Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« you are crazy, perfect liar » ∇ SCARSIN - Page 2
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« you are crazy, perfect liar » ∇ SCARSIN

2 participants
Billie O'Malley

Âge : 27
Lieu de naissance : Glencolmcille, cherche pas sur Google, c'est en Irlande.
Quartier d'habitation / Colocation : entre Manchester-by-the-Sea, dans une maison beaucoup trop grande et beaucoup trop vide, et une chambre de la adams
Situation sentimentale : célibataire, experte en désillusions, fuyant l'attachement qui lui divise le cœur en deux
Études / Métier : étudiante en sciences environnementales et barmaid au Drink.
Date d'inscription : 18/06/2017
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK! (Annabelle)
Icon : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 0hq4ZYDX_o
Faceclaim : Florence Pugh
Crédits : undercover (avatar) alcara (signature) polaroid papers la talentueuse (code profil)
Multicomptes : Jasper & Horace
Description (1) :
— je te rêve l'après-midi,
je te cherche dans les draps,
on t'appelle mélancolie
« you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 3426431d3cdc193b8623722967a97555092ce426 « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 Dff155232127b1edaa9a9b6295a58205594f8b8b « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 002babcf9292529ea7e9864e5ecac141faf9fad2
On se croira toujours heureux
nos cœurs sont pourtant gris foncés
. —

le petit frère, Zach, disparu alors qu’elle avait quinze ans, et n’a jamais été retrouvé ● voit son fantôme, depuis, et d'autres désormais ● isolée de ses parents, qui la pensent folle - elle le pense aussi, probablement un peu ● galère à s’accrocher aux autres, ne voyant que le temporaire de la vie ● le corps jonché de cicatrices, preuves d'imprudences régulières ● des cachets sous le lit, bien dissimulés sous une latte de parquet ● fervente défenseure de la cause animale et de l’écologie, donne régulièrement de la voix dans les manifs ● donne régulièrement de la voix, tout court, bien trop bruyante ● se coupe les cheveux seule, les teint de manière aléatoire ● se moque de son apparence, s'amuse de son reflet et de sa réputation ● fait la collection des peluches O’Malley ● cuisine beaucoup et expérimente les plus étranges des alliances ● spécialiste en cocktails ● roule la moto ayant causée la mort de Maverick, et participe à des courses illégales, le tout sans permis ● préfère les livres aux séries, aux films, à son téléphone ● fait quelques photos, pas toujours ratées ● ne comptez pas sur elle pour faire du sport ● n'aime pas beaucoup les gens, de manière générale, mais essaye de s'améliorer ● s'en fout de beaucoup de choses, en réalité

Description (2) :
--- maladroite, obstinée, fêtarde, imprudente, sans aucun instinct de survie, lunaire, effrontée, provocatrice, ambitieuse, misanthrope, impudique, mélancolique, soumise à ses pulsions, décomplexée, maline, menteuse, solitaire, fragile ---

Description (3) : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 Untitled-1
Warnings : prise occasionnelle d'anxiolytiques et somnifères en lien avec des périodes d'état dépressif, disparition d’un proche (frère), surnaturel, perception de fantômes et communication avec les esprits, propos parfois vulgaires et impudiques
RPS : 203
Messages : 6990
Préférences de jeu
veritas
Billie O'Malley
est en ligne
FRANKLIN HOUSE › make a difference
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t119990-billie-o-malley-saoirse-ronanRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t120243-billie-o-malley-456-824-7330#4489947Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155801-billie-o-malley-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t121158-meetsachussets-billiethekid#4556395
I knew the moment I looked into your eye, I'd have to swallow all your lies
@TAMSIN B. WATTS  

