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Si personnellement je me suis bien amusé à la soirée noël façon harry potter, y'en a une qui a fini aux urgences. Sybel. Et comme j'étais l'organisateur de la soirée, je n'ai pas pu l'accompagner jusqu'à l'hôpital. Mais j'ai été très inquiet, oui. J'avais un peu la tête ailleurs, comme si ma joie de vie avait disparue. Sybel est arrivée dans ma vie telle une lumière qui ne meurt jamais, et ce soir là, je l'ai bien senti, cette lumière qui était loin de moi. J'ai attendu de ses nouvelles et heureusement, elle avait encore la capacité d'écrire des messages. Je propose qu'on se voit. Pas forcément à cause de sa jambe dans le plâtre, mais parce que j'ai envie de la voir tout simplement. On a envie de se voir. Puis, c'est quand même la moindre des choses, en tant que vp de sa maison, de voir comment elle se porte. C'est la première fois que je vais chez elle, qu'on va l'un chez l'autre. Personne n'a le droit de venir dans mon appartement, dans ma chambre, dans mon intimité. Déjà, avec Phoebe, ça a pris le temps. Donc je suis plus à l'aise d'aller chez la brune. De toute façon, je vois mal comment elle peut se déplacer. J'arrive chez elle, je vérifie que c'est la bonne adresse et je sonne à la porte. Une fois. Deux fois. C'est lent. Mais j'y repense, elle a le bras dans le plâtre, elle ne peut pas bouger. La porte s'ouvre. « mais en fait, t'es complètement idiote ! t'aurais dû laisser une fenêtre ouverte pour que je puisse rentrer sans que tu aies besoin de forcer sur ta jambe pour venir m'ouvrir. » directement, trop protecteur moi. Bonjour, moi c'est Laszlo, comment allez-vous ? Je ferme la porte derrière moi et je m'empresse aussitôt de l'aider. « allez file au lit ! » je suis pas très tactile mais je c'est tout naturellement que je la porte en hauteur, pour qu'elle décolle ses pieds du sol.« merde, elle est où ta chambre ? où est-ce que je te dépose ? » lançai-je mi-pressé, mi-amusé par la situation. Elle me l'indique vite fait et je traverse l'appartement pour déposer ses fesses sur le bord de son lit. « ça va ? il faut que je relève ta jambe ? » qu'elle soit tendue sur un petit coussin ? Je ne sais pas moi, je ne suis pas docteur. Mais savoir qu'elle vient de se faire mal pour venir m'ouvrir, je me sens coupable. Peu importe. Je reste debout, les poings sur mes hanches et je la contemple. Putain, même avec une jambe dans le plâtre, elle reste resplendissante.
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Ouais, hier soir était supposé être une soirée parfaite en compagnie de Laszlo Griggs. Le bal de fin d'année de la Kirkland, thème Harry Potter en plus de cela enfin bref.. tout ne pouvait que bien se dérouler. Alors je comprends pas pourquoi je me suis retrouvée dans une telle situation. Ironie du sort, il a fallu que je donne une chance à la patinoire installée en fond de salle pour que les choses dégénèrent bien trop rapidement. Je vais pas épiloguer, cette jambe dans le plâtre est la constatation des dégâts que j'ai pu causé sur mes patins. Aussitôt que j'ai voulu prouver quelque chose - et je ne parle pas de savoir faire du patin mais bien de prouver que je ne suis pas qu'un boulet sur pattes, je me suis rétamée. Littéralement. Ma jambe formait un triangle rectangle. J'me noyais littéralement dans ma douleur, dans mes larmes qui skiaient sur mes joues sans que je puisse rien contrôler de tout ça. Puis je m'en fous de m'être affichée au beau milieu de la soirée en fait, ce qui m'emmerde c'est tout ce que ma maladresse engendre. Mais heureusement, y'a toujours Laszlo. Lui ne s'est pas cassé. Dans