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In the end, it's him & i ღ Ethan

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‘’ Un de ces trucs ? ‘’ Un rire cristallin caresse ta gorge. Tu trouves ça mignon tout de même, cette façon qu’il a de voir les choses. ‘’ Tu oserais appeler ton enfant un truc ? ‘’ Tu affiches une mine faussement outrée, à fond dans ton délire. Tu aimes bien te foutre de lui en sachant qu’il est improbable que vous ayez conçu la vie avec cette méthode de contraception fiable. Ce genre de malchance n’arrive qu’aux autres. Tu prends place sur lui, naturellement, comme le ferait un couple amoureux normal, à tes yeux, cet homme n’a jamais cessé de t’appartenir. Tu prends le temps de lui expliquer certaines choses dans le but de le sécuriser avant de laisser ta tête retomber sur son épaule. Tes pensées s’égarent, tu es immédiatement transportée dans un autre univers qui n’appartient qu’à vous. Ce mec te rend complètement dingue. Lorsque ses mains se posent sur toi, tu sens ton être entier s’embraser, prisonnier de tes pensées putrides. ‘’ Ethan… ‘’ Son prénom résonne comme une supplique perverse lorsque ses dents s’attaquent à ton lobe d’oreille, zone hyper sensible chez toi. Il joue à un jeu dangereux auquel tu ne saurais résister bien longtemps. ‘’ Tu sais comme moi comment ça risque de se terminer si tu fais ça. ‘’ Un nouveau rire significatif t’échappe tandis que tu viens déposer ses mains sur ton ventre plat et ferme. ‘’ Imagine un instant qu’il y ait un paquet surprise là-dedans. ‘’ Tu essaies de le dissuader d’aller plus loin, même si ce n’est pas l’envie qui manque de t’unir à lui à nouveau. Il faut profiter de cet instant de lucidité, pendant qu’il en est encore temps, mais lorsqu’il prononce ces quelques paroles révélatrices, il vient de réduire à presque rien, ses chances de s’en sortir indemne. ‘’ Alors stay with me. ‘’ Souffles-tu en relevant le menton de sorte à ce que ton regard azuré croise le sien. Tu le contemples un instant, emmagasinant les traits de son visage parfait dans un coin de ta tête. ‘’ Tu as perdu d’avance. ‘’ Un rictus pervers voit le jour sur ton visage et très vite tu te relève, quittant le confort de ses genoux pour venir t’agenouiller devant lui. Tes doigts glissent le long de ses cuisses, remontant dangereusement jusqu’au haut de son jeans. Tu le fixes, lippe inférieure coincée entre les dents. Tes intentions sont claires. Sans plus attendre, tu fais sauter le bouton de son pantalon et approche ton visage de son bas ventre préalablement dénudé. Tes lèvres brûlantes touchent sa peau que tu parsèmes d’une fine pluie de baisers. Tu le goûte, le savoure éhontément, remontant graduellement ton visage et son t-shirt par la même occasion jusqu’à ce que tu puisses marquer un de ses pectoraux de tes dents. ‘’ hum. ‘’ ton murmure s’accentue une fois que ta main trouve l’objet de ton désir, ce membre que tu caresses au mieux en dépit de cette barrière de tissus toujours présente et plus que gênante.  
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Elle prit mes mains pour les poser sur son ventre, m'invitant à imaginer un instant que nous avions conçu un enfant tous les deux. Je laissais mon esprit vagabonder, m'imaginant déjà participer à ses premiers mots, ses premiers pas... je n'y avais jamais sérieusement réfléchi, mais il était certains que vu mon passé, je serai quoiqu'il arrive un papa poule. Ayant cruellement souffert du fait d'avoir abandonné malgré tout l'amour que mes parents me portaient, je ne souhaitais ça à aucun enfant. Je préfère dire truc, ça rend les choses moins réelles. Je ne me sens pas vraiment prêt à élever un enfant. Je voudrais être capable de lui offrir tout ce que moi je n'ai pas pu avoir étant jeune. Me faudra encore quelques années de dur labeur si tu veux mon avis. Oui l'idée d'avoir des enfants dans l'absolu ne m'effrayait pas outre mesure, mais je voulais être préparé, avoir fait des listes de choses à faire etc... et puis avec Ariel ? Est ce qu'elle en voulait ? Pourquoi est ce qu'on abordait même ce sujet, comme si nous étions en train de faire des plans pour l'avenir... c'était tout sauf normal. Elle me prévînt néanmoins que mon attitude allait sûrement faire renaître en elle cette fougue que j'aimais tant subir. Est ce qu'on ne pouvait pas juste rester là un moment, sans bouger à profiter de l'instant présent ? C'était trop demandé ? Elle était du genre à foncer, j'étais du genre à faire des listes de pour et de contre... et pourtant nous étions bien souvent en osmose. Je sais me retenir de te sauter dessus à la moindre occasion tu sais. Je suis pas un animal. Je me mis à rire légèrement, mettant à mal tous les préjugés qu'on pouvait avoir sur nous les hommes. Comme si en voyant une fille, on était direct en train de bander, à vouloir la lui mettre. Okay on était comme ça il y a plusieurs millénaires, aujourd'hui on était un peu plus civilisés quand même. A ma grande surprise, c'est elle qui avait l'air d'être la plus excitée par la situation. Elle ne cessait de chercher le contact de ma peau et faisait s'hérisser les poils de mon corps sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit. Apparemment toi, t'es pas du tout dans l'optique de vouloir te retenir... Plaisantant à moitié, elle me prit au mot. Se mettant à genoux devant moi, s'activant à m’ôter mon pantalon en me suppliant du regard de la laisser continuer. Un peu pudique sur les bords, je me reculais un peu tout en restant assis sur ma table, le pantalon sur les genoux et mon boxer ne cachant rien de mon excitation. Je tournais la tête frénétiquement de droite à gauche, persuadé que quelqu'un aller nous surprendre à tout instant. T'es malade, et si la personne qui nous a enfermé ici décide de revenir... c'est peut être juste le concierge, je le plains le pauvre. A la fois compatissant et hilare, je ne pouvais m'empêcher d'imaginer sa tête à la vue de celle d'Ariel entre mes jambes. Comment tu veux que je résiste alors que tu as le pouvoir de me castrer d'une seule main... Je lâchais un petit rire inquiet. J'espérais ne pas lui avoir donné des idées avec mes conneries.
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C’est bien connu, tu es ce genre de femme à l’appétit débordant. D’ailleurs, ce petit côté nymphomane qui te colle à la peau, c’est à l’anglais que tu le dois. C’est avec lui que tu as fait tes premières expériences, c’est lui qui a alimenté tes envies, tes désirs un peu plus chaque fois que vous pratiquiez le sport de chambre et à ton grand regret, tu constates qu’à présent, il n’est plus aussi téméraire qu’à l’époque. Sans doute que le problème vient de toi. Tu en veux trop. Qui plus est, la situation n’est pas des plus propices à ce genre de rapprochements. ‘’ Je peux me retenir, mais c’est plus difficile lorsque c’est avec toi, apparemment, c’est un détail qui semble t’échapper. ‘’ Ou peut-être qu’il préférerait que tu ne fasse rien du tout. Tu n’éprouves aucune gêne, aucune pudeur. Tu es du genre vivre et laisser vivre et si on vous a enfermés ici, c’est pour une raison, d’ailleurs, tu as ta petite idée sur l’identité du fautif. Portée par l’envie, tu le libère de son pantalon, tu essaies tant bien que mal de lui faire plaisir.Tu aimerais qu’il puisse