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Guardian Angel ღ Alban

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Ce soir tu te la joue solo. Tu as envie de profiter d’une soirée tranquille à te laisser bercer par tes propres désirs. Lorsque tu sors en compagnie de tes amies, tu te prends toujours un défi ridicule, celui visant à ramener tel ou tel homme chez toi, mais cette fois, tu as juste envie de t’éclater sur le dance floor en savourant quelques verres. Tu as opté pour une petite robe noir classique. Pas le truc hyper osé, juste ce qu’il faut pour susciter l’intérêt de la gente masculine. Tu fais connaissance avec quelques clients régulier de la place entre deux danses inspirantes. Tu rigoles, batifoles, sans vraiment te soucier du reste, hormis ce charmant serveur qui t’es tombé dans l’oeil. C’est la première fois que tu le vois celui-là Peut-être est-ce parce que tu n’as jamais réellement porté attention avant aujourd’hui, trop occupée à ne pas perdre la face devant tes amies, mais autant dire qu’il ne te laisse pas indifférente avec son petit sourire en coin. Il a ce je ne sais quoi qui attire ton oeil et ce n’est pas tant par son physique, mais aussi dans sa façon d’être. Il n’a pas l’air d’un gros lourd qui drague toutes les femmes qui passe devant son comptoire en mode salope en chaleur. Lorsque son regard croise finalement le sien, tu lui décroches ton plus beau sourire avant de détourner le regard en faisant voler ta longue tignasse blonde qui retombe en cascade sur tes épaules jusqu’à la moitié de ton dos. . Tu continues de danser en jouant le rôle de la fille pas du tout intéressée en espérant que ça ait un quelconque effet sur lui, mais plutôt que de le voir apparaître près de toi lors de sa pause détente, c’est un autre homme qui t’accoste en te tendant un verre. Tu mets un terme à ta session de danse, haletante. Autant dire que l’alcool t’a légèrement brouiller les esprits. Tu as baissé ta garde, tu n’es plus tout en contrôle de tes actes, ni de tes pensés. Tu n’es plus aptes à refuser une boisson si gentiment offerte tandis qu’elle renferme la drogue du viol. Tu remercies le jeune homme en question avant de savourer quelques gorgées de ce breuvage aux propriétés enchanteresses.
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Bosser dans un bar, c’est pas le truc qui me dérange le plus. Ca me permet de voir des gens plutôt que de rester enfermé dans ma chambre ou mon studio a essayer de produire quelque chose. Depuis la sortie du second opus, je prends du temps pour moi, je compose ce qui me vient en tête, mais l’idée d’un troisième album n’a absolument pas commencé à faire son chemin. Il me faut du temps, de l’inspiration et pour le moment, cette dernière manque un peu à l’appel. Ca ne m’empêche pas de gratouiller de temps en temps ; la musique reste un de mes passe-temps favoris, mais vraiment, voir autre chose qu’une guitare, un synthé ou un micro, ça me change. Ce soir, c’est un peu le rush, il y a beaucoup de monde. A croire que tout le monde s’est donné rendez-vous au même endroit. Pourtant, rien de spécial, pas de soirée particulière non plus. De temps en temps je balaie la salle du regard, je me concentre sur mes boissons et essaie de me dépatouiller comme je peux avec les commandes que me lance ma collègue. Quand elle est débordée, je n’hésite pas à apporter les boissons aux tables et à en débarrasser d’autres. Il y a du beau monde, je ne fais pas attention à tout le monde, mais je repère deux ou trois visages : certains habitués, des demoiselles qui m’ont adressés la parole alors qu’elles n’avaient rien de vraiment intéressant à me dire, et puis il y a cette fille. Je me suis pris une gifle mentale en la voyant, non pas par sa beauté qui ne pourrait laisser indifférent un homme, mais surtout parce qu’elle lui ressemble. Beaucoup trop. Pendant plusieurs secondes je la fixe et une vague de souvenirs me reviennent. Des souvenirs pas forcément joyeux, carrément douloureux, et je les oublie aussitôt. Ma collègue me ramène au moment présent et je m’oblige à me remettre au travail, en essayant d’oublier ce qui m’avait attiré chez Melissa autrefois. J’oublie la France, j’oublie le mariage, j’oublie les éclats de rire. C’est pas elle, ça ne sera jamais elle. A plusieurs reprises, mes yeux la cherchent, alors que ma tête m’oblige à rester concentrer et puis finalement j’abandonne mon poste pour prendre ma veste. Pause, j’en ai besoin. Dehors il fait froid, mais ça fait du bien. J’allume ma clope et tente de me recentrer sur l’endroit, sur le moment et surtout sur mon travail. Ma cigarette m’aide à me calmer, finalement je m’accroupi contre le mur à l’extérieur. Je regarde les quelques âmes encore debout passer le temps de terminer mon auto-suicide et à force de tirer sur le mégot, je me sens un peu plus détendu, un peu moins stressé. Un type sort du bar accompagné d’une fille. Je reconnais la blonde de tout à l’heure qui tient à peine sur ses jambes. Tout à l’heure, elle dansait elle ne semblait pas si entamée. Je les suis du regard alors qu’il l’emmène dans la ruelle non loin de là et termine ma clope. Je me repasse mes dernières minutes de service en tête et je la revois danser, assez