Harvard semblait, depuis que j'étais petit, une évidence pour mes études supérieures. Mes deux frères étant passés par là avant moi et ayant brillamment réussi la question ne s'est vraiment pas posée dans ma famille, c'était Harvard ou rien. Quand j'ai du remplir mon dossier d'inscription il y a de ça quelques mois, je n'y croyais pas vraiment. Pour moi c'était une étape particulièrement importante de ma vie et de ma future carrière. Comme beaucoup d'autres j'aspire à ce que Harvard m'offre un avenir glorieux. Alors dans mes dernières années de lycées j'ai tout donner pour avoir les meilleurs notes possibles et obtenir mes Sats. En parallèle de mon acharnement aux études, je faisais mes entrainements de Hockey avec l'équipe de mon lycée. J'avais des journées très chargées mais j'ai obtenu d'excellents résultats aux SATs et certains sponsors sportifs commençaient déjà à me proposer certains contrats. J'ai pu ainsi montrer toute ma détermination lors de la rédaction de mon Essay où j'ai parfaitement exprimé mes ambitions et mon envie de percer dans une carrière sportive. mon oral quant à lui les a définitivement convaincu puisque en aout j'ai reçu la tant attendu lettre d'admission. C'était vraiment une joie immense que j'ai pu partager avec certains de mes plus proches amis qui y allaient aussi.
MAISON OU NON ?
Winthrop House - Cette maison est celle dans laquelle mes deux grands frères sont passés, ils m'ont raconté de ces trucs... Ils m'ont expliqué qu'il y avait un bizutage au début, je ne sais pas exactement en quoi ça va consister mais je suis prêt à relever le défi. Rien n'est trop difficile pour un Ferguson. En tout cas, tout ce que cette maison revendique j'y crois dur comme fer, l'esprit d’équipe ça me connait et la plupart de mes camarades au hockey sont dans cette fraternité alors pourquoi pas moi ? Je suis prêt à tout donner pour mes amis et en plus j'adore faire la fête et il me semble que cette maison n'est pas la dernière pour s'amuser. Appartenir à un groupe est essentiel dans une université comme Harvard, les guerres de clans m'attirent et je suis sur de me sentir à ma place avec la Winthrop House.
Milo est un être secret et passionné capable de faire changer d'opinion les autres avec facilité, tant il peut être persuasif. S'il est à la fois émotif et actif, il est aussi obstiné et sérieux pouvant même devenir ennuyeux. Milo possède une grande confiance en lui, qu'il doit tempérer pour ne pas tomber dans l'excès. Il sait très bien se servir de lui, de son monde intérieur et des autres pour arriver à ses fins, mais il est aussi capable de tout sacrifier pour une cause qu'il estime juste. Si cette moralité entrave la liberté d'action de Milo, et bien il est capable de la mettre de côté. Il déteste être « ligoté » par des interdits ou des principes et est donc méfiants vis-à-vis de certaines croyances. Un plissement d'oeil, un sourire en coin : Milo a saisi sa proie. C'est que Milo est un fin limier grâce à une forte intuition et une sensibilité évidente.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle zaza et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à PRD. J'adore le contexte, le graphisme, l'accueil bre tout quoi :yay: alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Charlie Winzar comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Skizophrenic. Je fais environ 600 à 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je suis né le 11 mars 2000 à Boston de l'union de Karine et John Ferguson. Mon père, un brillant créancier, a réussi sa carrière et nous a permis de vivre toute notre vie décemment. Ma mère quant à elle avocate a, elle aussi, largement brillé et gagnait également très bien sa vie. Nous n'avions pas des parents très présents au final, l'un étant tous le temps en rendez-vous à l'autre bout du pays pour attraper des nouveaux poissons et l'autre se trouvant entre le tribunal et le cabinet. Je dis "nous" car nous sommes une fratrie de trois garçons. L'ainé, Nicolas, a aujourd'hui 33 ans, il est banquier. Mon second frère Julian a lui 28 ans, il a finit ses études en marketing et aujourd'hui il cherche du travail. Il n'a pas trop envie je pense.