"Je sais." T'avais qu'une mission, Tamsin. Je t'en avais donné qu'une, alors que moi, je devais réussir à fermer les yeux, tout en me bouchant les oreilles. Je devais même pas sentir les parfums autre sur toi. J'arrêtais de respirer, quand j'avais un doute. Je me suis faite experte de la tête dans le sable, de l'ignorance absolue. Je te demandai juste de te murer dans une discrétion absolue, d'épargner mon pauvre battant, qui lui, naif, ne sait pas se protéger. Ca se voit, il est même pas foutu de s'épargner. Il replonge toujours, il s'enflamme, il fait mal tellement il bat vite, quand tu t'approches. Quand tu m'extraies du monde pour me tirer dans le tien, que j'ai même pas le temps de faire semblant d'émettre une objection. Laisse-moi quelques secondes, pour embobiner mon esprit. Parce que l'esprit, lui, se méfie. Il a discuté avec la tête d'en face, il a vu qu'il perdait tout le temps. Il a vu qu'il faisait pas le poids, face au cœur qui s'enflamme, qui prend le dessus, qui ignore toutes les recommandations, qui les poussent même, les dégagent du chemin, pour déballer un tapis rouge à l'Elue. J'te mets même quelques pétales dessus aussi si tu veux, pour que ton retour ai l'air d'une fête, alors que c'est la dé-fête qui prime. Parce que Scar tu vois, elle résiste même pas, elle fonds dans tes bras, et les barreaux ne font que s'enfoncer dans son ventre, comme pour lui rappeler la connerie qu'elle est entrain de faire. Elle le sent pas, elle sent plus grand-chose la mather. "Je sais.." Tu sais quoi, au juste ? Tu sais que j'ai hurlé, cassé, chialé, dormi, pesté, haie, que j'ai trouvé réconfort dans de trop grands bras ? Est-ce que tu vois le trou béant dans ma poitrine ? Tu les vois, les dégâts ? Est-ce que tu sais aussi comment réparer ça ? Parce que j'ai cousu, rebouché, camouflé, recouvert, y a rien qui marche. Et, là, je sais pas si ça cicatrice où si ça s'ouvre davantage, mais c'est douloureux, ça bouge à l'intérieur, et la chair est encore fragilisée. Les bras s’agrippent derrière, elle te laisse pas partir. Elle devrait. Elle y arrive pas. "T'es la seule à qui je voulais pas que ça arrive.." Et finalement, je crois que moi aussi je sais. Je sais pourquoi, je comprends pas, mais je sais. J'ai toujours su, finalement. Je sais ce qui te compose, ce qui t'anime, ce qui t'affaiblie. Les mensonges t'habillent, le désir anime tes prunelles, et la liberté souffle, te pousse. Ca m'a plu d'être l'unique, un temps. Tellement que je crois que j'ai finis par oublier l'autre côté de la pièce. "J'ai été égoïste, j'suis désolée.." Ton égoïsme aussi, je l'aimais, quand il ne taillait pas trop dans ma chair, quand il n'infligeait pas quelques blessures, à chaque fois qu'il ne m'intégrait pas dans les exception. « Je suis désolée de ne pas t'avoir donné la chance de m'expliquer. » J'le regrette pas, parce que l'air était trop lourd pour intégrer mes poumons, je ne pouvais plus rester. Mais, j'suis désolée. D'être partie, de t'avoir laissé face à une chambre vide, de m'être limitée à quelques caractères sur un téléphone. Les prunelles se baissent, puis se confrontent à nouveau aux tiennes. « J'y arrivai pas. » A te perdre, à te quitter, j'y serai pas arrivée, si j'étais pas partie. Puis, t'es là, mon pauvre corps a contourné la protection de plastique pour se rapprocher du tien, pour s’asseoir, à peine, pour que mes doigts agrippent les tiens. Que mon battant fait n'importe quoi, et ma respiration avec. « J'y arrive pas, à te quitter. » Tu vois, j'suis encore là. La nuit, ou de jour, j'suis toujours là, et j'arrive pas à changer de chemin.

© LOYALS.
(Billie O'Malley)




Ô travers ☽ Au travers de l'humain, tu comprends des choses, controverse tes travers en vers et puis en prose. Découvre l'endroit et l'envers, analyse la chose, en comprenant tes travers viendra la métamorphose. Regardez-moi de travers, je prendrai la pose. Moi je les aime mes travers, donnez les vôtres, j'en ferai quelque-chose. ☽ zaho de sagazan
Sofia Dunn-Aguera

Âge : 28
Lieu de naissance : Nashville, dans le Tennessee.
Quartier d'habitation / Colocation : Cambridge, avec Eowyn dans mon appartement.
Situation sentimentale : célibataire, collectionneuse d'homme selon les rumeurs. Cherche en réalité l'amour.
Études / Métier : étudiante en bio-ingénieurie et pompier volontaire
Date d'inscription : 28/08/2014
Pseudo & Pronom(s) IRL : polaroid papers, elle.
Icon : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 1f788a2cc061729f048b4b066393bed9c1cacedb
Faceclaim : selena gomez
Crédits : @strange-hell (av) + gold anthem (sign) + Jendy (profil)
Multicomptes : Leandra, Stevie, Asto et Khai
Description (1) :
sofia d u n n - a g u e r a
believe you can
and you're
halfway there

« you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 740899cc3e50fa04176d280a89986d735929185d

« you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 1c467e8fd08309e8ea01bec82cf353c7edea023b

« you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 5971d9d854196918503717849d45a55c464bd5c8
» m o o d b o a r d »
elle porte le nom de ses deux mères » elle fait du skate » elle parle l'espagnol, portugais de manière courrante » elle chante parce qu'elle aime ça » elle sait jouer du piano appris depuis qu'elle est enfant » elle a un petit frère » souriante, elle est souvent le coeur de la fête, à rire, faire rire, jusqu'à ne plus se tenir » pompier volontaire » elle plaide la cause féminine, soutient les femmes, leur corps, leur choix » active sur les réseaux » elle croit à l'amour, le vrai

» character Sofia, c'est la douceur du soir. Capable du meilleur, tendre la main vers ceux qui en ont besoin. Parfois naïve, surtout quand c'est la parole des hommes. Elle croit au prince charmant, elle croit que quelqu'un l'attends quelque part. Elle est cette fille qui pense que tout peut lui sourire si elle tends l'autre joue. Elle fêtarde, Sofia, elle aime être aimée, acceptée. C'est la lumière dans la pièce, c'est elle qui dicte, qui sait ce qu'elle veut, qui sait où elle va. Elle s'intéresse à tout, elle est curieuse, intriguée par un rien. Elle fonce quand elle le peut. Elle se bat pour ce en quoi elle croit.

