Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJUNE & RIVER ♥ Je crois que tu ne m'aimes plus...
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JUNE & RIVER ♥ Je crois que tu ne m'aimes plus...

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JUNE & RIVER ♥ Je crois que tu ne m'aimes plus... Tumblr_mevny0Jyss1ql2t3wo1_500JUNE & RIVER ♥ Je crois que tu ne m'aimes plus... Tumblr_mc635hu5dl1r2zzh5o1_500
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    Une semaine, une semaine exactement que j’avais appris que j’étais enceinte. J’avais eu tous les signes : un retard dans mes règles m’avait mis la puce à l’oreille, puis des nausées, des douleurs aux ventres. Au départ j’avais refusé de penser qu’il était vraiment possible que je porte un enfant mais finalement j’avais bien du m’y faire. La seule chose que je craignais dans cette situation c’était la réaction de River car malgré la survenue soudaine des choses moi j’étais plutôt heureuse. Oui c’était étrange mais je me sentais bien depuis que j’étais enceinte, la seule ombre au tableau était le stress qui m’envahissait à chaque fois que je pensais au père du bébé mais sinon j’étais plutôt heureuse d’avoir un bébé. Oui c’était complètement con de dire ça alors que je suis tombée enceinte parce que j’avais oublié ma pilule un jour et que j’étais enceinte, c’était complètement débile d’avoir un sourire sur le visage quand on ne sait pas avec quel argent on va élever le bébé. J’avais demandé à River de venir me voir dans la Lowell house afin de parler un peu, je voulais parler du bébé avant tout. C’était tout simplement horrible de lui avouer la vérité, j’avais très peu qu’il me demande d’avorter ou de faire adopter le bébé et je n’en aurais pas la force. Bon d’accord ça faisait 8 jours que j’avais le bébé dans le ventre mais je me voyais tout simplement incapable de l’abandonner comme ça ou de le tuer. J’avais déjà pris 500 grammes, bon j’avoue cela devait être purement psychologique mais j’adorais avoir l’impression que j’aurais un gros ventre dans lequel il y aurait un beau bébé et pas de n’importe qui. C’est vrai River c’était le père rêvé pour avoir un enfant, je pense qu’il ne serait pas très chaud pour avoir un bébé mais si il finissait par accepter cette situation il pourrait être un père formidable. Je le voyais très bien instauré des règles, lui lire des histoires le soir quand il serait endormit, lui donner le biberon devant la cheminée. C’était la vie dont je rêvais…Pourtant j’avais l’impression que les choses n’allaient pas se passer comme prévue d’abord parce que River ne voulait pas de bébé et aussi parce que River n’était pas autant attaché à moi que moi j’étais attaché à lui. Preuve en est je pensais toujours à le voir quand lui ne me disait jamais que je lui manquais…Même si je l’avais vu depuis que j’avais appris ma grossesse je n’avais rien osé lui dire, je voulais attendre le bon moment et c’était ce soir. J’avais préparé un petit diner dans la maison Lowell. Lorsqu’il arriva à l’heure que nous avions convenu je me jetai dans ses bras mais j’avais l’impression que quelque chose n’allait pas de son côté, je le serais fort dans ses bras avant de lui dire : « Tu m’as manqué mon coeur ! ». Je me détachai de ses bras avant de constater que son visage n’allait pas l’air serein. Je lui demandais alors immédiatement : « Il y a quelque chose qui va pas River ? ». Je posais instinctivement mes lèvres sur les siennes comme pour le consoler mais intérieurement la pression montait énormément en moi. Je n'osais déjà pas lui dire que j'étais enceinte alors si il venait à me dire qu'il avait passé une mauvaise journée les choses seraient encore plus délicate. Tout ce que je voulais c'était me prouver qu'intérieurement les liens que nous avons tissés depuis que nous étions ensembles seraient plus fort qu'un petit oubli de pilule entrainant la venue d'un petit bébé.
