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(quiva) baby, don't let me go

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Si la première fois je n'ai pas eu de nouvelles de Nova, là, cette seconde fois, c'est bien plus pire que ce que j'aurais pu m'imaginer. il a fallut qu'elle soit là, à l'endroit de l'explosion, des fusillades, et j'ai rien pu faire pour elle, pour la protéger. Tout bonnement car je n'étais pas présent. J'ai préféré rester au garage pour terminer mon taffe et je lui ai dit que j'allais la rejoindre plus tard. Comme c'est tragique. J'étais sur le chemin quand j'ai entendu cette explosion, ces cris, ces voitures qui klaxonnent dans tous les sens. J'ai même manqué de me faire renverser deux, trois fois. Des heures, j'ai attendu des heures. Et lorsque tout le monde a pu être rapatrié en ambulances, j'ai accouru à l’accueil. File de dingue, hôpital débordé évidemment. J'ai prié pour que son nom soit là. De un, car si elle était morte, elle ne serait pas aux soins et de deux, ça veut dire qu'elle a un espoir de vivre. Mais de combien ? Je veux la voir, absolument. J'ai attendu des jours et des jours dans la salle d'attente. Limite, je prenais mon pic nique et je campais là. Jusqu'au jour où on autorise enfin les visites. Sauf que l'accueil refuse car je ne figure par sur la liste des autorisés. Ah, une princesse, j'avais oublié. « pardon ? il y a surement une erreur, je suis quito, quito lannister, je suis son... » petit ami, depuis quelques jours. Chose que Nova préfère sans doute garder secret pour le moment. Ses gardes du corps ne sont pas au courant, ou quelqu'un m'empêche de la voir. Mais qui ? Non, je vais pas me laisser faire. « allez vous faire foutre. » que je dis, fou de rage. J'ai entendu le nom de sa chambre, par miracle. Je fais genre que je quitte l'hosto mais je fais vite un détour pour arriver à la cage d'escalier et je prends le couloir où est sa chambre. Comme par hasard, deux hommes bien apprêtés surveillent la porte de sa chambre pour que seules les personnes autorisées puissent avoir accès. « laissez-moi passer, je dois la voir... nova ! » je l'appelle en poussant la porte pour y passer la moitié de mon corps mais les deux mecs en vigile me plaquent contre le mur. Ah, super l'accueil. Je vois à peine le visage de la rousse, ses yeux qui s'ouvrent lentement mais les gardes du corps m'ont déjà foutu dans le couloir.

@Nova de Glücksbourg
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De nombreux jours sont passés et j’ignore encore où je suis vraiment… Depuis deux jours, je vois de nombreuses blouses blanches passer le pas de cette porte. Venir me voir alors que j’entends qu’un seul bruit sourd : celui de la machine. J’ai quitté les soins intensifs un peu plus tôt dans la matinée et même ça, je ne m’en souviens pas. Trois passages au bloc opératoire depuis qu’on m’a admise et deux arrêts cardiaques. J’ignore tout ça, je n’ai pas eu la force d’écouter qui que ce soit. L’unique chose dont je me souviens, c’est le verre qui se brise et ces hommes qui tirent pour faire le plus de dégâts. Tout est flou dès que je suis monté dans l’ambulance. C’est le trou noir total. La douleur est omniprésente malgré la morphine qu’on m’injecte. Je n’ai plus la notion du temps et j’ignore si mes proches vont bien… Je suis trop faible pour penser à autre chose excepté ce massacre que je revis dès que mes yeux se ferment. Au moment que j’ouvre mes yeux, je le vois… Cet homme qui arrive à faire battre ce cœur meurtri et affaibli. C’est inexplicable ce que je peux ressentir quand j’entends sa voix alors qu’il se fait sortir aussitôt. Mes yeux s’ouvrent difficilement, mais ils s’ouvrent. Mon regard se pose sur cette silhouette qui se lève de sa chaise à mes côtés. « Mère… S’il vous plait. » Je suis dans l’incapacité de dire si je peux avoir de la visite, mais lui… J’ai besoin de lui. Elle me lâche la main pour sortir et gagner le couloir où se trouve Quito et les deux hommes qui ne le lâchent pas. « Lâchez-le. » Autoritaire, mais tellement douce. Elle le dévisage de ses grands yeux verts. Quito n’est pas bête, il va vite comprendre que cette femme, c’est ma mère. La chevelure de feu, les yeux couleur émeraude. Aucun doute. « Nova veut vous voir. » Dit-elle en se décallant de la porte pour lui montrer le chemin. « Ne la brusquez pas, son cœur est très fragile. » deux arrêts, c’est pas rien… Elle se montre forte, mais sa peine est si grande. Quel parent voudrait voir son enfant sur un lit d’hôpital ? Aucun. Il entre, elle ferme la porte. Mon regard le suit jusqu’à mes côtés. Je dois faire peur à voir hein ? « Tu n’as rien… » inconsciemment, je soupir de soulagement. Il n’est pas arrivé au moment de l’attaque, il était à l’abri. Tu vas bien, j’ai eu si peur que toi aussi, tu sois dans un sale état.