Description (2) : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 3209d057c3fae00f7b260ce865dc3812

« you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 TNk4vBMO_o

» liens positifs
Eowyn » amie.
Jade » amie.
Wilby » ami.


» liens entre deux
Shayn » rencontré et aidé, à voir.
Caesar » ex petit-ami.
Aidan » ex petit-ami.
Denzel » flou.
pseudo »
pseudo »
pseudo »
pseudo »
pseudo »


» liens négatifs
pseudo »
pseudo »
pseudo »
pseudo »
pseudo »


» préférence de jeu [HORS JEU] joue principalement au feeling // active en rps, sms et qnt.


Warnings : violences (excès de colère/excessive/gratuite), mort, sang, alcool, drogue, adoption.



RPS : 234
Messages : 22697
Préférences de jeu
veritas
Sofia Dunn-Aguera
est en ligne
rédaction & design | FRANKLIN HOUSE › make a difference
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t116123-sofia-dunn-aguera-selena-gomez#4256736Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155673-sofia-stevie-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118853-meetsachussets-sofiadna?nid=1330#4400743Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t120422-who-are-you-when-nobody-s-watching-sofia#4505600
I knew the moment I looked into your eye, I'd have to swallow all your lies
@TAMSIN B. WATTS  

Je ne suis que mensonge, là dessous. J'offre le pire du meilleur aux autres, j'offre le meilleur de mon pire à toi. Toi, qui t'accroche aux barreaux, qui m'aime malgré les défauts. On se frappe, on se fait mal, et pourtant c'est toujours elle qui passe le pas de la porte de ma chambre. C'est toujours elle qui répond présent quand j'appelle. Est-ce que c'est moi qui aime la faire souffrir, ou est-ce qu'elle revient parce qu'elle aime souffrir ? J'aimerai que tout soit lisse, que son visage ne soit que merveilles, sourire et joie. J'aimerai qu'elle ne respire que pour moi. Je le sais, tu sais, que je suis le mal incarnée. Qu'à l'intérieur c'est sombre, obstiné, égoïste, possedé. Je sais qu'elle est passé par toutes les étapes, qu'elle s'est sentie salie, souillée, que son esprit l'a rongé. Je sais que rien n'allait. Quand moi, je me perdais chez d'autres, elle vivait son chagrin toute seule. J'ai juste essayé de combler le trou béant qu'elle laissait, quand elle, c'est ça qui l'emportait. Je sais défaire, rarement faire. Je cause des dégâts et mon travail s'arrête là. On m'a jamais appris à faire en sorte que les autres aillent mieux, on m'a jamais appris à coudre, recoudre, bloquer quand le sang coulait. Je ne sais faire que les mauvaises choix, je ne répare que peu de choses. Et tu vois, même pas toi. Je m'excuse, je te serre, c'est franchement peut-être pas la meilleure chose à faire. Je sais pas, j'en avais envie, sur le coup, et on sait toutes les deux que mon niveau de résistance est proche du néant. « Je suis désolée de ne pas t'avoir donné la chance de m'expliquer. » secoue la tête, "C'est moi Scar, qui suis désolée d'avoir eu à expliquer quoi que ce soit.." mes bavures, mes ratures, aucune explication ne peuvent couvrir ça. Encore moins celles que j'allais te fournir. On m'a juste appris à mettre des pansements avec des jolis fleurs dessus, des petits coeurs, sur les ouvertures bien trop grandes. Je mens pour recouvrir les peines, je les cache sous des compresses malsaines, pas franchement bien fixée mais si en face la personne croit que c'est le remède, alors ça le sera. L'esprit humain est bien peu de chose quand on sait comment l'embrouiller. « J'y arrivai pas. » tu sais, j'y arrive toujours pas non plus. Je peux pas te voir loin de moi, je te rappelle toujours, parce que je serais que tu reviendra. L'égoïsme qui utilise ta faiblesse. Appelle-moi le vilain de ton conte et trouve toi le vrai héros. Je reste contre elle, même quand son corps se détourne, quand il tourne, qu'il se pose là, sur le rebord du lit. « J'y arrive pas, à te quitter. » J'aimerai le cacher, ce sourire niais. Si seulement on arrivait à essayer. Je m'assois, au milieu du lit, lui laisse de la place pour qu'elle en fasse autant. Le coeur est lourd, bien que la vue soit la plus belle. "On a pas à le faire.." elle glisse sa main sur la joue de la plus pâle de nous, regarde le visage de la belle, s'approche doucement alors que le coeur éclate. Ferme les yeux, s'approche encore et le coeur gronde. Il fait mal. Je me recule, la regarde, "Scar, je.." j'ai mal. J'ai mal, pour moi, pour toi, pour nous. "On sait comment j'suis, on l'sait.." et pour moi, mon rôle est clair, c'est avec toi que j'ai envie de passer ma vie. Le pouce caresse la joue, "J'suis dingue de toi, t'es la seule personne de qui j'suis amoureuse, parce que j'l'ai toujours été." depuis le début, depuis les échanges de bikini, depuis nos soirées arrosées, depuis les baisers volés et toutes ces premières fois. "J'me vois passer ma vie avec toi. J'arrive même à t'voir dans une superbe robe blanche." rigole nerveusement, la fille sans avenir qui s'en imagine un. Stupide. Je te vois tout à moi, parce que rien ne sera jamais assez. "Mais cet avenir, j'veux pas le risquer." pas maintenant, "J'ai pas envie d'une nouvelle bêtise, et que cette fois-ci tu m'laisse pour de bon." C'est simple de dire à Tamsin de ne pas faire de connerie, c'est moins simple quand elle doit respecter le pacte initial. "J'te veux pas loin d'moi, j'déteste quand j'peux pas te voir, j'déteste quand tu m'en veux, quand t'es en colère.." j'veux pouvoir venir dans tes bras les nuits d'orage. "et j'déteste quand j'te fais pleurer.." quand je te fais mal, que je brise un peu plus une partie de toi. Je l'ai déjà trop fait, il n'y a qu'à te regarder. "Dis-moi c'que j'dois faire." Mon nom est partout gravé, et quand on pourrait croire à une bénédiction, on sait que de mes lettres taillées dans la chair, c'est une malédiction. A tenir, soutenir, à porter. C'est un mauvais sort, murmuré tout bas, une tragédie, du genre qu'on efface pas. Face à Juliette, qu'on ne m'accorde pas le rôle de Roméo. Je suis l'efficace poison qui s'influe dans les veines, contamine le sang, remonte au coeur et tue les sentiments.

