Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWhen my heart began to bleed, 'Twas death indeed. • Ayma
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When my heart began to bleed, 'Twas death indeed. • Ayma

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Description en dehors du corps d'Andrew, Andrew lui n'entend plus rien et ne sens plus rien, il est dans un "coma artificiel"

Mon corps arrive rapidement à l'hôpital, aux urgences. J'ai eu les premiers secours dans le samu, les pompiers ne pouvaient rien faire pour moi, trop de blessures et de trop grave. Mon esprit était parti depuis longtemps. Durant le transport, ils ont juste juste essayer de calmer le sang en faisant des pressions mais rien ne faisait. Des blessures de guerres certains disaient et d'autres qui étaient je ne sais pas avec qui au téléphone, disait "encore un blessé dans un état grave, pronostic vital engagé" Oh non non. Je peux pas mourir. Enfin si mais pas maintenant. Rendez moi mon corps. J'avais l'impression de me voir à côté de celui-ci. On était arrivé enfin aux urgences, tout le monde courrait dans tous les sens c'était le bordel. Tant de blessés, grave ou pas. C'était dingue tout ce qui s'est passé. On ne pensait pas que ça pouvait toucher Boston une nouvelle fois. Mais voila, il fallait que ça tombe sur nous. On ne prévoit pas ce genre de chose n'est ce pas? Je passe alors encore allongé sur ce brancard, les urgentistes me prennent en charge en me changeant de lit. Le samu repart chercher les autres. Ils disent que ça se compte par dizaines et que c'était pas beau à voir. Ils courent dans le couloir, urgence maximal pour mon cas, et pour les autres aussi. La plus part des blocs étaient occupé. On m'installe dans l'un d'eux. L'opération va pouvoir avoir lieu. On commence par m'entuber pour que je puisse respirer, c'était un grand mot vu l'état où je suis. Bon.. il y a des passages que moi même je ne veux pas voir, donc en résumer, il commence tous par ouvrir mon corps. Je me retourne pour éviter la vue de tout cela, quand je vois Aymalyne dans la salle. Si seulement je pouvais la prendre dans mes bras, lui dire que tout irait bien, que je vais m'en sortir. Hélas pendant que je pense cela, mon coeur s'arrête.

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Janvier 2019. Boston. En un simple claquement de doigts votre vie entre peut s'écrouler. Je suis la prostrée devant cette scène d'horreur. Figée, je n'arrive à sortir le moindre mot, à faire le moindre mouvements alors qu'un patient grièvement blessé attend devant moi totalement inconscient que je m'occupe de lui, que je donne les directives mais, mon regard est fixé sur la salle juste en face de moi où l'homme de ma vie y est allonger. Tout ce que je vois c'est la perte de sang, les impactes de balles, le tracé plat sur le moniteur et son corps troublé par les décharges que mes collègues lui font subir afin de le ramener. Une main se pose sur la mienne reposant l'instrument que je tenais dans ma main. J'ai totalement oublie ce que j'étais en train de faire... Je... Doucement, je sens cette même main me pousser dans la salle des familles. Une automate, c'est ce que je suis en ce moment même. Je connais la procédure. Après avoir arrêter l'hémorragie et réparer les dommages suite à ses blessures, ils vont le plongé dans un coma afin que son corps puisse récupérer tout en lui évitant de souffrir. Je devrais réussir à gérer ça mais, je ne peux pas, je n'y arrive pas. Si je m'autorise à réagir comme je le devrais ça me forcerais à affronter la réalité des choses m'obligeant par la même occasion à laisser cette douleur me submerger chose que je ne peux m'autoriser à faire si je veux garder un semblant de contenance pour le bien de tous.