le sens où il a tenu à avoir de mes nouvelles, a même tenu à venir à l'appart. Je crois qu'en ce moment dans ma vie, c'est d'un Laszlo dont j'ai cruellement besoin ouais. Il me rend meilleure ce gars, c'est indécent. Il me fait me sentir meilleure. Laszlo c'est ma cure en gros. Je souris comme une conne devant l'écran de mon téléphone rien qu'à l'idée que cette journée aussi merdique qu'elle s'annonce va se constituer de sa présence. Puis ça toque alors je bouge mon cul du fatboy pour me précipiter vers la porte, agrippant mes deux béquilles pour m'y diriger tant bien que mal. Je lui ouvre finalement en manquant de me casser la gueule. Mais je prends appui sur la porte comme si de rien n'était, un sourire angélique sur les lèvres. « Parce que t'aurais escaladé l'immeuble jusqu'au deuxième peut-être ? » Je ricane en le découvrant protecteur, il me fait penser à Zed parfois sérieux. « Ouvrir une porte c'est rien, je suis une warrior moi. » Ouais bah pas vraiment en fait puisque je dois reprendre appui sur mes béquilles maladroitement après avoir voulu me dresser fièrement telle une apôtre, le défiant du regard. J'ai voulu jouer la docile mais non, il m'élève aussitôt dans les airs pour me porter. J'aimerais bien me débattre mais que voulez-vous, je suis morte de rire. Et handicapée accessoirement. Puis c'est pas déplaisant de me faire porter par Laszlo bien que je proteste. Hein, quoi ? M'avouant vaincue, je lui désigne ma chambre en soupirant avec ce sourire amusé sur la tronche que je n'arrive pas à effacer. Il me dépose enfin, moi j'dépose mes deux poings sur mon matelas pour m'installer comme je peux. « Non non, je suis bien comme ça. » Je grogne limite de douleur quand je laisse ma jambe retomber, je sais que c'est ridicule de lutter contre ma faiblesse évidente mais étrangement, je veux surtout pas qu'il s'inquiète pour moi. Je lève les yeux au ciel, m'avouant vaincue. « Finalement, je veux bien que tu mettes le pouf en-dessous s'il te plait. » Je dépose mon regard sur Laszlo, mi-amusée par mes conneries mi-embêtée par ma jambe qui me fait mal. Super mal. Mais depuis qu'il a franchi cette porte j'ai plus l'envie d'y penser en fait, je veux me laisser aller comme si de rien n'était, malgré mon handicap inattendu je veux pouvoir le rendre heureux. Sourire comme si ma jambe n'était pas dans un plâtre et que j'en souffrais, ouais, c'est ça que je veux faire.
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Je suis comme ça, j'aime déjà pas le sang, non, si je vois une goûte je m'écroule à terre comme une fillette. Alors quand je vois quelqu'un qui souffre avec sa jambe cassée, genre, os brisé, des bleus partout, berk berk. Heureusement, on ne voit rien avec le plâtre de Sybel. Elle a peut-être des bleus par-ci par là mais elle les cache bien. Bon sang, comment est-ce qu'elle a fait son coup ? C'est ma faute. C'est moi qui ai insisté pour qu'elle vienne à cette soirée, c'est moi qui l'ai invité. Et maintenant, je l'ai envoyée chez elle avec des béquilles, la laissant totalement dépendante. Je suis un mauvais type. Mais bon, on va essayer de remonter la cote. J'ai même pas pensé à apporter de la soupe ou des fleurs, que sais-je. A la Bree Vandecamp. Sauf que si elle me voit arriver avec un bouquet, elle va me rire au nez je crois. Son cadeau de convalescence : ma tronche. « eh... bien sûr que oui. » tentai-je de la convaincre, mais non, ce n'est pas très convainquant. Je la vois à peine tenir debout sur ses béquilles alors je la porte. J'ai surement un meilleur équilibre qu'elle à l'heure actuelle. « une sacrée warrior, bien sûr. je te rappelle