Dès notre plus jeune âge, notre père nous a mis à faire du sport. Mes deux frères n'avaient pas véritablement accroché. Ils sont très fainéants et préfèrent largement faire la fête avec des copines que de s'entrainer. En revanche, j'ai pu faire la fierté de mon paternel en ayant la fibre du hockey sur glace. J'ai appris à patiner avant de savoir vraiment marcher. Mon père était un grand hockeyeur aussi étant jeune. Il avait d'ailleurs fait le même parcours que moi jusqu'à présent. Blessé à l'âge de 23 ans, fin de son cycle d'étude, il a du dire adieu à sa carrière de sportif professionnel. Il était une de mes plus grandes inspirations et un de mes plus grands fans aussi. Ma mère, elle m'a toujours suivie partout où j'allais, je l'appelais "Coach" de temps en temps pour la taquiner. C'est de loin mon admiratrice préférée. Mes frères quant à eux viennent de temps me voir jouer mais une fois encore, ce n'est pas leur truc.
ENFANCE DE 0 A 11 ans
Mon enfance a été superposée entre les absences de mes parents et la présence constante d’une nounou à la maison. Notre maison, parlons en. Il s’agit d’une maison de ville très typique dans les beaux-quartiers de Boston. Les pierres rouges et les volets noirs. C’était une maison que mes parents avaient acheté en sachant que de nombreuses rénovations étaient à prévoir. Mais le quartier et la maison en elle même les avait charmé, un vrai coup de cœur. Bien sur les travaux étaient omniprésents durant quelques temps. Nous nous amusions mes frères et moi à faire des blagues aux artisans sur place pendant que nos parents n’étaient pas là ou que la nourrice tournait le dos. Je me souviens d’un jour où Nicolas avait renversé un pot de peinture sur la moquette. Le peintre avait dû se justifier auprès de nos parents, n’osant pas accuser mon frère de peur de voir sa facture diminuée. Cette scène était extrêmement drôle. J’étais encore petit à cette époque mais j’en garde quelques souvenirs intacts.
L’enfance a été pour moi bercée par des moments de joie intense, je n’en garde vraiment aucun mauvais souvenir, à part bien sur les petites saletés que mes frères me faisaient subir au quotidien. Ils étaient très inventifs. Ils m’enfermaient dans les toilettes, me faisaient croire à un cache-cache sans même essayer de me trouver, me laissant dans un placard ou sous ma couette durant de longues minutes. Mon frère Julian était un spécialiste pour faire le mur. Ayant une assez grande différence d’âge avec lui, il considérait que je pouvais les charmer avec mon regard enfantin. Les dissimulation de son absence étaient à base de grande peluche dans le lit avec une perruque et même des bruits enregistrés de ses propres ronflements. Le pire dans tout ça c’est que ça marchait. Sauf une fois... Ma mère a du sentir que mon frère n’était plus là, l’instinct maternelle. Alors que je dormais et que mon grand frère Nicolas n’était pas là, ma mère vint me réveiller pour me demander où était Julian. Abasourdie, je ne voulais tout de même pas cracher le morceau. Ma mère très agacée me dit alors de monter avec elle dans la voiture pour aller chercher mon frère qui était avec sa copine ce soir là. Elle savait que mon frère avait une copine et elle savait aussi où elle habitait et bien entendu, il était avec elle c'était évident. Nous sommes donc allés chez elle alors que j’étais en pyjama, doudou dans les bras. La mère de sa copine ouvrit et fut décontenancée d’apprendre que le jeune homme n’avait pas l’autorisation d’aller chez elle ce soir. La jeune fille en prit pour son grade, plaidant qu’elle n’était pas au courant. Quant à mon frère, il assuma complètement et fut privé de nombreuses sorties. Depuis ce jour, mon frère n’a plus jamais recommencé.
