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Remember all the things we wanted ‡ Alexis

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On est quelque part entre Noël et le jour de l'an. Tu t'en fiches un peu Deirdre. C'est pas une période que t’affectionne. Tu en profites pour prendre de l'avance sur la concurrence. Tu travailles d'arrache-pied pendant que tous les autres digèrent leur trop plein et leurs excès. Tu préfères ça que de réfléchir ou même d'élaborer autour du silence de Valentin. Tu sais qu'il est spécial mais tu ne comprends pas. Et tu t'en veux de te prendre la tête pour ça. T'es pas ce genre de fille. Les jumeaux sont dans leurs familles respectives, Malaki également et Noah sans doute dans le lit d'une belle demoiselle. Alors quand Alexis te propose de passer à la Eliot pour des retrouvailles autour de restes, tu trouves l'occasion trop belle. Ta meilleure amie te manque. Son énergie, sa folie. Elle est pile ce qu'il te faut. Elle est le feu qui fait fondre ta glace. Ta moitié parfaite. T'as pris la direction de la Eliot dans un simple jean et pull de Harvard. T'es loin de ta classe habituelle mais tu t'en contrefiches. Tu arrives avant elle afin de sortir une ou deux assiettes que tu complètes de restes, une salée et une sucrée. Elle passe bientôt la porte et tu peux empêcher une petite moue lorsque tu vois son teint hâlée. Elle est si parfaite. « J'ai les moyens de vous faire parler Demoiselle. » Que tu lâches avec un petit sourire en laissant ton regard se baisser sur les assiettes. Elle t'a manqué. « Viens donc par là l'Aventurière aux requins. » Parce que tu es un peu jalouse quand même et que tu as hâte qu'elle te raconte.

@Alexis Callaghan  Remember all the things we wanted ‡ Alexis 73120010 Ne me remercie pas, je sais que tu m'aimes Remember all the things we wanted ‡ Alexis 2474380249
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Le visage encore marqué de ses conneries de Noël. Sa lèvre abîmée, recouverte d'un rouge flamboyant, et le bleu sous son œil, masqué par du fonds de teint. Il ne s'agirait pas d'être fade aux côtés de la reine de ces glaciers. Faudrait pas se rendre compte qu'on arrive plus à faire fondre quoique ce soit. Se presse, presque, pour parvenir à son ancienne demeure. Une certaine mélancolie. La collaboration de Callaghan et du bleu n'a pas duré longtemps, mais assez pour se sentir chez soi entre ces murs. Appartenir à un groupe lui manquait affreusement, même si Edwin avait eu la merveilleuse idée de ramener un mioche dans leur cocon à deux. A trois, du coup. Ca n'en fait pas pourtant une communauté. Nos regards consternés, moqueurs, complices, me manquent. Tu me manques, en fait. Alors elle se dépêche l'Alexis, de sa tenue trop apprêtée. Fallait bien meubler le maquillage. Pousse un espèce de cri sur-aiguë, en voyant.. Deirdre et la bouffe, qu'importe l'ordre, et la rejoint de quelques pas rapides. Te captures de mes bras, plaque un baiser coloré sur ta joue, et attrape un toast. Amen le toast. « Rien que pour la bouffe, la Eliot me manque. » Qu'elle soupire de quiétude, à peine avalé. S'échoue sur un siège, sourire amusé aux lèvres. « Faudrait que je me fasse un bombers avec ce titre. » Bon, j'en ai touché qu'un, et j'étais clairement pas très sereine, mais ça, personne n'est censé le savoir. J'te regarde, quelques secondes, juste le temps de voir si des choses ont changé, si tes prunelles se sont obscurcies. « Je te demande pas comment s'est passé ton Noël. » J'vais tâcher de pas participer à cette pression sociale qu'est Noël. Amuse-toi, soit heureuse même si tu marches sur ta vie décimée, souris allez, c'est la convention. Vivement janvier et sa dépression saisonnière, tiens. « Je propose un vote à main levé pour éliminer cette fête du calendrier ! » La main est levée bien haute, évidemment. Et l'autre se sert encore. Forcément, j'ai pas vraiment fêté Noël, mon estomac n'est pas encore en état d'implosion.