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Description en dehors du corps d'Andrew, Andrew lui n'entend plus rien et ne sens plus rien, il est dans un "coma artificiel"

Je sentais l'équipe médicale autour de moi, j'entendais encore des mots ici et là. Je peux vous dire qu'aux mouvements que je ressens, mes blessures étaient bien plus grave que prévu. On m'entube, bizarrement mon corps se laisse faire. Je n pouvais plus bouger mes bras, ma tête et j'arrivais plus à gérer ma respiration seul. Les médecins commencent à m'opérer, la première balle dans ma jambe a été retiré. Pendant que d'autres fini avec mon autre jambe cassée, une autre équipe elle s'affaire à m'opérer. Une vraie boucherie, je perd toujours énormément de sang. Une partie de mon foie a été touché, obliger de le couper, opération délicate.  Et pendant cette opération, mon coeur lâche, je me sens enfin partir. Je voulais me battre mais mon corps en avait décidé autrement, mon cerveau avait trouvé un monde ailleurs, plus calme, un monde.. Différent. Mais il n'y avait pas ma famille, elles étaient pas venu. Je me demande où elles sont, j'espère qu'Ayma n'est pas sortit en ville. Après 3 décharges sur mon corps, mon coeur se remet doucement à battre, ils continuent l'opération. Hélas une balle restera dans mon corps impossible pour eux d'aller la chercher. On fini de me recoudre le ventre, la cicatrisation sera longue. Puis mon corps inerte, plongé dans un profond sommeil part dans une autre chambre. Un médecin se retourne, on lui indique que Aymalyne était dans la salle d'à côté. Il part la voir. "Aymalyne... Bonjour. Je viens te donner des nouvelles de ton petit ami. Il a été en arrêt pendant de longues minutes, c'est pas encore dit qu'il ne s'en sorte pas sans séquelles. Il avait 3 balles en lui, deux dans le ventre dont une dans le foie, qu'on a du amputé, une autre impossible à la sortir, sinon, l'hémoragie aura été fatale. L'autre était dans sa jambe. Il a une jambe cassée et de nombreuses brulures mais minime. Il a perdu hélas beaucoup de sang. Nous l'avons placé sous transfusion mais.." Il prend une grande inspiration. "Nous l'avons aussi placé dans un coma. Je vais pas te détailler le truc mais.. Il est pas revenu Ayma. Il doit être dans un monde où il n'a pas envie de revenir. Son corps s'est mis à rebattre mais il n'arrive pas à respirer seul. Il se bat je pense pour toi et votre bébé. et je ne sais pas pour combien de temps il sera dans cet état. Si un jour tu veux qu'on le "débranche" dis le nous. Ca sera surement pour son bien." Il lui met une main sur son épaule, puis il est rappelé pour une autre urgence. Une autre infirmière arrive vers Ayma. "Mlle Strauss.. Il est partit en ICU, chambre 303. Vous pouvez aller le voir.