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River était stressé comme jamais alors qu'il allait revoir June. Cela faisait déjà longtemps qu'il doutait de ses sentiments... Et qu'il se rendait compte que ceux qu'il éprouvait pour Tyler était bien présent, combien même il avait encore peur de se l'avouer. Mais avait-il pour autant le droit de jouer avec le cœur de June ? Il savait à quel point elle tenait à lui, à quel point, elle l'aimait et il avait l'impression de la trahir, au fond, à force de ne pas se sentir aussi attaché à elle qu'elle ne l'était à lui. Il l'aimait, bien évidemment, mais... était-ce assez fort pour prévoir un jour de vivre à ses côtés ? River comprenait qu'elle le désirait déjà depuis longtemps, même si, au fond, cela ne faisait pas même un an qu'ils sortaient ensemble... Il appréciait grandement sa compagnie, mais il ne parvenait plus à se voir marier avec elle... En vérité, il ne s'était jamais vu dans cette position. Et depuis sa discussion avec Tyler, il avait pu lire au fond de son être et savoir qu'il était attaché au jeune Winthrop. Amoureux même. Et il espérait que l'autre ne le voyait pas seulement comme un objet sexuel. River n'avait pas trompé June et il ne comptait pas le faire, c'était pourquoi, depuis plusieurs jours, il voulait lui avouer la vérité, lui parler de tous ses doutes quant à leur union qui paraissait pourtant si profonde. Mais il n'avait encore pas trouvé la manière de le faire et surtout le courage. A chaque fois qu'il voulait le faire, il fallait qu'elle l'embrasse ou qu'elle rit. Et son rire si pure et si mélodieux lui ôtait tout envie de parler. Il ne voulait pas lui faire de mal, mais il savait que si les choses allaient comme cela, il finirait par lui en faire beaucoup trop. Lorsqu'ils avaient commencé à sortir ensemble, ils s'étaient promis d'être francs et River comptait bien l'être comme il l'avait toujours été jusqu'à présent.
June l'avait invité à un dîner amoureusement préparé par ses soins à la Lowell House... Et le jeune homme, après avoir enfilé des vêtements propres, simples mais élégants, l'y rejoignit. Alors qu'il frappa à la porte la tension était déjà fortement monté en lui, s'amusant avec ses entrailles et son cœur. La demoiselle ne tarda pas à ouvrir la porte et lorsqu'elle le serra intensément dans les bras en lui affirmant à quel point il lui avait manqué, tout le courage amassé s'effondra. Ce si joli sourire sur ce visage si parfait... Comment être si dur avec elle ? Déglutissant, il tenta de se calmer et d'offrir un joli sourire à son interlocutrice. « Toi aussi... » dit-il, sans grande conviction. Il avait énormément pensé à elle ses derniers jours, bien qu'ils se soient vu il y a très peu de temps, mais il ne saurait dire si c'était juste qu'elle lui manquait. Non, il y avait toutes ses choses derrières, combien même il trouvait que c'était une femme formidable.
La question qu'elle lui posa le fit frémir. Aller, River, soit fort... Prends ton courage à deux mains ! Un baiser. Non, ne te laisse pas encore attendrir. Si tu ne fais rien, c'est que tu n'as pas de cœur ! Plus le temps passe, plus elle souffrira... Parle-lui de tous ses doutes qui sont tiens.

« June... Faut qu'on parle.  J'ai quelque chose d'important à te dire..» Son ton avait été un peu dur, un peu froid. Il était distant, peut-être trop... Il prit la demoiselle par la main, tendrement. Mais elle devait déjà savoir que rien allait bien... Il ne l'avait pas appelée « mon coeur » ou « mon ange » comme d'habitude, il l'avait appelé simplement par son prénom. Cela voulait déjà tout dire.
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    J’avais beau essayé de reprendre ma respiration, de me calmer, le stress était toujours à son comble. J’essayé de relativiser de me dire que ce n’était si terrible que ça, que River comprendrait parce qu’il est le genre de petit ami qui comprend et accepte tout. Alors que j’attendais sa venue j’avais tout préparé pour que ce soit un repas de fête, pour qu’au moins la nourriture que j’avais préparé soit assez bonne pour qu’il se retienne de la vomir quand je lui annoncerais qu’il sera papa dans 9 mois. J’avais même acheté des bougies et des pétales de roses, presque davantage pour détendre l’atmosphère que pour faire un repas d’un parfait romantisme. Je m’étais dit qu’il claquerait peut être pas la porte si il y avait des bougies, il aurait pitié au moins de la décoration pour partir en courant et claquer la porte. Non ? Enfin c’est ce que je m’étais dit quand j’avais préparé tout cela, j’avais déjà la boule au ventre, je me sentais mal. Quand il est arrivé, les