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L’enfer. C’est l’enfer ici. L’hôpital est pris d’assaut par tous ces blessés de l’attentat. La journée de l’horreur et je revois la scène en boucle. Les nombreux corps sans vie sur le sol, les nombreux blessés grave et ce chaos qui y règne. Un cauchemar éveillé, qui me traumatise au plus haut point. J’ai peur. J’suis dans une salle aux décors déprimant. Les murs blancs, je peux sentir l’effet des antalgiques sur moi. J’ai moins mal malgré ce verre encore planté dans mon bras, mes mains égratignées par les nombreux bouts de verre et mon poignet qui a une couleur un peu trop violet à mon goût. J’suis assise sur ce brancard, j’attends un médecin comme la plupart des gens. Je ne suis pas entre la vie et la mort, je peux attendre même si ça fait un mal de chien. J’me retrouve seule, mais entouré par tous les bruits, tous les cris, la peur des autres passagers de cet enfer. J’ai perdu mon téléphone lors de la fusillade et j’ai aucune nouvelle d’Iris. J’ignore si elle va bien, si elle n’a rien ou pire si elle est… Non, je n’arrive pas à prononcer ces mots. Mes vêtements sont tâchés de sang, le mien et celui de Kale… Est-ce qu’il est encore en vie lui aussi ? Et là je pense à toi… Tu devais me rejoindre dans ce bar après mon séjour à New York… Mon cœur se resserre dans ma poitrine rien qu’à l’idée de me dire que t’es arrivé au mauvais moment, que toi aussi, ils t’ont eu… Mes yeux s’humidifie par cette énième peur, celle de te perdre, d’ignorer où tu es et si tu vas bien.

@Ernesto Calabrese
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un sms de ta chérie pour la rejoindre, accompagnée de Kale et forcément que tu ne pouvais que répondre positivement à cette proposition. toutes les propositions qu'elles te faisaient, tu les acceptais, ça allait de soi, c'était normal. tu adorais passer du temps avec elle. surtout que ça faisait un moment que tu ne l'avais pas vue en fait puisqu'elle était à NY et qu'elle te manquait terriblement. tu terminais de faire ce que tu faisais pour aller jusqu'au lieu de rendez-vous. à la radio, tu n'attendais que des horreurs. un attentat ? c'était sérieux ? à l'endroit où tu devais aller. au même endroit où y avait ta copine et tes potes. les larmes te montèrent un peu. tu appelais directement Clary sauf que ça tombait sur la messagerie à chaque fois, tu lui laissais des messages à chaque fois, mais aucune réponse.  tu passais les vitesses à une vitesse folle, voulant arriver sur le lieu du drame le plus rapidement possible. une fois là-bas, tu cherchais la moindre personne pouvant m'éclairer. un policier. tu lui demandais s'il y avait eu des morts et sa réponse était positive. c'était dur à entendre. mais tu n'voulais pas croire qu'elle était décédée, pas elle non..  alors tu lui demandais dans quel hôpital était amené les blessés. à ses mots tu y allais directement en espérant la voir et qu'elle aille bien, bien sûr. une fois à l'intérieur du bâtiment tu criais son prénom haut et fort, espérant qu'elle t'endente si jamais elle était là. tu posais tes yeux sur quelques visages, visages que tu ne connaissais pas pour la plupart. t'avais toujours cette angoisse folle de la retrouver dans un sale état. tu allais dans tous les coins possibles et inimaginables de l'hôpital. une crinière blonde, une silhouette que tu connaissais. elle était là. et en vie. merci Dieu. "mon dieu, comment tu vas ??" tu n'osais pas la toucher pour ne pas lui faire de mal. t'avais les yeux qui brillaient, chose normale. t'as pas trop mal ? qu'est-ce qu'il s'est passé ?" ça devait être affreux, une terreur sans nom.
@Clary Bushnell
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Seule au monde, c’est le cas de le dire. Mes pensées deviennent noires et j’ai tellement peur. Peur d’avoir perdu Iris et de t’avoir perdu aussi. Je n’ai plus de téléphone, aucune tête que je connais qui passe devant la pièce ou je me trouve. J’ai les idées sombres. J’viens de perdre Sloan, Aaric est en prison et il me reste plus qu’Iris et toi. T’es mon point d’encrage, mon repère, mon tout. J’ai cet énorme trou dans la poitrine et ça me fait horriblement mal. Aussi mal que l’état de mon poignet et la blessure profonde au bras. Je sens mes yeux s’humidifier un peu plus en ayant ces pensées obscures et ta voix qui résonne dans ma tête. Je deviens folle… Non, c’est bien toi. J’me lève, quitte ce brancard et fonce dans tes bras. « Ernesto ! » Ma voix est cassé, j’me fais violence contre cette douleur en enfonçant un peu plus le bout de verre en allant contre toi. Je pose ma main valide sur ta joue que je caresse comme si je n’allais plus revoir ce visage. Mes iris se perdent dans les tiennes. « C’était affreux… Les vitres se sont brisées, ça m’a propulsé. J’ignore comment j’ai fait, mais aucune balle ne m’a atteint. Des coups de feux incessant, une fusillade. Ils nous tiraient dessus pour toucher le plus de monde et… » j’ai tellement eu peur que toi aussi tu sois blessé. « J’pensais ne plus te revoir… »

@Ernesto Calabrese
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tu devais passer une excellente journée en compagnie de ta chérie et de tes potes. une bonne journée en perspective sauf que le destin en a décidé autrement. il y a eu des explosions, des attentats. tu attendais tout cela à la radio alors que tu rejoignais tout doucement le lieu du rendez-vous. une fois sur place tu faisais directement demi-tour suite aux informations du policier et tu allais directement à l'hôpital. hôpital où tu cherchais désespéramment ta blonde. tu criais son nom partout. les larmes te montèrent à chaque mètre que tu parcourais jusqu'à la voir et entendre sa voix. elle venait directement dans tes bras. tu resserrais l'étreinte sans mettre en cause ses blessures. "t'as eu de la chance.. je regrette de ne pas être venu avant, j'aurais pu te protéger de ses éclats de verres" de tes yeux plongés dans les siens, tu venais déposer un baiser sur ses lèvres. les goûter de nouveau tant elles t'avaient manquées. "et moi donc ? quand j'ai entendu qu'il y avait des morts, j'ai eu tellement peur pour toi" tu ne voulais pas penser au pire mais forcément que ça t'as traversé à un moment donné. "j'vais t'aider à te recoucher" il lui faut du repos avant qu'on ne lui enlève les bouts de verres. tu l'aides à se remettre sur le brancard. "t'es ma merveille, je n'aurais pas aimé qu'on me l'enlève" tu la regardais droit dans les yeux, souriant un peu.
@Clary Bushnell
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Te voir franchir le pas de la porte me fait oublier cette douleur et l’horreur que je vois dès que mes yeux se ferment. Tu n’es pas blessé, tu n’as aucune égratignure et j’ai ce poids qui s’enlève de sur mes épaules au point de presque m’effondrer dans tes bras. J’essaye de me montrer forte, j’ai mal, si seulement tu savais à quel point. « Nan… J’me le pardonnerais pas s’il t’était arrivé quelque chose. » dire que j’voulais à tout prix te voir après mon arrivé. La Clary folle, qui te cherche s’est faite la malle. « Vraiment ? » J’doute pas de toi bébé, mais comprends-moi… Trop de choses se passe dans ma vie et t’es mon « premier » mec avec qui j’reste aussi longtemps, qui me fait vibrer, me fait perdre la tête. Doucement, j’grimpe de nouveau sur ce brancard en attendant qu’un médecin s’occupe de moi pour panser mes blessures. Mes yeux continuent à s’humidifier en te regardant. Je suis tellement accro à toi, mon petit cœur qui ne bat pour personne d’habitude saigne sans toi. « Lucifer ne me veut pas encore dans son lit. » drôle façon de parler de l’enfer et de la mort, je sais. Du bout des doigts, j’essuie mes yeux. J’vais pas craquer, pas maintenant que je te retrouve.

@Ernesto Calabrese
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tu étais soulagé de la revoir, de pouvoir la prendre de nouveau dans tes bras, de plonger tes yeux dans les siens. un soulagement merveilleux tellement tu avais eu peur de la perdre définitivement. qu'elle parte au ciel sans lui dire que tu l'aimes. tu n'aurais pas pu supporter cette douleur, ce manque quotidien. "... mais j'aurais peut-être pu éviter qu'il ne t'arrive ça" tu regardais ses blessures et ça te faisait vraiment mal au cœur. tu l'aidais par la suite à se remettre sur le brancard, en attendant qu'un médecin vienne la soigner. oui vraiment, je t'ai laissé énormément de messages, je t'ai appelé plusieurs fois et quand j'voyais que tu me répondais pas, j'me suis dit que c'était terminé" t'étais un peu ému quand tu parlais. tu l'appréciais plus que quiconque et c'était pur, c'était vrai. tu souriais en caressant sa joue.  "tu mérites de vivre, normal qu'elle ne veut pas te voir de suite" la mort ça faisait peur à tout l'monde, c'était certain.  tu restais près d'elle, plongeant instinctivement tes yeux dans les siens, tu venais l'embrasser fougueusement. "ne.. pleure pas" le plus important c'est que vous vous soyez retrouvés tous les deux, sans que personne ne soit gravement blessé ou mort.
@Clary Bushnell
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Tu veux jouer le sauveur, être le héros de mon histoire et m’éviter cette souffrance. Ce n’est pas possible, tu sais. J’suis soulagé de savoir que t’as rien, que t’es sain et sauf. Je préfère souffrir et être ouverte de partout plutôt que de savoir que t’étais avec moi et que t’aurais pu y laisser ta vie. Mes yeux brillent de plus en plus en t’entendant me dire que tu voulais me joindre à plusieurs reprises, sans succès. J’étais trop préoccupé à essayer de sauver Kale et avec tout ce drame, mon téléphone était une option. « J’suis désolé… C’était horrible, toutes ses personnes sur le sol, tout pleins de sang partout, des morts… Il allait mourir si je ne l’aidait pas. » Comprends-moi, j’pouvais pas m’arrêter sur mon téléphone avec tout ce drame. Quand tu poses ta main sur ma joue, je ferme un court instant mes yeux, les émotions deviennent trop forte. J’ai eu si peur de te perdre, de ne plus sentir tes doigts se poser sur ma peau, ton regard qui me fait chavirer… J’viens poser ma main sur ta joue après avoir essuyer mes larmes qui coulent sur mes joues. Mon front contre le tien. « Je t’aime… » tu les entend ces trois mots qui viennent de mon cœur ? Mon cœur explose en te les disant. C’est la première fois que je le dis à un homme, t’es le premier, le seul. Des mois pour oser te les dire, frôler la mort pour me rendre compte que c’est toi que j’veux.