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Janvier 2019. Boston. La première chose qu'on vous apprend à l'école de médecine est comment parler aux proches lorsqu'on sait que l'annonce sera douloureuse. On doit enrober nos mots, être empathique sans être trop familier etc, etc... Je connais parfaitement cette manière de faire et là c'est clairement ce qui est en train de se jouer devant moi. Il commence son baratin parfaitement brodé comme on lui a appris et là je n'ai qu'une seule envie lui en coller une. Il est là à me parler comme si j'étais une demeurée. Fatiguée d'entendre sa voix, je lève la main pour lui intimer de la fermer. Amputation du foie ? Tu dors en cours ? Ablation du foie espèce DD béotien de mes deux ,! Dis-moi dans quelle chambre il se trouve ensuite, je veux le docteur Jeymisson c'est non négociable. Sans perdre un instant il me donne le numéro de sa chambre tout en faisant son lèche cul de merde. Une nouvelle fois, je lève la main pour le faire taire avec une furieuse envie de l'abattre sur sa joue. C'est Docteur Strauss ! sifflais-je cinglante. Sans rien ajouter de plus, je me dirige vers la chambre d'Andrew le coeur battant une chamade folle. Je le regarde à travers la vitre, le moniteur, les tubes, les bandages... Je reste là figée sur place. Je suis une Strauss, je peux affronter ça, j'ai été éduquée pour affronter ce genre de situation sans ressentir la moindre émotion mais, là, c'est trop dur, je n'y arrive tout simplement pas ! Je ne sais combien de temps je suis restée là dans cette letargie mais, c'est une main posée sur mon épaule qui me sort de cette torpeur. Un de mes collègues m'emmène me désinfecter, m'aide à m'habiller pour finalement réussir à me faire pénétrer dans la chambre. Aucun mot n'a été prononcer, on en avait pas besoin, il est passer par là, il sait parfaitement que les merdes qu'on sort dans ce genre de moment n'aident en rien surtout avec moi. C'est donc discrètement qu'il prend congé me laissant seule avec le bruit du moniteur qui comble ce silence, un silence pesant et horriblement angoissant. Je fixe le moniteur sans jamais poser mon regard sur lui. Installée dans le fauteuil qui trône à son chevet, je ne peux me demander pourquoi ? Sentant mes barrières s'effondrer, je ferme les yeux un instant histoire de me recentrée au mieux autant pour lui que pour moi. Lorsque je me sens fin prête, j'ouvre les yeux pour tomber sur LD corps inerte et sans vie de l'homme que j'aime. C'est à cet instant précis que ma vie s'écroule totalement... Silencueusement, les larmes finissent mar inonder mes joues comme les putains de traitresses qu'elles sont. Il faut que je reprenne le contrôle mais, rien y fait, je ne peux contrôler mes sentiments pour la toute première fois de ma vie.

Quelques jours plus tard.

Je ne sais dire depuis combien de temps je suis là à lui faire la lecture. Ma mère s'occupe de notre fille en alternance avec sa mère ou son père. Je n'arrive pas à quitter son chevet, j'ai besoin d'être près de lui et je sais au fond de moi qu'il a  besoin de ma présence pour revenir pqrmis nous. C'est quelque chose que je ressens, quelque chose que je ne pourrais expliquer mais, une chose est sûre, je serais là lorsqu'il ouvrira enfin les yeux.

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Quelques jours plus tard: Description en dehors du corps d'Andrew, Andrew lui n'entend plus rien et ne sens plus rien, il est dans un "coma artificiel"

J'entend la voix d'Aymalyne, elle lisait, elle lisait tellement de livres. Je voulais me réveiller, lui dire que j'étais là, mais j'arrivais pas. Il y avait ce tunnel, plein de bordel, dans mon cerveau c'était un bordel. J'avais besoin de faire du rangement. Je pensais à trop de chose, à ma mère, à Ayma, son bonheur. Je le voyais. J'avais l'impression que je m'étais tout seul mis dans ce passage sans issus, pour me prouver des choses. Que je me force sur trop de chose, que je prend trop de chose sur les épaules. Je vois une lumière dans l'un des murs qui m'entourne où je sens le parfum d'Aymalyne, sa voix étaient plus forte. Je tend ma main mais impossible de l'atteindre, je me retrouve a bord d'un gouffre. D'un coup mon corps ms met à convulser, j'avais encore ce tube dans le fond de la gorge pour m'aider à respirer. Comme si ça allait m'aider. Je sens toutes l'équipes médical arriver en courant. Pour eux, j'étais un sac à patates, il sorte Aymalyne de la chambre rapidement. Ils se mettent à retirer le tube de ma bouche, mais je continue à convulser, mon pouls commençant à ralentir à nouveau. Ils se remettent à me réinjecter de l'air rapidement histoire que je retrouve un pouls normal. Ce qui arrive quelques instants plus tard. Il me remette bien dans le lit. J'avais juste un masque d'oxygène simplement. Le medecin arrive près d'Aymalyne. "Docteur Strauss.. Votre petit ami est entre son subconscient et le réel. Continuez de lui parler. Il vous entend. Nous avons eu des patients comme ça et ils sont revenus parmi nous quelques jours après. C'est sur la bonne voie vous en faites pas. Dites moi si une amélioration arrive ou pire. Bonne soirée Docteur." Il lui touche le bras, puis il part voir un autre patient rapidement. L'hôpital était overbooker depuis ces attentats. Surtout le service ICU.