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Les billes célestes observent les mouvements désordonnés de la Brune Volcanique. Elle a ce don d'éparpiller ta vie Deirdre. Tu la contemples impassible mais avec ce sourire sur ton visage porcelaine. « Tu reviens quand ici d'ailleurs ? » Parce qu'elle te manque à la Eliot. Elle manque à ton bonheur parfait de riche Elite. Tu l'observes alors qu'elle s'accapare un met salé, tu optes pour le verre de vin blanc pour ta part. Solide et liquide, la complémentarité parfaite on vous a dit. Verre en main, tu viens t'installer aux côtés de ton Amazone. « Je te remercie et je vote pour aussi. » Que tu conclues en levant toi-même une main décidée vers le ciel. Tu dis oui sans hésiter. La façade est plus que lourde à porter en ces périodes au trop plein d'enthousiasme. Une nouvelle gorgée vient éclaircir ta voix intéressée. « Alors ces requins, c'était comment ? » Que tu demandes avec un petit sourire. T'aurais aimé être avec elle, partager ce genre de trucs, tout ce qui a un lien avec la nature te fascine de toute manière.« Et tant qu'on est dans ce genre de réjouissances, tu as prévu quoi pour nouvel an? » T'es certaine qu'elle sera pas en pénurie de plans. Alexis a ce don pour savoir se vendre, pour plaire et pour trouver toujours compagnie qui lui sied. A son contact, tu sens la glace de tes veines qui se réchauffe et tu te fais cette remarque qu'elle te manque définitivement.
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Je ne suis que désordre, dans ta vie bien rangée. Je prends, je pose ailleurs, je fais tomber, je ramène autre-chose. Et, tu m'apprends l'ordre, tu répares, tu m'empêches de faire trop de dégâts. « Quand Aymaline 1ère sera destituée. » Qu'elle ôte les filtres, le sourire aux lèvres, pleine d'ironie. Y a trop de choses que je n'aime pas, en l'état actuel de la demeure bleue. Aimer le fier peuple, mais refuser de se soumettre à la première tête de la confrérie. « C'est là que je compte sur vous. » Inutile de les citer, tu sais les noms que je place dans ce « vous ». Hausse les épaules, les prunelles persistantes sur la princesse de glace. « Il faudrait songer à la présidence, Deirdre. » Tu me manques, ces murs me manquent, il faudrait faire ça pour moi. Avec toi en maître de ces lieux, je franchirai ces portes en courant, tu le sais. Et je prendrai les coups pour toi, ta peau ne mérite aucun bleu. Puis, j'rayerai Noël de tous les calendriers du royaume, aussi. On la remplacera par une fête moins familiale, plus superficielle, un truc où le champagne coulera à flots, et la musique sera trop forte. Il nous reste un an pour y penser. Pour l'instant, je me remémore ce moment paisible, sous l'eau. « Exceptionnel ! Parfaitement flippant, mais absolument génial. » Les lèvres s'ornent d'un de ces sourires idiots. « C'était une belle surprise. » Le boxeur sait faire autre-chose que me décrocher des droites, il faut croire. Hausse les sourcils, et pousse à peine l'épaule adverse de la sienne. « Si t'es sage, j'essayerai de lui soudoyer une seconde séance, et tu seras mon plus un. » Attrape à son tour un verre, qu'elle vint faire tinter légèrement contre celui de la sublime, déjà entamé. « J'en sais rien ! J'hésite encore entre plusieurs soirées, j'pense que je vais me décider à la dernière minute, pour changer. Et toi ? » Ca sera plus classe que mes soirées, j'en doute pas. Un peu plus de toi dans ma vie ne ferait pas de mal à cette dernière.
