Jusqu'au bout de mes rêves. | ft. Daisy

Tu te la jouais un peu avec humour, laissant sous-entendre qu'elle aurait pu appeler une de ses amies et qu'elle se joigne aux festivités. Ce n'était sans plus attendre qu'elle réagissait face à toi et ça te faisait rire. Ne t'inquiète pas, je n'ai pas besoin de plusieurs filles d'un coup. Un nouveau baiser langoureux alors que tu la questionnait quand à ses envies et tu ne t'attendais pas vraiment à cette réponse. Elle aurait pu profiter de tout ce qu'elle voulait, mais pour ce soir elle ne voulait que toi et ça te donnait le sourire. Tu m'as pour toi toute la nuit. Tu laissais alors tes mains prendre possession de son corps par de longues et tendre caresses sur son corps.

Tu n'étais pas vraiment le style à profiter de plusieurs filles, sauf que ton arrivée à Harvard a bouleverser un peu tout ça, cette relation libre n'empêche rien sur ta vie sentimentale, voir sexuelle et tu n'allais pas t'en priver, alors qu'elle non plus. Je sais me satisfaire d'une seule, n'en doute pas. Tu sentais ses mains sur tes joues, ça avait le don de te rassurer et c'était ce qu'il te fallait, même si tu te doutais que demain, elle pourrait très bien être dans les bras, voir même dans le lit d'un autre. Nos baisers tendre devenaient de plus en plus langoureux et tu ne pouvais pas t'empêcher de la repousser pour finir par venir l'enjamber et la bloquer de tout mouvement, serrant ses poignets à l'aide de tes mains, tu venais déposer tes lèvres dans le creux de son cou. Content de te retrouver pour une soirée. Il fallait que tu le lui montre, tu ne pouvais pas rester sagement là, à la regarder dans le blanc des yeux.

Tu ne savais pas encore te satisfaire d'un seule femme pour l'instant, tu n'avais pas encore eu la femme qui te convenait entièrement et t'empêcherait donc d'aller voir à gauche et à droite comme tu le faisais pour l'instant, sauf que tu t'étais arrêter à un couple "libre" avec Daisy et c'était la première fois que tu gérais ce genre de relation, tu ne savais pas vraiment pour combien de temps. Pour l'instant, notre relation me convient, on verra avec le temps ce que ça donne. Tu continuais alors à prendre les choses en main, venant alors de tes lèvres couvrir son cou de petits baisers. La soirée allait être bonne un peu en compagnie de Daisy, ça changerait de passer ses nuits tout seul. J'espère que tu comptais passer la nuit près de moi. Tu la regardais alors droit dans les yeux, attendant une réponse de sa part, cette relation était partie de rien et finalement vous étiez proche, donc tu n'avais pas à t'en faire, pour ce soir elle était tout à toi et tu compterais profiter de sa présence.

C'était comme ça et tu ne voulais sûrement pas te prendre la tête, même si des jalousies pouvaient bien sûr apparaître. Sauf que ce soir tu comptais profiter de sa présence pour la nuit, dans ton lit. Ta place est prête, tu sais bien que c'est avec plaisir. Les baisers tu en profitait, à la fois doux, sensuel et langoureux. Tu croisais alors une nouvelle fois son regard. Viens. Tu la dis décalé de tes jambes pour pouvoir te lever et ensuite saisir sa main, main par laquelle tu la tirais à suivre tes pas, poussant alors la porte de ta chambre pour arriver devant ton lit dans lequel tu ne tardais pas pour t'y plonger. Tu la regardais alors te faire face avec un air sérieux, elle semblait coincer debout à quelques mètres de toi sans pouvoir avancer et ça te donnait le sourire.

Elle s'interrogeait quand à sa place dans tes bras, bien sûr que tu l'accueillerais avec plaisir, les soirées dans les bras l'un de l'autre, c'est ce qui compte beaucoup pour toi, les tendresses et moment à deux comme celui-là sont très important dans un couple. Sauf que pour toi, tu n'étais pas en couple, c'était très compliqué à expliquer ton ressenti vis-à-vis de la situation. Tu le sais bien que mes bras te sont ouvert, tu n'as même pas à le demander. Tu l'avais alors attirer vers ta chambre et ton lit sur lequel tu t'étais jeté sans plus attendre, elle te rejoignait en te grimpant dessus à califourchon et cherchait alors ton regard que tu croisais sans plus attendre. Content de le savoir. Lui dis-tu avec un petit sourire aux lèvres alors que ton regard était toujours croisé avec le sien.