Le 29 Janvier :

Je commence à bouger difficillement mes doigts en essayant d'ouvrir les yeux. J'avais mal, mal partout, à la jambe, à la tête. C'était dure de sortir de cet endroit qui était si beau, si calme. Mais dans cet endroit il manquait une personne, celle que j'aimais. Aymalyne. J'entendais sa voix, c'était si lointain, j'avais jamais réussis à me réveiller avant. Je ne sais même pas depuis combien de temps je suis dans cet état. J'ai perdu toute connaissance du temps. J'essaye de bouger les jambes. Impossible d'en bouger une, l'autre me faisait énormement mal. J'ouvre enfin les yeux, j'avais encore mes lentilles, elle me gênait énormament, elles étaient sèche. J'avais les yeux rouges, je le sens ils me démangent. Je vois Aymalyne prêt de moi, elle était là, la tête dans ses bras contre mon lit en me tenant. Je pose ma main sur la sienne. "Princesse...." J'arrive à sortir une petite voix en toussant légèrement. Je l'avais retrouvé, je me rappelle de rien, je ne sais pas ce qu'il s'est passé, c'était un énorme trou noir. Tout ce que je revois en boucle c'était mon corps sous les décombres et je n'arrivais pas à bouger, mon sang sur mes mains et personne ne venant me secourir. "Dis moi... Que je suis pas mort..." Elle n'était pas présente où j'étais, mais elle était présente à nouveau. Je regarde mes mains, elles étaient vraiment dans un salle état comme mes bras. je regarde mes jambes, j'avais une jambe dans un plâtre. Je fronce le regard putain. L'autre j'avais un bandage affreux autour. Je n'ai jamais voulu l'abandonner, je voulais rester dans ce monde avec elle et notre fille. C'était ma seule force pour tenir.
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Janvier 2019. Boston. Être de l'autre côté du miroir est plus difficile que je ne l'aurais cru. Accoucher est une chose mais, être dans l'attente, me demander si il va s'en sortir... J'ai beaucoup plus d'empathie pour la famille de mes patients maintenant. Jour après jour, je reste là à lui faire la lecture, lui parler de notre fille, de notre mariage du moins ce qu'il pourrait être si on finit par fixé une date. J'ai tenu à le laver moi-même, faire fonctionner ses muscles... Je suis médecin, je connais le protocole. dis-je sèchement au médecin. Putain, je suis meilleure que lui et il vient me parler comme si j'étais une demeurée. J'ai décidé de m'occuper de lui que ça lui plaise ou non.

Quelques jours plus tard.

Les bassines d'eau chaude près de moi, je commence à le laver. Son état s'améliore de jour en jour, je sais qu'il est proche de revenir parmi nous. J'adore quand tu as cette barbe de trois jours, c'est très sexy. Il suffit de voir comment la gente féminine te regarde. murmurais-je en passant ma main sur son visage. Ma mère s'occupe de tes clients avec ses étudiants, notre fille est incroyable... Ta mère est venue ce matin, tu lui manque. Elle n'arrête pas de me demander quand on sautera le pas. Elle est tenace... J'inspire profondément avant de reprendre la parole. Tu as promis...tu as promis de ne plus jamais me laisser... Je peux pas, je ne veux pas imaginer devoir vivre sans toi ! Je...j'ai l'impression de suffoquer, la douleur de ton absence me tue à petit feu... J'irais manger au Macdo, j'irais dans le métro, je porterai ton nom si tu me reviens, MAINTENANT ! Rien. Aucune réaction. Épuisée, je pose ma tête entre mes bras étouffant par la même occasion mes sanglots. Je suis incapable de vivre sans lui, c'est mon âme-sœur, ma moitié, il m'est impossible de vivre sans lui. Une voix...sa voix s'élève comme dans un souffle de douleur. Je lève la tête pour être certaine que ce n'est pas un rêve. Il est là, les yeux ouverts plus beau que jamais. Sans un mot, je me redresse pour venir déposer un baiser sur ses lèvres. Ne...plus...jamais...jamais ! sanglotais-je en posant mon front contre le sien. Si il savait à quel point je l'aime... Si il pouvait juste ressentir un fragment de mon amour pour lui... Avec notre fille, il est toute ma vie, le centre de mon monde c'est une évidence qui est indiscutable dorénavant.