choses ne se sont pas améliorés, loin de là, il avait l’air préoccupé par quelque chose mais…je ne sais pas quoi. C’est vrai que nous nous étions éloignés depuis quelques temps, je n’avais pas trop compris pourquoi, j’avais mis ça sur la pression d’Harvard, les cours ! Nous étions sans cesse solliciter pour je ne sais quel projet, je ne sais quel exposé à faire…J’avais cru que nous nous étions éloignés simplement parce qu’il était occupé car on se voyait quand même plusieurs fois par semaine ! Bien sûr, ça n’avait rien à voir par rapport à Paris où l’on pouvait se voir tous les jours mais c’était bien mieux tout de même que la relation longue distance qu’on avait eu durant des mois ! Pourtant son « toi aussi » me mit la puce à l’oreille, il n’avait vraiment pas l’air comme d’habitude. Une mauvaise journée, c’est ce que j’avais pensé mais quand il me dit qu’il devait me parler mon sang ne fit qu’un tour, j’avais très peur. Enfin j’avais eu peur une fraction de seconde et après je m’étais dit que peut être…peut être il me demanderait en fiançailles, peut être qu’on allait pouvoir enfin emménager ensemble. Bon d’accord il avait un air plutôt sérieux mais c’était le stress qui lui faisait adopter cette façade et il allait se mettre à rire dans cinq minute, juste après avoir fait sa demande…Je restais donc gentil, comme j’avais toujours été, de toute façon tant qu’il n’avait pas ouvert la bouche je n’avais rien à craindre. Je préférais m’assoir quand il me prit la main, m’assoir devant ce beau repas que j’avais préparé, devant les pétales de roses et les bougies. Je lui dis avec un grand sourire et une douceur dont je faisais preuve seulement en sa présence : « Oui bien sûr mon cœur, je t'écoute mon amour… ». Seulement il serait utile que préciser que moi aussi j’ai quelque chose à lui dire, il vaudrait peut être mieux le dire maintenant, alors à mon tour je lui dis avec une voie très rassurante et calme pour calmer mon angoisse intérieur qui me minait : « Moi aussi je voudrais te dire quelque chose, d’assez important… ». Bon là je le coupais dans son élan et c’était peut être pas génial, je me raclai la gorge avant d’ajouter : « Mais je vois bien que ce que tu veux me dire te mines alors va-y, dis le moi mon cœur et moi j’attendrais…Tu sais que tu peux me parler de tout, je serais toujours là pour toi, tu sais que je t’aime plus que tout au monde River… ». Oui j’avais été gentille pour le mettre en confiance car je voyais bien qu’il avait du mal à formuler ce qu’il voulait dire, je préférais le rassurer que de l’enfoncer et je pensais chacune de ses paroles, ayant perdu mes deux parents, River était mon seul point d’attache à présent…Bon d'accord mon père était toujours vivant mais vu l'état dans lequel il se trouvait et la façon dont il m'avait enfoncé des poignards dans le ventre à l'age de 9 ans je ne l'avais jamais aimé comme une fille aime son père.
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Comment aborder les choses pour ne pas trop la heurter ? June jouait les fortes, les téméraires, mais River savait parfaitement qu'elle était une jeune femme fragile, surtout en ce qui concernait l'amour. Elle avait quitté son pays en partie pour le rejoindre et lui, il allait la quitter... Enfin, la quitter, il n'en était pas vraiment sûr. Ce qu'il lui dirait mènerait-il vraiment à une rupture ? Son regard se posa de nouveau sur toute la décoration que sa petite amie avait mise en place. C'était juste magnifique. Elle avait dû y passer des heures... Alors que leurs lèvres s'étaient rencontrées dans un doux baiser, le jeune homme se demanda s'il ne ferait pas mieux d'attendre la fin du repas pour en parler... Son courage était en train de fondre comme neige au Soleil. Fermant les yeux, il tenta de reprendre son sang-froid. Il le devait. Pour eux deux. Parce que le mensonge serait encore plus terrifiant pour June que la vérité. C'était tout. Poussant un soupir, il attrapa June par la main. Alors qu'elle s'asseyait, il en fit de même à ses côtés. Tout simplement parce que le stress le faisait trembler. Il s'était entraîné des heures devant un miroir, comme il le faisait toujours lorsqu'il avait un aveu à dire à quelqu'un qui lui était cher. Et June lui était cher. Il avait passé des mois fabuleux en sa compagnie et il espérait en passer d'autres... Mais seulement en tant que grand ami. Après tout, c'était possible, n'est-ce pas ? Beaucoup de couples finissait ami après leur rupture... Alors pourquoi pas eux ? A moins que June préfère que les choses continuent dans l'élan du mensonge, qu'elle préfère croire qu'ils peuvent encore avoir un avenir ensemble.

