Oxana Petrov ► Alexandra Burimova

Oxana Petrov

feat. Alexandra Burimova

ID CARD

31 DÉCEMBRE 1992
MOSCOU
25 ANS
RUSSE
BISEXUELLE
CÉLIBATAIRE
NORMAL
ART PLASTIQUE
ART VISUELS
VIDÉASTE/PHOTOGRAPHE
BOURSIER

ADMISSION

TON ADMISSION À HARVARD - Harvard a été une sorte d’évidence. Oxana voulait sincèrement s’en sortir, donner un avenir à son enfant. Et puis faut bien avouer que la réputation de l’université n’est plus à refaire. Étudier à l’étranger était un rêve, un rêve qu’elle s'est donnée les moyens de vivre. Elle a passé les SAT avec une certaines facilité, une facilité que l’on pourrait juger déconcertante pour certains. Mais elle a travaillé pour ça. Ce qui a fait toute la différence, son honnête et son envie d’avancer. Je pourrais vous dire que sa personnalité à fait le reste, mais je pense que c’est sa capacité à ce relevé de ce qu’elle vécut qui a convaincu.

MAISON OU NON ?

Si elle a préféré privilégier la vie en ville plutôt qu’une vie d’étudiante, c’est simplement parce que son rôle de maman est plus important. Elle a appris très jeune à faire les choix qu’il faut pour l’être qu’elle a mis au monde. Parce que lorsque l’on devient mère a, à peine quinze ans, on apprend vite ce que responsabilité veut dire. Elle assume parfaitement ce choix d’être devenue une maman, même si cela l’a privée de beaucoup de choses. STUDENT

Oxana est ce que l’on peu appelé une femme-enfant. Facilement émerveillée, imaginative, créative, sensible, remplie de tendresse. C’est une maman cool, drôle et pétillante. Elle a gardé son âme d’enfant, soupe au lait et rancunière. Elle est assez vive, maladroite et possessive. Elle a tendance à garder ce qu’elle ressent pour elle, bien à l’abri de ce que les autres pensent (parce que l’avis des autres la touche beaucoup, même si elle ne le montre pas). Oxana se remet souvent en question, est susceptible et têtue. C’est une entêtée, déterminée qui croit en à peu près tout ce que l’ont peu croire. Elle est jalouse, très intelligente, spontanée et vraie. Elle est Persévérante, méfiante de par ce qu’elle a vécu elle ne donner que rarement sa confiance aux gens. Mais elle est aussi très attachante.

PersévéranteMéfianteAttachanteIntelligenteCréativeBattante

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle votre Tonks et j'ai 27 ans déjà. Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à forum de pub. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire Oxana Petrov(+ Student). J'utilise Alexandra Burimova comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par @Libile. Je fais environ 300 à 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
 je veux être parrainé si oui, par Leonora G. Cunningham (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8920]☆[/url] ☆ <span class="pris">ALEXANDRA BURIMOVA</span> ◊ “ Oxana Petrov ”[/size]

(Invité)

STORY OF MY LIFE

please tell us more

« Tu sais ce que l’on dit, on peut sortir l’enfant de la rue, mais jamais la rue du cœur de l’enfant. C’est ce qui s’est passé pour ma mère. Elle a reproduit ce qu’elle avait vécu, et n’a jamais vraiment quitté ou oublié ce qu’elle avait subi. Elle a été vendue très jeune au trafic d’êtres humains, c’est comme ça en Russie. Elle avait treize ans lorsque ses parents l’ont vendue pour de l’argent. À seize ans elle ses retrouvée dans la rue, prostituée comme tant d’autres. Elle n’a pas vécu la chance qui lui a été offerte de la bonne façon voilà tout. Lorsqu’elle a eu dix-huit ans, mon père la sortit de la rue. Un policier au bon cœur, de qui elle est tombée amoureuse. Il était devenu veuf, très jeune et n’avait jamais envisagé de se remarier avant de rencontrer ma mère. »