te désirer autant que toi tu le désir, mais il faut avouer qu’il ne semble pas trop chaud à l’idée de faire quoi que ce soit de charnel dans cette pièce et la remarque qui suit vient confirmer tes doutes. Tu te redresses sans déloger tes prunelles des siennes. Tu es complètement perdu. Son corps semble réagit plutôt bien à ton contact, mais c’est tout le reste qui le bloque en fait. ‘’ Le plaindre de quoi exactement ? Ça sera sans doute le meilleur porno qui lui aura été donné de voir dans toute sa vie. ‘’ Tu hausses les épaules, toute vérité est bonne à dire. Il reprend et cette fois tu ne peux retenir un petit rire. ‘’ Ça t’éviterait d’croire que t’a foutu une meuf en cloque, c’est un bon point, non ? ‘’ Plutôt que de poursuivre sur ta lancée, tu respectes sa pudeur, quoi que ça t’emmerde royalement de devoir faire ça. En contrepartie, tu le chevauche, reprenant ta place sur ses genoux. Face à lui, tu laisses tes mains remonter le long de sa nuque que tu caresses discrètement du bout de tes doigts. Ton front contre le sien, tu fermes tout simplement les yeux histoire de profiter pleinement de l’avoir juste pour toi. ‘’ Cette position est encore plus louche que la précédente tu sais. ‘’ Souffles-tu. Ce n’est pas toi que ça dérange. ‘’ Je n’aurais jamais dû partir. ‘’ et toi tu n’aurais jamais dû me laisser t’abandonner il y a six ans de cela. C’est avec plein de remords et de regrets dans le coeur, que tu viens déposer quelques baisers le long de sa mâchoire avant de t’attaquer à son lobe, suivi de sa jugulaire que tu mordilles doucement. Juste ça te suffit. Jamais tu oserais exiger quelque chose de lui qu’il ne veut pas t’offrir. ‘’ Qu’est-ce qu’on va faire ? Je… je… maintenant que je t’ai retrouvé, il m’est tout bonnement impossible de te laisser filer entre mes doigts. ‘’ Avoues-tu. ‘’ Je sais que c’est égoïste de ma part… ‘’ Un rire sarcastique caresse ta gorge, tu es pitoyable. ‘’ Tu as besoin de ma folie et j’ai besoin de ton côté calculateur, organisé. Nous sommes complémentaires en tout point, ça paraît évident non ? ‘’ Une ambiance propice à la conversation s’installe graduellement. Tu ne sais pas qui tu cherches à convaincre au fond… mais pour toi tout semble tellement évident… pourquoi Ethan ne semble rien voir du fait que si vos chemins se croisent à nouveau, ça n'a rien d'un hasard? '' T'es trop coincé, faut changé ça '' Tu étouffes un rire,faut bien rire un peu.
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Elle semble ne plus trop savoir sur quel pied danser. Ariel me regarde, puis s'éloigne, puis s'arrange pour conserver un contact, puis s'éloigne à nouveau... bref je sentais que mes doutes se répercutaient inexorablement sur son appétit sexuel. Un peu déçu mais soulagé, j'affichais malgré tout une petite moue boudeuse, comme un enfant à qui on aurait arraché son jouet préféré. Si chaque fois que tu as envie de moi tu me baises le pantalon, on a pas finit de vivre des situations cocasses. Je m'imaginais dans plusieurs lieux bien fréquentés où nous aurions été immédiatement dépêchés vers le premier commissariat pour attentat à la pudeur sans passer par la case départ ou toucher 2 000 euros. En réalité je la sens inquiète. Elle doit sûrement elle aussi se demander où tout cela va nous mener. Et surtout pourquoi mon corps disait oui alors que mes actes disaient non. Ah oui un porno carrément ? faudra aussi que je te sortes des phrases du style, "je suis venu avec ma grosse clé à molette", ou alors "il va falloir déboucher tous les tuyaux de la maison" ? Je m'imaginais assez mal dans le rôle du plombier qui passait voir la femme en mal d'amour à moitié nue dans sa cuisine. Plus beauf tu meurs. Ou alors pour une blague ou une soirée déguisée à la limite. Sa réflexion sur les avantages de ma castration par contre ne me faisait rire qu'à moitié. C'est presque machinalement que je posais ma main contre mon entrejambe afin de le protéger de toute acte agressif. De toute façon Ariel avait décidé de l'ignorer, et bien triste de ne plus être l'objet de son courroux, il était retourné se cacher. Elle finit malgré tout par céder à nouveau et vint me chevaucher ce qui me fit vaciller à moitié. La table était instable, tout comme les sentiments que j'éprouvais à cet instant. Elle