La demoiselle finit par prendre la parole. Alors, ainsi, elle avait aussi quelque chose à lui dire ? Arquant les sourcils, River lui offrit un pâle sourire. Intimidé, le voilà intimidé. Elle lui laissait la place, il avait la balle entre les mains, c'était à son tour de jouer. Devait-il lui faire une passe ? La laisser parler en première ? Finalement, après avoir poussé un large soupire et s'être raclé la gorge afin d'éclaircir sa voix, il prit la parole :
« Alors, je... C'est quelque chose qui ne va pas forcément te plaire... » souffla-t-il en lui tenant de plus en plus la main, la serrant contre lui, avant de l'embrasser tendrement contre les lèvres. Certainement leur dernier baiser... Alors il fallait en profiter. Il fit durer le plaisir, comme pour que June puisse le marquer à vie. Ces sentiments avaient toujours été sincères. Puis, il reprit la parole, après s'être un peu écarté. « Et bien, voilà.... J'ai compris que... Nous deux, c'était une voie barrée... »continua-t-il. « Je t'aime, June, et je t'aime vraiment, je veux pas que tu doutes de l'amour que j'aie eu pour toi et que j'ai pour toi... » Il avait la voix tremblante. Ce n'était vraiment pas une chose facile. Et il fallait pourtant la regarder droit dans les yeux... Ne pas fuir son regard. Surtout pas, ce serait le plus grand des irrespects. « Mais, j'ai compris que j'avais des sentiments pour quelqu'un d'autre. Je ne t'ai jamais trompée, ne t'en fais pas. J'ai longtemps réfléchi. Et j'ai essayé d'imaginer le futur... Et je ne me vois pas avec toi. Je veux dire, je ne nous vois pas ensemble, fonder une famille, se marier. Si je suis en mesure d'aimer quelqu'un d'autre... Il y a matière à se poser des questions. Je suis .. désolé. »
Voilà, c'était dit et c'était peut-être trop violent.
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    Je ne savais pas ce qu’il allait me dire, j’avais pourtant senti un considérable éloignement entre nous deux mais j’avais mis ça sur le compte de la fatigue, du stress, des études. Après tout nous avions un programme bien chargé, en plus je devais exercer mon emploi de serveuse de bar lorsque j’avais du temps libre, ça ne facilitai pas vraiment les choses. Tout ce que j’avais espéré c’était que River venait pour me dire qu’on allait habiter ensembles, qu’on allait se rapprocher, qu’on avait vécut une mauvaise passe mais que les choses allaient changés. Un doute à propos de quelqu’un d’autre qu’il pourrait avoir dans sa vie ? Comment était-ce possible, je n’avais pas vu cette personne venir alors. Non pour moi il n’y avait aucune raison que les choses tournent mal…Pourtant c’est ce que je compris bien malgré moi. Il m’embrassa mais je sentais que ce baiser avait quelque chose de spécial, oui, il ne m’avait pas embrassé comme ça depuis bien longtemps. Peut être ne m’avait-il jamais embrassé de cette manière, c’était un baiser presque passionné, ceux que nous échangions au début de notre relation. Je profitai de chaque instant, sachant qu’il se passait quelque chose de spécial mais bizarrement j’avais imaginé toute autre chose venir…J’imaginais même des hypothèses pour expliquer sa réaction, l’angoisse montait également chez moi, je me voyais avec River atteint d’une grave maladie et un bébé sur les bras. Je lui demandai alors, le suppliant presque : « Dis-moi ce qu’il se passe River… ». Le reste ne tarda pas à venir, il me disait d’abord que nous deux, c’était une ‘voie barrée’, je trouvais cette expression vraiment moche, il y avait rien de plus moche qu’une voie barrée et malgré moi mes larmes se mirent à couler presque instantanément. J’avais toujours tant aimé River, j’avais toujours su aussi que malgré ce qu’il me disait, il m’aimait bien moins que moi je l’aimais lui. Il n’aurait par exemple pas déménagé par amour, c’était le genre de chose irrationnel à ses yeux. Je reprenais ses paroles, comprenant au fur et à mesure ce qu’il se passait : « Des sentiments que tu as eu… ». J’étais mal, je comprenais que le bébé que je portais était certainement pas un don pour lui mais plutôt une malédiction et je continuais de pleurer…Ce n’était pas juste des larmes qui coulaient c’était tellement plus profond, c’était comme un cri qui venait de mon cœur foudroyé par les paroles qu’il prononçait. Mon chagrin était tellement grand, parce qu’avec River j’avais enfin cru que l’amour réciproque était possible et pouvait durer…J’étais vraiment trop conne ma parole ! Il m’annonça ensuite qu’il avait quelqu’un d’autre, je comprenais mieux. Tout était plus clair, en fait il me plaquait pour aller avec une autre. Comment j’ai pu croire qu’un mec comme River pouvait être mien, c’est vrai, je l’avais toujours dit, il était beaucoup mieux que moi. « Elle est comment ? Grande, blonde, super mince je suppose ! ». Pff, j’étais dégouté, je soufflais d’ailleurs, je m’en voulais d’avoir été aussi bête pour ne pas avoir vu qu’il était tombé amoureux de quelqu’un d’autre. Et je demandais, presque le suppliant : « Mais qu’est ce que j’ai fait de mal ? J’ai toujours été gentille avec toi, je t’ai toujours aimé, j’ai toujours pris soin de toi… ». Oui, pour moi j’avais eu le comportement de la copine idéale et maintenant il me sortait qu’il ne voulait pas avoir de familles avec moi, qu’il ne voulait pas se marier avec moi. Malheureusement, c’était trop tard, bien trop tard. Je me mis à pleurer de nouveau et mes larmes et mon chagrin était tellement puissant qu’une crampe me prit dans mon ventre. Je ne sais pas si c’était une sorte de contraction mais j’avais envie d’hurler, la douleur était intense. Je décidai alors de m’allonger sur le canapé en position fœtale avant de lui répondre, doucement : « Pour la famille c’est trop tard River, tu m’as engrossé River… ». Je trouvais ça vraiment horrible de dire ça, de dire ça comme ça car j’aurais pu choisir mille attentions, mille mots ou petites expressions. J’avais glissé sous son assiette un rébus et dans son dessert une tétine pour enfant mais quel importance maintenant qu’il ne voulait plus de moi….Je me sentais libre à présent de poser ma main sur mon ventre, tout en continuant de pleurer car il m’était bien impossible d’arrêter. Et maintenant je voulais qu'il souffre comme je souffrais, moi méchante, non je n'étais pas égoïste et si j'avais mal parce que je l'avais perdu, je voulais qu'il est mal parce que j'avais son bébé en moi et que j'étais moi aussi prise au piège.
