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(jyun) - l'important, c'est que tu sois vivant.

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l'important, c'est que tu sois vivant // @ryu-jin nam-kim ※※※ Où était l'âge insouciant où l'on ne faisait que rire, où se cachait, en nos cœurs, l'enfant gaie et innocent ? Disparu ? Nos cœurs étaient-ils devenus aussi noir que le charbon ? Les corps inertes, et les blessés que je tentais de sauver jusqu'à l'arrivée des secours. La nature avait essuyé des plaies et arborait fièrement des tons rouges que seuls mes pas, perturbaient. Un bain de sang qu'offrait ce jour, à mes yeux. L'odeur nauséabonde de certains corps chatouillait encore mes narines. Une vision qui hélas, ne quittera jamais plus mes pensées... Un cauchemar bel et bien réel. Les secours enfin arrivés, ma colère semblait s'être apaisée. Cependant, le cœur meurtri des vies qu'ils ne pourront hélas, sauver. Quelques secouristes prenaient le temps d'analyser mon visage abîmé de verres, mais balayant leurs mains sèchement, je leur foudroyais un regard noir. « Il y a plus urgent que mon cas ! Occupez-vous d'eux ! » OK j'avais le visage en sang et des morceaux de verres encore ancrés sous ma peau, mais avec un désinfectant tous les jours, ça devrait cicatriser d'ici quelques semaines. Ce n'était absolument rien comparé aux cas plus graves qui s'y trouvaient actuellement. J'avais néanmoins surpris des ambulanciers échanger en panique, apprenant alors que le bar n'avait pas été la seule cible. Sans réfléchir, le cœur battant à tout rompre, j'essayais d'appeler mes proches. Pouvoir me rassurer qu'ils allaient bien, savoir s'ils avaient été sur les lieux de l'attentat, mais aucun d'eux ne répondaient, amplifiant davantage mes craintes. J'attrapais mes clés et je fonçais à l'hôpital. Patients, infirmiers et infirmières, médecins, familles, tous courraient dans tous les sens. Des blessés en manque d'un membre de leur corps, du sang partout, des pleurs, des cris de douleurs. Cette vision d'horreur m'avait donné envie de gerber. Le dos de ma main contre ma bouche, je reculais de quelques pas avec cette envie de vomir. Besoin que je soulageais immédiatement dans le buisson qui se trouvait à quelques mètres de l'entrée. Sûrement, que ce souvenir douloureux restera à jamais dans ma tête. Le choc n'étant pas physique, mais émotionnel. Et la peur d'avoir perdu un de mes proches m'obligeait à me ressaisir et affronter mes craintes. Au comptoir, je donnais tous les noms que je connaissais, mais le personnel étant tellement débordé, me conseillait de patienter ne serais-ce qu'une nuit et que de toutes les façons, il n'y aura pas de visite prévu pour ce soir. Je cédais et retournais chez moi, ne réussissant pas à fermer l'œil de la nuit. Passant et repassant, les infos en boucle à la télévision. Lorsque que le jour me berça enfin de son voile blanc scintillant, je me levais pour aller prendre une douche et me débarrasser de tout ce sang sur le visage et sur les mains. L'air de rien, mon visage piquait un peu et je grimaçais au contact de l'eau sur mes coupures. La douche terminée, je m'habillais rapidement en fourrant mes cheveux dans une casquette noire et en accrochant un masque à mes oreilles qui me cachait ainsi le nez et la bouche. Ah oui, d'après ma mère, en Corée c'était soit pour se protéger de la pollution, soit pour passer incognito ou encore pour ne pas refiler le virus de sa maladie à quelqu'un. Que ce soit un rhume ou bien autre. Moi, en ce jour, je l'utilisais pour cacher les nombreuses coupures sur mon visage. Il était un peu trop abîmé pour que je le laisse y être contemplé pour l'instant. Quoi qu'il en soit, la première personne que je décidais de visiter était sans nul doute, toi. Mon meilleur ami. Je n'avais pas demandé des détails concernant tes blessures, car trop impatiente de te voir, je courrais jusqu'à ta chambre où tu dormais encore à poings fermés. T'avais l'air tellement apaisé, mais la réalité déformait presque cette vue idyllique. « Je suis tellement désolée Ryu... » que je confiais d'un murmure à travers mon masque, mes mains glissant sur la tienne pour la bercer de ma chaleur. Désolée de ne pas avoir été là quand t'avais le plus besoin de moi...
(a) blue moon
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Depuis l'explosion, t'avais du mal à réaliser ce qu'il se passait devant tes yeux. T'avais vu ta soeur avec une barre lui transperçant l'abdomen, Hyundo avec la tête en sang, se forçant à te porter. Et pourtant, t'avais juste l'impression d'être un spectateur de tout ça. Comme si t'étais devant ta télévision à regarder un film catastrophe, en ayant coupé le son. Car tout le monde s'agite, bougent, parlent et hurlent même probablement, mais toi, de tout cela, tu n'entendais rien. Tu voyais juste les choses se passer et oui, tu sentais bien l'odeur qui flottait tout autour de toi, mais ça t'aidais pas réellement à réaliser. Non, le choc et le manque de son, tout ça, faisait que t'étais étrangement calme... Ou bien, est-ce juste le fait d'être sourd qui te tétanisait ? T'empêchant de te bouger comme ton ami d'enfance ? La fuite plutôt que l'affrontement ? T'es donc comme ça à fuir ? Te recroqueviller sur toi-même ? Non, pas toujours, mais là, là ça concerne ton avenir, tes passions et puis, t'es pas le seul à ne pas avoir réaliser sur le moment ce qu'il se passait...