@Quito Lannister
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Mon coeur bat tellement vite. Je pourrai me battre comme si mes jours en dépendaient. Je refuse qu'on m'interdise de la voir. Je pourrais grimper par la fenêtre, me faire passer pour un médecin s'il le faut - même si les chances de réussites sont quasi inexistantes - mais je ne peux pas la laisser seule dans sa souffrance. Je serre les dents, je vous jure que je suis à deux doigts d'en coller une à un des imbéciles en lui attrapant le col lorsqu'une femme leur ordonner de me lâcher. Je pose mon regard sur elle et je comprends par déduction que c'est sa mère. Je la regarde de haut en bas. C'est donc... la reine ? Si j'ai bien tout suivi. Je relâche un des garde du corps et je plisse mon t-shirt qui est devenu tout chiffonné. « m-merci madame. » je ne sais pas comment l'appeler. Surtout pas belle-maman, oh non. Je sens qu'elle me fixe, un regard à se glacer le sang et je tente vite de faire abstraction en empruntant la porte qui me rejoint à Nova. Mais avant ça, elle a réussi à me mettre totalement mal à l'aise en m'ordonnant de ne pas brusquer son coeur. Tout ce que j'ai réussi à faire c'est d'hocher la tête. Un peu d'intimité, je ne sais pas pendant combien de temps mais je m'en fiche tant que je la vois. « Nova... » elle est là, étendue dans son lit, faible, avec un masque pour l'aider à respirer. Je m'avance près d'elle et je dépose des baisers sur son front. Je me doute que sa mère me surveille de l'autre côté, qu'elle regarde un peu la tendresse que j'apporte à sa fille. « non je n'ai rien... tu m'as tellement fait peur... où est-ce que tu as mal ? qu'est-ce que je peux faire pour t'aider ? » j'attrape sa main et je viens prendre la chaise qu'utilisait sa mère deux minutes plus tôt. « je croyais t'avoir perdu. » je renifle. Je ne pleure pas mais je sens ma gorge nouée, mon coeur qui saigne. Je hais la voir comme ça. J'aimerais lui prendre sa douleur.

@Nova de Glücksbourg
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Ma mère le regarde avec méfiance. Quito, elle ne le connait pas. Après tout, ça fait très peu de temps qu’on se fréquente et avec l’attentat, je n’ai pas eu le temps de toucher deux mots à mes parents. Ses lèvres sur mon front me soulagent tellement. Je ferme les yeux pour apprécier ce contact physique. Si seulement il pouvait savoir à quel point le voir là, ça diminue tous mes maux. « T’as rien, c’est le principal. » Ma santé peut passer après si toi, tu vas bien. Le sacrifice, je l’ai depuis toujours et pour toi, j’serais prête à y laisser ma vie pour que toi, tu sois sain et sauf. J’enlève le masque à oxygène pour pouvoir lui parler. Là, tout de suite, je ne ressens pas le besoin de l’utiliser. J’ai l’impression qu’il m’affaibli plus qu’autre chose, me mets dans les vapes. « Je suis désolé… » Désolé de ne pas avoir éviter les balles, d’être sortie et d’avoir choisi ce bar où s’est déroulé toute cette horreur. « Je voulais faire comme Wonder Woman, sauf que les deux balles n’ont pas ricoché sur ma peau. » je grimace. Rien que d’y penser je sens la douleur. Même à l’agonie, je trouve la force de « plaisanter ». « J’ai fait deux arrêts cardiaque… » j’ignore d’où j’ai eu la force de revenir… J’me sens si faible Quito. J’essaye de lever ma main pour venir frôler du bout de mes doigts ta joues, mais sans succès. « Ne me laisse pas, s’il te plait. » Ne pars pas d’ici, ne sort pas de ma vie, j’ai besoin de toi.