© LOYALS.
(Sofia Dunn-Aguera)



 
I'm doing good, I'm on some new shit, been saying "yes" instead of "no", I thought I saw you at the bus stop, I didn't though. I hit the ground running each night, I hit the Sunday matinée. you know the greatest films of all time were never made.

Billie O'Malley

Âge : 27
Lieu de naissance : Glencolmcille, cherche pas sur Google, c'est en Irlande.
Quartier d'habitation / Colocation : entre Manchester-by-the-Sea, dans une maison beaucoup trop grande et beaucoup trop vide, et une chambre de la adams
Situation sentimentale : célibataire, experte en désillusions, fuyant l'attachement qui lui divise le cœur en deux
Études / Métier : étudiante en sciences environnementales et barmaid au Drink.
Date d'inscription : 18/06/2017
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK! (Annabelle)
Icon : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 0hq4ZYDX_o
Faceclaim : Florence Pugh
Crédits : undercover (avatar) alcara (signature) polaroid papers la talentueuse (code profil)
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Description (1) :
— je te rêve l'après-midi,
je te cherche dans les draps,
on t'appelle mélancolie
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On se croira toujours heureux
nos cœurs sont pourtant gris foncés
. —

le petit frère, Zach, disparu alors qu’elle avait quinze ans, et n’a jamais été retrouvé ● voit son fantôme, depuis, et d'autres désormais ● isolée de ses parents, qui la pensent folle - elle le pense aussi, probablement un peu ● galère à s’accrocher aux autres, ne voyant que le temporaire de la vie ● le corps jonché de cicatrices, preuves d'imprudences régulières ● des cachets sous le lit, bien dissimulés sous une latte de parquet ● fervente défenseure de la cause animale et de l’écologie, donne régulièrement de la voix dans les manifs ● donne régulièrement de la voix, tout court, bien trop bruyante ● se coupe les cheveux seule, les teint de manière aléatoire ● se moque de son apparence, s'amuse de son reflet et de sa réputation ● fait la collection des peluches O’Malley ● cuisine beaucoup et expérimente les plus étranges des alliances ● spécialiste en cocktails ● roule la moto ayant causée la mort de Maverick, et participe à des courses illégales, le tout sans permis ● préfère les livres aux séries, aux films, à son téléphone ● fait quelques photos, pas toujours ratées ● ne comptez pas sur elle pour faire du sport ● n'aime pas beaucoup les gens, de manière générale, mais essaye de s'améliorer ● s'en fout de beaucoup de choses, en réalité

Description (2) :
--- maladroite, obstinée, fêtarde, imprudente, sans aucun instinct de survie, lunaire, effrontée, provocatrice, ambitieuse, misanthrope, impudique, mélancolique, soumise à ses pulsions, décomplexée, maline, menteuse, solitaire, fragile ---

Description (3) : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 Untitled-1
Warnings : prise occasionnelle d'anxiolytiques et somnifères en lien avec des périodes d'état dépressif, disparition d’un proche (frère), surnaturel, perception de fantômes et communication avec les esprits, propos parfois vulgaires et impudiques
RPS : 203
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Préférences de jeu
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Billie O'Malley
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t119990-billie-o-malley-saoirse-ronanRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t120243-billie-o-malley-456-824-7330#4489947Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155801-billie-o-malley-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t121158-meetsachussets-billiethekid#4556395
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@TAMSIN B. WATTS  