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C'était dur de revenir parmi le monde actuel, la lumière de la chambre me faisait mal aux yeux, j'arrivais très peu à bouger mes jambes. Enfin surtout la seule jambe qui me reste qui n'est pas dans le platre. Mes muscles m'ont abandonné ou quoi? Les seuls membres que je pouvais bouger mais difficiellement c'était mes bras, mes mains. Mon ventre me faisait un mal de chien, ça tirait et je ne serais expliquer pourquoi. Peut-être que Aymalyne ou un médecin va débarqué non? Enfin pour le moment je veux juste retrouver celle qui m'a fait tenir à ce monde, celle que j'aime. Aymalyne était là, elle avait les yeux vraiment rouges et bouffis. Oh non elle avait pleuré? Je l'avais fais pleuré? Je ne le voulais pas. Elle "saute" dans mes bras enfin façon de parler, elle dépose le plus rapidement ses lèvres sur les miennes. Mon dieu cette sensation elle m'avait manqué, sa présence dans mes bras, ses lèvres sur les miennes. Mon coeur bat un peu plus fort chaque jour pour elle. Je prolonge bien sur ce doux baiser, pour lui montrer que j'étais bien revenu et que je n'étais pas prêt de l'abandonner. Je lui ai fais cette promesse depuis tout petit et encore aujourd'hui quand on s'est remis ensemble, après nos nombreuses disputes. Ces fiançailles aussi, je lui ai dis "je serais toujours là pour toi" et bizarrement j'ai l'impression d'avoir échoué pendant quelques heures. Enfin depuis quand je suis dans cet état? On est quel jour au faite? Il s'est passé quoi? Plein de questions étaient là dans ma tête, j'en avais mal mais pour l'instant je m'en fous. Elle était là. "Je suis là chérie... Jamais je ne te... laisserais. Ne vous laisserais. Shayleen... Comment elle va ? Et toi? " Je tousse, c'était compliqué de retrouver une respiration. Es premières questions étaient pour ma famille, pour elle, pour notre fille. Mon état de santé je m'en fous. Ma main se pose délicatement sur sa joue, je tremblais comme si je l'a découvrais une nouvelle fois, ou simplement mes muscles qui ont du mal à se remettre de leur sieste. "Je me sens.. Si faible.. Il s'est passé quoi?" J'essaye de me relever mais impossible, une larme coule le long de ma joue. Non ... Non.. Je veux pas être paralysé, non. Enfin non impossible je bouge ma main. Je le suis pas.

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Janvier 2019. Boston. Comment lui expliquer ce qu'il s'est passé ? J'ai vu les images, j'ai vu les victimes et même si je n'y étais pas, j'en suis traumatismée. Ce n'est pas bon pour lui un tel choc, il faut temporiser un maximum pour son bien, je me refuse de le perdre à cause d'un choc traumatique. Doucement, je lui prends la main en lui caressant la paume du pouce. Oui, j'essaie de gagner du temps...  Il y a eut un accident pendant le discours du Maire... soufflais-je en chassant les terribles images qui reviennent telles une gifle digne de ce nom. Notre fille a bien grandi, elle a son caractère, le caractère des femmes Strauss. Là, elle est avec nos mères. Sans nos mères, j'ignore si j'aurais pu m'en sortir. Jamais, je n'aurais pu rester avec lui comme j'ai pu le faire grâce à elles. Ouais, ma mère a été là pour moi c'est très étonnant je dois l'admettre mais, comme on dit, il y a que les cons qui ne changent pas d'avis. Bien sûr, je ne me fais pas de fausses joies, je sais qu'elle prendra un malin plaisir de me le rappeler histoire de me prouver que je ne suis pas à la hauteur pour gérer cours, couple, un enfant en bas-âge et mon boulot. Je suis Aymalyne Strauss, je ne suis pas n'importe qui ! Il est urgent qu'elle se le rentre dans le crâne une bonne fois pour toute. Jamais, je ne serais comme elle, jamais ! Voilà ce qui nous différenciera à tout jamais.

