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feel this monster, make it end (arès & caleb)

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Caleb n’était pas le plus doué pour parler sentiment, mais il tentait tant bien que mal d’avancer dans une vie qu’il ne reconnaissait plus. Il s’asseyait à nouveau sur le canapé et finissait sa bière. Il craquait légèrement ses phalanges quand Ares mentionne Roxanne, et surtout sa fille. La situation est bien plus complexe qu’elle n’en a l’air, et Ares n’a pas toutes les cartes en main pour comprendre la difficulté « Tu comprends pas… Je suis son père. Officiellement. Elle porte mon nom, je l’ai adopté, c’est ma fille légalement. Et l’autre enfoiré il... » Il prend sur lui un instant, il fait craquer sa tête sur le côté, il serre les dents et prend sur lui. Il repense à ce soir là où Callum s’est approché de lui dans un parc pour le provoquer. Piètre idée que Roxanne ne lui ait jamais parlé des nombreux championnats de Caleb. « J’ai cassé la gueule au nouveau mec de Roxanne. Bien, bien fracassé. » Puis juste après, il pose la question douloureuse qu’il essaie de ne pas penser au quotidien. Parce que malgré tout, il y Alexis, il y a Cali, mais il y a surtout Roxanne, depuis tant d’années, celle qui reste dans un coin de sa tête, qui d’un claquement de doigt pourrait le faire chavirer, se perdre dans ses yeux et son visage d’ange. Il prend sur lui là, c’est difficile à décrire mais putain, il sent ses poings le démanger et rêverait d’un sac de frappe. Ou d’un nez. Ou d’une pommette saillante. Il se lève à nouveau pour aller à la fenêtre du salon pour prendre un peu l’air, car certaines pulsions commencent à se travailler au fond de son ventre. Mais là, tout de suite, il avait juste besoin d’oxygène. « Elle claque des doigts, je suis à ses pieds, Ares. C’est bien ça le problème. » Il s’assoit sur le rebord de la fenêtre et appuie ses bras aussi, cherchant un équilibre entre la réalité et le désarroi de son chaos personnel. « C’est ma fille. La mienne, à moi, je l’ai vu naître, j’ai vu ses premiers pas, entendu ses premiers mots, changé ses couches, pansés ses plaies, donné le biberon. C’est ma fille. » Il fronçait légèrement les sourcils.

@Ares Raad

ps : tm beaucoup trop
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Les frères du coeur.
Caleb&Ares


Je voyais bien que tu avais du mal avec tout ça, et plus tu m’expliquais et plus je voyais à quel point tu avais de la peine à gérer tout ça, je voulais t’aider, mais pour ça, il fallait absolument que tu me dises tout, que chaque détail me soit prononcé afin que je puisse te tendre ma main comme il se doit. Je te regardais te lever, je m’avançais vers toi en posant ma main sur ton épaule. Geste, que je faisais toujours avant, je n’étais pas quelqu’un qui montrait rapidement les émotions ou sentiments, d’ailleurs, j’avais la plupart aucune expression sur le visage, il me suffisait de soupirer pour faire comprendre certaines choses. Je compressais mes doigts sur ton épaule. Marquant un temps de silence, avant de riposter. « Tu vas réussir. Mais il faut que tu ailles mieux, s’ils te voient comme ça, en plus de savoir que tu as levé la main sur Roxanne, ils vont pas te faire confiance, et ce, malgré l’amour que t’as pour la petite. » je peux pas connaître ça, j’ai jamais eu d’enfant, et je pense que ça m’arrivera jamais, et de plus, j’ai jamais été aimé comme un gosse, alors je t’admirais, et je t’encourageais silencieusement sous ce geste. « Qu’est-ce que tu veux faire ? Comment tu veux procéder pour la garde ? » Parce que je ne connaissais pas les lois, je sais juste qu’à ton niveau, ça allait être difficile d’être à la hauteur. Surtout avec deux parents biologiques, et malgré ce, que tu venais de l’adopté. Je me reculais, croisant les bras contre mon torse en prenant une énième cigarette pour la caler entre mes lèvres, fumer m’aidais. Enfin, normalement, si on regardait les circonstances, je pense que même prendre une cuite ne servirait à rien. Je m’éloignais de toi, pour m’installer sur une chaise en posant mes coudes sur mes genoux. Plus la discussion avançait, et plus on réalisait à quel point nous étions tous les deux embarqués dans une merde pas possible, et je savais qu’en se retrouvant, tout ceci ne pouvait bouger dans un claquement de doigt, mais persuadé que l’un pouvait aider l’autre. Le bout de ma muqueuse passait sur la longueur de mes lèvres. Observant ton profil, avant d’ajouter. « On peut se débrouiller, je suis certain que tu peux t’en sortir, et que je peux aussi m’en sortir. » Faut juste être malin, et on l’est ensemble. .  
AVENGEDINCHAINS

