(jilann) touch me like you do (jill's dream)

Je suis dans mon lit, je pense que je viens de me réveiller. C'est clair de partout, il fait blanc, les murs sont blancs, mes draps sont blancs. Toute ma chambre est changée mais bizarrement, je ne suis pas si déboussolée que ça. J'ai la gorge sèche, j'ai soif, très soif, et j'ai chaud. On est en été je pense. C'est pas possible autrement. Mon corps me brûle. Je me lève pour aller boire de l'eau à l'évier. Depuis quand j'ai un lavabo dans ma chambre ? Je me mets de l'eau sur le visage et ça se calme pas. Puis soudain, je sens une main descendre le long de ma colonne vertébrale et je sursaute en faisant volte face. yann ? qu'est-ce que... sors de ma chambre. je le pousse et je retourne m'asseoir dans mon lit. Je m'éloigne de lui, barrière de sécurité. Et wooooooooow. Où ont disparus ses vêtements ? il est complètement nu ! Je me cache les yeux. tu veux bien te rhabiller steuplait ? c'est plus fort que moi, ma main tombe toute seule et je regarde son corps si parfait. Comme je l'avais imaginé. Je me retrouve debout et mes mains sont posées sur son torse, son beau torse que j'admire. Le contact de sa peau me procure des frissons que j'ai jamais ressenti avant. Maintenant, les couleurs dans la pièce deviennent rose, rouge, des couleurs chaudes. J'entends le bruit du crépitement d'un feu imaginaire. On dirait que c'est de l'électricité dans l'air.

Tes pieds qui foulent la moquette de cette immense chambre blanche. Dans l’embrasure de la porte, tu ne vois qu’elle. Juste elle. Elle a un corps parfait, elle le sait ça ? Tu la regarde se lever, marcher jusqu’à l’évier et se passer de l’eau sur le visage. C’est à ce moment là que tu t’approches d’elle, laissant tes mains glisser le long de son dos, chaque petite vertèbre que tu devines sous cette nuisette en satin.. yann ? qu'est-ce que... sors de ma chambre. Même pas dans tes rêves Jill, tu vois. Tu dis rien, tu la bouffes juste du regard, complètement nu. Ouais, dans ton plus simple élément. tu veux bien te rhabiller steuplait ? Non. que tu réponds avec un sourire gourmand sur le bord des lèvres. Et comme attirée par un aimant, Jill revient vers toi, posant ses petites mains froides sur ton torse. Laisse moi faire de toi une reine. que tu souffles contre son oreille alors que la pièce prend une teinte rose orangée, chaude. Tes doigts qui jouent avec les bretelles de sa nuisette, qui glissent jusque sur ses lèvres que tu captures du bout des lèvres avant de reculer doucement et claquer des doigts. Pouf, disparue la nuisette. Jill, complètement nue. Adam et Eve, eux-mêmes.

Yann est ici chez moi, et bizarrement, je n'ai pas peur. Je suis même trop en confiance je crois. Car il arrive à faire disparaitre ma nuisette, je suis nue et je ne cherche même pas à cacher mes seins. Car normalement, je serais déjà en train de cacher mon corps sous la couette, toute tremblante. Là non. Ses lèvres chatouillent mes oreilles et je frissonne de la tête aux pieds. t'es le diable en personne tu sais ça yann ? heureusement je ne suis pas hexakosioihexekontahexaphobique. wow quel langage Jill, d'où vient ce mot ? Je sais pas, ça veut dire quelqu'un qui a peur du chiffre 666 aka le diaaable. Je remonte mes mains à son visage et je me mets sur la pointe des pieds pour l'embrasser. Mmh quel baiser ! Je me colle toute à lui, j'ai presque envie qu'il me soulève pour lui grimper dessus. tu es mon cyclopentanoperhydrophénanthrène. je tire sur sa lèvre. Encore un mot chelou mais c'est une structure chimique cyclique qui entre dans la composition de certaines molécules, t'entres dans mes molécules en gros. Putain quelle poète je fais, je me surpasse.

t'es le diable en personne tu sais ça yann ? heureusement je ne suis pas hexakosioihexekontahexaphobique. Le sourire sur le bord des lèvres, un sourcil qui s’arque et tout de suite, deux petites cornes rouges qui te poussent sur le sommet de la tête. Le diable en personne, c’est le cas de le dire. Je sais, oui. Tu fais un nouveau pas vers elle, le regard affamé de son corps, ça s’voit – et pas qu’à tes yeux – que t’as envie d’elle. Ses lèvres qui capturent les tiennent, tes mains qui glissent jusqu’à ses fesses que tu empoignes surement trop fermement. tu es mon cyclopentanoperhydrophénanthrène. Un éclat de rire contre ses lèvres. Ta gueule, Jill. que tu grognes, tombant à genoux devant elle pour lui embrasser l’intérieur des cuisses, laissant tes lèvres monter de plus en plus haut pour rejoindre son jardin secret.

A croire que je suis une parfaite compétitrice, redoutable, pour le srabble. Des mot si longs et si durs à prononcer, c'est tout moi. Ou pas. Yann me dit de la fermer et je m'exécute, même si j'ai bien envie de rire. Je le vois s'abaisser pour s'en prendre à mes cuisses et je me mords la lèvre quand ses lèvres se baladent plus haut. yann. que je souffle, les yeux fermés. Putain ça fait du bien. Fin, ça m'excite, je sens ma respiration qui s'accélère, mes seins qui pointent et j'ai du mal à rester immobile. J’attrape doucement sa chevelure pour la caresser et je me sens... ben comme un reine oui. Puissante, et je laisse mon serviteur, mon chevalier servant, me faire du bien. Je recule et je me laisse tomber sur le lit en arrière, Yann sur moi, et ça me brûle un peu plus en entres mes cuisses. Je suis trop excitée de savoir ce qu'il va faire de moi.

Yann. Ton prénom soufflé d’entre ses lèvres, te pousse à continuer, ne pas t’arrêter. Une reine, c’est ce que tu lui as promis de devenir. Là, c’est Jill la priorité. Eh, c’est son rêve après tout. Tes lèvres qui embrassent l’intimité de Jill, soufflent doucement sur le centre de son plaisir, ta langue qui glisse sur elle doucement puis plus vite. Ouais Jill, c’est ça. Le souffle haletant, ta reine se laisse tomber sur le lit. Tu quittes son entre jambe pour remonter le long de son ventre, créant une ligne de baisers jusque sa poitrine. Ton corps lourd qui surplombe le sien, tes dents qui viennent mordiller un téton, puis un autre. Tes yeux qui ne quittent pas le visage de Jill, beaucoup trop belle quand le plaisir prend possession de ses traits. Laisse moi te manger, Jill. que tu grognes alors que tu laisses tomber quelques gouttes de chocolat sur les seins nus de la Cabot, chocolat sorti de nulle part. Dis moi c’que tu veux, Jill. J’le ferais. que tu lâches, la voix roque, en léchant le chocolat qui coulait sur sa poitrine. C’était beau et tout aussi délicieux.

Mui calienteee:

APOSKGFOGKPOK +18: