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(hope) that fucking awkward moment

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{ that fucking awkward moment }
crédit/ tumblr ✰ w/@hope j.f. kennedy

'Qui est le mystérieux nouveau prétendant de l'héritière Kennedy ?' C'était une nouvelle façon de commencer sa journée, tiens.  Se voir en première page d'un pseudo magasine people en compagnie de sa conquête d'hier soir, dont il avait déjà oublié le nom mais que l'article le lui faisait bien rappeler, à côté de la dénomination 'héritière Kennedy'. Petit bonus, n'étant pas abonné à ces conneries, il était tombé sur l'article en première page ce matin en faisant ses courses. What the fuck. La photo était on ne peut plus claire, il se reconnaissait facilement ainsi que l'appartement où ils avaient fini la soirée - le sien; il n'y avait aucun doute sur son identité et sur les événements qui étaient véridiques. Toute leur soirée avait même été minutieusement décrite, heure par heure, photo accompagnant chaque lieu et étape. What the actual fuck. Il s'était attardé sur le titre en dernier mais ne le manqua absolument pas : héritière Kennedy. Évidemment, il ne connaissait rien sur la jeune femme rencontrée sur Tinder et il n'avait eu aucun désir de le faire, n'ayant pas arrangé ce date pour faire connaissance. Ça n'avait été clairement pas son but, et ça ne l'est toujours pas, ayant même eu l'intention d'oublier la blonde, comme pour chaque conquête. Mais ça, c'était jusqu'à ce qu'il tombe sur ce ramassis de conneries. Trente minutes après avoir halluciné, il se trouvait même dorénavant devant l'appartement de la fameuse héritière, l'article en main, peu ravi de revenir et encore moins dans ces circonstances. A peine la porte ouverte, il fit bien comprendre son humour du jour d'ailleurs. « C'est quoi ces putains conneries ?! » Qu'il attaqua préavis en lui fourrant avec un peu trop violemment l'article dans les mains.
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Valentin Rothschild

Âge : 27
Lieu de naissance : Londres, reconnaissable avec le petit accent sexy
Quartier d'habitation / Colocation : Along Charles River avec Simeon, Levy & Ferguson Michael Jordan Bishop
Situation sentimentale : en relation libre avec Rowan
Études / Métier : étudiant en droit privé des affaires
Date d'inscription : 10/02/2018
Pseudo & Pronom(s) IRL : Memento mori
Icon : (hope) that fucking awkward moment Bdb4a2a5637cbc781bd773971e90407f54e527e6
Faceclaim : Charles Leclerc
Crédits : lumos solem (avatar) f1-stuff tumblr (gif) lumos solem & insomnia ragged (bannières)
Multicomptes : Sierra Vasquez (A. de Armas) - Kara Gardner (M. Barrera) - Jayne Thompson (A. Hathaway)
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RPS en cours : (hope) that fucking awkward moment Valgiu10
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Valentin Rothschild
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t156359-valentin-rothschild-charles-leclercRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t156332-hope-aidan-jill-jelena-sierra-mason-repertoire-rpsProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t160381-meetsachussets-val_rthschld

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crédit/ tumblr ✰ w/@Miles Hohenstaufen

C'est seule que je me réveille dans mon lit. J'ouvre un oeil, puis l'autre, en me demandant si la nuit dernière était un rêve ou si j'avais vraiment passé la nuit avec un fantasme sur patte. 1m90 de pur charisme, une voix à en perdre ses moyens et un sourire qui m'a littéralement rendu aveugle. Une conquête de prestige pour une nuit au 7ème ciel. Alors c'est encore sur un petit nuage que j'me lève de mon lit que tu as déserté au petit matin. Je prends une bonne douche, enfile un pull de Harvard et une culotte toute propre avant de me diriger dans mon grand salon. Je vis seule dans un appartement de 170m² et ça commence à me peser. Alors après une conversation tinder avec un parfait inconnu, on a convenu qu'il viendrait habiter ici. Louche ? Ouais je sais mais j'ai vraiment besoin de faire bouger ma vie, parce que depuis que Phin est parti, j'ai l'impression de faire du surplace et à force je vais m'enraciner. J'attrape une boite de céréales et mon bol serpentard et j'me cale devant la télé quand j'entends quelqu'un tambouriner contre la porte. J'me lève pour ouvrir et là j'te vois, dans l'encadrement de ma porte, ton merveilleux sourire complètement absent de ton visage. T'entre en trombe dans l'appartement en gesticulant, un papier à la main que tu me fourres rapidement dans la main libre. Je regarde le journal, puis toi, puis le journal et je pose enfin mes yeux définitivement sur toi. Je donne un coup de pied dans la porte. Lâche le journal sur la table et reprends une cuillère de miel pop's. « Bonjour à toi aussi, j'ai passé une excellente soirée merci. » J'te regarde en arquant un sourcil. « Bah quoi ? Tu m'a pas demandé mon nom de famille. » Ah bah ouais surprise du coup. On fait la couverture d'un magasine people. Moi j'ai l'habitude, je sais que je suis en permanence traquée par les photographes, mais toi, tu dois pas avoir l'habitude. En même temps, pour ce qu'on avait à faire, je pensais pas utile de te parler de tout ça. Maintenant détend toi, c'est pas la fin du monde.
(Valentin Rothschild)
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Il ne savait pas ce qui était le plus flippant ? Voir sa tête affichée et étalée sur l'entièreté d'un stand douteux de magasines pour nanas après un simple foutu soir ou de se rendre compte qu'il a été suivi toute la soirée sûrement par un satané de photographe, du début jusqu'à la fin de sa soirée ? Ou aussi de se rendre compte qu'il venait de souiller la fille d'une des familles la plus connue aux Etats-Unis, au monde ? Merde, une Kennedy ? Vraiment ? Parmi toutes les filles qu'il a pu choisir hier soir, c'était la descendante d'un ancien président américain ? Est-ce qu'il devait jouer au loto maintenant avec sa chance du coup ? C'était ça, la vraie question. Après les questions directes à la principale concernée, évidemment. Parce que ouais, il était obligé de la confronter maintenant. Lui qui s'était enfuit en voleur ce matin, avant son réveil, comme les règles d'un bon one night stand le stipulaient. C'était une farce. Il n'y est pas allé par quatre chemins d'ailleurs face à cette dernière une fois qu'il atteignit l'appartement et lui fit face. Magasine en main, la serpillère se trouvait en moins de temps qu'il ne le fallait entre les mains de la blonde avec un Miles passablement.. énervé ? Non, c'était pas vraiment de l'énervement mais plutôt de l'incompréhension. Donc devant un Miles wtfé ? Ouais, c'est un joli mot ça. Il ne comprenait absolument rien à la situation et elle ne l'aida franchement pas avec son air désinvolte, détendu et son bol de.. miel pop's ? Allez savoir pourquoi, ce bol l'irritait encore plus donc comme un père qui punissait sa fille de façon puérile et ridicule, une fois qu'il fut dans l'appartement, il lui retira des mains et d'un geste vif les céréales qu'il posa sur la table la plus proche. « Vu ta ligne, tu devrais pas en abuser. Tu m'remercieras plus tard. » Ok, c'était totalement faux, sa ligne était parfaite, elle était parfaite physiquement sinon il ne l'aurait jamais touché et se serait pas retrouvé dans cette merde. Même actuellement dans sa dégaine, dans un pyjama douteux et qui ferait fuir n'importe quel célibataire, il n'allait pas mentir, il était fier de son coup. Mais là, n'était pas la question. Putain, concentre-toi Miles, c'est pas le moment de la mater. « Vu que notre mariage est déjà prévu pour mai 2020, clairement y'a plus besoin de présentation maintenant ! » Ou quoi que, on venait juste de l'affubler d'une nouvelle identité ce matin aka le nouveau prétendant de l'héritière Kennedy donc peut-être qu'il devrait se présenter comme ça dorénavant ? « Comment t'arrives à être aussi calme putain ? »
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Autant t'étais charmant hier quand on prenait notre pied dans mon lit et dans la douche et aussi dans la cuisine.. Autant là maintenant t'es pas agréable du tout. Tu me laisses même pas terminer mon bol de céréales. Tu me l'arraches des mains en me balançant un truc hyper désagréable ! « Mais .. héé » je regarde mes cuisses, les touche, essaie de regarder mes fesses en me tournant autour comme un chat qui tenterait d'attraper sa queue. C'est pas vrai, j'ai une super ligne, tu veux quoi toi ? Voilà, j'étais bien, de bonne humeur et en trente secondes tu me fous en rogne. Bravo Miles, t'as la palme d'or du relou de l'année, le chieur dès le matin, le râleur du siècle. Tu me parles de mariage et j'hausse un sourcil. Qu'est-ce qu'il dit le monsieur ? J'attrape le journal et le déplie pour lire en vitesse ce que les journalises ont bien pu baver cette fois-ci.   « Hier l'héritière Kennedy à encore fait parler d'elle en ramenant un jeune et mystérieux prétendant chez elle. Récemment séparée de son fiancé, Noah Ferrari, la jeune femme n'avait pas été vu accompagnée d'un homme depuis plusieurs mois. A en juger par la complicité et la proximité des deux jeunes gens, il semblerait que le coeur de la petite fille de feu le président des Etat-Unis JFK, ait été volé. Nous n'en savons pas plus quant à l'identité de ce jeune homme mais des rumeurs récoltés auprès des proches de la jeune femme, parlerait d'un mariage secret, prévu pour mai 2020. Qui est ce mystérieux futur monsieur Kennedy et suffira t-il à le sulfureuse Hope Kennedy ? Affaire à suivre.   »  WTF ! Je pose le journal sur la table et j'te regarde avec des yeux rond comme des billes. « Ah. Bah salut chéri. J'imagine que c'est comme ça que je dois t'appeler maintenant. » Je reprends mon bol de céréales parce que je t'emmerde et je passe devant toi pour te servir un café. Sûrement une mauvaise idée parce que t'es déjà bien excité.« J'ai l'habitude » que je te dis en te tendant ta tasse. « Porter le nom de Kennedy ça apporte des avantages mais forcément des inconvénients. Comme le fait que ma vie privée intéresse visiblement les américains. Désolée que ce soit tombé sur toi. » C'est une habitude pour moi, les paparazzis, les premières pages de journaux à la cons comme celui-ci. J'peux comprendre que ça te perturbe, alors assis toi on va en parler.

(Valentin Rothschild)
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Inutile de préciser que tout ce bordel, c'était une une première pour Miles, qui avait une réaction tout à faire normale vis à vis de la situation. Même ayant grandi dans un milieu privilégié, il n'avait jamais eu affaire à ce genre de voyeurisme dans sa vie privée; c'était le genre de truc qui n'arrivait qu'aux autres voyez-vous. Jusqu'à maintenant. La Kenndy par contre, elle, paraissait on ne peut plus habituée si on en croyait son expression plus blasée que surprise. Enfin, surtout blasée par l'entrée en catastrophe de l'Eliot d'ailleurs. L'article, si on pouvait ça appeler un article, passait dans le plan secondaire après ses miel pops apparemment, ce qui n'arrangeait rien aux nerfs de Miles. Ceci dit, la voir tourner sur elle-même pour se tâter la graisse qu'elle n'avait pas était un spectacle assez comique qui l'aurait fait sourire, voire rire dans une autre situation. Pas là. Encore moins lorsqu'elle se mit par la suite à lire à voix haute le torchon qu'il lui avait délicatement refoulé en entrant. Il leva les yeux au ciel tous les deux mots, peu enchanté de ré-entendre les conneries qu'il avait déjà lu et relu en boucle avant de revenir dans cet appartement. Affaire à suivre. C'était sa partie préférée. Le sous-entendu que ce n'était que le début lui avait particulièrement plu. Outre le mariage. Quand elle releva les yeux du papier, des yeux aussi ronds que son derrière - c'était kdo - un soupir de soulagement lui échappa; au moins, elle n'était pas aussi sereine qu'elle le laissait prétendre. « Je préfère 'mon canard' si tu veux bien, mon cœur » Ironisa-t-il aussi facilement qu'elle en s'asseyant sur la première chaise qu'il trouvait, et se retrouvant avec une tasse de café en moins de temps qu'il ne le fallait et une blonde qui s'expliquait sur la notoriété de sa famille. « Ok génial Mlle Kennedy. Et.. quoi maintenant ? » C'était un article de merde, une presse à scandale douteuse qui n'était pas réputée pour la véracité de ses informations mais une presse à scandale lue par la majorité des américains arriérés. En somme, il était maintenant connu qu'il ne veuille ou non par des adolescentes en pleine crise existentielle qui cherchait à s'identifier aux célébrités de nos jours, comme la blonde Kennedy. Et il avait la sensation qu'il ne pourrait pas sortir de ce début d'Enfer aussi facilement qu'il aurait aimé. « J'dois pas être le premier de tes conquêtes à finir dans ces torchons, rassure-moi ? Dis-moi qu'en un seul coup de fil, tu peux arranger ça s'il te plaît, comme dans les films ou les séries stupides pour ado là » Qu'il ronchonna comme un vieux papy, son café à la main. C'était bien une Kennedy non ? Et elle venait bien de stipuler que ce nom venait avec certains avantages, non ? Lui, son nom lui portait un certain pouvoir en Allemagne, elle, elle devait posséder ce même privilège ici.
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