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Tu connais parfaitement les raisons qui l'ont poussé à quitter vos rangs. Toi-même tu y as songé mais l'Eliot ça a toujours été ta maison. Alors même si cette année est difficile, tu comptes bien rester. Prouver les valeurs qui nous animent et tenir bon. « Vivement. » Que tu rétorques avec un sourire sincère. Vous êtes un noyau solide et lié et tu sais qu'un jour viendra où la sérénité s'installera durablement. Enfin si tant est qu'on puisse parler de sérénité dans votre confrérie, faut pas pousser tout de même. Elle te dit qu'il faut songer à la présidence et tu souris une nouvelle fois. Tu y as déjà pensé c'est clair, mais tu manques de temps. Et de toute manière, tu trouves que les garçons sont parfaits pour ce rôle. « Je n'ai pas vraiment le temps. » Vouloir monter ta propre entreprise te demande déjà une énergie considérable, mais si un jour la confrérie devait avoir besoin de toi, tu irais sans hésiter, c'est clair. Elle te raconte ensuite son expérience avec les requins, y'a pas à dire t'es jalouse. « Il va peut-être falloir que je me mette à la boxe finalement. » La pensée t'arrache une grimace parce que t'es clairement pas faite pour ça Deirdre. « Je tiens trop à mon nez, il est parfait tu trouves pas ? » Tu soulignes l'arête de ton index en lui posant un regard de côté. T'as pas suffisamment de feu dans tes veines pour l'exprimer de tes poings. « Mais ce sera avec plaisir. » Tu diras jamais non à une expérience pareille. Et pour la nouvelle année, la belle ne sait pas encore ce qu'elle fera. « Pas de nage avec les dauphins ? » Parce que là c'est clair, tu seras jalouse définitivement. « Je vais en France avec Abé, Hadès, Noah et leurs plus un. » A peu près, c'est ce que t'as retenu. « J'ai hâte de revoir la montagne. » Et de mettre de la distance avec ici, parce que tu sais que là bas, tu respireras.
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Solution de facilité, assurément. J'y avais moins d'attache, ça sera mon excuse surprême. La vérité, c'est que je claque les portes, quand ce qu'il y a derrière ne me plait plus. J'essaye pas d'améliorer le dessin, je brûle la feuille. Je répare pas, je détruis, et je reconstruis derrière. Ca rends les demeures moins stables, plus friables, mais je sais pas faire autrement. C'est pour ça que toi, t'es là. Tu retiens ma main quand elle veut s'abattre, tu calmes le feu, tu uses de réflexion quand j'agis au lieu de penser. Pourtant, là, j'essaye. Je pense à toi à la meilleure place de la Eliot, la plus glorieuse. Les couronnes te siéent à merveille, Deirdre. Mais, soit, j'hausse les épaules, abandonnant très vite. « Qu'importe, choisissez parmi vos rangs, ça ne peut que être mieux. » Je reviendrai à la charge quand le temps sera venu. Mais je me contenterai surement d'un de tes disciples, s'il a ton approbation. Et, tu t'imagines en combattante d'un jour. D'accord, j'avoue, le gloussement que t'as entendu, ça venait de ma gorge. « Fait gaffe à pas poser tes griffes n'importe-où. » Qu'elle prévient, multipliant les sens. Comprend que je suis peut-être un peu possessive. Ou que je tiens à ta manucure, au choix. En tout cas, du sel vient sur sa langue, et entre deux bouchées, devient malice. « Tu serais parfaite en match de catch, tu sais, à te dandiner avec le petit panneau ! » Allez marre-toi va, à te l'imaginer ainsi dévêtue. Tu cadres pas avec l'univers, toi et ton nez parfait. J’acquiesce d'ailleurs, d'une moue mi-(excessivement) impressionnée, mi-amusée. « Depuis que j'ai entendu que c'étaient des violeurs en puissance, j'évite de les croiser. » Exagère le sérieux de cette réplique. Je suppose que les requins étaient plus appropriés, vu le chaos de ma vie. Mais je ne serai pas contre une rencontre avec les plus délicats dauphins. « Vous allez à la neige ? » Evidemment, c'est ça, des vacances avec des Eliots. Tout n'est que disproportion. « J'te supplie de faire bouffer de la neige à Abe et de filmer tout ça ! » Joint ses mains en ultime supplication. Alleeeeeeez. Quel sublime cadeau de Noël, que de voir son air choqué au contact du froid sur ses traits.