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River avait la sensation d'avoir mal choisi ses mots et c'était peut-être bien le cas, mais à présent, les choses avaient été dites. Et le poids avait été des plus lourds. Les larmes se présentaient déjà aux coins des yeux de June alors qu'il n'avait même pas fini de s'expliquer. S'expliquer ? Non plutôt rompre. Il était en train de lui dire clairement qu'il ne désirait pas passer le restant de ses jours en sa compagnie. Autant affirmer un simple « je ne t'aime plus ». Mais ce n'était pas aussi simple. River savait qu'il avait des sentiments pour cette jeune femme qui avait eu assez de cran et de courage pour le suivre dans un pays étranger. Pourquoi fallait-il que les choses soient si compliquées ? Pourquoi ne pouvait-il pas avoir fait barrage dans on crâne, ne pas avoir causé à Tyler et ne jamais avoir compris le fin fond de ses ressentis ? Ainsi, il coulerait toujours le parfait amour avec la demoiselle, il ne s'en serait pas éloigné, il l'aurait tout bonnement aimée, il aurait persister à se croire fou d'elle. Mais voilà, rien était simple dans la vie et il ne le comprenait que maintenant. Au moins, il avait à son avantage le fait d'être franc. Ne surtout pas poursuivre les mensonges et lui jeter de la poudre aux yeux. La demoiselle le lâcha brutalement, elle pleurait à chaudes larmes, et cette vision lui crispa le cœur. « Je t'en prie... Arrête... Te mets pas dans cet état... Je n'en vaux pas la peine..» Les larmes lui montèrent aux yeux. Il savait pertinemment que les événements seraient difficiles, mais peut-être pas qu'elle se mettrait dans un tel état par sa faute. On aurait dit qu'elle allait mourir sur place. Mourir d'amour ? Oh bon sang, pourquoi devait-elle l'aimer tant que cela ?
« Je t'en prie... »souffla-t-il de nouveau, alors qu'elle prenait la parole. Elle décrivait le contraire de ce qu'elle était... Comme si River pouvait la quitter pour son physique. « Arrête ! Ne pense pas que j'aie pris cette décision vis-à-vis de ton physique ! Je t'ai toujours trouvé parfaite et tu le sais ! Et puis... ça n'a pas d'importance, bordel ! » s'exclama-t-il. Il ne fallait pas qu'elle se croit inférieure aux autres femmes... Oh ça non. Il fallait qu'elle sache qu'elle possédait nombre d'atouts et que si la route avec River se finissait à présent, un autre chemin en compagnie du beau prince charmant, du vrai prince, pouvait toujours débuter. « Et pour tout te dire... Ce n'est pas UNE autre, non ! La personne que j'aime, ne m'aime peut-être pas ! Ce n'est pas ça le problème... » continua-t-il. Cette fois-ci, les larmes naissaient vraiment aux coins de ses yeux. Il ne pouvait pas se mettre en colère... Après tout, le problème venait de lui et non d'elle. June était amoureuse, prête à tout pour lui... Ce n'était pas réciproque. Evidemment, River aurait défendu la jeune femme corps et âme, comme il l'avait toujours fait, mais avec du recul, il lui paraissait clair que l'amour parfait n'était pas présent entre eux.