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« J’ai demandé un week-end sur deux, et la moitié des vacances. Evidemment, je compte lui donner une pension par mois pour la petite. C’est ma fille, je ne veux qu’elle manque de rien. » Il craquait ses doigts. Puis, il sentait une angoisse venir du fond de ses entrailles en fermant les yeux pour tenter de s’apaiser. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept. « On arrête d’en parler. » Sinon, il allait hurler, péter un plomb, péter un mur, faire quelque chose pour calmer ses nerfs et ça n’allait pas être beau. Peut-être qu’à la limite, il allait devoir péter le nez d’Alexis, elle encaisserait ses coups, à coup sûr. « Comment t’as fais pour merder comme ça avec ce gamin ? Explique moi un peu plus en détail. » Puis une idée lui vint en tête. Il fronçait les sourcils, pesant le pour et le contre. Il n’avait pas de solution à amener à Ares, plus que celle qui le travaillait. En attendant, il se retrouvait dans la merde et c’était plutôt grave. « Détaille-moi, explique-moi. Je peux peut-être t’aider d’une manière ou d’une autre. C’était qui, ce gamin ? C’était juste une histoire de dose ? Une plainte a été déposé ? » Il se levait pour aller chercher un truc dans le frigo à manger, parce qu’il avait une faim de loup. Il trouvait des œufs et sortait une poêle. Il mettait un peu de beurre et se fit une omelette. « T’en veux une ? » Il rajoutait des œufs, de la ciboulette, un peu de crème et il sortit deux verres pour se servir de l’eau. « J’ai une idée. » Il ne continuait pas à parler. Il voulait d’abord de vraie explication de son frère, quelque chose de bien plus concret que ces miettes qu’il avait bien voulu lui donner.

@Ares Raad
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Les frères du coeur.
Caleb&Ares


