(jilann) i'm losing my mind when you're next to me

Ah donc maintenant, il reste ? Je pige quedal, oh mon dieu donnez-moi une encyclopédie spéciale Yann Henderson pour que je le comprenne car ça devient grave. « qu'est-ce qu'il te faut pour rester ? » vu que moi je ne suffis pas. Plus d'argent ? Une grande maison ? Même ça je suis pas capable de lui offrir. Pourtant, je pourrai remuer ciel et terre pour qu'il me reste près de moi. J'ai une boule au ventre, je me sens impuissante. Yann se rapproche de moi et je le regarde d'un air méfiant. il me prend ma bière pour attraper mes mains. Je cligne des yeux, faisant battre mes cils plusieurs fois, regard d'incompréhension. Je compte pour toi, c'est ce que tu me dis. Mon coeur s'enflamme et mes fausses larmes brûlent mes joues. « j'ai pas envie. » GROS MENSONGE. Je veux lui résister, il peut pas user de son charme comme ça non, maintenant, je veux être en sécurité, ne pas me faire mal. Mais avec ses mots, sincères, ça je l'entends, je suis obligée de fondre. Fuck, j'aurais tes tripes p'tit con, t'entends ? Je relâche ses mains pour attraper son cou et l'attirer à moi pour l'embrasser, fougueusement, en faisant rouler la seule et unique larme le long de ma joue. Faut croire que cette situation est trop émouvante pour le petit coeur d'artichaut que je suis.

qu'est-ce qu'il te faut pour rester ? Tu hausses les épaules, t’en as aucune idée. J’sais pas, Jill. Si j’savais, j’serais peut-être pas là aujourd’hui. T’aurais peut-être pas continué ton perriple, tu serais surement resté dans une ville où tu t’y sentais pas si mal avant de décoller parce que finalement, la routine te laissait. Mais tu veux vraiment parler de ça, Jill ? Oublie ça, j’ai pas dit que j’partais tout d’suite. J’suis là pour l’instant, alors profite ? Quand j’serais parti, ce sera trop tard. Si je pars.. J’ai pas envie. Ses lèvres, ses joues, le frisson qui parcourt son corps, tout cri le contraire chez Jill. Alors c’est ton sourire et tes yeux amusés qui pointent sur ton visage juste avant qu’elle n’entoure ses bras autour de ta nuque pour t’attirer à elle et capturer tes lèvres pour un baiser des plus fougueux, sauvage. Tes mains, toi, froncent le tissus de son tee-shirt au niveau de sa taille. Tu la serre, tout contre toi, laissant ta langue danser avec la sienne. Pas envie du tout, ça s’voit… que tu souffles entre deux baisers, taquin. T’avais pas pu t’en empêcher. Ta main qui s’faufile sous son tee-shirt, juste pour toucher sa peau. Laisse moi te toucher, te découvrir, Jill. Putain, si tu savais comme j’en ai envie. Et à voir la réaction de ta peau contre la mienne, j’suis pas le seul..

Au fond, il nous manque tous quelque chose, pas vrai ? On court tous après un truc pour nous rentre heureux, un truc qui nous manque et qui nous obsède et qu'on arrive pas à atteindre. Et si on était mutuellement la chose qui nous donne envie de rester, hein ? Je ne relève pas sa réponse. Je me contente de me recroqueviller comme une crevette mais Yann m'empêche de me fermer totalement. C'est lui qui vient réclamer un baiser, comme ça, qui sort de nulle part. L'ancien vendeur de sapins se contredit avec ses gestes, ses mots, j'arrive plus à suivre. C'est pour ça que je refuse la première fois. Mais bien vite, j'ai cédé. J'ai cédé à ses lèvres si délicieuses, sa peau douce, ses mains généreuses qui enveloppent ma taille puis qui se retrouvent sur mon ventre. Wow le baiser devient plus langoureux. J'ai pas peur de l'embrasser avec toute ma passion, me montrant assez envieuse de ses lèvres et de ses mains. Je m'amuse même à tirer sur sa lèvre inférieure alors qu'il monte un peu plus ses doigts. J'arrête de l'embrasser, et sans un mot, je déboutonne mon chemisier et je le fais tomber sur le sol de la cuisine. Je ne sais pas trop ce que je fais, je veux lui montrer cette partie de mon corps, qu'il puisse le toucher sans ce bout de tissu qui casse son délire. Je reste muette un moment, nos souffles accélérés, ma poitrine qui monte et qui descend, couverte d'un soutien gorge en dentelle. A son tour, je viens chercher agilement son t-shirt pour le lui retirer de force. Bon sang, quel plaisir de regarder de nouveau ses muscles. J'y balade mes doigts, curieusement, à la recherche de chaleur et l'envie grimpe de plus en plus en moi. Bordel qu'est-ce que je fais ? Je dépose un baiser sur son épaule, contre sa gorge, son menton, puis je dévore une nouvelle fois sa bouche en collant mon petit corps à moitié nu contre le sien.