« Si je te parle de ça, June, c'est parce que je ne veux pas te mentir. Je ne veux pas te lancer de la poudre aux yeux... Nous deux, j'y ai cru, mais j'ai compris que je n'étais pas autant attaché à toi que tu l'étais à moi... » Il cherchait ses mots, il voulait expliquer davantage, afin qu'elle arrête de pleurer. Qu'elle se mette en colère si elle le désirait, mais qu'elle sèche ses larmes... Oh bon sang de bonsoir, c'était terrifiant ! Alors qu'il allait de nouveau ouvrir la bouche, il la vit se rouler en boule sur le canapé... Avant de prononcer des mots qui le tétanisèrent. Engrosser... Quel mot violent à ses oreilles !

« Quoi ? » demanda-t-il. « T'es enceinte ? » demanda-t-il comme pour être sûr de ne pas avoir fabulé les mots de la demoiselle. Il posa une main contre son crâne, prêt à s'effondrer. Non ! Quelle... nouvelle ! Il ne savait pas s'il devait en rire ou en pleurer, s'il devait s'énerver ou... « Tu le sais depuis combien de temps ? » demanda-t-il ensuite. Il ne put s'empêcher de laisser échapper un large soupir, afin de pouvoir respirer de nouveau convenablement. Cette nouvelle l'avait percuté de plein fouet... Et une mauvaise pensée lui vint soudainement à l'esprit... Et si June disait cela juste pour le garder ? Et si... « Te sens pas obligé de mentir, ça servirait à rien. » finit-il par affirmer de manière peut-être encore une fois trop violente.
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    Je m’étais mise à pleurer, j’avais l’impression de déverser toutes les larmes de mon corps et encore…Je ne sais pas comment mon corps pouvait contenir autant d’eau ! Pourtant il me disait que ça ne valait pas la peine que je me mette dans des états pareils, mais comment il pouvait se permettre de juger ce que je ressentais, qu’il aille au diable et qu’il me laisse pleurer ! Je m’en fiche de ce qu’il pense, je ne joue pas la comédie. Je l’aime, c’est tout, lui ne m’a peut être jamais aimé comme moi je l’aime mais moi rien que de savoir que je vais plus jamais me réveiller à côté de lui, ça me donne envie de vomir. Cela me transperce le cœur, je ne peux pas l’expliquer, rien que de savoir que je n’aurais plus jamais ses paroles réconfortante, ça me donne envie de me jeter dans le vide, du haut d’un pont pour qu’on me revoie plus jamais. Je lui hurlais dessus, presque comme une folle, comme si j’étais en crise. Si je m’étais vu de l’extérieur j’aurais certainement cru voir l’un des malades qui vivaient à l’asile comme mon père : « Mais la ferme ! Je t’en prie, je t’en prie…Tu sais pas que je ressens merde ! ». Il m’affirmait ensuite que j’étais parfaite, mais pour moi c’était vraiment le mot de trop, si j’étais si parfaite que ça il fallait rester avec moi et pas me plaquer comme une merde pour que je finisse malade comme un chien. J’étais devenue comme incontrôlable, j’arrivais plus à maitriser ce que je faisais, j’étais comme possédé par quelque chose qui me faisait devenir vraiment garce et méchante. C’était peut être juste de la colère mais c’était certainement la plus forte chose que je n’avais jamais ressenti dans ma vie et tac, je ne pus m’empêcher de lui donner une claque. Oui c’était incompréhensible car je l’aimais tellement mais ça faisait un peu passer ma haine, ça me soulageait, ça me faisait du bien. J’hurlais alors de nouveau : « Putain mais si je suis si parfaite, reste avec moi, espèce de con ! ». Une petite insulte en passant, après tout les injures font également parties des choses qui font du bien. Il finit par me répondre que ce n’était pas une femme qu’il aimait, comment ça pas une femme, ça voulait dire quoi ça…River était entrain de me plaquer pour aller avec un…homme. Au mon dieu, là j’avais carrément envie de vomir dans les petits fours qui étaient sur la table ! J’aurais pu continuer d’hurler mais en fait, j’étais sans voix. Je murmurai alors simplement : « Alors je t’ai dégoutée au point de vouloir aller voir un homme… ». Mes paroles étaient fortes mais c’était ce que je pensais, je ne comprenais pas ce qui avait pu se passer. Et là, tout me revint, Tyler bien sûr, cet espèce de coureur de jupons, enfin plutôt de caleçons qui sortait absolument sur tout ce qui bougeait. Est-ce que c’était lui qui était entrain de briser notre famille ? Je ne comprenais pas ! River en vint ensuite à la conclusion qu’il m’avait toujours aimé moins que moi je l’aimais, ça c’était une