapage possible avec elle, même s'il reste léger.

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l'important, c'est que tu sois vivant // @ryu-jin nam-kim ※※※ Les joues rosies, les lèvres entrouvertes, le visage barré par une mèche rebelle, je n'en revenais pas d'avoir goûté à tes lèvres. Je pensais que tu me repousserais, je pensais que tu trouverais mon geste déplacé que tu n'aimerais pas le goût de mes charnues, mais en fait, c'était tout le contraire. Tu m'avais saisi par la taille et Dieu que je trouvais ce geste tellement viril. Que tu me saisisses de cette façon pour me caler tout contre toi, et parlons aussi de tes lèvres, elles avaient un goût d'hydromel sucré et enivrant. Lorsque ma langue avait rencontré la tienne, j'avais eu l'impression de m'embraser de l'intérieur. J'avais oscillé un instant contre toi, mes mains avaient parcouru ton torse en d'impudiques caresses, sans cesser notre baiser. Ce baiser dont je garderais en mémoire. Un baiser me mettant dans un état euphorique. Bordel, je n'arrivais pas à comprendre comment j'avais pu nourrir une telle envie de prendre possession de tes lèvres. Ryu, il se passait quoi ? Tu pouvais m'expliquer comment nous pouvions ressentir cela ? Je veux dire, on n’avait pas le droit non ? Tu étais ma plus belle amitié masculine et j'avais l'impression d'avoir gâché ça en dépassant les limites. L'interdit. Pourtant.. Oui pourtant, le goût de tes lèvres demeurait encore juteux sur ma langue, ça avait été si intense que je n'avais voulu reprendre ma respiration. Tu semblais aussi troublé que moi, tu te grattais même la nuque tandis que moi je me pinçais la lèvre, cherchant à fuir ton regard. Cherchant à prendre mes jambes à mon cou et m'éloigner le plus possible de ce dérapage. Parce qu'il venait de faire naître quelque chose et je ne saurais l'expliquer. Mes mains tremblaient, mon souffle retenu et inquiète que mes futurs contacts un peu maladroits, puissent avoir raison de moi. « Je... » avec nos "je" on avait l'air totalement débiles à balbutier et transpirer la consternation. Je ne comprenais pas pourquoi j'avais ressenti le besoin de t'embrasser. « J'crois qu'il faut que je te laisse te reposer. Tu viens à peine de sortir d'un état critique, alors tu n'as pas besoin de surmenage. Et je sais d'avance que j'vais te bouffer le peu de force que t'as ! » J'écris ces quelques mots, sourire scotché sur mes lippes. La suite du sms, j'essayais de parler à voix haute. Une dernière pratique pour la route. « Je reviendrais demain d'accord ? Repose-toi bien, c'est même pas un conseil, mais un ordre ! OK ? » et ensuite, je me redressais en appuyant mes paumes contre le lit, penchant mon corps vers le tien pour que mes lèvres viennent se poser tendrement sur ta joue et y laisser une trace de rouge à lèvres. Je m'y accrochais un peu plus que prévu, fermant les yeux et baignant encore dans ce désir de déraper sur tes charnues pour les apprivoiser de nouveau. Non. Non. Non. Vella ! J'écoutais enfin ma conscience et me reculais pour finalement quitter la chambre en refermant la porte derrière moi et en plaquant mon dos contre celle-ci. Mes mains se rejoignaient contre mon palpitant qui ne cessait de s'activer. C'était... Je ne trouvais aucun adjectif assez qualifié pour décrire cet échange de salive. Et c'était donc avec le souffle haletant, que je quittais enfin l'hôpital. Le mieux à faire, ce sera d'éviter d'en parler. Faire comme si ce baiser n'avait jamais eu lieu. Faire comme si je n'avais absolument rien ressenti. Je pouvais faire ça n'est-ce pas ?
(a) blue moooon


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Hj: nous faut impérativement un sujet after this kiss. T'as pas le choix (jyun) - l'important, c'est que tu sois vivant.  - Page 2 166564858
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