commença une fois de plus à venir embêter mes oreilles et taquiner mes lèvres ce qui m'arracha un petit rire. Me laisser filer entre tes doigts ? Tu veux dire que c'est impossible pour toi de me laisser filer entre tes cuisses. Je baissais la tête faisant référence à sa position plus qu'explicite. Malgré tout je sentais bien que ce n'était pas une vanne qu'elle attendait, mais une réelle réponse à ses élucubrations. Tu sais avant aujourd'hui c'était beaucoup plus simple pour moi de t'en vouloir et de te détester. Au moins j'avais une excuse pour arrêter de penser à toi. De penser à nous. Je déposais un léger baiser sur le bout de son nez tandis qu'elle avait posé son front contre le mien. Mes mains étaient venues se poser naturellement sur ses fesses bien fermes qui trônaient fièrement sur mes cuisses. J'ai jamais douté du fait que toi et moi on est complémentaires. Tu me sors de ma zone de confort, et j'en ai clairement besoin parce que comme tu l'as souligné, je suis devenu un vieux con râleur. Je laisser échapper un rire franc et clair car je savais bien que dans la vie de tous les jours j'étais loin d'être le mec le plus facile à vivre du monde... heureusement j'avais toujours mon humour pourri qui me sortait de toutes les situations. Par contre pour revenir à un sujet plus sérieux... toi tu portes même pas de culotte, c'est plus ce que c'était les héritières maintenant. Je resserrais mon étreinte contre ses fesses pour la rapprocher encore un peu de moi. Je venais à peine de réaliser que j'avais toujours mon pantalon sur les genoux et que je discutais en toute tranquillité. C'est dire l'effet qu'elle a sur moi.
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Il revient à la charge avec une petite dose d’humour. Tu te laisse prendre à son jeu, gloussant faiblement à chacune de ses allégations. Ethan et toi partagez la même opinion concernant votre compatibilité et autant avouer que ça te soulage d’un poids qui pèse sur tes frêles épaules. Vous êtes fait l’un pour l’autre, c’est une vérité. Au bout d’un moment, une fois ses mains posées sous ton galbe bien ferme pour te ramener près de lui, la conversation bifurque sur l’absence d’un certain bout de tissus mettant en lumière ton jardin intime fièrement exposé au regard de ton interlocuteur. Un rictus pervers vient étirer tes lèvres tandis que ton regard fixe le sien. ‘’ Il n’y a pas que ça. ‘’ Souffles-tu d’une voix suave avant d’effleurer ses lèvres des tiennes. Dans un soupir, tu te redresse et commence à faire sauter les boutons de ta chemise un à un jusqu’à ce que tu puisses l’ouvrir entièrement. ‘’ Juste pour toi. ‘’ Tu mordilles discrètement ta lippe inférieure alors que tu lui expose ta poitrine dénudée. Tu n’es pas pudique, tu ne l’as jamais été. ‘’ T’as raison, elles ne sont plus ce qu’elle étaient. ‘’ À ces mots, tu attrapes la main du bellâtre que tu viens déposer sur un de tes monts de sorte à ce qu’il puisse le masser doucement. ‘’ Tu vois l’effet que tu me fait ? ‘’ Tu lui souris tendrement tandis que ton bassin commence à onduler contre son entre-jambe. Tu rejettes la tête vers l’arrière, exposant fièrement tes courbes voluptueuse à ton partenaire. Tu es instantanément transporté dans un univers parallèle, comme si vous étiez seuls au monde. Tes mains glissent sous le haut d’Ethan, tu effleures son torse du bout de tes doigts, faisant ainsi grimper le désir à son paroxysme. Tu t’apprêtes à pousser le jeu encore plus, mais un petit bruit venant de la porte te ramène à la réalité. Tu relèves vivement la tête, curieuse et rit de bon coeur en voyant la tête du concierge qui vous fixes, mâchoire décrochée. ‘’ Je crois qu’il est temps pour moi d’y aller. ‘’ Un petit clin d’oeil pour donner de la valeur à tes mots avant de quitter le confort de ses cuisses pour boutonner vulgairement ta chemise. ‘’ Cache ton érection bébé tu veux. ‘’ Tu laisses tes dents effleurer l’objet de ton désir, puis t’empresse d’attraper ton sac à main. ‘’ À plus tard. ‘’ Tu t’avances vers la sortie, offrant ton petit numéro de charme à l’homme chargé de l'entretien ménager et disparaît tel un ange, te mêlant à la horde d’étudiants jusqu’à ce qu’on ne puisse plus distinguer ta silhouette.  
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