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Vous dessinez de nouvelles perspectives pour votre regroupement de Bleus. Quelque chose de digne de vous l'élite, et tu ne peux empêcher un bref sourire lorsque la Reine Alexis vous autorise à choisir parmi vos rangs. Tu optes pour le feu italien définitivement. Tu l'imagines bien s'accorder au sien, d'ailleurs. « Et alors, tu n'auras pas d'autres choix que de le réintégrer le rang. » Parce que ça manque d'une Tempétueuse comme toi Alexis. Mes paroles sont bien trop froides et mes manières effacées pour assurer seule la prestance de cette confrérie singulière. Toute pièce a deux facettes, qu'il en soit ainsi. Tu es le pile de ma face. La Téméraire se moque de toi à t'imaginer poings en avant et tu ne peux empêcher un rire toi aussi. C'est si rare mais ça arrive, parfaitement Deirdre. Non définitivement, ce choix est impossible. « Moque-toi. » Il ne manquerait plus que le ridicule d'un tel spectacle pour ruiner définitivement ta réputation. Déjà que... « Je suis bien plus douée avec les armes. » Pour tout, dans ma vie, dans mes loisirs, mes poings ne suffisent pas. Il faut toujours que je trouve cette parade pour abriter le feu de ma glace. Tu te surprends à rire une nouvelle fois alors qu'elle te parle de ces créatures douces et dociles dont rêvent les petites filles en des termes bien plus tordus. Il n'y a qu'Alexis pour arracher ce rire de ta gorge si souvent. « Ne me donne pas plus envie d'y aller. » Que tu rétorques, attrapant à pleine griffes la provocation offerte. Mais heureusement, le nouvel an fait partie de tes autres projets et tu approuves de la tête lorsqu'elle évoque la neige. Naturellement, quoi d'autre ? Tu prends une mine faussement outrée lorsqu'elle expose son projet machiavélique concernant ton Prince. « Ne prends pas tes désirs pour les miens, si tu nous rejoins, tu pourras le faire par toi-même, je ne veux rien avoir à faire avec ça. » Tu optes pour un petit sourire toutefois parce que l'idée de cette situation t'amuse tout de même, faut pas pousser. « Même de la neige dans la tronche, il sera beau. » Oui c'est Abé, tu as un petit problème avec lui, tu sais cet idéal que personne ne peut atteindre, c'est lui. Et d'ailleurs, tu supposes que Phoenix sera une bien meilleure alliée pour un projet pareil. « Et malgré tes basses intentions, lui aussi veut te voir revenir tu sais. » Tu souris en prenant une nouvelle gorgée de poison entre tes lèvres.
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Je sais que mes pas finiront par m’amener à nouveau parmi vous, je le sais et je l’accepte avec un certain plaisir. Je sais aussi que ces douces menottes, m’obligeront à calmer les excès, polir les défauts trop visibles. C’est une route qui a l’air lointaine de celle que j’emprunte aujourd’hui, mais elles finiront bien par se croiser à nouveau. Quand vous ne serez plus représentés par une basse élite, à la tête hasardeuse et instable, colérique, larmoyante. Oui, j’ai eu le temps d’entretenir cette espèce de rancœur. Gratuite, absolument. Mets l’un de tes glorieux compagnons, aux costumes parfaits, à la mâchoire séduisante, choisissez et rouvrez-moi les portes. Laissez-moi vous consterner parfois, souvent. Vous défendre, aussi. J’prendrai les coups pour pas qu’on t’abîme, toi la précieuse. Ta peau doit rester lactée, lisse, impeccable. Alors on abandonne vite cette idée de boxe, de catch, de tout ce qui ne te mérite pas. « J’imagine même pas le nombre de mecs que tu dois faire fantasmer. » Qu’elle s’amuse, un toast à la bouche, quand elle s’imagine la sublime Deirdre, les doigts posés sur l’acier d’une arme. J’ai aucun problème avec cette idée, mais j’ai toujours préféré l’adrénaline des coups. « Je t’en empêcherai de mon corps. » Agrémente la réplique d’une espèce de moue menaçante, pas crédible pour un sou. Maintenant que j’t’imagine en héroïne sombre d’un roman noir, je préfère que tu gardes tes griffes manucurées loin de mon Énervé. Faudrait pas qu’il finisse par t’admirer autant que moi. Laissons-nous chacune nos spécialités. A toi, ton prince infaillible. Que je fantasme un peu abîmé, ou juste l’ego éraflé. Soupire, comme une enfant qu’on priverait de Noël. « Oui, Abé est parfait. » Les billes qui vrillent, la langue qui appuie. « T'as vraiment pas envie des fois, de défaire un peu sa chemise, de le décoiffer, de faire tonner sa voix ? » Oh ça va, on peut fantasmer un peu. Absorbe une gorgée de boisson, le sourire espiègle. « J'vais devoir revenir pour m'occuper de lui moi-même, puisqu'on ne peut pas compter sur toi. » Je sais, j'ai entendu ce que t'as dis. Il est l'ordre dans ma débâcle. J'pourrai m'endormir sur son épaule juste après avoir joué les effrontées qui l'exaspère. Hausse les épaules, et s'arme de malice. « Et toi alors, tu ramènes pas de plus un ? » Les chandelles ne sont pas les objets les plus agréables à tenir.