Je ne voulais pas en dire plus, sans doute parce que dans le fond, tu savais que j’allais être là pour toi, et inversement, je savais que tu l’étais pour moi. Alors, est-ce que je vais effacer tout ça d’un coup de main ? Absolument pas. Je sais qu’il me faudra du temps, du temps pour accepter le fait que tu m’as oublié durant trois ans, simplement parce que tu avais peur pour ta fille, même si dans un sens, tu as eu raison de le faire. Puis vint le sujet qui fâche, le sujet dont je ne voulais absolument pas aborder, mais c’était un peu pour ça que tu étais là, tu venais m’aider, même si à mon avis, il serait impossible de me sauver à ce niveau. « Il y a eu un gamin, il est venu paniqué, il m’a offert plus de 1000$ pour lui donner un bon paquet de d’héroïne. J’ai pas voulu au début, mais j’ai besoin d’argent, alors j’ai accepté. Et c’est depuis ce moment. » Je prends une pause, passant mes doigts dans mes cheveux, en espérant que tu me trouves une solution. « Hein ? Ah, ouais je veux bien un. » Faut bien manger, surtout si on compte sur le fait que je n’ai rien mangé depuis des jours. En tournant mon regard vers toi, je viens à ton niveau en croisant les bras contre mon torse. « Ils sont arrivés à plusieurs, ils m’ont dit qu’il était mort, et j’ai eu de la chance de m’échapper. Mais clairement, ils vont me retrouver. » Je le savais, puisqu’ils me l’ont prononcé quand je me suis échappé en courant. Je regarde comment tu fais, j’observe tes gestes sans vraiment en tenir compte. Quand tu me dis que tu avais une idée, je repose mon regard vers toi, arquant un sourcil. « Je pense pas qu’une plainte a été déposée. Et je sais pas les détails, mais c’était une overdose, c’est certain. Il avait peut-être quinze ans, j’en sais rien. » Je hausse les épaules, parce qu’effectivement, je ne savais strictement rien. « Je t’écoute ? » La moindre chose pouvait peut-être m’aider, je te regardais du coin de l’œil, avant de me tourner pour sortir deux assiettes et de les poser sur la table à manger, avec des couverts et deux verres. C’était nous ça, manger, parler, c’était un truc qu’on faisait constamment quand on avait des problèmes.  
AVENGEDINCHAINS
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Caleb en profita pour cuisiner un repas, quelque chose de simple et rapide pour qu’ils puissent se remplir l’estomac. Pendant des années Ares s’était occupé de lui comme le grand-frère qu’il n’avait jamais eu, aujoud’hui, c’était autour de Caleb de l’aider dans les démarches qu’il allait accomplir, aussi tordu soit-elles. La tempête de sa vie ne cessait de grossir, et il avait l’impression que le monde était en train de s’écrouler, mais d’épauler Ares allait peut-être lui ouvrir une passerelle vers les chemins du paradis. « Viens vivre chez moi. » Il espérait qu’il accepte. Il voulait qu’il accepte. Au moins, chez lui, personne ne savait où c’était et Ares serait protégé. C’était peut-être soudain, mais au moins il y avait ce sentiment de quiétude qui émanerait de ces deux hommes qui tenteraient de se reconstruire. Et même si Caleb avait encore des démons à exorciser de son côté, il allait de soi qu’Ares était bien plus important et qu’il n’allait pas, plus, le laisser tomber. Il finit par retourner l’omelette qu’il glissa dans une assiette, il y planta une fourchette et il tendit tout ça à Ares, il s’assit juste en face et commença à manger. « T’aurais un toit sûr, sur la tête, t’aurais pas à t’inquiéter de quoique ce soit. Putain, faut que tu te démerdes à t’en sortir, Ares, j’veux t’aider. » Et il insistait vraiment. Tout dans sa posture insistait pour que ça fonctionne.

@Ares Raad
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Les frères du coeur.
Caleb&Ares