Car oui, il t'a fallu du temps pour réaliser petit à petit ce qu'il venait de vous arriver à tous. Cette bombe, ce carnage... T'espérais avoir d'ailleurs rapidement des nouvelles de ta sœur et des autres, mais dans ton état, c'était compliqué, tu peux pas demander, envoyer des texto oui, mais tu serais pas fichu d'entendre ton téléphone à la réception des messages... Alors, tu te renfermes juste un peu plus sur toi encore, sur tes propres blessures. Ton pieds à nouveau soigné par les urgences quelque jours après ton agression par Ares, et ton ouïe en plus maintenant...

T'avais laisser les informations passer sur la télévision fixé au mur de ta chambre, en silence, pour ne pas être tenté de mettre le volume à fort pour tenté d'entendre en vain. L'avantages au moins avec les informations, c'est qu'il y a des sous-titres et t'avais ainsi, pu récolter quelque informations avant de sombrer dans le sommeil à cause des émotions ressenties tout au long de la journée et la fatigue cumulée des derniers jours. Tu n'avais d'ailleurs pas prit la peine d'éteindre l'écran à ton réveil ce matin.

Les yeux clos, tu ne dors plus, t'es réveillé depuis bien longtemps, mais t'as rien à faire... Tu peux pas t'empêcher de rester les yeux clos pour tenter de te concentrer à entendre le moindre bruit, que cela soit un froissement de tissus ou une voix, un bip ou n'importe quoi d'autre. Mais c'est un silence lourd et pesant qui ne cesse de te hanter.

Tu sursautes alors quand on vient saisir ta main et t'ouvre les yeux pour te redresser sur tes coudes, romptant le contact avec la personne dans ce geste. T'as rien entendu, tu pensais pas qu'il y avait quelqu'un et quand tes pupilles se posent sur ta meilleure amie d'enfance, tu te détends un peu. L'angoisse, voilà ce qu'elle peut assez facilement lire sur ton visage. Si un mec est désireux de venir te faire la peau dans ton lit d'hôpital, cela serait tellement facile pour lui, tu l'entendrais aucunement arriver... Mais c'est pas ça ta réelle crainte. C'est de ne plus jamais pouvoir entendre.