J'ai peur du vide, j'ai peur du rien. J'ai peur quand t'es pas là, quand t'es pas celle que j'peux appeler pour éloigner les cauchemars, quand t'es pas celle qui me suis, quand je décide de faire les mauvais choix. Moi, j'ai peur de la solitude, j'ai la frousse de me retourner, et de ne voir plus personne. Que tu te sois lassée de ma naiveté, que tu ne te laisses plus surprendre par la pureté de mon battant. Que tu uses d'autres patiences, que d'autres aiguisent d'avantage tes envies. Maintenant que j'ai plus aucune clé entre mes doigts, j'ai juste l'impression que l'ensemble du gâteau se casse la gueule, et que je tiens juste les personnages du dessus, en l'air, que ça repose plus sur rien. Mais tu sais, je continue, je fais comme si tout tenait encore debout, j'enrobe le vide d'un joli flot d'illusion. Je joue la colère, je la ressens même, j'y crois jusqu'au bout de mon souffle qui suffoque. Mais la vague d'autre-chose déboule, et noie l'ensemble. Calme le feu, et se contente de vivre au rythme des marées. Je te rejoins, je m'approche, parce que le corps le dicte. "C'est moi Scar, qui suis désolée d'avoir eu à expliquer quoi que ce soit.." Ouais, merci, rappelle-lui à cette rousse, que c'est pas elle qui doit fléchir, baisser le regard. "On a pas à le faire.. Scar, je.. On sait comment j'suis, on l'sait.." On le sait, avant tout, avant que les lèvres s'appuient trop sur celles adverses, quand tout ceci prenait encore des allures d'une ambiguïté légère. J'arrive même pas à me rappeler comment c'était avant, comment je faisais pour tenir la distance, pour maintenir le rôle. "J'suis dingue de toi, t'es la seule personne de qui j'suis amoureuse, parce que j'l'ai toujours été." Un fin sourire, à peine visible, sur ces lèvres qui ont trop goûtées le sel. Qui ont déjà oublié.  "J'me vois passer ma vie avec toi. J'arrive même à t'voir dans une superbe robe blanche." Elle a ce rire idiot, c'est absurde. Moi, j'l'ai jamais imaginé. J'sais pas, j'crois que j'ai même pas intégré qu'on pouvait, qu'on avait le droit, que c'était une possibilité. Moi, ma bague, c'est ce pendentif que j'porte autour du cou. "Mais cet avenir, j'veux pas le risquer. J'ai pas envie d'une nouvelle bêtise, et que cette fois-ci tu m'laisse pour de bon." Les sourcils se froncent, à peine, elle comprends, entre les lignes. « Et quoi, je t'attends ? » C'est ça non ? J't'attends, sagement, j'attends que la porte se rouvre enfin, avec toi derrière ? « J'attends que t'ai vécu toutes les expériences, que tu t'ennuies, pour que tu reviennes vers moi sans risque ? » Tu le sais, que t'as pas le droit de me demander ça. "J'te veux pas loin d'moi, j'déteste quand j'peux pas te voir, j'déteste quand tu m'en veux, quand t'es en colère..et j'déteste quand j'te fais pleurer.. " T'as l’égoïsme qui suinte, dans chacune de tes syllabes Tamsin. Tu me veux précieuse, présente, partageuse. Tu veux tout, et ne rien perdre. C'est pas comme ça que ça marche. Il faut donner un peu, sacrifier un ou deux cœurs, pour avoir les faveurs des dieux. "Dis-moi c'que j'dois faire." Elle triture ses doigts, Scarlett, elle en sait rien. Elle sait parfaitement, en vérité, mais c'est pas si simple. C'est juste deux portes, et elles ont eu beau prendre des dizaines de chemins différents, tourner en ronds, rajouter des détours, elles retournent à nouveau devant ce carrefour. Les lèvres se pincent, puis se font audacieuses. Le vert inonde le brun. « Epouse-moi, ou laisse-nous partir. » Prend-le comme tu veux, mais l'idée est là. C'est tout, ou c'est rien, c'est moi comme amie, comme connaissance, moi qui fini contre d'autres peaux, ou c'est moi à chacun de tes réveils. Je peux fermer un œil, éluder encore un peu la vérité, si t'es capable d'un pas en arrière, quand ça s'approche trop près de ta peau. Au lieu de rayer la première chance, j'offre une deuxième. Dit-moi combien tu m'aimes.

© LOYALS.
(Billie O'Malley)




Ô travers ☽ Au travers de l'humain, tu comprends des choses, controverse tes travers en vers et puis en prose. Découvre l'endroit et l'envers, analyse la chose, en comprenant tes travers viendra la métamorphose. Regardez-moi de travers, je prendrai la pose. Moi je les aime mes travers, donnez les vôtres, j'en ferai quelque-chose. ☽ zaho de sagazan
Sofia Dunn-Aguera

Âge : 28
Lieu de naissance : Nashville, dans le Tennessee.
Quartier d'habitation / Colocation : Cambridge, avec Eowyn dans mon appartement.
Situation sentimentale : célibataire, collectionneuse d'homme selon les rumeurs. Cherche en réalité l'amour.
Études / Métier : étudiante en bio-ingénieurie et pompier volontaire
Date d'inscription : 28/08/2014
Pseudo & Pronom(s) IRL : polaroid papers, elle.
Icon : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 1f788a2cc061729f048b4b066393bed9c1cacedb
Faceclaim : selena gomez
Crédits : @strange-hell (av) + gold anthem (sign) + Jendy (profil)
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» m o o d b o a r d »
elle porte le nom de ses deux mères » elle fait du skate » elle parle l'espagnol, portugais de manière courrante » elle chante parce qu'elle aime ça » elle sait jouer du piano appris depuis qu'elle est enfant » elle a un petit frère » souriante, elle est souvent le coeur de la fête, à rire, faire rire, jusqu'à ne plus se tenir » pompier volontaire » elle plaide la cause féminine, soutient les femmes, leur corps, leur choix » active sur les réseaux » elle croit à l'amour, le vrai