Ma scolarité jusqu’à mes 11 ans fut très réussi, l’école dans laquelle j’étais été très réputée pour ses excellents résultats scolaires. J’eus la félicitations de tous mes instituteurs et de mes parents. Côté hockey, je réussissais brillamment également. D’abord en pointe, mon vrai potentiel ressortait lorsque le coach me mettait sur les ailes, j’avais un coup de patins très incisif déjà à l'époque et il n'a fait qu’évoluer depuis. Mon père posait beaucoup d'espoirs en moi, il voyait que je sortais du lot, j'étais déjà un grand passionné de mon sport. Lors de ma scolarité, il a d'ailleurs tout fait pour faire faire un planning bien spécifique afin que je puisse m'entrainer un maximum sans être trop fatigué. Ce n'était pas au gout de tous les instituteurs mais les pots-de-vin étaient si intéressants que le Directeur de l'école ne pouvait pas refuser. Tout cela je l'ignorais bien sur à l’époque. C'était des histoires entre adultes, quand mon père passait un peu trop de temps dans le bureau du Directeur alors que j'attendais sur une chaise devant cette grande porte en bois, je ne savais pas ce qu'il se disait ou se faisait en douce. Et quand je posais des questions, mon père me disait la fameuse phrase du "Tu comprendras plus tard mon fils.".
ADOLESCENCE DE 12 ANS A 18 ANS
C'est à mes 14 ans que j'ai commencé à comprendre ce qu'il se tramait entre mon père et le Directeur de mon école. Un soir, alors que je rentrais de l'entrainement. J'étais sans doute rentré en toute discrétion sans m'en apercevoir, et alors que je montais à l’étage pour rejoindre ma chambre, mon père était dans la salle de bain en train de téléphoner, le haut-parleur allumé. « Tu n'auras rien de plus Chris. Je te le dis, tu n'auras rien de plus. » Lançait mon père. Est-il avec un client ? La voix grésillante dans le téléphone répondit « Tu sais quoi, ce n’est pas grave. C'est dommage ton fils est doué et tu vas tout gâcher à cause du fric. » Je pus reconnaitre le ton de la voix, il s'agissait de mon Directeur d’école. Je ne voulais pas comprendre ce qu'il était en train de se passer. Mon père payait le Directeur par rapport moi mais je ne savais pas exactement pour quoi. « Chris, je te fais une rallonge si tu acceptes que Milo soit absent la journée du vendredi. » un silence s’installa quelques secondes. « Combien ? » Mon père répondit aussitôt « 2000. » « Fais un effort, je sais que tu peux faire mieux. Sachant que Milo et ta femme ne sont pas au courant… Ce serait vraiment dommage qu’ils le soient tu ne crois pas ? » Mon père se mit à faire les cents pas dans la salle de bain. Je me cachais un peu plus pour ne pas qu’il voit ma présence. Je n’y croyais pas. Il s’agissait de pots-de-vin tranquillement versés à mon Directeur pour que je puisse avoir des horaires aménagés ? C’est ça la vraie vie ? Tout n’est qu’une question d’argent ? La colère montait en moi. Je me canalisais pour écouter la suite, les poings et les dents serrés. « 5000. C’est ma dernière offre. Tu n’auras pas un centime de plus. » « C’est d’accord. J’accepte ton offre. Rendez-vous demain à 14h dans mon bureau et emmène ton fils, qu’on puisse lui annoncer la bonne nouvelle. N’oublie pas mon enveloppe. Bonne soirée. » Mon père raccrocha et souffla fortement lâchant un « Putain… » Je rentrais alors dans ma chambre en claquant la porte. Je verrouillais le loquet, entendant mon père s’approcher de la porte. « Chéri ? Qu’est ce qui t’arrives ? » Je ne disais rien, tapant contre mon oreiller de rage. Il tenta d’ouvrir la porte sans succès. « Eh ! Milo ! Ouvre ! » « DEGAGE ! T’es qu’un connard en fait ! » « Mais de quoi tu parles enfin ! Je… » Un silence interrogateur me fit comprendre que mon père commençait à réaliser que j’avais entendu toute sa conversation. « Milo… » « Va-t’en ! Menteur ! Manipulateur ! » Criais-je. Ma mère ne tarda pas à monter à l’étage après avoir entendu mes cris. « Hey ! Qu’est-ce qu’il se passe ici ? » Disait-elle. « Demande à papa ! » disais-je à mon tour. Mon père devait être surement très gêné à ce moment-là devant sa femme. « Rien, je ne sais pas ce qu’il lui prend. » répondait-il alors doucement pour ne pas que je l’entende. Je ne dis alors plus rien. Beaucoup trop énervé. Je déverrouillais finalement le loquet de ma porte et descendis en furie vers la porte d’entrée avant de sortir en claquant de nouveau la porte. J’attrapais mon vélo et partis, je ne savais pas où j’allais mais peu m’importait.