Je te regardais venir près de ma personne, déposant les assiettes face à face. Je voulais pas entendre le fait d’arrêter de vendre, ou de me mettre dans un boulot honnête, je peux pas, j’ai trop de merdes sur les épaules, je peux pas balancer les choses comme ça. Mais quand tu me dis d’habiter chez toi, j’écarquille des yeux. Tu étais un véritable frère, tu savais comment faire, tu savais que tu pouvais m’aider, et tu ne flanchais pas. Je t’écoutais attentivement parler, je sais qu’au fond, tu avais raison, il fallait que je me taille d’ici, il fallait que je réussisse à me tirer de cet endroit. Je creusais mes joues de l’intérieur, mâchouillant ma peau au point de me faire saigner. « J’sais pas si c’est une bonne idée. Pas avec la drogue, pas avec les trucs que je fais. Tu me cacherais ? Et l’argent ? Tu voudrais avoir de l’argent sale ? » Sans parler du fait, que je ne pouvais pas te payer un loyer, pas un appartement comme le tien, je secouais la tête de gauche à droite en mangeant le contenu de mon plat. « Mais, je veux bien venir quelques jours, histoire de disparaître d’ici, si d’un coup ils viennent chercher. Mais, tu sais très bien que je ne pourrais pas te payer un loyer, pas maintenant. » Est-ce que je dois te parler du Cartel ? De ce monde qui m’a englouti en étant jeune ? J’ai envie de tout te dire, de tout t’expliquer, de te dire que quand j’avais de l’argent à l’époque c’était grâce à eux, et que maintenant, j’avais un nom. Et il me collait à la peau. « Ca te manque pas ? Quand on était putain de petits, qu’on allait dehors, que tu te faisais emmerder par les gars du quartier, et que je venais t’en foutre une pour que tu te débrouilles ? Pis regarde toi, maintenant c’est toi qui m’aides. » Je souris , sans doute un peu de nostalgique. Tu avais aussi connu mon frère, et sa disparition si soudaine, et tu avais été pour moi, le frère, le frère que je voulais, celui pour qui, même encore aujourd’hui, je déplacerais des montagnes.
AVENGEDINCHAINS
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Ce n’était pas comme si Ares était un inconnu. Bien au contraire, parce que Caleb, intérieurement, il se jurait de le protéger désormais, et de faire passer sa famille de cœur au-dessus de sa famille de sang, qui elle, n’était pas spécialement présente pour lui. Ares serait désormais bien au-delà, et il allait l’aider à s’en sortir, tant pis s’il se connaissait la gueule, Caleb ou Ares. « Bien sûr que j’te cacherais. Arrête de dire de la merde. » C’était facile, en fait. Pas besoin de tergiverser des heures, sa décision était prise, et si Ares avait besoin d’aide, il lui offrirait tout ce dont il avait en sa misérable possession. « Un loyer ? Tu parles de quoi là Ares ? M’en bas les couilles de l’argent. » Il secouait la tête en levant les yeux au ciel. Comme si Caleb allait laisser cela arriver. Il en était à un point où un peu plus ou un peu moins, c’était la même chose. Il finissait sa bière, tout en mangeant un bout de son omelette qui venait de refroidir, et il frottait ses mains l’une contre l’autre avant de déguster. Puis il leva la tête, la bouche pleine quand Ares évoqua le passé. Ces fois où Ares ne tapait pas sur les harceleurs de Caleb, mais sur ce dernier pour lui montrer qu’il pouvait aussi en donner. C’était peut-être mal foutu, mais c’était grâce à ce frère qu’il avait pu se sortir les doigts du cul et se battre pour tout ce qu’il désirait. « C’est toi qui m’a donné mes premiers bleus ! » dit-il en riant, le gosier rempli d’œufs cuits. « J’me rappelle surtout la fois où j’ai voulu traverser la rivière avec la corde et où j’suis tombé sur la pierre qui m’a ouvert la fesse, que t’as du me trainer jusqu’à la baraque sans réveiller mes parents et j’avais le cul en sang ! » Et il rit un peu plus. Et ca lui faisait un bien fou, mon dieu.