Tu te forces à lui sourire, alors même que t'as l'air d'aller assez bien physiquement, contrairement à elle, qui porte un masque. Tu portes d'ailleurs l'une de tes mains après t'être assis, à ton visage pour la questionner silencieusement sur le pourquoi de la présence de ce masque. T'oses pas parler, t'as peur de pas entendre ta voix ni la sienne, pourtant tu sais déjà que t'entendras rien du tout, sinon t'aurais entendu la porte... Tu restes alors silencieux, en la regardant, un léger sourire sur les lèvres, parce que t'es quand même content de l'avoir devant toi, de pouvoir constater de tes yeux qu'elle se porte bien contrairement à ta frangine... Mais en même temps, tu es le mieux placé pour savoir que les apparences sont plus que trompeuse suite à des événements comme ceux-ci.
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l'important, c'est que tu sois vivant // @ryu-jin nam-kim ※※※ J'avais tellement peur de fermer les yeux, tellement peur de cauchemarder. Tellement peur de revoir ces visions, ces corps, ces morts, ces familles anéanties, j'en avais encore même la chair de poule. Et l'odeur, surtout les odeurs. Les médecins s'accommodaient des odeurs des blocs opératoires, mais pour le commun des mortels, c'est une atrocité. Mon esprit encore embrumé frémissait à peine, me demandant si ça se reproduira encore. Et ça se reproduira. La vie est faite ainsi, un combat perpétuel, dévoré, rongé par la cupidité, la haine, la violence. Soudain, tu sursautas, retirant ainsi ta main de la mienne. Je relâchais mon regard de l'extérieur et le plongeait sur toi. Je t'observais, tu me souriais. Ton doigt semblait vouloir me faire comprendre quelque chose, me dire quelque chose, je captais enfin, tu me questionnais sûrement surprit de voir un masque cacher la moitié de mon visage. Un sourire éclairait ce dernier alors que mes doigts pressait le bout de masque pour le faire glisser sous mon menton. Je levais la tête pour que tu puisses voir l'entièreté de mon visage abîmé. « Des verres m'ont éclatés à la tronche lors de la fusillade à l'happy hour. Je vais être moche pendant quelque temps, mais je ne peux que me réjouir d'être encore vivante contrairement à... » mes yeux se baissaient sur mes cuisses, incapable de terminer la suite de ma phrase. Pleins de personnes sont mortes ce jour-là et quoi de plus horrible que d'en être un témoin. « Et toi Ryu ? Dis-moi que tu vas bien ! Raconte-moi ce qui t'es arrivé. Pourquoi t'es encore dans ce lit ? » ignorant que t'avais perdu quelque chose d'important à ta survie. Je captais une chose, c'était que depuis ton réveil, tu ne parlais pas, des gestes tu en faisais, mais des mots, tu en étais incapable de placer. Les mains tremblantes, je m'asseyais sur le lit à tes côtés pour te prendre la main. Les yeux brillants de larmes qui menaçaient de s'échapper de mes deux billes. « Qu'est-ce que t'as p'tin ! Pourquoi tu ne parles pas Ryu !? Dis quelque chose je t'en supplie ! » haussais-je de la voix pensant que cela pourrait t'atteindre. J'avais l'impression que tu regardais mes lèvres bouger, comme si t'essayais d'y lire quelque chose, mais j'étais loin de me douter que tu avais perdu ton ouïe. Une des pires choses qui puisse arriver, pour toi, un adorateur de la musique. Face à mon désespoir, j'espérais que tu m'en donnerais des réponses. Mon cœur ne pourrait supporter le fait que tu sois devenu muet, encore moins que tu sois devenu sourd.
(a) blue moon
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Ta main tendue vers elle, t'espère te faire comprendre sans un mot, mais t'as oublié l'après, le moment où elle prendra la parole pour t'expliquer. Bien que pour le coup, vu l'état de son visage, t'as pas forcément besoin de l'entendre pour comprendre qu'elle était également là lors de l'attentat. Tu sais pas trop où, c'est peut-être cela qu'elle tente de te dire en prenant la parole maintenant. Tu vois ses lèvres bouger, mais aucun son parvient à tes oreilles. Les médecins disent qu'avec le temps, ça reviendra, t'auras peut-être encore quelque faiblesse ensuite, une sensibilité peut-être moindre comparé à d'autre, mais t'es pas supposé resté dans cet état... Sauf que déjà maintenant, t'en peux plus alors que ça fait que quelques heures que c'est arrivé. Des heures longues, interminables et surtout insupportable. Tu détestes le silence, c'est une certitude maintenant. Et pourtant, tu baignes dedans à ton plus grand malheur.

Tu sais diablement pas ce qu'elle te dit, alors qu'elle parle à nouveau et tu l'as regarde, te contentant de sourire, tu te forces en quelque sorte avant de la voir se mouvoir pour prendre place à tes côtés sur le lit. Assise sur le bord de celui-ci, tu continues de l'observer, silencieux alors qu'elle semble, peut-être comprendre, ou bien peut-être qu'elle parle d'un truc qui n'a rien à voir. T'en sais rien... Mais elle semble s'énerver sur toi. Peut-être même qu'elle hausse le ton. Mais pour toi, c'est indéniablement silencieux dans cette pièce. Comme un film muet, les gags en moins.

Tu baisses la tête, forcé de te prendre en pleine face ton incapacité à entendre les autres. Tu sais même pas si t'arrives encore à parler. Tu ouvres la bouche, doucement, sans pour autant laisser sortir aucun son, t'as peur. Peur de réaliser que t'es même plus capable de parler et où de chanter et ce même si c'est rendu sourd à cause de cette explosion qui a eu lieu trop proche de toi. T'aurais limite préféré être à la place de Yura, pour ne pas perdre ce quelque chose de si précieux pour toi, danser, tu peux t'en passer, t'es même forcé depuis que ce type, t'as tiré une balle dans le pieds il y a de ça plusieurs jours. Chose que t'as tenue secrète jusque là, Bleach étant la seule au courant. Pour tout les autres, t'étais supposé avoir qu'une entorse sauf que là, tu peux plus trop mentir.