Ses lèvres qui t’embrassent, ses dents qui te mordillent la lèvre. Tu la connaissais pas si sauvage, la Jill. Où t’as appris tout ça pour une fille qu’a jamais rien fait … ? Elle s’arrête, Jill, t’as le souffle court. Part pas, rends moi ces lèvres, laisse moi les embrasser encore et encore jusqu’à ce qu’elles soient gonflées et rougies. Mais elle s’écarte Jill et déboutonne le haut de son chemisier. Puis son chemisier tout entier qu’elle laisse tomber sur le sol de cette cuisine. Tes yeux qui plongent sur sa poitrine mise en valeur dans ce putain de soutif en dentelle. Magnifique. Et tu t’laisses faire quand ses mains te retirent ton polo, tu t’fais pas prier non plus. T’es magnifique, bordel. Une déesse, une bombe atomique. Et elle refond sur tes lèvres. Tes mains viennent se loger sous ses fesses et tu la soulève doucement pour qu’elle viennent entourer ses jambes autour de ta taille. Et tu files à travers l’appartement, ouvrant porte après porte jusqu’à tomber sur une pièce que tu devines être sa chambre. Là, tu la laisses tomber sur le lit et te places à califourchon sur ses jambes, embrassant le contour de son nombril. J’peux ? que tu lui demandes, la main sur le bouton de son jean. J’ferais rien sans ta permission Jill, j’veux juste… te faire du bien, putain.

Faut croire que quand la fougue et l'excitation me prend, ça me donne une certaine assurance et je l'embrasse comme bon me semble. Je ne sais pas si c'est bon ou si c'est mauvais, si j'embrasse mal, je sais pas. Non je pense que ça va, il me l'a déjà dit. Fin bref. Là tout s'accélère en un mouvement. Je me retrouve en soutif devant lui, moi la pudique, la petite sainte vierge, et j'adore découvrir son torse par mes yeux et par mes mains. Mais bien vite, ce sont ses lèvres dont je reprends possession. « tais-toi idiot. » je suis pas magnifique, je suis juste banale. Bon une nana qui ne met pas souvent sa poitrine en valeur sauf dans cet ensemble, je l'accorde. Je me sens soulevée. Yann trouve ma chambre et me renverse dans mon lit sur le dos. Attendez... qu'est-ce qu'on va faire là ? Je suis prise entre la panique et l'envie de foncer. Je me crambe légèrement, mon thorax gonfle ma poitrine lorsque je sens ses lèvres glisser sur mon ventre. J'ai chaud. Partout, mais surtout très chaud dans ma culotte. Je regarde mon jeans que Yann est prêt à bazarder. « j'accepte si tu enlèves aussi ton pantalon. » sourire sur le côté, je le laisse retirer mon jeans. Moi aussi je veux voir ses belles petites fesses bien fermes que j'ai rêvé trop de fois de caresser dans mes rêves.

Arrête de t’rabaisser Jill. T’es parfaite, t’as tout pour toi, j’te jure. Mais tu dis rien, tu t’contentes de l’attraper et l’emmener jusqu’à sa chambre, grimpant sur elle. Les idées s’bousculent dans ta tête mais tu veux faire les choses bien, pour elle, parce qu’elle le mérite, parce qu’elle a jamais rien fait, bordel de merde. j'accepte si tu enlèves aussi ton pantalon. Sourire sur le coin d’tes lèvres, demande rigolote. Avec un hochement de tête, tu t’affaires à déboutonner son jean et le faire glisser le long de ses jambes épilées, beaucoup trop douces. Et un deux temps trois mouvement, le tient rejoins le sol aussi. T’es déjà dur, ça s’voit à la bosse dans ton caleçon. Mais tu l’étais déjà rien qu’à l’idée de la revoir alors… ! Tes lèvres se posent sur ses cuisses, remontent sur son nombril, le long de son ventre, sur sa poitrine et viennent enfin cueillir ses lèvres. Ne bouge pas Jill, laisse moi faire. que tu souffles en laissant ta main glisser le long de ses hanches, passant la frontière de la dentelle pour se poser sur son intimité. Et du bout des doigts tu caresses cette partie de son corps sans jamais y pénétrer, le regard rivé dans celui de la Cabot.

Je suis couchée sur ce lit, en sous-vêtements, juste pour Yann. Jamais je n'ai laissé quelqu'un admirer mon corps de la sorte. Je me sens toute... je ne sais pas, une sensation nouvelle me traverse de la tête aux pieds. Une vague de chaleur grandit dans mon ventre et les battements de mon coeur se font plus vite. J'ai chaud, beaucoup trop chaud. J'observe Yann se déshabiller, mi-amusée, mi-angoissée. Qu'est-ce que je dois faire ? Qu'est-ce qui va m'arriver ? Je me pince les lèvres pour me retenir de soupirer quand il pose ses lèvres sur ma peau, sur ma poitrine. il me donne l'ordre de le laisser faire et je déglutis. Maman, au secours ! Embrasse-moi encore pour m'empêcher de me dégonfler et de prendre peur. Je suis sa main du regard et je ferme les yeux quand elle arrive dans ma culotte. « oh. » que je souffle. Je sais pas ce qui m'excite le plus, le fait qu'on me caresse ou que ça soit Yann qui le fasse. Je rouvre les yeux pour le regarder et je me sens totalement intimidée. Mais ça me plait, mon intimité brûle sous le contact de ses doigts et je suis de plus en plus excitée. Je ne sais plus comment respirer correctement. J'attrape son visage pour l'embrasser. Je mords d'envie sa lèvre inférieure et je lâche même quelques gémissements contre sa joue tandis que mes doigts pressent son crâne. Bordel, qu'est-ce que tu m'fais ?

Spoiler: