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Sleep On The Floor - ARES&LYS

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I took a walk on a Saturday night,fog in the air, just to make my mind seem clear where do I go from here? I see my breath pushing steam through the air, shaking hands run through my hair, my fears, where do I go from here?

On a décidé de partir, on ne se connaît pas, pourtant, je suis devant ta porte. On a vaguement discuté sur le net, et on se disait qu’on allait mal, je te disais que je vivais sans doute la pire vie du monde, et tu m’as répondu que toi aussi. Tu m’as dit de venir te chercher, sans aucun affaire, tu m’as dit qu’on devait se casser, qu’importe comment cela pourrait terminer. Sans avoir confiance, les yeux fermés, j’ai pris juste de quoi vivre pour quelques jours, j’ai fermé la porte de mon appartement, entrant dans la voiture. Je ne sais pas à quoi tu ressembles, je ne sais même pas si tu es une fille ou un garçon, je sais juste que t’en as marre, que tu veux te tailler, que dans ta vie tout est en train de s’écrouler, un peu comme moi, malheureusement. Plus rien ne va, plus rien n’est logique. J’ai décidé de juste poster un mot devant ma porte disant que je n’étais pas là, que si besoin, on pouvait me joindre sur mon téléphone, mais même ça, j’ai pas envie. J’ai pas envie de me prendre la tête, j’ai pas envie de me questionner davantage. Pourtant, on va pas aller loin, mais juste quitter notre quotidien me semble être une bonne idée. Je guette mon téléphone, je guette notre conversation et je t’écris. Je te dis que je suis en bas, que j’ai une voiture noir, que tu ne dois pas avoir peur de ma gueule de connard, que j’ai des tatouages partout, mais que tu ne risques rien. Enfin, peut-être que j’allais tomber sur une folle, sur un fou, un danger, mais qu’importe. Je suis pas en état de réfléchir, je suis pas en état de penser correctement.

Je préfère me dire que c’est pour un moment, que ça me fera du bien, que je vais éviter de penser aux autres, que je vais éviter de vendre de la drogue, que je vais éviter de voir des femmes sans importance. Peut-être que toi et moi, on va se détester, peut-être que ça va pas coller, et peut-être même que tu ne vas jamais venir. C’est peut-être même certain, on a échangé quelques mots, tu m’as donné ton adresse, et je suis là. Je t’attends, et je suis juste prêt à sauter n’importe où tant que c’est avec toi.

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J’tente chaque fois d’me reposer. J’essaie de ne plus trop penser que ce soit concernant le passé ou l’présent. Tout c’que j’veux en c’moment, c’est partir. Quitter les rues qui me sont connues, voir autre chose. Tout simplement changer d’air. Mais j’ressens l’besoin d’partir accompagnée d’quelqu’un. Seule, je ne me sentirai sûrement pas aussi bien que je le voudrais. La personne risque d’avoir du mal à m’supporter vu mon caractère. Ça va être compliqué mais ça vaut l’coup d’tenter.

Il m’a fallu du temps avant d’me dire que c’était mieux si j’demandais à un inconnu d’venir avec moi plutôt que quelqu’un qui m’connait. Au moins, ça m’permettra d’oublier celle que je suis pendant quelques temps, d’mettre le passé plus facilement d’côté. Alors quand j’me suis connectée sur plusieurs sites de discussions et que j’ai compris qu’une personne se sentait mal aussi, j’ai pris ma décision. J’lui ai passé mon adresse, comme ça, sans crainte. Je ne sais pas à quoi il ressemble ni même l’âge qu’il a. De même si c’est une fille ou un garçon et c’est bien mieux comme ça. Du moins, c’est ce que je crois.

Quand j’lui envoie ce message-là, j’me demande si la personne derrière l’écran l’utilisera, viendra m’rencontrer réellement. Peut-être que c’est des conneries c’qu’il ou elle m’dit, qu’en réalité, c’qu’un unique jeu à ses yeux. Ayant largement d’quoi m’payer un appartement qu’on citerait de luxueux, j’ignore si lors de son arrivé, ça lui fera imaginer de mauvaises idées à mon propos. Si mon ami(e) du net croit que j'suis âgée, qu'c'est grâce à mon boulot que j'ai c't'appart, il fonce droit dans l'mur. J’passe beaucoup d’temps à m’questionner à son sujet pour finalement abandonner. Fort possible que cette personne n’ose pas s’ramener. Après tout, on ne sait rien ni l’un ni l’autre de chacun. Mis à part ce qu’on ressent en c’moment, qu’ça va mal pour l’un comme pour l’autre, qu’on partage cette envie d’quitter l’lieu dans lequel on a pris l’habitude d’vivre, ne serait-ce, qu’une unique soirée.

J’me pose tout juste dans mon canapé lorsque j’reçois une dernière notification. J’allume mon téléphone. Quand j’lis ce que j’ai reçu d’sa part, j’ai du mal à m’en remettre. Putain. Sérieusement ? C’est pas possible ! Ouais, j’ai du mal à y croire, à m’dire que la personne que j’ai contactée s’situe désormais dans sa bagnole face à mon appart. Qu’est-ce que j’vais bien pouvoir foutre, maintenant ? J’ai beau tenté de me calmer afin d’pouvoir lui répondre, c’est impossible. C’comme si j’étais à la fois ravie et paniquée. Alors j’reste assise un long instant à un tel point qu’j’zappe d’répondre à son message.


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I took a walk on a Saturday night,fog in the air, just to make my mind seem clear where do I go from here? I see my breath pushing steam through the air, shaking hands run through my hair, my fears, where do I go from here?

J’ai pas peur de l’inconnu, j’ai peur de ce que je peux déjà connaître. J’ai peur des habitudes, j’ai peur de me confronter aux gens que je côtoie sans arrêt, eux qui me jugent, eux qui savent comment je suis, eux qui pourtant, ne savent strictement rien de ma vie, de comment je la gère. Est-ce que je sais la gérer ? Non, sinon je ne serais pas là, devant un bâtiment que je ne connais pas, en écoutant une musique, les affaires sur le siège passager. Peut-être que tu ne viendras pas, peut-être que tu ne veux pas être avec un inconnu, peut-être que tu ne vas pas aussi mal que moi. Je ne vois aucune réponse, je patiente, pourtant, j’aurais presque envie de partir, me dire que c’est mieux ainsi, que je n’ai pas à imposer mon malheur, que je n’ai pas à te mettre encore mal. Mais ma conscience, couchée au sol, les larmes aux bords des yeux, me supplie de ne pas être ainsi, me supplie de ne pas la laisser dans les ténèbres. Ciel, aurais-je droit à une quelconque pitié ? Est-ce que quelqu’un dans ce monde pourrait me soulager un peu ? Je pince le sommet de mon nez, m’interdisant de craquer, et je me force à sortir de la voiture, montant les marches de ton bâtiment. Enfin, je ne sais pas. Je toque à plusieurs portes, on peut m’entendre demander si c’est toi, si tu es prête, quelques personnes me ferment la porte au nez. D’autres me demandent si je suis fou, ou si je suis perdu. J’ai presque envie de leur dire que oui, que je suis perdu, et qu’est-ce qu’ils vont faire pour sauver ? Je secoue la tête, piégé. Parce que tu as sans menti, tu m’as dit que tu allais mal, et pourtant tu n’arrives pas.
Tu n’es pas là.
C’est la dernière porte, j’abats faiblement mon poing contre cette dernière en abaissant mon regard sur mes habits. Je suis sobre, un jean noir, pull noir, on peut à peine voir mes tatouages, bien que ceux sur le visage sont bien visibles, c’est peut-être ça, qui fait peur aux gens. La différence. Quelle merde.
Je me surprends à attendre encore, les mains dans les poches. Je me surprends à murmurer, comme si ma conscience me disait que c’était ici, que c’était la bonne porte, sauf que tu ne voulais pas, tu ne voulais sans doute plus. « Je ne sais pas qui tu es, pourquoi tu m’as donné ton adresse. Mais, je ne vais pas te faire du mal, alors si tu veux. Tu peux descendre. Je suis Ares, comme ça. On est plus vraiment des étranger » Même si ça sonne faux, parce qu’un prénom ne résume pas une vie entière, une personnalité. Je me tourne, pour retourner à ma voiture, j’active le moteur, la musique reprend doucement sa tonalité, je regarde fixement la route, parce que même si tu ne viens pas, même si tu baisses les bras, moi, j’ai besoin de partir, de m’en aller quelques jours. J’ai besoin de souffler, j’ai besoin de me dire que je peux être quelqu’un de bien, même le temps d’une nuit.