@Quito Lannister
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La panique quand je n'ai pas reçu de réponse au sms de Nova, de ma soeur. Je me suis dit que c'était inévitablement fichu. Que j'ai perdu les deux personnes les plus importantes dans ma vie. Mais j'ai gardé espoir, très fort, et je te retrouve en vie, oui vivante, ici, dans ce lit. « celle qui m'a laissée entrer c'était ta... » mère ? Assistante ? Reine ? Je ne sais pas comment appeler ça. Tout ce que je sais, c'est qu'elles ont la même couleur de cheveux. Je serre un peu plus ma main dans la sienne quand elle m'annonce que son coeur a failli lâcher deux fois. « mon dieu. » quelle horreur. Quand elle me dit qu'elle s'est prise pour wonder woman, j'ai un sourire en coin car elle garde la pêche pour faire de l'humour. Mais elle a donc mis sa vie en danger pour sauver quelqu'un ? idiote. « dois-je comprendre que tu as joué les héros pour protéger quelqu'un ? » est-ce que je suis jaloux ? Non, mais j'espère que cette personne en vaut la peine, qu'elle n'est pas à ce point suicidaire pour se jeter devant les balles comme une héroïne. « je suis là, je reste là... enfin j'ignore combien de temps on va me laisser ici. » je suis sûr qu'à un moment, on va me demander de dégager, car elle doit se reposer. Je me mords la joue et je pose le bout de ses doigts contre mes lèvres, inquiet. « je t'abandonnerai pas nova, je suis fou de toi, tu as oublié ? » oui, dans ces moments pareils, tout est décuplé, tout ce que je ressens pour elle. Je crois que je réalise que je peux pas vivre sans elle.

@Nova de Glücksbourg
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J’ignore si c’est sa présence qui me fait cet effet là, mais j’arrive à laisser mes yeux ouverts, à supporter cette douleur qui me consume à petit feu. Le voir, me fait penser à autre chose. Je me focalise moins sur les douleurs et sur ses images qui reviennent sans arrêt. « Mère… » Mes yeux arrivent à gagner la vitre et voir cette femme à qui je ressemble trait pour trait parler aux hommes à l’extérieur. « Mon père est là aussi… » juste qu’il est en ville. Tu le crois ça ? Le roi et la reine à Boston ? Un attentat et apprendre que leur fille s’est retrouvé blessée, ça mérite le déplacement. Mes yeux se ferment pour remuer avec délicatesse ma tête pour lui répondre que non. Tu sais, je ne suis pas une héroïne. Comment le pourrais-je alors que je n’ai pas réussi à me sauver moi-même. « Je ne pouvais plus bougé. Ils sont rentrés et j’suis resté tétanisé sur le sol… Il était à quelques centimètre de moi Quito. » Je ne me souviens de rien après les secours, mais de l’attaque, j’ai l’impression d’y être encore. Heureusement qu’il tient mon poignet, mes doigts retrouvent le contact de tes lèvres. « Je ne veux pas te perdre… mourir… » j’attrape le masque que je repose sur mon visage. J’ai besoin d’oxygène, ça tourne et je peine à respirer comme il faut. La machine s’emballe dès qu’une émotion me submerge. Je ne suis pas complète sans toi, tu viens combler ce vide. J’ai peur de te perdre alors qu’on vient juste de se retrouver.

@Quito Lannister
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Je la contemple, ma beauté, si fragile, livide comme une morte. Et moi, je suis en forme, à part totalement inquiet d'avoir failli perdre des proches... enfin, j'en ai perdu un, mon meilleur ami Callum, mais je ne veux pas montrer à quel point ça m'attriste. Je veux être bien pour Nova, garder le sourire pour qu'elle s'accroche à la vie. « je pense qu'elle se doute qu'on se fréquente. » car elle m'a regardé droit dans les yeux comme une pie sévère pour me dire de bien faire attention à son coeur. Est-ce que je suis bien placé pour prendre soin de quelqu'un ? Je pense que je m'en sors plutôt bien, mais quand il s'agit de sentiments, je suis encore un sacré débutant moi. « je dois m'inquiéter ? » car si la reine est au courant, le roi aussi, toute sa famille en fait et j'ai pas envie de mettre mes pieds dans une famille qui ne veut pas d'un mec banal comme moi pour leur fille. « hey... c'est tout, c'est fini. je suis là maintenant et je te quitte pas. » je serre ma main dans la sienne comme si j'essaye de lui transmettre un peu de chaleur. Ce qu'elle me dit me brise les entrailles. « arrête, tu ne vas pas mourir, tu as survécu et les médecins te suivent de très près. tu dois juste te reposer d'accord ? » elle ne peut pas être plus en sécurité qu'ici. Certains ont perdu la vie, beaucoup même, et elle, c'est une miraculée, elle devrait plutôt se réjouir d'avoir été épargnée.