que la glace ne t'a pas épargnée. » je grimace avec elle à la moindre pique de douleur. Ma pauvre. J'hoche la tête, je prends le pouf et je m'exécute en déposant délicatement sa jambe dessus. Elle est assise dans son lit, comme une mamie en maison de repos qu'on met au lit. « franchement, je vais te dire un compliment, t'es la fille la plus maladroite que je connaisse. » je rigole puis pour ne pas la laisser toute seule assise comme une conne, je fais le contour du lit pour m'installer de l'autre côté. Je retire mes chaussures, j'attrape un coussin et je le cale contre moi en me mettant à plat ventre, la tête levée vers elle. « j'me sens con... c'est de ma faute, c'est moi qui t'ai invité à cette soirée. maintenant, j'peux même pas t'inviter à sortir en boite. » petit sourire en coin, je regarde son plâtre, sans vie, blanc. Trop blanc même. « t'en as pour combien de temps ? » je fais une petite moue en espérant que ça ne dure pas des mois. Des semaines je veux bien, mais pas plus. Je veux retrouver ma Sybel énergique, en forme, pas estropiée de la sorte. Je vais m'ennuyer... je m'ennuie d'elle déjà. J'ai comme cette sensation d'avoir envie constamment de la voir. Elle me fait du bien cette gonzesse. Ouaip, malgré que mon coeur soit un peu moud à cause de ma meilleure amie et de mon ex, si on peut appeler ça une ex. Sybel c'est genre l'espoir que je croyais perdu. Et je veux pas merder, je veux pas me précipiter, d'ailleurs je ne sais même pas ce que je veux juste qu'elle aille bien, sa santé avant tout.
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Accoudée à la porte, Laszlo sait immédiatement comment me plaquer un sourire idiot aux lèvres à prétendre qu'il aurait véritablement escaladé mon immeuble. Moi j'y crois. Autant qu'il me croit quand je prétends être une warrior, au lieu de quoi il m'emporte jusqu'à ma chambre. Il marque un point : la glace m'a foutue par terre. Je lève les yeux au ciel, lui tirant la langue pendant qu'il m'installe le pouf dont j'ai terriblement besoin pour reposer ce boulet plâtré qu'est ma jambe. « Laszlooo ! » que je bronche en rigolant quand il me sort que j'suis la meuf la plus maladroite au monde.. Ok, il a raison là-dessus aussi. Forcée de l'admettre, je croise les bras en le suivant du regard. « Tu peux toujours m'inviter en boîte hein, si j'apprends à danser avec des béquilles, ça peut être gravement stylé. » Ouais c'est un peu désespérant car ça n'arrivera jamais. Je garde le sourire malgré ça, ça aurait pu être carrément pire - comme ça aurait pu être bien meilleur mais j'ai pas envie de m'en plaindre. « J'avoue en fait c'est trop ta faute, c'est pas du tout moi qui ai insisté pour qu'on aille à la patinoire alors que j'avais aucune foutre idée de comment on en faisait. » Voyons, Lasz. Faut pas qu'il soit stupide. Moi et ma maladresse sommes les seules responsables, il a pas à se blâmer. Je veux pas qu'on se sente mal pour moi, ça va passer. « Une trentaine de jours dans le plâtre et après j'ai encore deux semaines d'arrêt pour la danse. » Ah bah ouais parce que je danse, en fait. H24. C'est mon cursus mineur à Harvard d'ailleurs hein, mais bon, j'ai pas le choix de me mettre en retrait. Encore une fois j'ai pas envie qu'on ait pitié de ma situation. C'est ridicule, ça arrive à tout le monde et pour le peu de temps que je vais me trimballer ça c'est loin d'être la fin du monde. J'vais pas mettre ma joie de vivre en pause pour un truc aussi stupide. Surtout pas. Mais aujourd'hui je peux pas le nier, j'ai mal ok ? Heureusement que j'ai Laszlo putain, il me rend si joyeuse que j'en oublierais la douleur sérieux.