Cette conversation je n'aurais jamais dû l’entendre, à partir de ce jour, mon père devint mon ennemi. Je ne lui adressais plus la parole, même pas pour un bonjour. Il venait me voir aux entrainements et je l'ignorais ou lui lançais des regards noirs, pleins de haine. Ma mère se posait des questions mais mon père devait surement lui racontait des gros baratins. Il a l'habitude sans doute. J'avais abandonné les cours, séchant très régulièrement. J'avais été de nombreuses convoqués dans le bureau de ce Directeur, aussi vil que vénale. Il me disait que si je continuais j'allais être viré, qu'heureusement que mon père était là pour éviter que j'ai des sanctions trop lourdes etc. J'avais décidé de ne pas tenir compte de ces avertissements, continuant à lâcher les cours. Le hockey était devenu toute ma vie, j'en avais plus rien à faire de tout le reste. A part ma mère et mes frères toute ma vie se résumée à m'entrainer encore et encore, lâchant dans les palets ma rage grandissante et perpétuelle contre mon père. En parallèle de ça, je faisais énormément le mur, partant en soirée avec mes amis de l’époque, profitant de l'alcool et de la drogue qui fusaient lors des fêtes. J'étais par ailleurs devenu accroc à la cocaïne, prenant 1 à 2 grammes par jour, mais j'assurai à l'entrainement alors mes coachs ne m'ont jamais rien dit.
Puis, arrivé à l'âge de 16 ans, je fus viré de mon lycée. Ma mère était décontenancée, ne sachant pas quoi faire. Quelques jours après avoir appris cette nouvelle, elle vint à mon chevet alors que j'étais censé dormir. En réalité, je faisais semblant pour pouvoir sortir ensuite. Je la sentais s'approcher du lit et s'asseoir à mes côtés. Elle me caressait doucement ma chevelure, comme au bon vieux temps. Puis elle dit doucement ma chevelure, comme au bon vieux temps. Puis elle dit doucement « Qu’est-ce qu’il t’arrive mon petit Milo, personne ne te reconnait, ta propre mère ne te reconnait pas. Je ne sais pas quoi faire… Je suis perdue. Ton père me dit que ça va, mais je vois bien que ça ne va pas. Ca fait presque deux ans maintenant que tu n’es plus le même. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Je m’en veux tellement, je ne suis pas une assez bonne mère pour comprendre tout ça… » Un silence s’échappa. Ma mère renifla. Elle commençait à doucement pleurer. « Je ne comprends pas… Je ne comprends pas… Qu’est-ce que je peux faire pour t’aider ? J’aimerai tellement que tu redeviennes le petit Milo que tu étais. Gentil, attentionné, doux. » Au fond de moi, je ressentais une profonde tristesse. J’avais beaucoup délaissé ma famille et surtout ma mère depuis l’épisode du coup de téléphone. Je sais que ce que je faisais n’était pas bien, mais je ne pouvais pas imaginer que cela affectait autant ma pauvre mère. Après tout, elle n’avait rien à voir là-dedans. Je prenais conscience à ce moment-là de tout ce que je leurs faisais subir, de tout ce que j’avais raté. Ma mère commença à se lever. Je lui dis « Maman… Attends… » Elle fut surprise de me voir réveillé. Je me levais finalement la prenant dans mes bras, des larmes coulaient sur nos visages respectifs. Beaucoup d’émotions nous traversaient. « Je suis désolé » soufflais-je à son oreille. Elle essuya ses larmes s’écartant de moi. « Est-ce que tu peux me dire ce qui