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( sleep on the floor )
J’me sens pas très bien. Pourtant j’ai l’impression que j’ferai mieux d’reprendre mon souffle et d’me concentrer afin d’lui répondre. J’peux pas laisser cette personne comme ça. C’est impossible. J’suis pas du genre à abandonner, à lâcher qui que ce soit. J’me pose encore une multitude de questions. La curiosité est bien trop pesante pour que j’reste sans agir. Putain. Qu’est-ce qu’il m’arrive. Pourquoi est-ce que j’ai un bon pressentiment cette fois tout en faisant un début d’crise de nerfs. J’tente d’me rassurer. J’me dis que cette personne était sûrement honnête avec moi, qu’ces messages étaient sincères. Or qui dit sincère via le net dit correct réellement. C’est déjà énorme, ça. Puis en y réfléchissant, pour avoir une telle audace, ça doit être quelqu’un portant un intérêt envers certains. Ça ne doit pas être une personne égoïste ou je ne sais quoi.

J’reste encore assise. J’ai l’air d’une gamine déstabilisée, une fille qui a fait une connerie et ne trouve pas le moyen de la réparer. J’songe à des réponses idiotes, à utiliser le mensonge tel qu’à lui envoyer un simple je ne me situe pas chez moi ce soir, désolée ou encore j’me sens trop épuisée pour sortir, finalement. Mais les questions m’bourrent beaucoup trop l’crâne. L’interrogation envahit l’fond d’mes pensées. J’suis consciente que ça fait déjà une bonne quinzaine de minutes que j’ai reçu ces quelques mots m’faisant tant effet. J’suis obligée d’reprendre sur moi, d’lui dire quelque chose en retour. Oh puis j’abandonne la méfiance. J’voulais sortir et cette personne est présente. Pourquoi renoncer si près du but ? Rencontrer une nouvelle personne, j’en ai plus ou moins besoin. Pourquoi j’me sens si mal et impatiente en même temps ? Pourquoi ? Tant de questions qui se résoudront uniquement si j’opte pour bouger d’chez moi, du concon dans lequel j’suis enfermée comme si ça m’protégeait d’quoi que ce soit.

Une voix m’fait sortir de mes pensées. Celle d’un homme me semblant assez âgé sans trop l’être. C’est assez perturbant. J’ai du mal à comprendre ce qu’il dit. J’me vois dans l’obligation d’me rapprocher d’la porte. Il frappe. Sa manière de cogner à la porte m’parait si légère. Puis sa voix… Il semble comme épuisé. C’est sûrement lui. L’inconnu, celui qui est dans l’même état que moi, celui pour qui la vie n’est pas de tout repos, encore moins ces derniers temps. « Tu peux descendre. Je suis Ares, comme ça. On est plus vraiment des étranger » Lorsque j’entends ces paroles, je n’ai plus aucun doute. C’est bien celui à qui je me suis adressée sur internet, celui qui porte un intérêt si tôt envers ma personne. Qu’est-ce que je dois faire ? Eh voilà que j’réfléchis encore. J’ignore si c’est le fait que je sois habituée à travailler ma voix étant donné les cours de chant mais je sens dans sa voix une profonde déception ou tristesse… Du moins, rien de joyeux. Ares. Il s’appelle Ares J’me dois de lui répondre mais pas de suite. J’m’en sens pas encore capable.

Je ne l’entends plus parler suite à ces mots que je ne cesse pas de me répéter. Peut-être qu’il a quitté le bâtiment. Je me précipite à ma fenêtre, observant la vue du dehors, espérant le voir. Je repère une voiture noire comme il l’a indiqué. Après quelques secondes, je remarque qu’un homme d’une carrure de tout juste la trentaine d’années ouvre la portière et y prend place. C’est lui. C’est obligé que ça soit lui.Je constate qu’il démarre sa voiture et ne pars cependant pas. Soudain, j’me sens envahie par une sensation inhabituelle, ressemblant à ce qu’on nomme pulsion. J’prends une veste, sors de l’appartement et me mets à courir jusqu’à cette voiture. Je m’avance pas à pas, me mets face à la voiture et ose regarder droit devant moi. Je tente un léger sourire une fois qu’il me regarde. Comme je l’avais deviné au ton de sa voix, il a sûrement une trentaine d’années. Mais je n’éprouve aucune crainte. Il est tatoué et rien qu’en sachant ce fait, ça me fait esquisser un large sourire. Quelqu’un en qui je n’hésiterai pas à donner confiance, que je risque d’apprécier pour ce qu’il est. Quelqu’un qui a l’air déchiré et pourtant lui-même. Quelqu’un original physiquement, non pas comme la majorité des gens. Quelqu’un qui m’intéresse déjà particulièrement.