"Je..." Tu sais pas si t'as voix est bien dosé, tu sais même pas si tu parles assez fort ou si au contraire, c'est bien trop fort. Ne pas s'entendre parler, c'est compliqué pour dosé sa voix, surtout que t'ignores s'il y a beaucoup de bruit autour de vous, qu'il provienne du couloir ou d'ailleurs. Alors, tu laisses tomber après ce premier mot.

Gardant la tête baissé, tu portes finalement tes mains à tes oreilles. Peut-être qu'elle comprendra, même si tu l'as regarde plus, parce que t'oses pas, t'as pas envie de voir encore plus ses larmes, pas alors que tu te prends dans la gueule cette incapacité d'entendre et de parler pour le moment...

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l'important, c'est que tu sois vivant // @ryu-jin nam-kim ※※※ J'allais devenir folle à patienter que tu dises un mot Ryu. L'angoisse sourde tordant mes entrailles. Mon souffle est court et la peur trop grande, le sang battant à mes tempes dans une symphonie douloureuse. Je tremble sous les ténèbres épaisses qui m'entourent, ma tête encore envahie par le cauchemar de la veille. Je ne veux pas que tu me souris à cet instant, je veux que tu parles, que tu me rassures, que tu m'expliques. Et quand je te vois ouvrir la bouche, je retiens mon souffle. Mon cœur marque un temps d'arrêt. C'est bon, tu parles. Mais alors pourquoi t'es si distant ? « Tu m'as oublié c'est ça ? Je ne suis qu'une inconnue à tes yeux ? C'est pour cela que t'es si distant ? » je m'enfonce encore plus dans les abysses et si tu n'avais pas perdu usage de ton ouïe, tu m'aurais fermé la bouche pour m'éviter d'en dire plus. Mais tu ne fais rien, juste un geste que je suis du regard. Tu sembles vouloir me faire comprendre quelque chose, quelque chose d'important et qui te met dans cet état. Analysant ton geste en fronçant les sourcils, je finis enfin par comprendre. Mes poings se posent sur mes hanches et je fronce le nez, plantant mes yeux dans les tiens. « Regarde-moi ! » t'ordonne-je, car tu n'as pas besoin de ton ouïe pour lire sur mes lèvres, regarde-moi juste. Mon index glisse sous ton menton, mon pouce l'agrippe doucement pour tourner ton visage vers moi. J'ai le cœur en miette, mais je n'ai pas le droit de te montrer mes larmes. Tu n'as pas besoin de ça en ce moment, et je savais à cet instant précis, que je devais être forte pas seulement pour moi, mais pour toi aussi. Je devais être forte pour deux. « Je ne supporte pas lorsque détourne ton visage du mien ! » il faut que tu lises entre mes lèvres Ryu. Cherchant désespérément ton attention, je plaque mon front contre le tien, nos visages à un souffle de distance et la lueur d'espoir dans mes yeux lovés non loin des tiens. Je ferme enfin les yeux, restons ainsi quelques minutes. Je voudrais effacer les minutes interminables où j'ai cru t'avoir perdu. Toi et toutes ces personnes auxquelles je tiens et qui donnent un sens à ma vie. « Je suis désolée... Vraiment désolée...» je me répète tandis que mes mains se posent à plat sur ton torse, me laissant guider par mes envies et par la peur. Jamais nous n'avions été aussi proche qu'à cet instant. Je le réalise, et je me ressaisis. Je recule pour me saisir de mon portable, écrivant ces quelques mots. « Je ne sais pas si tu pourras lire sur mes lèvres, mais il faudra que tu y arrives. Je suis vraiment désolée Ryu. J'veux que cet incident te rend plus fort au lieu de plus faible. Fais-en ta force. J'suis là et je vais t'aider à traverser tout ça. J'pleure pas tu vois ? Alors regarde-moi et n'essaye jamais de fuir mon regard ! » un sourire reflète mes mots et me barre les lèvres alors que je t'envois le message pour que tu puisses le lire. Je vais faire de mon mieux pour t'aider à passer ce mauvais cauchemar. « L'important c'est que tu sois vivant... » que j'écris again. Je veux à nouveau te voir sourire alors je ferais tout mon possible pour que tu ailles mieux, même en manque de l'un de tes sens...
(a) blue moooon
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C'est clairement pas par envie que tu baisses la tête et détourne ton regard d'elle. Tu ne la fuis pas elle, mais cette réalité qui fait que tu ne peux pas l'entendre paniquer. Tu n'entends pas sa peur, peur de l'oublie, de n'être devenu que des inconnus. A la limite, tu aurais préféré ça, perdre la mémoire, car t'aurais toujours eu la musique et t'es sur que ton entourage t'aurait rappelé tes passions. Au lieu de ça, t'es sourd, perdu dans le silence, la solitude d'une certaine façon. Tu fais le poisson, malgré toi, ouvrant la bouche pour ne rien dire. Aucun son ne sort, comme si t'étais soudainement devenu muet également. Pourtant, tes cordes vocals n'ont rien, elles vont plus que bien, contrairement à tes tympans qui ont été meurtris par la déflagration de la bombe. Un bruit trop fort, trop proche, trop soudain et violent. Tu comprends même pas pourquoi t'es le seul dans cet situation. Ta seule blessure c'est ça tandis que tout les autres ces physique. Ta soeur, ton pote... Ils ont prit pour toi probablement. T'espères qu'à leurs réveils, ils ne seront pas comme toi, contraint à subir ce silence pesant, de mort.