« C’est une belle histoire. Pourquoi as-tu si peur de lui raconter d’où il vient. Il a le droit de savoir. Il a l’âge de comprendre, tu sais, il faut que tu arrêtes de le surprotéger. »

« Tu ne comprends pas ce n’est pas une belle histoire. Ma mère est une toxicomane qui n’a jamais réussi à se sortir des dégâts que la drogue peut causer. Malgré de nombreuses tentatives en centre de désintoxication. La seule fois où elle a vraiment tout arrêté pour vivre une vie normale, c’était pendant sa grossesse, lorsqu’elle m’attendait. Aussi, non, elle n’a jamais pu s’empêcher de replonger encore et encore. Elle-même a été jusqu’à recommencer à se prostituer par habitude après ma naissance. Ma mère est et a toujours été une fille paumée. »

« Ok, l’histoire d’amour de tes parents n’est pas des plus facilement explicable à un enfant d’une dizaine d’années. Mais ton histoire, il a le droit de la connaître. D’où tu viens, ce que tu as vécu, la vie que tu as choisie pour lui. Son père… »

« Mon histoire n’est pas plus glorieuse que celle de ma mère. Une fois que j’ai eu atteint l’âge de dix ans, elle m’a vendu à un groupe de trafic d’êtres humains pour pouvoir avoir de l’argent pour se payer une dose. Mon père était en service, il n'est rentré que le lendemain matin. Il était déjà trop tard, j’avais quitté le pays dans un de leurs camions répugnants. Mon père passait tout son temps libre et ses jours de congé à enquêter. Pour terminer par ne plus faire que ça de ses journées. Il a démantelé tout un tas de groupes de prostitutions, de trafic d’êtres humains sans trouver celui où je me trouvais. Au bout de trois ans, je suis revenue en Russie comme j’y étais partie. La chance que j’ai eue, c’est que j’étais trop jeune pour faire le trottoir et trop vieille pour les pédophiles. Au moment où le camion est arrivé en Russie toute une armada de flics leur son tombé dessus. Mon père en faisait partie. Après ça, j’ai été vivre chez mon parrain, le frère de mon père, en Lettonie. Mon père m’y a envoyé pour me protéger de ma mère.»

« Tu es sérieuse !? Pourquoi tu n'en as jamais parlé ? C’est horrible. Et quoi la suite, vas y maintenant, je veux savoir ! »

« Le père d’Alexeï était issu d’une famille reconnu dans le monde équin. En fait, mon parrain travaillait pour son père en Lettonie. J’avais quatorze ans lorsque nous sommes tombés amoureux. Cela s’est fait simplement, comme une caresse. Je suis tombée enceinte à peu près un an après. En fait, on n’était que très peu souvent ensemble, Malaki jonglait entre ses voyages, la Russie et nous qui nous trouvait en Lettonie. Notre histoire était prédestinée à mal finir. Un beau désastre comme on dit. Il n’a jamais su que j’étais enceinte, en fait, j’ai appris ma grossesse quelques semaines après qu’il n’ait plus rien à sauver. Voilà d’où vient Alexeï. Il est issu d’un beau désastre, d’un amour d’adolescent. »

« Tu n’as jamais plus eu de nouvelle de lui ? Et quoi ton arrivée ici, la suite aller ! »

« Non, pour te dire la vérité, une fois que j’ai appris ma grossesse j’ai tout fait pour l’éviter. Il était du genre à fuir ses propres sentiments, ce qui m’a clairement facilité la tâche. Harvard était le rêve de Jana, la femme de mon parrain, qui n’a jamais eu la chance d’y aller. N’ayant pas eu d’enfant, elle a économisé pendant des années pour que je puisse avoir la chance d’y aller. Arrivée ici, sa sœur m’a trouvé un emploi, un appartement avec un proprio plus que sympa. Elle s’adaptait même à mes horaires, le temps que je trouve mon rythme. »

(Invité)