certitude. Reprenant un peu de la voie qui me manquait, je le fixai dans les yeux avant de lui répondre en étant juste à quelques millimètres de lui : « Sans blague, tu crois ? Mais moi j’aurais fait n’importe quoi pour toi espèce d’abruti, n’importe quoi parce que moi contrairement à toi je t’aimais et j’aurais pu passer des jours avec toi, moi j’aurais voulu la construire cette putain de famille ! ». Encore une fois un peu de vulgarité dans l’air mais franchement je m’en fichais, qu’est ce que je pouvais encore espérer de sa part à part une pension alimentaire. J’avais finis par m’allonger dans le canapé tellement ma douleur était violente, j’avais tellement mal, je tenais mon ventre mais lui ne voulait pas le comprendre. Il restait à me regardait me demandant si j’étais enceinte, je lui répondis donc sèchement : « Ben ouai, enceinte, un goss dans le ventre si tu préfères ! ». En plus il ne semblait pas comprendre ce que je voulais lui dire ou alors il le faisait exprès, ça faisait un moment qu’on utilisait plus de préservatif et j’avais oublié ma pilule donc il était tout à fait possible que je sois enceinte mais lui préférait peut être ne pas le croire. Cela devait être plus agréable pour lui. Quand il me demandait depuis combien de temps je le savais je lui répondis, toujours sèchement : « Qu’est ce que ça peut te faire de toute façon ? ». Ouai il se sentait pas vraiment concerné et en plus il venait d’insinuer que je lui mentais. Que je disais ça uniquement pour le retenir mais c’était complètement faux. Je décidai alors de sortir toutes les affaires qui prouvaient ma grossesse, me levant en tenant mon ventre je pris le test que j’avais effectué quelques jours auparavant puis une peluche que j’avais acheté pour le bébé. Je lui dis alors, le fixant dans les yeux : « Tu me prends pour quel genre de garce River ? Je suis pas un monstre contrairement à ce que tu penses ! ». Oui j’avais mal réagit mais il y avait de quoi, reprenant mon souffle une douleur au ventre me repris, mes larmes coulant toujours dans mes yeux, je lui jetai au visage : « Putain j’ai mal, espèce de salop ! ». Oui je le rendais complètement responsable de mes douleurs et je le rendrais responsable si il arrivait quelque chose au bébé.
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C'était très difficile pour River d'aborder le sujet et, à présent, il lui était presque impossible de calmer la situation. Il ne reconnaissait plus June, elle était comme dans une sorte de crise. Elle hurlait, c'était comme si, soudainement, elle aimerait le voir mort. En même temps, il venait de rompre alors qu'elle était enceinte... Et à force d'y penser, il songeait que même en sachant cet état de fait, il l'aurait quittée tout de même. Il ne se sentait absolument pas prêt à affronter de telles responsabilités... Et surtout à fonder une famille dès à présent et avec June. C'était cruel à dire, mais c'était pourtant la vérité. Serait-il un homme mauvais ? Un égoïste ? Alors qu'il l'entendait hurler, il sentait que toute son envie de rester bons amis s'envolait, tombait à néant. Mais c'était plutôt normal en même temps. Il fallait qu'il cesse d'être rêveur et de croire aux contes de fées et aux belles histoires. Alors qu'il la regardait en tentant de se calmer lui-même, il ne vit pas venir cette marque de violence extrême. Paf. Dans sa gueule. La claque avait été très forte et River se frotta la joue encore sous le choc. Jamais elle n'avait osé la main sur lui, comme jamais il n'avait osé le faire. A vrai dire, leurs disputes n'avaient été, jusque-là, que de petites disputes d'amoureux, du genre à savoir qui payait l'addition au restaurant. River ne dit pas un mot l'observant, l'écoutant. Elle déformait ses propos, elle trouvait tous les prétextes pour se montrer farouche. Et le jeune homme restait muet, sans plus bouger. Il ne savait plus quoi dire ni même comment réagir. Les larmes lui étaient montées aux yeux tant il était éprouvé par tout cela.

« Non, tu ne m'as jamais dégoûté... Arrête de te rabaisser, veux-tu ? Justement, je suis un con, tu ne cesses de l'affirmer toi-même... alors... » dit-il. Mais il ne parlait pas bien fort. Il la vit ensuite venir se replier sur elle-même, dans le canapé. Un gosse dans le ventre. Et oui. Il ne s'y attendait tellement pas à cela. Il observa le test de grossesse, devant alors avouer qu'il avait eu tord... Tellement tord.