te tracasse au point de te faire virer de ton lycée et de ne plus parler à ton père ? » me disait-elle d’une voix si tendre. « Je… Papa… Il a payé le Directeur pour que j’ai un emploi du temps malléable pour mes entrainements… Tout ce qui a suivi a découlé de ça… Je suis désolé maman… » Disais-je une nouvelle fois, je fondais en larmes cette fois, me replongeant dans ses bras. Ma mère ne disait rien, mais n’en pensait pas moins. « Je vais lui parler. » disait-elle avant me dire de me recoucher. Je m’allongeais sur le lit, pleurant toujours. J’avais été blessé au plus profond de mon être ce jour-là. Je m’en voulais d’avoir caché ça à ma mère mais je voulais que mon père lui dise lui-même. L’honnêteté n’est pas son fort visiblement.
Mon père, suite à une longue explication avec ma mère, nia tous les faits, jusqu'à dire que je mentais. Ma mère décida du jour au lendemain de le faire partir de la maison, la procédure de divorce s'entama rapidement et quelques mois plus tard ce fut la fin définitive de leur histoire. Je me repris alors en main, supprimant du jour au lendemain la drogue et l'alcool. Ma mère m'inscrivit dans une nouvelle école puis mes résultats furent de nouveau brillants. Les débuts furent tout de même très difficiles. La fatigue que j'avais naturellement entre des cours à horaires normaux et des entrainements de hockey intensifs me faisaient reprendre doucement la cocaïne pour tenir le rythme.
Le 03 décembre 2017, mon corps m'envoya une alerte. Alors que j'étais en train de faire la fête avec des amis. Je décidais de prendre un rail de cocaïne. Les effets furent immédiat comme d'habitude, bien que je sentais que quelque chose n'allait pas. Quelques minutes plus tard, je tombais à terre. Pris par des convulsions et un mal de tête surpuissant. Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait, je ne maitrisais plus rien et pourtant j'avais conscience de ce qu'il m'arrivait. Mes amis sur place appelèrent immédiatement le 911, je fus transporté rapidement à l’hôpital et finalement sauvé. Cette soirée fut un vrai déclic pour moi. Je devais arrêter cette drogue qui m'empoisonnait à petit feu. Cette crise, j'aurais pu la subir seul et aujourd'hui je ne serais pas la pour le raconter. On peut faire des erreurs mais ce genre là n'est à faire qu'une seule et unique fois. Suite à cet incident, je n'ai plus touché de drogue jusqu'à encore aujourd'hui.
Durant ma dernière année de lycée, mes résultats étaient très bons, certes un peu moins qu'à mon habitude mais c'était le prix à payer pour rester en vie. Arrivé à la fin de mon lycée, je décidais de suivre le parcours de mes frères et de demander la fac d'Harvard, la meilleure sans aucun doute à mes yeux de tous les États-Unis. Et c'est comme ça que je suis arrivé ici, étudiant sportif mais étudiant déterminé. Aujourd'hui je n'ai plus qu'à garder le cap et suivre mes rêves. Je veux faire mieux que mon père et réussir ma carrière sportive. Je veux que les enfants portent un maillot avec mon nom au dos. Je veux recevoir des tonnes de roses et de peluches sur la glace lors de mes victoires. Rien ne m'en empêchera.
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
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Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department