« Le terme exact c’est " gémir " » dit-il en rectifiant ses dires par provocation, comme si elle s’était trompé par l’emploi du mots « crier. » « Mais t’inquiète pas ça viendra. » reprit-il toujours avec malice, avec son éternelle insolence. Crier ? Se faire passait pour une réelle victime et gâché la suite dont elle se délectait autant que lui ? Non. Il n’y croyait pas une seule seconde. Il pouvait le deviné dans son regard, elle participait au jeu. Ça n’avait rien à voir avec Louison qu’il avait effrayé par sa hâte, dans la même position, il y a des mois de ça. Deirdre prenait pleinement part à ce qui allait suivre, le mettant au défis de la faire taire. Sans attendre, il alla capturer ses lèvres et relâcha ses poignets, elle en aurait besoin de le déshabiller. Il l’embrassait avec fougue, avec empressement, retirant sa langue légèrement pour qu’elle vienne la chercher…
Tu souris lorsqu'il parle de gémir. Tes yeux se fixent aux siens. « Tu ne manques pas d'ambition, c'est certain. » Même si il te connaissait et savait parfaitement comment te faire plaisir. Tu aimais prétendre l'inverse pour le mettre au défi. C'est ainsi plus piquant. Il relâche finalement la pression qu'il exerce sur tes poignets pour te laisser libre alors que ses lèvres viennent chercher les tiennes et qu'il joue avec toi. Tu passes tes mains sur ses épaules et retire sa veste. Tu déboutonnes sa chemise puis entreprend finalement de l'arracher c'est bien plus drôle. « Tu n'auras qu'à en acheter une nouvelle, je n'aime pas trop celle là. » Tes mains se baladent sur son dos puis sur son torse alors que tu viens mordiller son oreille et l'embrasser de nouveau.
La tension sexuel était palpable et Liam respiré la confiance en lui. Comme elle. Cela faisait bien trop longtemps que Deirdre et lui ne s’était pas retrouvé intimement. Ce soir Liam se sentait d’humeur à laissé les ténèbres s’emparé de lui. Liam n’avait jamais considéré les femmes avec qui il couchait comme des « ex » . Deirdre avait pourtant ce titre parce qu’ils avaient été un couple par le passé, réellement, même si leurs relation n’avait rien de saine. Ils le savaient l’un comme l’autre et c’est ce qui les avaient poussés à y mettre fin. Le désir entre tout les deux n’en restait pas moins présent. Elle était comme une flamme auquel on a envie de se brûler. Elle savait d’ailleurs comment lui donner envie, comment suscité son goût du jeu. « Il y d’autres choses dont je ne manque pas. » dit-il avec sarcasme. « De taille » lui dit-il avec un sourire espiègle alors qu’elle tira sa chemise avec rage, faisant péter les boutons au passage. « Je t’enverrais la facture » répondit-il du tact au tact, mais en vérité il se fichait bien de sa chemise. Il était riche ! D’autant plus que cette façon de faire l’excité, cette brutalité caché derrière cette grandeur et cette classe qu’elle pouvait avoir. Tout ça faisait son charme. Elle avait ses mains dans son dos, les faisant glisser dans une caresse. Elle alla à l’assaut de ses lèvres et Liam commença à s’attaquer à l’aveuglette à la fermeture éclair de sa robe, l’envie de la voir moins vêtue se faisant présent. Alors que leurs lèvres semblait scellé, il avançait pour la faire reculer, cherchant à atteindre un endroit où il pourrait facilement l’étendre, même si l’idée de la prendre contre le mur ne le gêner pas…
Liam avait ce talent pour pousser la faiblesse en elle. Leurs unions passées avaient toujours laissé ce goût de violence et de pulsion. C'était un espèce d'aimant instable entre eux. Elle savait qu'il n'était pas bon pour elle et qu'elle était encore moins bonne pour lui, mais ils y revenaient de temps à autre pourtant. Il y a un certain confort dans ces ténèbres. « Ne sois pas trop prétentieux. » Que tu rétorques avec un sourire en coin alors que ses doigts cherchent la fermeture éclair de ta robe. Tu connais son corps parfaitement, il n'a pas besoin de t'en vanter les mérites. Le tissu glisse bientôt à tes pieds et tu envoies la robe valser ainsi que tes escarpins d'un petit mouvement d'humeur. Il cherche à t'allonger sur le matelas et tu souris à nouveau. « Alors comme ça, tu débarques alors que je travaille tranquillement et tu m'allonges sur le premier lit venu. » Et tu es faible d'accepter mais t'as toujours su difficilement lui résister. Tes mains s'accrochent de nouveau à ses épaules avant que tu ne t'attaques à la ceinture de son pantalon que tu retires avec une certaine violence. « Tu sais où elle mériterait de finir celle-là. » Bien entendu c'est une blague, mais tu aimes entretenir l’ambiguïté entre vous.
« Et c’est toi qui ose dire ça ? » répondit-il avec un sourire amusé quand elle le priait de ne pas être prétentieux. Parce que la modestie faisait partie des qualités de la somptueuse Eliot maintenant ? Il en doutait ! Tout comme l’abstinence ne faisait pas partie de ses projets pour l’année à venir, elle était bien placé pour le savoir, elle qui se retrouvait couché sur le matelas. « Non seulement sur le tien. Gardons quand même un certain standing » répondit-il avec suffisance avec qu’elle s’attelait à le désapé d’avantage, autant sa ceinture. « Autour de tes poignet ? » répondit-il avec un sourire espiègle. Etant donné les répliques acerbes et tranchantes prononcé précédemment concernant le fait qu’il voulait « être puni » nul doute que les mots de Deirdre tenté de sarcasme et d’ironie s’orienté plutôt vers ses fesses savamment musclés, mais c’est par jeu qu’il répondait à côté.
Ton sourire s'élargit lorsqu'il te demande si toi qui ose dire ça. Il est vrai que la prétention est rarement absente de ton verbe alors la petite pique te fait sourire simplement. Car oui tu es prétentieuse mais tu as tout simplement des raisons de l'être. Tu lui enlèves la ceinture avec une certaine dextérité et sa réponse t'arrache un rire léger. « Ne me tente pas ! » que tu rétorques en le regardant et en claquant un petit coup du cuir sur ses fesses. Oh rien de bien méchant. Tu laisses ensuite le morceau de cuir voler au travers de la pièce et prend ton élan pour le retourner et lui grimper dessus tout simplement. Tes doigts attrapent son pantalon puis son sous-vêtement si bien qu'il est maintenant débarrassé de tout tissu. Ton sourire s'accentue, c'est encore comme ça que tu aimes le mieux un homme. « Voyons, à quelle sauce vais-je te manger ? » Que tu demandes en t'appuyant sur son torse de tout ton poids.