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Je m'amuse à l'écouter parler. Elle a cette intonation qu'elle prend, elle est super expressive, je peux passer des heures à l'écouter, je m'en lasserais pas. Je ris en l'imaginant essayer de danser en boite avec ses béquilles et son plâtre. Mais bien sûr, elle va inventer la danse du nouveau moon walk peut-être ? J'ai l'art de tout faire pour que les gens s'éloignent de moi et la chute de Sybel en fait partie. Je m'excuse, je tiens vraiment à m'excuser. « t'osais pas me dire que t'en avais jamais fait, c'est ça ? » et je me sens encore plus coupable quand elle me dit qu'elle ne peut plus danser, temporairement. Oh non, la pauvre... Je me pince les lèvres et je baisse le regard. Puis, trop mal à l'aise, j'enfonce ma tête dans son oreiller pour me cacher, et je dis d'une petite voix à peine audible : « je suis un homme cruel. » ouais, et pas qu'un peu. C'est comme toi Laszlo, si on te casse les mains, tu peux plus geeker, tu peux plus te branler devant un film de boule, ta vie est fichue. Quoi ? La passion de Sybel c'est la danse, moi le porno, y'a quoi ? Je renifle puis je roule sur le dos en regardant le plafond, désespéré. « qu'est-ce que je peux faire pour me pardonner ? » de quoi tu as envie ? Que j'aille te chercher des chocolats au marché de noël ? Qu'on regarde un film trop girly ensemble sur netflix ? Dis-moi, je suis prêt à tout pour toi baby, tu ne le sais pas encore, mais tu le sauras très vite.
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Je lève les yeux au ciel, la mine amusée lorsque Laszlo me demande si je n'avais pas osé lui dire que j'en avais jamais fait. Je sais que j'avais l'air d'un bambi sur la glace mais quand même. « J'en ai déjà fait ! Une fois et.. j'avais cinq ans. Sauf que y'avait des petits pingouins auxquels on se tenait pour tenir debout. » Je mime alors le bordel un peu rêveuse, car j'aurais bien aimé des pingouins d'un mètre soixante-dix pour m'aider ouais au lieu de me retrouver avec la jambe dans le plâtre. Mais non, j'ai voulu jouer les débrouillardes. Quand je vois Laszlo baisser le regard pour s'engouffrer dans un de mes oreillers, j'culpabilise un peu car il se croit responsable de ma maladresse. S'il savait.. J'ai deux jambes gauches de naissance, savoir danser pour moi c'est un miracle et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je suis obsédée par ça j'pense. « Arrête de chouiner ou j'vais commencer à croire que c'est toi qui t'es humilié à la patinoire. » On avait pas grand public personnellement hein mais ma crise a attiré pas mal de regards et ouais, j'ai attisé l'embarras sans même le vouloir. La belle affaire n'est-ce pas, vous m'enviez dans ces moments-là j'suis sûre. Finalement il a suffi qu'un abruti plaide ma chute comme un défi pour mon bizutage pour que cette dernière désintéresse tout le monde. Tant mieux dans un sens mais j'aurais préféré cette version des faits à vrai dire. « Tu peux te péter la jambe à ton tour si tu veux ! Et on se signera mutuellement nos plâtres à longueur de journées pour qu'elles deviennent des œuvres d'art qu'on voudra plus jamais quitter. Et au final on finira notre vie avec nos plâtres pour se remémorer ce bal jusqu'à notre mort. Ce serait hyper romantique, tu trouves pas ? » Que je déblatère après qu'il m'ait demandé ce qu'il pouvait faire pour se faire pardonner, comme s'il avait commis l'irréparable. J'arbore un regard pensif et excité tandis que je n'en pense mot. D'ailleurs j'ai un peu peur qu'il me prenne au sérieux -on sait jamais, ce gars c'est l'inattendu- alors je termine ma phrase sur un rire « Ou sinon, tu peux juste me tenir compagnie comme tu le fais à présent, ça me va très bien. » T'as le choix Griggs mais dans tous les cas, j'veux pas que tu t'en ailles.