» character Sofia, c'est la douceur du soir. Capable du meilleur, tendre la main vers ceux qui en ont besoin. Parfois naïve, surtout quand c'est la parole des hommes. Elle croit au prince charmant, elle croit que quelqu'un l'attends quelque part. Elle est cette fille qui pense que tout peut lui sourire si elle tends l'autre joue. Elle fêtarde, Sofia, elle aime être aimée, acceptée. C'est la lumière dans la pièce, c'est elle qui dicte, qui sait ce qu'elle veut, qui sait où elle va. Elle s'intéresse à tout, elle est curieuse, intriguée par un rien. Elle fonce quand elle le peut. Elle se bat pour ce en quoi elle croit.

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« you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 TNk4vBMO_o

» liens positifs
Eowyn » amie.
Jade » amie.
Wilby » ami.


» liens entre deux
Shayn » rencontré et aidé, à voir.
Caesar » ex petit-ami.
Aidan » ex petit-ami.
Denzel » flou.
pseudo »
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» liens négatifs
pseudo »
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pseudo »


» préférence de jeu [HORS JEU] joue principalement au feeling // active en rps, sms et qnt.


Warnings : violences (excès de colère/excessive/gratuite), mort, sang, alcool, drogue, adoption.



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Sofia Dunn-Aguera
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t116123-sofia-dunn-aguera-selena-gomez#4256736Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155673-sofia-stevie-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118853-meetsachussets-sofiadna?nid=1330#4400743Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t120422-who-are-you-when-nobody-s-watching-sofia#4505600
I knew the moment I looked into your eye, I'd have to swallow all your lies
@TAMSIN B. WATTS  

Elle est belle, Scarlett. Elle est mienne, aussi, un peu. Parfois. Quand je le décide, quand j'en ai envie, quand je le veux. Elle a ce sourire qui me fait vaciller, elle a les yeux rieurs, et cette fossette qui se creuse de temps en temps. Je connais toutes ses formes, et pourtant, je ne me lasse jamais de les redécouvrir. Je l'aime entière, rousse, rebelle. Je l'aime fière, souriante, ondulante, quand elle s'agitte sous mes mains. Je sais qu'elle sait pas, et j'sais pas non plus. C'est quoi cette direction, où est-ce qu'on va ? Moi j'm'en fous un peu, du moment que je sais que c'est avec elle. « Et quoi, je t'attends ? » c'est pas ce que j'ai dis, c'est pas ce que j'ai pensé. J'aimais juste ce qu'on avait, au début. Quand rien n'était défini, quand on s'aimait, quand j'avais cette liberté sur le côté, qui m'attendait. J'aimais les débuts, quand c'était flou, quand c'était doux, quand je t'aimais parfois par à-coup. « J'attends que t'ai vécu toutes les expériences, que tu t'ennuies, pour que tu reviennes vers moi sans risque ? » secoue la tête, j'ai l'impression qu'elle me comprends pas, parce que c'est pas comme ça que je le vois. Je sais pas, en réalité, ce que je veux réellement. Peut-être cette chose qui dit qu'on peut être ensemble et avec le monde en même temps ? Cette chose qui m'autorise à vivre, à ne pas m'enfermer, à ne pas m'attacher. Au final, Scarlett, tu vois, c'est pas le coeur l'organe qui merde, c'est toute la personne. L'organe défaillant, c'est l'excuse. La réalité, c'est que c'est la personne en face, qui a été mal éduquée. « Epouse-moi, ou laisse-nous partir. » les yeux se figent dans ceux plus clair. Quoi ? La salive s'avale difficilement, les yeux se plissent, essaie de comprendre, de lire entre les lignes. Le mariage ? C'est une kryptonite, pour moi. Après un moment dans le silence, je commence à comprendre. Je lis le dilèmme, le subis, l'entends. Le coeur commence alors à se faire entendre, se rendre plus fort. La seconde partie ne mène à rien, et elle est même complètement effacée. La seule qui reste en suspens, et cette idée. L'idée de Scarlett qui porte le nom Watts, en blanc, tout sourire. L'idée d'un nous, sous un bouquet de fleur, devant des témoins, face à un autel. Qu'est-ce que tu fais, Scarlett, toi qui me connaît ? Est-ce qu'elle essaie d'y mettre un point ? Le couple, c'est à peine accepté, alors un mariage ? A l'intérieur, c'est la panique. Les organes se bousculent, s'entre-choc, se marchent dessus. Se repasse les cinq dernières minutes, où naïvement j'avoue l'imaginer en blanc. L'idée vient de moi, quelque part. Tous ces pourquoi, qui s'en suivent. C'est vide, à l'intérieur. Ils ont tous foutu le camp, t'a fais fuir tout l'monde, Scarlett. Même le regard ne voit plus vraiment. Là dessus, c'est l'épée de Damoclès dans les deux cas. Dans les deux cas. La perdre serait la fin d'elles, de leur histoire, de ce qu'elles ont vécus, de ce qui leur reste à vivre. Le mariage sera la fin, d'elle, de sa liberté, de ce qui la représente. Le malheur percute, d'une manière comme d'une autre. Le malheur la percute, et elle est là, perdue. Aucun son ne sort, c'est le silence complet. Assomée, terrifiée. Je sais plus qui je suis ni même ce que je fais. Je suis allergique à ça, aux ultimatums, à ce bruit que le silence fait, à cette incapacité à répondre. "Je.. j'peux pas." qui se fraye un chemin, lent, doucement, à peine assumé. "Les deux, je.." moi, j'te veux, mais un mariage ? Un mariage ? C'est mon némésis, ma bête noire, c'est le rôle principal dans mes pires cauchemar. Toi, voilà que tu me l'annonce sur un plateau d'argent, que tu me l'offre face à la pire chose sur terre, que tu met en compétition deux choses impossibles à mes yeux. J'y arrive pas, l'équation tourne en boucle, se retourne, va dans tous les sens. Je t'offrirais toutes les bagues, tous les trésors, je t'offrirais mon corps, mais je suis incapable de d'offrir ce papier qui nous lie à jamais. Qu'est-ce que ça fait de moi, ça ? Marque mes mots, je ne dis pas jamais, je dis juste pas maintenant. Ca n'arange rien, ça marche pas non plus. Je sais pas comment ça marche, les couples, j'en déteste même l'idée. J'avais poussé mes limites, crée des nouvelles tranchées, un chemin direct jusqu'à toi. J'ai tout noyé, d'eau un peu trop salée, venant de tes yeux. Là, ce que tu me demande, c'est l'impossibilité. Je peux plus creuser, créer, ouvrir des portes. Je suis enfermée, Scarlett, et t'as pas envie de me voir tourner en rond et devenir folle, même dans tes bras. J'ai besoin de toi parce que t'es ma bouffée d'air, t'es l'oxygène, pas le bourreau. Là, tu me demande la cage, tu me demande la clef, tu m'demande de m'enfermer, alors que tu me connais contre l'idée.

