Une discussion s'impose

Oui j'ai fais le con, ça j'assume et je comprend tout à fait qu'elle puisse m'en vouloir, mais si les rôles avaient été inversé et que je me serais mis en couple aussi tôt, elle se serait pas gêner pour me le mettre en pleine tête et elle m'aurait rhabiller pour l'hiver. "C'est ce que j'ai fais, j'ai réglé mes problèmes, loin de toi pour évité de te prendre la tête et surtout de vous mettre toi et les bébés en danger." Je sais pas si elle comprend bien l'enjeu de cette histoire, mais elle est tellement aveuglé par cette colère qu'elle me porte, qu'elle voit rien du tout. Je la lâche lorsqu'elle me l'ordonne et me dis que j'ai eu chaud, parce que sa gifle je l'aurais sentie passé, mais mes réflexes m'ont sauvé la vie pour le coup. Je souffle un coup pour me calmé. Elle à beau me dire n'importe quoi pour moi je prend ça pour une trahison, elle c'est mise trop rapidement en couple, alors qu'elle disait que j'étais l'homme de sa vie. "Je crois que tu as pas compris à qui tu t'adresse. Tu m'appartiens Lya et aucun homme ne t'approchera de loin ou de prêt. De l'instant ou tu es entré dans ma vie et que tu es tombé enceinte de mes enfants, tu es devenue mienne et je t'assure que tu ne ferra pas ta vie avec un autre que moi, soit en sur." Je suis sérieux lorsque je dis ça, aucun mec n'arrivera à faire sa vie avec elle, parce que je serais toujours derrière pour qu'il ne reste pas, Aaron en a déjà fais les frais et j'ai pas bougé le petit doigt, mais s'il avait été un peux résistant, j'aurais tout fait pour l'évincer. Lorsqu'elle tourne les talons pour se rapprocher de la porte, je me redresse du canapé afin de lui courir après. Je l'attrape par le bras afin de la retourne et de la coller dos au mur, je la bloque avec mon corps approchant mes lèvres des siennes. "Quoi que tu dise, quoi que tu fasse, on sera toujours lié et c'est pas ton regard qui dira le contraire. Je te connais par coeur Talya Corleonesi, tu peux pas me mentir, tu peux dire tout ce que tu veux, tu peux essayer de me fuir, mais nous deux c'est trop fusionnelle pour que ça se termine comme ça. Ton souffle court parle pour toi." De mes lèvres je dépose un baisé sur son cou tant dit que ma main droite glisse le long de sa cuisse. "Nous deux c'est pour la vie."

C'est sûr que j'ai pas géré sur ce coup, mais un jour elle comprendra pourquoi j'ai fais ça. Aujourd'hui elle m'en veux beaucoup et pour elle c'est impossible de me pardonner, sauf que je sais très bien que ça sera pas toujours le cas. "C'est vrai tu n'aurai pas du vivre ça toute seule, je comprend ta haine envers moi, c'est justifier, mais aujourd'hui tu n'est plus seule, je suis la et je compte bien rester pour vous trois." Pas sur qu'elle me croit sincère, ça sera à moi de lui prouver le contraire. Je la regarde dans les yeux après ses dires et hausse les épaules. " Tu verras, essaie de te rapprocher d'un mec et tu comprendra de quoi je parle." Elle me connais et sais très bien que je plaisante pas, elle n'arrivera jamais à se remettre en couple tant que je suis dans les parages et que j'aurais décider qu'elle pourra refaire ça vie, alors autant dire jamais. Je ne relève en aucun cas sa remarque sur ce qui nous lie, parce qu'il est clair qu'elle se ment à elle même, son ton de voix est pas du tout convaincant et le faite qu'elle me repousse dans vraiment le faire me confirme les choses. C'est sans problème que je reste contre elle malgré sa tentative de me repousser. Je remonte mes lèvres contre les sienne, ma main droite remonte elle aussi que son entre jambe que je caresse par dessus le tissus de son jean.