@Ernesto Calabrese
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tout était dingue, tout était fou. toute l'inquiétude et l'angoisse que tu avais disparaissaient peu à peu, s'en allait à chaque minute passée avec elle, ta copine. celle que tu aimais plus que tout à l'heure actuelle. "ne t'en fais pas.. tu as bien fait de l'aider, c'est normal que tu ne regardes pas ton téléphone" le ''il'' devait être Kale, tu étais rassuré qu'il ne soit pas mort, quand bien même vous ne vous connaissiez pas tellement. y a toujours un contact entre vous. vos mains sur les joues respectives de l'autre, vos lèvres qui ne cherchaient qu'à retrouver leur compagnon. tu avais les yeux qui brillaient, le cœur qui s'accélérait. "je t'aime aussi, tellement" tu venais l'embrasser tendrement. tu l'aimais aussi et il a fallut vous rendre compte que le destin aurait pu vous enlevez votre moitié pour dire à l'autre les sentiments qu'il ressentait. "je serais toujours là pour toi, sache-le" toujours, oui. tu ne laisseras rien ni personne se mettre en travers de votre chemin. tu n'as jamais trop évoqué tes sentiments, faisant genre plutôt qu'autre chose. mais là c'était vrai et sincère. "j'ai tellement hâte que tu ailles mieux et que tu sortes de cet endroit" histoire que vous soyez ensemble et de profiter l'un de l'autre, sans qu'une bombe ne vous sépare.
@Clary Bushnell
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Je n’ai pas aidé grand monde, mais mes proches sont vivant : toi, Kale, Iris… Vous êtes sain et sauf. Pouvoir te toucher, te voir ça m’enlève une pression alors quand tu prononces ces trois mots, mon cœur rate un battement. J’pensais pas que t’entendre me le dire me ferait autant d’effet, me retournerait l’estomac et le cœur aussi violemment. « Je m’en veux d’avoir attendu si longtemps pour te le dire. » Notre rencontre est magique, mes yeux se sont posés sur toi quand t’accompagnais Iris au bal et au final t’es mien. C’est quand on frôle la mort, qu’on est à deux doigts de perdre un être cher qu’on se rend compte qu’on l’aime vraiment et que ce n’est qu’une simple passade. « J’veux plus te quitter… » Non pas que ça m’a traversé l’esprit, mais avec tout ce qui se passe dans ma vie : Eros, Aaric et la rupture d’Iris c’est compliqué. « Tu vas jouer l’infirmier et venir chez Zach pour panser mes plaies ? » J’ai tellement eu peur de te perdre bébé, c’est horrible cette sensation que j’ai eu. Mes lèvres frôlent les tiennent quand le médecin entre dans la pièce. J’crois que mon quart d’heure de souffrance est arrivé.

@Ernesto Calabrese
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@Clary Bushnell

tu avais rapidement développé des sentiments pour elle mais tu ne l'avais jamais dit avant ce jour. Tu n'avais jamais osé en fait. Ce n'était pas dans tes coutumes de faire ça. T'es un garçon assez pudique niveau sentiments Ernesto, alors ouais tu te taisais. Mais l'plus dingue dans cette histoire c'est qu'il a fallu que tu attendes quelque chose de dramatique pour comprendre que tu tenais à elle, bien plus que tu ne l'avais imaginé. «  et moi donc. Mes sentiments sont sincères envers toi » au moins c'est clair, elle le savait. « moi non plus tu sais » tu n'pouvais pas vivre sans elle clairement donc ouais c'était inimaginable que tu puisses la quitter ou quoique ce soit. Tu venais l'embrasser, restant près d'elle en attendant que le corps médical ne vienne voir son état. «tu seras chez moi et je serais à tes petits soins » tu lui as toujours dit que ça ne te dérangerais pas qu'elle vienne vivre avec toi, alors si ce n'est que quelques jours c'est déjà pas mal. Tu posais un dernier regard sur ta chérie avant que le médecin n'arrive. Tu devais sortir de la salle alors tu l'écoutais, te postant devant la porte pour essayer d'écouter, mais tu n'entendais rien. Ça te stressait. Tu trouvais le temps. De très longues minutes plus tard il sortait et tu t'empressais de rentrer de nouveau. « alors ? » tu ne savais pas ce qu'il lui avait fait, mais t’espère que la souffrance était moindre.
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