© LOYALS.
(Sofia Dunn-Aguera)



 
I'm doing good, I'm on some new shit, been saying "yes" instead of "no", I thought I saw you at the bus stop, I didn't though. I hit the ground running each night, I hit the Sunday matinée. you know the greatest films of all time were never made.

Billie O'Malley

Âge : 27
Lieu de naissance : Glencolmcille, cherche pas sur Google, c'est en Irlande.
Quartier d'habitation / Colocation : entre Manchester-by-the-Sea, dans une maison beaucoup trop grande et beaucoup trop vide, et une chambre de la adams
Situation sentimentale : célibataire, experte en désillusions, fuyant l'attachement qui lui divise le cœur en deux
Études / Métier : étudiante en sciences environnementales et barmaid au Drink.
Date d'inscription : 18/06/2017
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK! (Annabelle)
Icon : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 0hq4ZYDX_o
Faceclaim : Florence Pugh
Crédits : undercover (avatar) alcara (signature) polaroid papers la talentueuse (code profil)
Multicomptes : Jasper & Horace
Description (1) :
— je te rêve l'après-midi,
je te cherche dans les draps,
on t'appelle mélancolie
« you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 3426431d3cdc193b8623722967a97555092ce426 « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 Dff155232127b1edaa9a9b6295a58205594f8b8b « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 002babcf9292529ea7e9864e5ecac141faf9fad2
On se croira toujours heureux
nos cœurs sont pourtant gris foncés
. —

le petit frère, Zach, disparu alors qu’elle avait quinze ans, et n’a jamais été retrouvé ● voit son fantôme, depuis, et d'autres désormais ● isolée de ses parents, qui la pensent folle - elle le pense aussi, probablement un peu ● galère à s’accrocher aux autres, ne voyant que le temporaire de la vie ● le corps jonché de cicatrices, preuves d'imprudences régulières ● des cachets sous le lit, bien dissimulés sous une latte de parquet ● fervente défenseure de la cause animale et de l’écologie, donne régulièrement de la voix dans les manifs ● donne régulièrement de la voix, tout court, bien trop bruyante ● se coupe les cheveux seule, les teint de manière aléatoire ● se moque de son apparence, s'amuse de son reflet et de sa réputation ● fait la collection des peluches O’Malley ● cuisine beaucoup et expérimente les plus étranges des alliances ● spécialiste en cocktails ● roule la moto ayant causée la mort de Maverick, et participe à des courses illégales, le tout sans permis ● préfère les livres aux séries, aux films, à son téléphone ● fait quelques photos, pas toujours ratées ● ne comptez pas sur elle pour faire du sport ● n'aime pas beaucoup les gens, de manière générale, mais essaye de s'améliorer ● s'en fout de beaucoup de choses, en réalité

Description (2) :
--- maladroite, obstinée, fêtarde, imprudente, sans aucun instinct de survie, lunaire, effrontée, provocatrice, ambitieuse, misanthrope, impudique, mélancolique, soumise à ses pulsions, décomplexée, maline, menteuse, solitaire, fragile ---