Tu fais alors des gestes, dans ta détresse, pour qu'elle comprenne un peu, pour qu'elle cesse de paniquer de son côté et surtout qu'elle cesse de parler en vain, sauf si elle désire réellement parlé au mur. Sait-on jamais qu'elle soit désireuse de mettre cette expression en pratique pour son propre plaisir.

Contraints, tu relèves un peu la tête, ton regard sombre se heurtant et se figeant finalement dans le sien alors qu'elle parle, articulant bien pour que tu puisses tenter de lire sur ses lèvres. C'est compliqué, tu penses discerner quelque mots, mais sans certitude. Faut dire que tout au long de ta vie, tu as bien plus souvent vu des personnes parler en coréen qu'en anglais, alors c'est pas vraiment gagné d'avance.

Tu fermes les yeux également, venant poser doucement ta main sur sa joue alors que vous êtes plus qu'intime à cet instant. Une proximité bien trop grande pour de simple ami, mais qui ne te dérange en aucun cas. Contrairement à Vella qui se retire assez rapidement. Tu l'observes, contraint au silence alors que t'aimerais pouvoir lui parler, lui dire plein de choses pour la rassurer et lui dire que tu vas bien, enfin, aussi bien que tu puisses aller en étant dans cet état. Après tout, même si tu touches le fond, tu es obligé de te dire qu'il y a pire. Ta soeur, elle, elle est dans le coma et ça, ça te met mal également.

L'observant écrire sur son téléphone, tu attrapes alors le tien pour lire le message qu'elle vient de t'envoyer, texto rapidement suivi d'un autre alors même que t'as pas fini de le lire. Tu prends alors quelque seconde de plus pour lire les deux et relever le regard vers elle et lui adresser un nouveau sourire. Faible, mais toujours présent. Tu sais pas ce que demain te réserve, tu sais pas quand tu vas entendre à nouveau, tu sais même pas si tu vas entendre comme avant d'ailleurs, mais t'espère réellement ne pas rester dans ce silence.

Tu poses ton téléphone et ouvre les bras pour inviter ta meilleure amie à venir s'y glisser, pour un peu de chaleur, pour faire disparaître ce froid que ce silence crée en toi. Un peu de contact pour palier à cette distance. Tu pousses même le vice à glisser ta main dans ses cheveux avant de pianoter comme tu peux d'une main sur ton téléphone pour quand même lui répondre et pas la faire également profiter de ce satané silence.

"J'aurais besoin d'entrainement pour réussir à lire sur les lèvres, l'anglais c'est pas ma langue natale. Puis je pense que je dois être capable de parler, juste je sais pas comment doser ma voix. J'ai peur de crier, tu sais comme quand on a des écouteurs sur les oreilles, on parle plus fort, sauf que là, ça risque d'être pire, je pense. On peut faire un essai si tu veux, comme ça, t'es pas plongé dans le silence aussi... Puis ça m'aidera pour quand Yura se réveillera." Tu penses à ta soeur, parce qu'elle est la prunelle de tes yeux, parce que tu l'as connais et tu sais qu'elle se culpabilisera de ton état, tout ça parce qu'elle est l'aînée.