@Nova de Glücksbourg
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Ma mère se doute que je fréquente cet homme ? Sans doute. Je ne suis plus fiancée, elle doit se douter que je ne vais pas rester seule toute ma vie même si un autre mariage arrangé peut me pendre au nez. « Si tu ne me fais pas de mal, non. » Je suis sa petite fille retrouvée il y a peu. Celle qui a grandi dans une autre famille durant dix-sept ans alors je suis celle dont il s’occupe le plus au détriment de mon autre sœur. Un peu trop protéger selon moi. Il m’apaise, sa voix fait ralentir mon rythme cardiaque pour retrouver la normale. J’essaye de resserrer mes doigts autour de sa main, sans succès. Je me sens vidé de toute énergie. J’en ai juste assez pour garder les yeux ouverts et lui répondre. « Ils font des messes basses… » avec mes parents. Je suis trop faible, trop sous l’emprise de la morphine et des autres médicaments pour comprendre quoi que ce soit. Je vois un ballet de blouse blanche entrer et sortir de la chambre sans être consciente des choses. « Embrasse-moi.. » S’il te plait Quito. La vie ne tient qu’à un fil, j’ai cru ne plus jamais revoir ton beau visage, me noyer dans tes yeux et avoir ces papillons dans le ventre quand tu me frôle. C’est ce genre de tragédie qui me font prendre conscience que je tiens à lui plus que je ne le devrais. Je me suis attaché à cet homme alors que je me suis promis de ne plus m’accrocher autant. J’espère, je saute dans le vide, dans l’inconnu. « Depuis combien de temps je suis là ? » Personne ne m’a donné de réponse. On ne fait que me dire « repose-toi » et je reste dans le flou.

@Quito Lannister
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Te faire du mal ? Comment pourrais-je ? T'es la chose la plus précieuse à mes yeux, celle que je dois choyer, ne pas lâcher. T'es bien plus importante que ma propre vie. Te voir déjà dans cette souffrance, et moi, impuissant, ça me rend fou. Alors imaginer que je puisse encore plus te faire de mal ? C'est inimaginable pour moi. « alors ne me fais pas de mal non plus. » un conseil. Je souris, soulagé qu'elle puisse me parler, me voir, qu'elle soit éveillée, même si elle ne peut pas bouger le moindre cil. Quand elle m'ordonne de l'embrasser, mon cœur fait un bon et je me rapproche automatiquement d'elle. « si je t'embrasse, je ne sais pas si je pourrais m'arrêter. » je serais capable de te prendre ton dernier souffle avec mes lèvres contre les tiennes. Comme un vampire assoiffé de sang qui craint ne pas se contrôler. Je me penche et je l'embrasse avec douceur. Encore et encore, je ne veux pas en perdre une miette. Puis je me rappelle qu'on est observé alors je me redresse. « cinq jours. mais ils ne savent pas quand tu peux partir... » je me mords la joue et je trouve une petite place près d'elle, dans son lit. Je m'invite, y'a quoi ? « j'aimerais bien que tu viennes chez moi quand tu sortiras d'ici, pour que je puisse garder un oeil sur toi. mais j'imagine que c'est même pas la peine d'en parler à tes parents. » ils n'ont aucune raison de me donner leur confiance, ils ne me connaissent pas. Mais j'aimerais quand même pouvoir veiller sur elle, je suis quand même son mec, il est de mon devoir de protéger la femme que j'aime.

@Nova de Glücksbourg
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Mon cœur se resserre à ses mots. Ne pas lui faire de mal… C’est tout ce que je ne veux pas faire. Le faire souffrir, l’empêcher de respirer en étant à mes côtés. Je ne dis pas que la vie sera facile et que tout va être parfait. Ma vie, mon rang n’est pas facile à gérer, mais je sais que je veux partager ça avec lui. J’ignore ce qu’il m’a fait. Il a réussi à m’envoûter d’une façon inexplicable et en si peu de temps. Comme si ses mots, sa présence apaise tous mes maux. « Je suis prête à prendre ce risque. » suffoquer par tes lèvres. T’offrir mon dernier soupire, mon dernier souffle c’est une noble fin Quito. Trop faible pour bouger, je n’arrive même pas à contrôler mon bras pour laisser ma main se poser sur sa joue. Je savoure la douceur, le goût de ses lèvres que je ne pensais pas revoir. « J’ai l’impression que ça ne fait que quelques heures… » que je suis là dans cet hôpital. « Je suis resté cinq jours sur ce lit ? » il y a des choses qu’il ne me dit pas ? Mes parents ne veulent rien me dire et va savoir si c’est pour me protéger. J’ai l’impression d’être cette rose très fragile, cette fleur qui ne doit perdre aucun pétale et encore moins faner. Il vient prendre place à mes côtés, j’arrive à peine à me décaler pour lui laisser de la place. Je tourne mon visage et je peux sentir son parfum qui m’apaise. « Chez toi à ton garage ou l’autre chez toi ? » Excuse-moi de demander, j’ignore où il habite réellement et surtout avec qui dans l’autre. Rien que d’imaginer qu’il habite avec d’autres femmes, qu’il est en colocation dans ce grand appartement, mon cœur se contracte. Au fond, je suis jalouse, je veux qu’il m’appartienne même si de mon petit lit, je ne peux pas faire grand-chose. « Ils vont me dire de rentrer en Norvège… » J’attrape le masque à oxygène pour reprendre mon souffle.

@Quito Lannister
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