( Pando )
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Le plus difficile dans une vie, c’est de ne pas savoir quoi faire, c’est être tellement déconnecté de la vie, qu’on perd absolument tout autour de nous, que le temps nous paraît bien trop long, que nous sommes allongés face contre terre, comme si on attendait un miracle, comme si on attendait que quelqu’un puisse changer le court de notre histoire. Mais quand nous attendons plus rien, quand nous espérons plus rien. Nous ne faisons que survivre, persuadé que notre heure n’est plus très loin, que cette souffrance ne pourra pas nous ronger plus qu’elle a déjà rongée. Je suis persuadé que je ne manquerais à personne, je suis persuadé que ma perte ne pourra être que soulagement et paix pour certain. Je reste pourtant, paralysé par la mort, peur de cette dernière vienne frapper à ma porte à tout moment, j’ai peur de mourir, mais j’ai aussi peur de vivre. Alors, comment dois-je faire ? Je fixe longuement la route devant moi, la nuit, à peine éclairé par les lampadaires, par les lumières de multiples foyers. Moi aussi, j’aimerais avoir quelqu’un sur le canapé, discuter de tout et de rien, rire comme jamais. Mais lorsque je rentre, je n’ai que le silence qui s’abat sur moi, je n’ai que le froid qui me glace le sang, je n’ai que le silence comme seule compagnie. Quand je me dis que tu ne viendras pas, je démarre le moteur, je pince le sommet de mon nez, déçu, sans doute, va savoir pourquoi, je ne te connais pas, tu ne me connais pas, je ne sais même pas ton prénom. Mais tu apparais. Tu arrives face à moi, face à cette voiture, et mes yeux observent les traits de ton visage, de tes yeux à ta bouche, de ta bouche à tes pommettes légèrement teintées par le froid. Et je te souris, comme on sourit à un amie, ou une amie, même si je savais que tu allais changer le court de ma vie, et que j’allais faire en sorte de t’aider, ou même tout bonnement t’écouter. Je te laisse prendre place sur ce siège à mes côtés, il y a toujours ce silence, mais on le partage les deux, alors c’est moi dérangeant, tu ne trouves pas ?

Je reprends le volant de mes mains d’homme, je commence à conduire, j’éteins le gps, je ne mets aucune direction, parce que c’est juste ça le but, s’en aller, quelques jours, voir des choses qu’on ne peut pas voir ici, étouffé par le quotidien et la routine qui nous mâche jusqu’à nous recracher. Je tourne mon regard vers ton, tu as peut-être peur de moi, mais je ne ressens rien de tout ça, et ça fait du bien de repartir de zéro. « Tu as faim ? » Quoi de mieux que manger ? J’ai pris quelques billets, je n’ai pas grand-chose, à vrai dire, je n’ai presque rien, depuis la mort du gosse, j’ai pas réussi à prendre du service, et surtout parce que je risquais ma vie, ils me cherchent toujours, alors la seule façon dont j’ai de m’acheter des choses, c’est encore de voler, ou même de me mettre dans des combats illégaux. Ou le mieux, continuer à voir des femmes riches, coucher avec elles, être avec elles durant des soirées, c’est pour le moment la seule manière que j’ai. Je sors mon paquet de cigarettes, j’en cale une entre mes chaires, l’allumant rapidement je te tends ce même paquet en articulant, presqu’un doux murmure. « Ne te gêne pas, tu peux en prendre si tu veux. Derrière, j’ai un joint, et puis, on va s’arrêter pour acheter de quoi manger. » Je conduis, les yeux rivés sur la route. La musique résonnant dans nos oreilles, rien de violent, rien de trop amusant, ou même une musique à danser, non, juste une fine douce musique qui accolait bien à cette situation plutôt étrange. « Je peux savoir ton prénom ? Ou, tu peux garder ton anonymat, il n’a aucun souci. » Peut-être que tu avais juste envie de partir aussi, de juste rouler, de manger, qu’importe, mais absolument pas parler de toi, ou même de dire ton prénom ou ton âge, chose que je comprends, ce pourquoi j’ai ajouté que tu n’étais pas obligée. Je tapote le volant, adossant mon dos contre le siège, la vitre légèrement entrouverte pour que la fumée s’envole de l’habitacle. C’est tellement bon, tellement agréable, c’est bien pour la première fois que j’oubli où j’en suis dans ma vie. Quand je regarde ton profil, j’ai bien cette sensation que je peux avoir confiance en toi, que je peux tout savoir, que tu peux savoir, qu’en aucun cas, on se jugera, je sais pas pourquoi j’ai ce sentiment jeune inconnue, mais je sens que toi et moi, on ira tout particulièrement loin.

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PS: Désolé du temps de réponse ma belle Sleep On The Floor - ARES&LYS 2109348208
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