Tu observes alors Vella pour voir ses réactions et comprendre peut-être un peu ses pensées.
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l'important, c'est que tu sois vivant // @ryu-jin nam-kim ※※※ Comment je fais pour ne pas perdre pied ? La vie m'a obligée à me montrer résistante mais je suis loin d'être aussi forte que j'y parais. Au contraire, je suis extrêmement vulnérable. J'ai cette façon de me mettre constamment dans des situations les plus catastrophiques, mais en règle générale, je suis suffisamment débrouillarde et maligne pour m'en sortir. Et avec toi, je n'ai pas besoin de revêtir cette carapace, car tu as toujours su la percer à chaque fois que je tentais de me cacher. C'est pourquoi je te crois capable de lire en moi sans avoir besoin de m'entendre parler. Alors, je veux que tu te concentres sur moi, sur mes lèvres et sur mes prunelles. Tu en es parfaitement capable Ryu, parce que je crois en toi et je croirais toujours en toi. Tu n'es pas un garçon comme les autres, t'es spécial et je sais que tu arriveras à surmonter ça et t'y accommoder le temps que tu guérisses. Ceci dit, j'ai été perturbée par la proximité que j'ai moi-même installée, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, mais sentir ton souffle tout près de mes lèvres, m'avait arraché un frisson. Tu m'ouvres soudainement les bras pour m'accueillir et tu pousses même le vice plus loin en me caressant les cheveux, et ce fut à mon tour de baisser les yeux pour mordre dans la chair de ma lèvre inférieure. Je ne comprends pas pourquoi je suis si perturbée, ce n'est pas quelque chose d'anodin. Je regarde tes doigts pianoter sur ton portable, lisant ensuite le message que tu m'as envoyé. Et finalement, je penche doucement mon corps pour me caler dans tes bras. Ma tempe plaquée sur ton torse, je ferme les yeux et relève légèrement la tête pour permettre à mon nez de venir se lover au creux de ton cou, tandis qu'un sourire éclot sur mes lèvres. Je m'hérisse à nouveau, incapable de garder une respiration contrôlée et normale, mon souffle battant et ma main posée sur ma bouche afin d'étouffer mes bruits, comme si tu pouvais entendre. Ce n'est définitivement pas normal. Alors, je me redresse, les joues rosies plus qu'elles ne le sont habituellement. « Je veux bien essayer... » mes mots sont articulés pour te permettre de suivre lentement. « 나는 너를 잃기에는 너무 무서웠다.... » surenchéris-je les prunelles plongées dans les tiennes, mais le fait que tu te focalises sur mes lèvres me perturbe encore plus. Brève parenthèse en coréen pour voir si tu y arrives mieux dans cette langue que nous partageons en commun. « I know you can do it, because I believe in you and I know that you are perfectly able to accommodate you. » je suis certaine que tu pourras capter quelques mots et en définir la phrase, t'étais assez intelligent. « I'm sorry to look like anything, I wanted to see you so much that I completely zapped to be presentable. » que je rajoute en laissant un petit rire s'échapper de mes lèvres. C'est vrai quoi, regardez-moi ? Je ressemblais vraiment à une momie. Glissant une mèche rebelle derrière mon oreille, je finis par baisser les yeux. Stop it Vella, arrête d'être comme ça bordel ! « Did you eat something? Do you want me to bring you something better? » tu peux le faire Ryu. Tu peux lire sur mes lèvres, tu peux anticiper chaque lettre, même si ce n'est pas la phrase parfaite, mais tu en comprendras le sens.
(a) blue moooon
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Être tactiles avec tes proches, c'est peut-être un de tes défauts alors qu'il est de coutume de garder quand même ses distances, pour apprécier d'autant plus l'autre et ne pas se montrer envahissant et/ou irrespectueux. Mais ça, t'as assez facilement tendance à l'oublier et en faire fit. Minho a déjà interprêté plus d'une fois tes gestes comme un manque de respect envers lui, alors que c'était pas ton but. Avec Hyundo, c'est encore plus compliqué parce que lui aussi franchit trop facilement les limites, que tu sois en couple ou non. Bien que là, avec Bleach, tu sais pas trop si t'es réellement en couple ou pas. Techniquement oui, en vue de votre conversation, mais en même temps, avec ce qu'elle t'a dit... Tu sais pas trop, parce que c'est pas trop correspondant à ta définition d'un couple. Alors là, avec Vella, pour toi, c'est pas trop grave d'être tactile, ça te déplait pas et t'apprécie même, parce que ça te fait vachement du bien un peu de chaleur humaine.

Tu l'invites même à venir dans tes bras et elle le fait, tu refermes ainsi ceux-ci sur elle en douceur, ta main gauche venant se perdre dans sa chevelure en de finies et douces caresses. Tu fais attention à ne pas les lui tirer, pour ne pas l'incommoder alors qu'elle se love davantage contre toi. Si au début, tu sentais son souffle sur ta peau, très vite, elle semble y faire barrage de sa main sans que tu comprennes pour quoi. Tu l'as la repousse un peu, pour voir son visage et ses yeux, de peur de la voir se retenir de pleurer ou même tout simplement sangloter. Mais il n'y a rien de cela alors tu lu montres simplement le message que tu as écrit sur ton téléphone avec ta main gauche.