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Alexis, elle a toujours su se défendre de ses poings, elle est colérique et n'hésite pas à menacer de son corps. Toi tu es plus stratège, tu uses des artifices pour assurer ta défense et tout naturellement tu en viens à parler d'armes. La réponse de ton amie t'arrache un sourire. « Non tu imagines pas. »Tu hausses les épaules avant de rire légèrement. « Mais fais pas comme si ça ne t'arrivait jamais de faire fantasmer des hommes toi aussi. » Vous aimez ce pouvoir que vous exercez sur la gente alliée ou rivale selon votre humeur du moment. Et tu sais que tout comme toi, Alexis n'a pas tellement de difficultés pour se faire apprécier. Forcément, tu ne peux pas tourner Abelard en ridicule. Tu vous réserves ces moments qu'à vous deux, lorsque tu lui apprends le patin par exemple mais tu n'irais jamais l'exposer dans un moment pareil. Tu sais qu'il ne le supporterait pas. Alexis par contre... Sa réponse t'arrache un sourire alors que tu termines ton premier verre. Tu te ressers parce que tu ne vas pas bouder ton plaisir ni même cette chaleur qui s'installe confortablement dans tes veines. Tu es bien et tu as bien l'intention d'en profiter. Le sourire te gagne davantage lorsqu'elle te demande si tu imagines parfois un Abelard plus sulfureux, plus colérique. Il est comme toi et maîtrise parfaitement ses nerfs, mais oui, il doit bien avoir une limite. « Oui je t'avoue que ça m'a déjà traversé l'esprit. » Tu ris doucement. C'est pas le genre de choses que tu confies, mais c'est Alexis. Et elle devras s'occuper elle-même de le tourner en ridicule, c'est entendu. Tu hausses les épaules lorsqu'elle te demande si tu emmènes une compagnie pour le réveillon du jour de l'an. Tu penses naturellement à Valentin mais tu ne fais jamais ça et de toute manière c'est bien trop tôt. « Non, tu me connais, et toi y'a un plus un avec qui tu aurais envie de le passer ? » que tu demandes avec un sourire en coin et un regard effronté. Parce que tu la connais, elle n'est pas du genre à rester seule bien longtemps.
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L’amie, la meilleure, avait cette image de reine des glaces, toujours bien apprêtée, et le verbe bien senti. Elle livrait moins qu’Alexis, réservait davantage de surprises. L’impulsive tentait de s’en inspirer, mais le naturel revenait toujours orner ses poings, et ôter les filtres de sa gorge. Il faudrait encore de l’entraînement. « Je crois que je représente moins un défi, que toi. » Je cède plus facilement, sûrement, le jeu m’amuse trop pour que je résiste indéfiniment. Et après, vient la lassitude, en deuxième acte. Les hommes manquent de profondeur, d’intérêt, et quand ils en ont trop, tu peux voir ma foulée devenir une course, pour m’en éloigner. On parle d’Abelard, et tout ceci mérite bien qu’à mon tour, je m’attaque à un second verre. Ce type est digne de quelques chapitres, que je prendrais le temps de lire, pour réussir à en comprendre les contours. Il intrigue, même moi, c’est pour dire. Toi, tu le connais mieux, alors que je reste sur la surface, m’obstinant à vouloir ôter la première couche, abîmer un peu sa chemise, griffer sa peau, rendre le tout plus rugueux. Et, ça m’fait sourire que l’idée ne te soit pas si étrangère. Vous êtes bien trop proches pour que je fasse de toi une alliée dans mon entreprise, mais je te dévoilerai le résultat, si j’y arrive. C’est mal barré, vu le gaillard. Enfin, j’garde ça en tete, dans les objectifs de l’année à venir, et me concentre sur la fête suivante. « En dehors de toi évidemment.. » Qu’elle souligne d’un sourire amusé, engloutissant à nouveau un petit four. « Caleb. » Hausse les épaules, juste après, comme pour atténuer le prénom. « Enfin, c'est lui aujourd'hui, ça sera peut-être un autre demain, tu sais comment qu'c'est. » J'sais pas m'attacher, je sais pas le faire bien, dans les règles. Cède dans un rire. « On est mal barrées Deirdre, moi j'te le dis. » J'vois pas comment ça pourrait changer, ce qui pourrait nous faire céder. Ouvre grands les yeux, soupire exagérément, et pouffe : « Heureusement qu'il reste la bouffe et l'alcool. » Eux au moins, sont des alliés fiables.
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