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♕ Teodora & Damen ♕
En ce 31 décembre, un ami n'est jamais de trop.
Rien n'allait plus dans ma vie. Et le pire dans tout ça, c'est que j'essayais d'ignorer le fait que ça n'allait pas. Comment? Rien de plus simple pour m'occuper l'esprit que mon fils, celui qui grandissait de jour en jour dans mon ventre. La commande pour la chambre du petit était arrivée, et on peut pas dire que ça m'aidait à aller bien. J'étais consciente que nous étions la veille du jour du nouvel an mais j'aurais bien aimé qu'on me précise que je devais monter moi-même le lit, l'armoire et tout le reste de la chambre. Et lorsque le vendeur me disait ça au téléphone, je m'étais regardé dans la glace, désappointé. Mon ventre était énorme, et déjà que me baisser pour ramasser quelque chose ça mettait une heure alors imaginons comment ça se passait pour moi pour monter un meuble, un seul ça mettrait une semaine, le bébé aurait le temps de sortir de mon bide. Bref, seul point positif de la journée ? Mon Damen, mon préféré. Il me proposait de passer mon 31 décembre avec lui, j'avais terriblement envie de lui dire que oui, je viendrais, oui je voulais passer un moment, c'était la vérité mais en ce moment, j'étais tellement sensible que de penser ne serait-ce qu'une seconde à mes problèmes me faisait fondre en larmes. J'étais loin de la Teodora souriante, pimpante, joyeuse et pleine de vie que l'on pouvait croiser d'habitude. Mais c'était les effets secondaires de la grossesse, ce qui en valait le coup pour accueillir Caleb dans ma vie.
Enfin bon, pour dire que finalement, j'avais dis non. Mais on connait les proches, surtout les amis comme Damen. Les amis ? L'ami qu'était Damen, il était unique pour moi, c'était mon frère, mon meilleur ami, un des hommes de ma vie. Il ne lâchait pas le bout car c'était ce matin de décembre qu'un ami n'est jamais de trop, surtout lorsqu'il venait frapper à votre porte. J'enfournais mon petit plat du jour avant d'aller à l'entrée pour ouvrir après avoir vu à travers l'oeil que c'était lui. Un sourire se dessinait sur mon visage, j'étais tellement contente. A peine j'avais ouvert la porte que je lui sautais dans les bras. « Dameeeeen!! Mio bello, je suis contente de te voir! » C'était même beaucoup mieux qu'au téléphone, vous ne trouvez pas ? Je le tirais à l'intérieur de l'appartement histoire qu'il n'attrape pas froid. J'étais toute excitée, ça me changeait, que je lui retirais sa veste rapidement et je la posais sur le porte manteau avant de revenir dans ses bras. Il y a que ça de bon ! « Tu vas bien ? Toujours motivé à me faire sortir, c'est ça ? » La différence entre l'avoir au téléphone qu'en vrai, c'était qu'en face de moi, je me sentais beaucoup plus à l'aise, et même bien. J'étais contente, personne ne pouvait imaginer à quel point. Sauf peut-être Caleb qui me fit mal soudainement. Je posais ma main sur mon ventre tellement la douleur fut forte. Une contraction comme j'ai pu en avoir depuis quelques jours. Il allait être à terme dans un mois, je ne m'inquiétais pas. Je haussais les épaules en regardant Damen, un peu gênée avant de reposer ma tête sur son épaule.
Enfin bon, pour dire que finalement, j'avais dis non. Mais on connait les proches, surtout les amis comme Damen. Les amis ? L'ami qu'était Damen, il était unique pour moi, c'était mon frère, mon meilleur ami, un des hommes de ma vie. Il ne lâchait pas le bout car c'était ce matin de décembre qu'un ami n'est jamais de trop, surtout lorsqu'il venait frapper à votre porte. J'enfournais mon petit plat du jour avant d'aller à l'entrée pour ouvrir après avoir vu à travers l'oeil que c'était lui. Un sourire se dessinait sur mon visage, j'étais tellement contente. A peine j'avais ouvert la porte que je lui sautais dans les bras. « Dameeeeen!! Mio bello, je suis contente de te voir! » C'était même beaucoup mieux qu'au téléphone, vous ne trouvez pas ? Je le tirais à l'intérieur de l'appartement histoire qu'il n'attrape pas froid. J'étais toute excitée, ça me changeait, que je lui retirais sa veste rapidement et je la posais sur le porte manteau avant de revenir dans ses bras. Il y a que ça de bon ! « Tu vas bien ? Toujours motivé à me faire sortir, c'est ça ? » La différence entre l'avoir au téléphone qu'en vrai, c'était qu'en face de moi, je me sentais beaucoup plus à l'aise, et même bien. J'étais contente, personne ne pouvait imaginer à quel point. Sauf peut-être Caleb qui me fit mal soudainement. Je posais ma main sur mon ventre tellement la douleur fut forte. Une contraction comme j'ai pu en avoir depuis quelques jours. Il allait être à terme dans un mois, je ne m'inquiétais pas. Je haussais les épaules en regardant Damen, un peu gênée avant de reposer ma tête sur son épaule.
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