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J'éclate de rire quand elle me dit que la première fois qu'elle est montée sur la glace c'était avec des pingouins pour enfants. Non mais moi, je suis mort de rire, j'en peux plus de cette fille. Elle est drôle au naturel et je suis sûr qu'elle ne le fait même pas exprès. Je rigole tellement avec elle... j'espère qu'elle ne pense pas que je me fous de sa gueule. Nope, je tiens vraiment à ce qu'elle perce à la télé avec son humour moi. « d'accord, j'arrête ! » je relève la tête vers elle, fait semblant de sécher mes larmes et je souris, je fronce un sourcil, je lève le deuxième, face à ce qu'elle me raconte. Ok donc je lui propose de me faire pardonner et elle, elle va direct dans l'excès. Tu lui donnes une main, elle te prend l'bras. « t'es une romantique toi en fait ? » j'en apprends un peu plus sur elle chaque jour et les découvertes sont de plus en plus intéressantes. Je regarde son plâtre et j'y pose mon doigt pour y sentir la texture. « si tu attends que je sois romantique avec toi, je dois réfléchir au poème que je pourrais t'écrire sur la jambe. » bah quoi, elle me tend une perche, moi je la prends. Puis... c'est une façon de lui montrer qu'elle me plait, really. Tout en finesse, car moi, je suis tellement nul pour dire ce genre de truc. Déjà le message 'je veux te voir', il m'a fallut une heure de stress et d'angoisse avant d'appuyer sur 'envoyer'. Je glisse mon doigt sur le plâtre en faisant semblant d'écrire. « ou alors je pourrais dessiner des dessins pas très catholiques, comme ça tu oseras pas sortir de chez toi et il n'y aura QUE moi qui pourra venir te voir. » lançai-je fièrement en posant mon menton dans le creux de ma main, amusé. et tendu. Tu vois Sybel, ce genre de phrase à la noix, c'est lourd de sens au fond, même si tu ne peux pas forcément le voir tout de suite.
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Laszlo a un rire communicatif faut croire. Ouais, lorsqu'il se moque à mes affabulations stupides je peux pas m'empêcher d'éclater de rire à mon tour car je suis trop drôle, m'voyez. Il s'arrête de chouiner comme une gonzesse d'ailleurs, ce qui par satisfaction dessine aussitôt un sourire idiot sur mon visage. Puis il est plus beau quand il sourit que lorsqu'il fait son caprice de diva - en fait non, qu'est-ce que je raconte : dans les deux cas Laszlo il est putain de canon. « Apparemment » Que j'admet d'un pincement de lèvres, mais alors une romantique éperdue qui a cru que la vie c'était un kiwi. Puisqu'avec mon pseudo-romantisme visiblement je fais qu'emmerder mon monde hein, ce même romantisme sur lequel j'suis sensée rejeter la faute du fait que j'ai pas su résister à embrasser la petite amie de mon frère jumeau il y a deux ans par exemple, c'est ça ? Il y a sûrement pire encore c'est pour dire, j'ai une masse excessive d'amour à donner et pourtant dès que j'le fais c'est aux mauvaises personnes. Dans de mauvaises intentions et circonstances. Donc ouais, si j'pouvais m'exploser le cœur j'crois que je le ferais. D'un autre côté c'est cette passion qui m'invite à danser, à écrire, à faire à peu près tout ce que j'aime dans la finalité et.. j'pourrais clairement pas m'en passer physiquement et spirituellement parlant. Okkkk j'm'égare dans des pensées cuculs là, c'est les anti-douleurs m'font halluciner j'crois. « J'attends que ça à vrai dire. » J'atterris aussitôt sur Terre, les paumes rosées à l'idée que Laszlo Griggs m'écrive un poème. Il a tout compris à la vie le con, sous son air constant de paumé. « Si tu me crois incapable de sortir avec un phallus dessiné sur ma jambe Griggs, alors tu me sous-estimes. » Ce serait vexant, pour ne pas dire qu'il me connaît très mal. À l'inverse d'ailleurs, j'crois même qu'il sait qu'avec même un million de trucs pas très catholiques sur ce plâtre je m'afficherais s'il le faut, toute fière. « Dans tous les cas Laszlo j'pense que tu es la seule personne que j'veux voir que ce soit dans quelques heures, demain, tout le mois et toute l'année si possible. » J'ai compris ses intentions, sa bonté à travers son humour qui me fait m'sentir mieux dans les pires moments et j'suis tellement touchée en fait. Du fait que Laszlo soit là pour moi, toujours sans que je n'ai à réclamer sa présence. Car autrement je le ferais, j'crois que je deviens sérieusement accro à ce petit gars à force. Oui, je m'habitue à sa générosité, tant que ça pourrait en devenir lourd pour lui, qu'il m'abandonnerait lui aussi ce que, sans aucun doute, je regretterais au plus haut point de mon existence.