« Excuse-moi, June... je voulais pas dire ça... Enfin, je sais que t'es pas de ce genre-là, mais un bébé... » Il ne put terminer sa phrase que les cris de son interlocutrice reprirent. Elle souffrait. Il se hâta de la rejoindre, s'asseyant à ses côtés, il osa poser délicatement une main contre sa joue. « Calme-toi... » dit-il doucement. « Ne pense plus à moi, à nous, pense juste au bébé... » continua-t-il. « Je veux pas que tu le perdes... Ecoute, concentre-toi sur son bien-être... » continua-t-il. Et c'était sincère. Si elle était réellement enceinte, comme le prouvait le test de grossesse, il ne désirait pas qu'elle fasse une fausse-couche ou quelque chose dans ce genre-là, car il ne s'en remettrait pas. D'autant plus que ce serait de sa faute. Il lui caressa encore la joue, bien qu'il tremblait qu'elle ne le repousse et qu'elle ne s'énerve encore plus, ce qui accentuerait ses douleurs. Auquel cas, il appellerait carrément les urgences.

HJ: c'est tout court et nul -__-
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    J’étais tellement mal, j’avais mal aussi bien physiquement que moralement. Physiquement pour le bébé et moralement parce que j’étais simplement entrain de perdre l’homme de ma vie et je me sentais tellement impuissante. Je voulais faire n’importe quoi pour le retenir mais s’il avait des sentiments pour une autre personne je ne pouvais pas lutter, surtout pour un homme. Encore si ça avait été une blonde j’aurais pu changer ma couleur de cheveux, j’aurais pu raviver la flemme mais là c’était complètement impossible ! Et malgré toute la volonté que j’essayais d’avoir pour me contrôler je n’y arrivais pas…Je voulais rester avec River pour toujours avec le bébé, il ne pouvait pas partir comme ça, cela me rendait dans un état pas possible au point où je l’avais giflé juste parce qu’il m’exaspéré. Il me disait toujours que j’étais quelqu’un de bien mais c’est justement ce qu’il ne faut pas dire quand on est en train de plaquer quelqu’un...Il vaut mieux se taire ! Immédiatement après l’avoir giflé je m’en voulais déjà mais il m’avait poussé à bout. J’avais l’impression d’être comme mon père alors je me ressaisis rapidement, quitte à changer du tout au tout et devenir complètement différente. Devenir comme une petite fille qui était sans défense par rapport à ce qui se passait autour d’elle. Je lui répondis alors presque timidement « Si…Si j’ai bien du faire quelque chose qui t’as éloigné de moi…Si j’aurais pu changer les choses je l’aurais fait… ». J’avais finit par lui sortir le test pour lui prouver la vérité, cette vérité qui semblait le dérangeait mais moi je m’étais faite l’idée durant cette semaine entière où je n’arrêtais pas de réfléchir à toutes les possibilités qui s’offraient à moi. Il tentait ensuite de s’excuser en semblant surpris de la nouvelle, je comprenais qu’il soit étonné mais il n’avait pas à me traiter de menteuse pour ça ! Je lui grognai alors, peu aimablement : « Je ne suis pas une menteuse River. Oui un bébé, oui ça te surprend, oui ça m’a surprise aussi, je n’y croyais pas. Mais j’ai oublié ma pilule une fois, je m’en suis rendue compte à la fin du mois, je me suis rendue compte que j’étais enceinte et une copine m’a filé un de ses vieux test de grossesse qu’elle avait dans son placard…et bam ! Je ne t’ai pas fait un bébé dans le dos pour mon petit plaisir car je ne voulais pas un bébé en étant étudiante non plus même si j’ai toujours manifesté l’envie d’avoir un enfant…Je suis désolé River, c’était une erreur de contraception…Oui je suis responsable mais si on n’avait pas couché ensembles sans capote aussi souvent, ça serait pas arrivé non plus ! ». J’allais un peu mieux nerveusement même si mes yeux continuaient de couler sans interruption. Je m’installais confortablement dans le canapé, j’avais toujours mal mais doucement la douleur s’atténuait. Il essayait de me réconforter par des gestes et par des paroles mais je m’en fichais, je me fichais de tout cela, je continuais de pleurer parce que j’avais mal, je lui dis gentiment : « Sois pas gentil avec moi s’il te plait, c’est assez dur comme ça pour moi… ». Oui ça ne servait à rien de jouer le mec attentionné maintenant qu’il m’avait jeté comme une vieille chaussette, je lui en voulais tellement. Je finis par ajouter : « Je ne vais pas avorter River, tu ne veux pas de gosse mais…je ne vais pas avorter et tu as l’air d’être d’accord donc tant mieux ! » Écoutant tout de même ses conseils je me mis à chanter une petite chanson, il n’y avait que ça qui pourrait m’apaiser. Chanter me détendait toujours, je caressais doucement mon ventre car même si le bébé était tout petit comme une lentille moi je l’aimais. Je chantais un chant de Noël, silent night…exactement comme ceci
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