Tu ne la quittes d'ailleurs pas des yeux alors qu'elle te lit et t'attend ses réactions, espérant pouvoir, dans sa gestuelle la comprendre. Tu es néanmoins un peu perturbé par la couleur de ses joues et tu portes machinalement ta main à son front, soucieux de savoir si elle a de la fièvre pour être soudainement rougissante de la sorte. Mais ne sentant rien, tu retires celle-ci en fronçant un peu les sourcils, rivant ton regard sur ses lèvres alors qu'elle semble chercher à t’entraîner à lire sur les lèvres.

Tu secoues doucement la tête à ses mots, du moins, ce que tu penses avoir comprit de cette première tentative. Avalant ta salive, tu humectes ensuite un peu tes lèvres, pour te préparer à parler, espérant réussir à échapper des mots de façon compréhensible et surtout pas hurler. "Il." Tu l'observes, pour voir sa réaction à ta voix, si t'as parlé trop fort ou si elle semble tendre l'oreille pour t'écouter. Tu tentes de t'ajuster en fonction de son non verbal pour chercher à faire une sorte de conversation tout à fait normal, même si t'as surtout l'air d'un enfant à hésiter. Un gamin qui manque de vocabulaire et de pratique alors que c'est pourtant très loin d'être le cas. Tu reprends alors, modulant ta voix tout en parlant. "Il en faut plus que ça pour avoir ma peau." T'espère que t'as bien interprété les bribes que t'as comprit et que tu réponds pas un truc totalement à côté de la plaque. Sinon, dans le pire des cas, tu risques quoi hormis de lui arracher un petit rire ?

Elle enchaîne alors rapidement. Trop rapidement, tu la fixes, cherchant à tout comprendre, mais ne cernant que quelque mots encore une fois, mais surtout la fin, une fois que t'as comprit que c'était de l'anglais et pas du coréen. Elle est fourbe à changer de langue comme ça. Pour peu, bientôt, elle te parlera dans une langue que tu comprends pas en temps normal. Ne sachant pas quoi dire réellement, ayant comprit que la fin, tu te contentes de sourire, espérant que ça lui suffira comme réponse... Et comme elle poursuit encore, tu te doutes qu'elle va pas s'arrêter à ça. C'est vrai que c'est une véritable pipelette quand elle s'y met. Cela t'énerve juste encore plus, car tes pas capable de lui répondre, de parler avec elle comme en temps normal alors qu'elle se... Rabaisse ?

Tu fronces une nouvelle fois les sourcils en la dévisageant un peu avant de venir poser ton index sur ses fines lèvres. Lèvres que tu ne cesses d'observer depuis tout à l'heure, tu espères les faire rester immobile un peu. Pas tant que ça pour en admirer le calbe. Tu forces d'ailleurs un peu le geste, ton doigts effleurant doucement ses lippes. "Parles moins vite... Et surtout, surtout arrêtes de t'affliger comme ça. T'es présentable même vêtue de haillons alors chut." Ta voix est pas stable, variant de trop fort à pas assez, t'arrives pas à l'ajuster, enfin, s'est ton ressentit, seule la demoiselle devant toi peu juger. Tu sais pas si en réalité, elle se rabaisse autant, t'as juste comprit les mots sorry, zapped et presentable. Du coup, même s'il y a plusieurs possibilité, vu sa tête et sa tenue, tu peux facilement supposée qu'elle ne s'excuse pas d'avoir zappé de se changer et d'être un peu trop présentable pour une simple visite de courtoisie à l'hôpital...