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Je peux pas m'empêcher de me sentir responsable de la voir comme ça, étendue dans son lit, son pied dans le plâtre, incapable de faire un truc cool en dehors de chez elle. Elle m'inquiète, oui, j'ai pas arrêté d'être inquiet pour elle depuis que je l'ai vue tomber sur la glace. Franchement Laslzo, t'as cru au petit jésus ou quoi ? Non parce que, une fausse patinoire pendant une soirée, c'est les casses-gueules assurées des gens bourrés. Maintenant que j'y pense, je trouve que ce n'était pas la solution la plus adéquate. Je m'en excuse. Je peux au moins passer du temps avec elle. Elle est d'accord pour tolérer ma présence, même si... au fond, elle comme moi, on sait qu'on est content de se voir, qu'on en a envie. Mais on est trop pudique pour se le dire. Sybell, si je pouvais voir sa tête tous les matins en me réveillant, je l'adopte sans hésitation. Elle peut être mon animal de compagnie mais je pense qu'elle prendrait cette invitation assez vexante. Tu m'étonnes, qui a envie de prendre la place d'un chien ? Ne t'en fais pas ma jolie, tu vaux beaucoup plus que ça. Je rigole en examinant le plâtre immaculé de la demoiselle. « roh tu déchires ! où est-ce que je peux choper un feutre ? » je quitte son lit, je me permets de regarder dans sa chambre et je trouve un marqueur noir qui pourra faire l'affaire. Je retire le capuchon que je coince entre mes lèvres et je viens de nouveau m'appuyer sur les coudes, prêt à taguer sa jambe cassée. Je commence à faire des petits gribouillis, puis des smileys, des maisons, bref, je dessine un peu de la merde mais ça m'amuse. Je m'interromps et je lève doucement le regard vers la brune. Ce qu'elle me dit, ça me touche. Peut-être qu'elle exagère, qu'elle ne le pense pas, qu'elle le dit car ça fait juste joli à entendre pour les oreilles. Mais, je sais pas, elle m'intimide là. « genre vraiment, la seule de la seule ? » je reporte mon attention sur le plâtre et inconsciemment, je dessine un petit coeur. Je vous jure ! Mon esprit divague. On essaye de me dire quelque chose ? Lorsque je m'en rends compte, je colorie grossièrement ce coeur pour qu'il ne devienne plus qu'un gros point noir. « merde, je suis vraiment en train de mochétiser ta jambe. » mochétiser oui, nouveau mot du dictionnaire Griggs. Et comme promis, je dessine un phallus, un petit, mais assez grand pour qu'elle puisse le voir dès qu'elle regarde ses orteils. Je souris, je ferme le feutre et je joue avec entre mes doigts. J'ai même pas fait gaffe qu'il y avait de l'encore dans le capuchon, ce qui explique pourquoi j'ai un sale goût dans la bouche. Ah et j'en ai partout sur le coin de ma lèvre. Un vrai gosse.

@sybel burgess
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