Description (3) : « you are crazy, perfect liar  » ∇ SCARSIN - Page 2 Untitled-1
Warnings : prise occasionnelle d'anxiolytiques et somnifères en lien avec des périodes d'état dépressif, disparition d’un proche (frère), surnaturel, perception de fantômes et communication avec les esprits, propos parfois vulgaires et impudiques
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Billie O'Malley
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I knew the moment I looked into your eye, I'd have to swallow all your lies
@TAMSIN B. WATTS  

Elle capte à peine ce qu'elle dit, Scarlett. Elle se contente d'attraper ce que tu dis, et l'intégrer dans ses mots, elle se contente de t'écouter. Tu lui dis que tu l'imagines en blanc, alors, elle le mets sur le tapis, elle dit pas quand, elle se satisfait d'une idée, d'une promesse, elle se satisfait de pas grand chose, Strudwick, quand c'est toi qui parle. Elle se laisser bercer, illusionner, elle voit que tu l'aimes, elle l'entends, elle le sent, alors, elle balance un truc que t'as l'air d'entendre comme absurde. J't'ai même pas demandé de jurer fidelité, j't'ai juste demandé  d'avoir un courage que t'as pas. J'le sens, à peine la dernière syllabe a quitté mes lèvres. J'les regrette pas, j'aime chacune des lettres de cette réplique. On s'appartient déjà, j'demande rien d'autre que tu l'écrives, que tu l'assumes, même pas que tu l'exhibes. Mais, là, tu recules.  Tu te barres, lâche, tu te casses en courant, avec l'air de rester. "Je.. j'peux pas." T'as à peine fini ta phrase, que mes doigts sont déjà dans ma nuque, à décrocher avec délicatesse le collier. Dans un film, j'l'aurai arraché, mais tu vois, ma peau est suffisamment marquée, pour y rajouter ta trace. Et, j'suis même pas en colère. J'tremble pas, t'as vu. J'crois même qu'on m'a rarement vu aussi apaisée et sereine. Décroche, doucement, la chaine, qui glisse entre ses doigts. "Les deux, je.." Si, t'y arrives, à choisir, tu viens de le faire Tamsin. Et, c'est pas grave tu sais. « C'était un joli discours. » Qu'elle reconnaît, bonne joueuse, de ses lèvres qui tracent même un fin sourire. Elle t'en veut même pas. Tout ce que t'as dis, cette jolie scénette que tu m'as joué. Celle où tu joues les amoureuses, celle où j'ai l'air d'être la reine de ton empire. Mais, t'es là, et tu refuses de confier ta couronne, tu veux la garder, ces murs, tu les veux pour toi seule. « Tu devrais garder certaines répliques, ça fait son petit effet. » Le collier est posé sur la couette, de ses doigts fins. La pierre était trop lourde, et prend des airs de bibelot sans valeur, désormais que tes prunelles se sont détournées de notre route. Elle se redresse, se lève, retrouve le sol. C'était sympa, ce petit voyage sur ton nuage de conneries Tamsin. J'sais pas si tu me mens, où si tu te mens à toi-même. La vie avec moi, ça commencait par demain, ça commencait par le sacrifice d'un peu de nous. Ca commencait par mon pardon, et ça se terminait par toi qui recule, au lieu de faire les mètres qui manquaient, entre nous. J'ai laissé mes gouttes de sang sur la lame, et toi, t'aimais trop ta peau, tu la voulais intacte ; le pacte est bancal, si y en a qu'une qui se sacrifie. Les doigts quittent le blanc de la couette, glissent sur le bord du lit. « On se verra, à l'occasion. Prends soin de toi. » D'autres t'y aideront, j'en doute pas. Tu t'en sortiras sans ma protection, sans moi. T'as jamais vraiment eu besoin de moi, au fonds. On le savait, qu'on en arriverait là. J'y ai juste cru, encore un peu, tu m'as dessiné ce qu'on pouvait être, tu m'as dis ce dont je rêvais ; et, t'as tout froissé, dans le mouvement d'après. T'as tout jeté sur le sol, comme de vulgaires croquis ratés. T'avais qu'à me dire peut-être, t'avais qu'à dire plus tard, t'avais qu'à dire qu'on avait pas besoin de ça, mais même ça, tu peux pas. Tu sais parler, tu sais pas faire. Tu sais raconter de belles histoires, mais tu sais pas les vivre. Ressert son manteau sur son corps meurtri, et attache sa crinière lionne. Elle a l'air presque plus légère, Scarlett, comme si elle avait enfin eu une réponse au mystère Tamsin. Ouvrir la boite, n'y voir que le vide, se rendre compte que le tour de magie n'était qu'un tour de passe-passe. Leur conte n'est pas une histoire digne d'être racontée aux enfants. S'arrête, dans l'encadrement, jette un regard vers le passé. « Oublie pas Alan, s'il te plait. » Et, princesse quitte l'histoire, sans sa couronne.

© LOYALS.
(Billie O'Malley)




Ô travers ☽ Au travers de l'humain, tu comprends des choses, controverse tes travers en vers et puis en prose. Découvre l'endroit et l'envers, analyse la chose, en comprenant tes travers viendra la métamorphose. Regardez-moi de travers, je prendrai la pose. Moi je les aime mes travers, donnez les vôtres, j'en ferai quelque-chose. ☽ zaho de sagazan

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