Tu ne réponds d'ailleurs pas à ses dernières paroles, les jugeant bien moins importante que le passage juste avant. Tu vois pas l’intérêt de manger quand ta meilleure amie semble se sentir misérable... Faut dire que tu peux comprendre un peu, enfin, imaginer surtout, parce qu'une femme, ça déteste être blessé au visage... Faudrait peut-être même que tu retires ton doigts de ses lèvres-là... Que tu le recules et arrête de profiter de la douceur de celles-ci.
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l'important, c'est que tu sois vivant // @ryu-jin nam-kim ※※※ Je ne pourrais pas concevoir que la vie m'arrache une personne à laquelle je tiens énormément. Je ne pourrais pas concevoir de te perdre Ryu. Je n'ai pas réalisé avant à quel point je tenais à toi. Au point de ne pas réussir à fermer l'œil de la nuit et à compter les heures en attendant de pouvoir te retrouver et te parler aux premières lueurs du jour. Me voilà donc ainsi à paniquer et à stresser devant toi. C'est inattendu et déconcertant pour moi. La suite est encore pire, car je divague, je perds sacrément mes moyens et je commence à parler sans m'arrêter. Tu me stoppes soudainement, ton doigt venant se loger contre mes charnues et mettant ma radio sur silence. Il est vrai que lorsque je commençais à faire ma pipelette, la seule façon de m'arrêter était un geste comme celui-ci ou... Non je ne dirais pas le mot, parce que la simple pensée de sentir tes lèvres à cet endroit précis, affolait mon palpitant. Jésus Marie Joseph ! Mais à quoi je pense ? Je réalise petit à petit et je cligne une fois, puis deux fois, les yeux. Lorsque tu te mets à surenchérir, je grimace un peu parce que ta voix alterne entre un haussement et un murmure. Je ne peux te le signaler, car ton doigt me barre toujours les lèvres et m'empêche de te répondre. D'ailleurs, pourquoi tu la gardais encore sur elles ? Pourquoi tu la glissais tendrement comme si tu voulais mentalement imprimer leurs douceurs ? Est-ce qu'elles l'étaient au moins dis-moi ? C'était comme ton geste sur mon front il y a quelques secondes, je n'en comprenais pas la signification. Toi non plus tu ne devais pas comprendre pourquoi mes joues ont soudainement viré roses. Mon cœur bat encore plus vite, c'est insensé. J'ai envie de détourner le regard, mais il reste accroché à tes yeux. Purée, je me perds dans mes pensées et en plus je fixe un point que je ne devrais pas regarder, je remonte vite mon regard sur ton visage en transpirant un peu de honte, puis je gigote ma main devant tes yeux en te voyant toi aussi perdu dans tes pensées. « Eho ! Il y a quelqu'un ? » mes mots sont étouffés par ton doigt et donnent l'impression à ma voix, de grogner. De ce fait, j'attrape rapidement mon tel pour t'écrire. « Tu comptes un jour retirer ton doigt ou bien s'ayez, il compte hiberner ? » un fin sourire éclaire mon visage tandis que j'entrouvre légèrement mes lèvres pour mordre doucement dans ta chair, laissant la chaleur de ma salive envelopper ton doigt et le relâcher cinq secondes plutard, suivi d'un rire. « Tu vois, elles mordent ! Tss ! » pianotais-je de nouveau sur l'objet électronique. « Elles sont douces au touché au moins ? » parlant cette fois, je faisais exprès de ne pas articuler pour que tu n'en percutes aucun mot. Ce sera mon petit secret et parce que je ne te l'aurais jamais demandé en temps normal. Oh bah tien, je pourrais aussi te demander pourquoi il fait si chaud ? Et pourquoi mon poul est si affolé ? Que tu ne comprendrais que dalle à mon charabia.
(a) blue moooon
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Perdu dans tes pensées, tu te questionnes un peu, laissant ton doigts choir sur ses lèvres. Tu les observes alors quand elles se mettent à bouger en dessous. Mais tu comprends pas... Pas avant qu'elle ne finisse par te l'écrire après ce geste que t'aurais pas imaginé. Tu restes surpris, pour ne pas dire choqué qu'elle ai réellement fait ça. Tu retires ton doigts et le fixe, comme si t'avais vraiment du mal à comprendre ce qu'il venait de se passer. Pire encore t'es forcé de constaté qu'elle t'a réellement mordu. Ta chair ayant prit temporairement la forme de ses doigts, parce que cette partie là du corps marque facilement, mais très vite reprend sa forme initiale. Ainsi, après quelque seconde, il ne reste plus que la trace de sa salive. Humide et chaude. Tu relèves le regard vers elle. "J'te savais pas cannibale." Lances-tu alors sans avoir comprit un traître mot de ce qu'elle a dit. Si vraiment, elle désire que tu saches, elle répétera ou te l'écrira. Du moins, t'espères, sinon, tu trouveras un moyen de savoir ce qu'elle à dit. Bien qu'en même temps, ça doit pas forcément être quelque chose d'hyper important vu la situation et les paroles dites juste avant.

Tu te penches alors en avant, venant glisser ta main dans sa nuque, essuyant au passage ton doigts sur sa peau à elle et pas ailleurs. Au risque de la froissée un peu. T'avais quand même le loisir de l'essuyer dans tes draps et pas sur son derme. Enfin, ça reste qu'un peu de salive, c'est pas comme s'il s'agissait d'un autre liquide corporel...

Tu refermes alors tes doigts sur sa nuque, pour lui retirer toute fuite. "A moi de me venger maintenant." Une petite menace, un sourire en coin, tu vas pas lui faire mal, juste jouer. Tu t'avances encore plus vers elle, au risque de mettre à mal ton pieds à cause d'une position un peu saugrenue tandis que tout en l'empêchant de reculer, tu viens chercher à nicher ton visage dans le creux de son cou pour tenter, si elle ne se débat pas trop, de lui mordiller la peau à cet endroit, comme un vampire, comme un amant, comme un partenaire de sexuel.

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