but we are not rain (taehyun)

@TAEHYUN PARK
la queue du starbucks sont interminable au point ou zora regrette parfois d’être accro au café. parfois elle se dit même qu’elle serai prête à ouvrir son propre café pour ne plus avoir à faire la queue. derrière une bande de débile aussi accro qu’elle. elle aurait attendue sagement si une cretine n’avait pas commencer à doubler dans la fille, le mec devant elle, sur son téléphone n’ayant rien remarquer, elle décide de l’accoster pour lui faire de sa mauvaise humeur matinal. « la conasse devant toi vient de te doubler, tu veux que je la défonce? » et que je prenne un supplément soja dans mon café au lait, car mes nerfs sont a vif. zora aurait pu faire attendre, parce que le beau mâle devant elle n’était pas mal du tout, grand, yeux en amande, châtain, tout ce qui l’aurait fait fondre si il n’était pas 9h passer qu’elle n’était pas en manque de caféine. « salope. » elle bouscule cette pétasse, qui ne manque de se retourner pour lui jeter un regard noir, ça aurai été ranger si elle n’avait pas pris un verre d’eau pour ‘patienter’ verre qu’elle jette sur en direction de zora et de son voisin asiatique. retenez moi j’vais la fumer.

c’est dingue la passion des américains pour le café. j’ai l’impression que le starbucks est toujours bondé peu importe l’heure et qu’il faut forcément attendre vingt minutes avant de pouvoir passer commande. alors comme souvent, j’passe le temps sur mon téléphone, naviguant entre les diverses applications, me coupant du monde. et j’ai soudainement cette tête blonde un peu trop proche de moi qui me fait revenir à la réalité. « pardon ? » le seul truc que j’ai capté, c’est la fin. défoncer qui ? pourquoi ? j’tourne le regard me rendant compte que la personne devant moi n’était pas la même que quelques minutes auparavant mais avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, l’insulte fuse. et c’est un verre d’eau que je reçois à moitié par la suite alors que la furie blonde semble prête à tout faire péter autour d’elle. « sauvage. » j’souffle, range mon téléphone dans mon sac et attrape la dingue par la taille la tirant en arrière. « excusez là, elle a une autorisation de sortie mais.. ça tourne pas rond dans sa tête. » et puisque tu ne fais aucun effort quand j’essaie de te faire sortir de là, j’finis par te porter comme un vulgaire sac à patate sur mon épaule. tant pis pour le café, j’foutrais cinquante cents dans une machine crade à l’université. « t’es calme où j’te garde sur mon épaule ? »