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Je bouge mon cou en grimaçant. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis ici, quand tout cela s'est passé. C'était comme si mon cerveau, mon coeur était passé dans une autre dimension, je me réveille d'une sieste et je finis à l'hôpital, avec une jambe dans un plâtre de merde, un ventre qui tire un truc de fou, une autre jambe avec un bandage lait... Mes bras me faisaient juste mal, j'avais des blessures un peu partout. Un accident dit-elle? Au discours du maire.. C'est vrai j'avais dis que j'y allais car je viens d'être élu à la tête d'une association... Mais.. C'était bizarre tout ça... Je ms usi fais écrasé par une voiture ou quoi? "On dirait que... J'ai fais la guerre..." Je rigole en me regardant. Je dois être tellement pas beau à voir, j'en suis tellement désolé d'être dans cet état avec elle présente. "Tu dois avoir un petit ami moche à regarder hein?" Je tire la langue en gardant sa main dans la mienne, comme si je voulais bien voir qu'elle était bien présente. Elle parle de notre fille, je souris, j'avais tellement envie de la voir, puis oui elle doit tellement grandir de jour en jour. Un caractère de Strauss? Et beh... "WOW deux femmes avec le même caractère à la maison? Il va falloir que j'arrive à gérer. J'ai réussis avec sa maman, je vais savoir déchiffrer la fille." Je souris, je voulais détendre l'atmosphère puis elle dit ensuite que c'était nos mères qui s'occupaient d'elle. Je fronce le regard, j'ai bien compris là? nos mères.. Je tousse légèrement en respirant doucement avec cet oxygène que j'avais encore dans le nez. "Nos mères? Genre.. Ta mère? WOW. Et beh. J'ai loupé quoi pendant que je faisais une sieste? C'était si long que ça?" Ma mère... Je me demande commence elle va. "Ma mère, elle va bien sinon? Et la tienne? " Je connais les relations entre Aymalyne et sa mère mais bon... J'ai l'impression que les choses ne sont pas loin de changer, si elle s'occupe de ma fille c'est qu'elle a compris qu'elle était aussi une Spector et une Strauss et donc qu'elle était juste un sage petit bébé.

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Janvier 2019. Boston. Il est là allonger dans ce lit et il trouve encore le moyen de s'inquiéter pour les autres. Je pense qu'il a peur d'affronter les choses, de poser les vraies questions qui l'effraie. Je peux parfaitement le comprendre et si ça peut l'aider, je le ferais un maximum tout en l'emmenant petit à petit vers les sujets qu'il va devoir affronter. Notre fille est magnifique quant à nos mères, elles vont bien. Je ne te cache pas que tes parents étaient dans un état déplorable. Ma mère a été un véritable soutien étonnement, elle a même envoyer son meilleur poulain pour aider au cabinet. C'est plus un véritable miracle de voir ma mère comme ça avec moi, je suppose que c'est le fait d'être grand-mère même si elle ne veut pas que notre fille la nomme comme telle. Elle est beaucoup trop jeune pour être grand-mère, pour avoir ce titre. C'est un détail qu'Andrew n'a pas besoin de savoir pour le moment. Reposes-toi, il faut que tu te ménages pour le moment. Je ne bouge pas d'ici, je te le promet. Tendrement, je pose mes lèvres sur le revers de sa main. Je veux m'assurer qu'il respire correctement, qu'il ne soit pas atteint d'un regain. C'est ce qui me fait le plus peur.

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