@Ares Raad
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Caleb&Ares


On a toujours été des frères et ce, malgré tout. J’ai beau te repousser, clairement je peux pas le faire éternellement. Je sais que tu regrettes le fait qu’on se soit éloignés, alors à quoi ça servirait que je devienne davantage désagréable ? Je fronce les sourcils, haussant les épaules, je n’allais pas rétorquer encore plus, puisque tu voulais à l’évidence que je dorme chez toi. Et heureusement que tu me faisais pas payer pour le coup. Ca n’a jamais été une question d’argent toi et moi, et c’est ça, le plus dingue d’entre nous. Je ricanais, levant les yeux au ciel, je me souvenais des nombreux moment où on se foutait sur la gueule pour que l’autre apprenne à se défendre. Je te regardais, un sourire aux lèvres. « Clairement. Putain, quand je pense que maintenant je suis certain que tu me mets KO. » On fait tous les deux de la boxe, mais tu restes le plus violent. Même si ce n’était pas franchement quelque chose de bien, je savais que tu avais évolué, que tu avais énormément changé. « Fallait bien que je t’en colle une ou deux pour que tu comprennes que tu peux aussi en foutre. Et c’était marrant quand même, cette fois sur la pierre. J’avais jamais vu quelqu’un qui pissait du sang de la fesse. » Je mangeais, putain, j’avais tellement faim. Je mangeais la quantité de mon assiette en posant mon regard attentif sur toi. Ca faisait du bien, ouais, ça faisait du bien de te revoir, de voir à quel point malgré tout, on pouvait franchement se retrouver. Que c’était saint, que c’était nous. Que même si on se foutait sur la gueule, l’autre il ne bougeait pas. Et il bougera plus jamais. « Je vais faire mon sac. » Je me lève, je vais mettre l’assiette dans le levier, tout en te tournant le dos. « Merci. » Merci pour ça, merci pour l’accueil. Avant, c’était moi qui t’aidait, mais maintenant c’est tout l’inverse. Mais dans le fond, tu restes mon frère, tu restes celui pour qui je pourrais violenter pour te protéger.
AVENGEDINCHAINS
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Ares. Ou l’homme le plus important de s vie. Il y avait eu tellement de tension par le passé qu’aujourd’hui, tout semblait futile pour l’amour qu’il éprouvait à son égard, et jamais il ne pourrait le laisser tomber. Ares, c’était son meilleur ami, son frère, son père, son mentor. Il était tout pour lui, et il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour le porter à bout de bras et l’aider. Caleb s’esclaffait, rire franc quant à la mention du fait qu’il était capable de mettre Ares à terre. « C’est toi qui m’a poussé à faire de la boxe en club. » Et grâce à lui qu’il avait ces ceintures qui trônaient au-dessus de son lit, résultat de ses nombreuses victoires. Si son frère ne l’avait pas poussé à développer cette rage dans un sport qui pouvait contenir sa violence, il n’en serait pas là, multiple champion catégorie poids lourd. Celui au premier rang de ses combats, celui qui lui nettoyait le front quand il pissait le sang après un mauvais coup, son premier supporter et coach. Ares était tout à la fois. Aujourd’hui, il lui rendrait hommage par son implication à ses côtés, promis, juré. A la mort. « J’ai encore la cicatrice au cul, tu veux voir ? » Et il rit un peu plus, amusé. Et putain que ça faisait du bien cette hormone du rire qui traversait son corps, cette légèreté. Ares dévorait son assiette quand Caleb en faisait de même, affamés comme deux chiens laissés pour compte dans une maison à l’abandon et Ares se levait pour faire son sac, comme il lui dit directement. Et un remerciement. Caleb secouait la tête. Pas de merci, c’était naturel. « Me remercie pas. » Il récupérait la vaisselle pour laisser Ares faire son sac et poser tout dans l’évier, faire la vaisselle aussi, et aérer la pièce qui puait l’œuf cuit.

@ares raad
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Je me suis toujours dit une chose, c’est que nous avions jamais eu une vie facile, et que même maintenant on en bave. Mais dans le fond, ça me rassurais. Ca me faisais du bien de me voir que tu étais à nouveau présent, et surtout, tu pouvais sentir que je ne t’en voulais pas. Peut-être que tu as eu raison, ouais, j’en sais rien. Peut-être que tu as eu raison de t’éloigner, de dire que je n’étais pas fait pour apprendre à connaître l’enfant. Et même si je le voulais, je ne pouvais pas te le montrer, parce que j’en sais rien dans le fond. Je ne sais même pas si je suis fait pour quoique ce soit. Je vais faire mon sac, je fourre un peu de tout, juste de quoi faire pour quelques jours et disparaître du maps. Je reviens vite, prenant brosse à dent, et tout le bordel. Après tout, je savais que je n’allais pas rester longtemps, j’ai besoin de mon confort de merde, et surtout, j’ai pas envie de m’imposer dans ta vie, pas comme ça. Et j’espérais que tu ne m’envoies pas en pleine gueule les fois que je t’ai aidé, parce que c’est pas pareil. T’es mon frère, t’es absolument tout pour moi. « On y va ? Faut pas trop traîner dans les rues, faut vraiment que personne me voit. » Je parle aussi des gars qui bossent pour moi, je parle de n’importe qui. Faut pas qu’on puisse me voir, pas maintenant, pas quand on me cherche pour me fracasser la gueule contre un trottoir. Je te pousse un coup, comme deux putains d’adolescents alors que je te donne une petite tape au niveau de ton crâne. « Aller du con, c’est pas le moment de trainer. » Je prends le reste, mon téléphone en répondant aux messages tout en le verrouillant ensuite. Je te suivais de près, ajustant ma capuche sur mon crâne, baissant le visage, priant de ne pas me faire remarquer. Pas maintenant.
AVENGEDINCHAINS
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