réactive pour sourire, pour danser, pour profiter. En rentrant, mon boss m’attrape au vol pour me demander de sortir les vidanges sur le côté du bâtiment, je m’exécute. A nouveau je tombe sur les deux mêmes personnes et mon impulsivité me pousse à m’en mêler. « Lache-la » criais-je en poussant le gars. « Vas-y on s’amuse, mêle toi ton cul mec » je regarde la fille en question. Il se paie ma tête ou quoi ? J’attrape le type par le col et le colle contre le mur « Ah ouais ? Tu trouves qu’elle a l’air de s’amuser ?! » Je prends son visage dans une main et le force à la regarde. Sans scrupule j’en profite pour lui balancer violemment mon genoux dans les couilles et ajoute « Tu réfléchiras à deux fois avant de t’en servir la prochaine fois, battard » A mon tour, je porte délicatement la demoiselle pour l’installer dans une pièce voisine où elle ne craint rien, et relativement désaxée du bruit. Ma collègue m’apporte un verre d’eau, malgré tout, j’essaie de communiquer avec la demoiselle « ça va ? » je doute d’avoir une réponse, ou quelque chose de cohérent
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Tu savoures l’intégralité de ton shirley temple tout en te laissant aller au rythme de la musique. Ton corps remue selon la variation des gammes, suave, sensuelle, une musique du sud, des tropic. Le rythme que tu préfères, propice aux rapprochements. Ton regard cherche une énième fois ce charmant barman qui semble s’être volatilisé et c’est avec une petite moue sur le visage que tu t’abandonnes entre les mains de ton généreux donateur. Tu as des bouffées de chaleur, tu sens le rythme de ton palpitant s’accélérer considérablement et ce n’est pas une bonne chose pour une personne diagnostiqué avec une insuffisance cardiaque. Tes sens sont décuplés, tu ressens les choses avec beaucoup trop d’intensité sans parler de la bonne quantité d’alcool ingurgité avant ce verre fatidique. Tu t’accroches désespérément au cou du type en question, ton corps semble peser une tonne, voir deux. Tes paupières se ferment, tu te sens défaillir. Il te propose de sortir et toi comme une idiote tu te contente d’agréer à sa proposition. Tu le suis tant bien que mal jusqu’à l’extérieur de l’établissement, totalement inconsciente. Tu trembles de froid, tu as perdu toute notion du temps et de l’espace, incapable de réagir pour contrer les gestes déplacés qu’il pose sur toi. Ta tête oscille de gauche à droite, tu as mal au coeur. Tu sens une bretelle de ta robe glisser le long de ton bras, le bas de ton vêtement remonter jusqu’à ton intimité. Tu as les yeux clos, tu peines à tenir sur tes deux jambes. Tu n’as pas vraiment conscience de ce qui se dit juste à côté de toi, l’altercation entre les deux hommes, ton beau barman venu à ton secour, dommage pour toi, tu ne te souviendras plus de cela demain… Tu changes de partenaire et retourne à l’intérieur ou le bruit ne vient pas comprimer tes tympans. Tu t’allonges sur le canapé, tu as l’impression d’être en mer un soir de tempête tellement tu as mal au coeur et que tu es étourdie. ‘’ Dormir, j’ai envie de dormir… ‘’ Marmonnes-tu tout en laissant une de tes mains glisser sur ton visage de porcelaine, te redressant ensuite pour prendre quelques gorgées d’eau fraîche qui te fait frissonner jusqu’à la moelle. Après avoir laisser le verre se fracasser en milles morceau sur le sol, ta tête tombe lourdement contre l’épaule du brun. Son délicieux parfum chatouille tes narines, une odeur à la fois douce et réconfortante. Tu frottes le bout de ton nez contre la peau fine de son cou et fait passer tes jambes au-dessus les sienne de sorte à venir déposer ton galbe ferme sur les cuisses du bellâtre, celui qui t’a sauvé d’une fin désastreuse, ton ange gardien.
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Ma collègue est un ange, elle arrive à assurer le service avec mon autre collègue uniquement, pendant que moi je suis ici avec cette fille. Je ne sais rien d’elle, pas même son prénom ; je sais juste qu’elle a de la chance que mon boss soit un gros maniaco. Si ça n’avait tenu qu’à moi, les vidanges auraient attendu la fin du service. L’autre type s’est barré, heureusement ; j’imagine qu’il n’avait pas espoir de pouvoir remettre les pieds ce soir avec ce qu’il a fait. J’explique à mon patron l’histoire, et il comprend le pourquoi je ne me trouve pas derrière le comptoir actuellement. Elle a l’air complètement dans le cake, avec mon patron on pense directement au GHB. Après tout, il était à deux doigts d’en profiter si je n’étais pas apparu, là je crois qu’il s’en mord les doigts étant donné le coup de genoux que je lui ai infligé et au bon endroit, sans aucune pitié. Mon patron me dit qu’en général, l’effet de cette drogue dure une bonne heure, mais que ça n’aide pas à retrouver la mémoire. Elle ne s’en rappellera pas, c’est peut-être pas plus mal étant donné qu’au final, elle y a échappé belle. Le verre d’eau que je lui ai tendu finit par terre et ma collègue qui vient jeter un œil de temps en temps se charge de ramasser. « Alban, elle peut pas passer la nuit ici » Peut-être, mais je la connais pas, je sais pas si elle est venue toute seule ou pas, je ne sais pas où elle vit, rien. Je ne m’attends pas non plus à ce qu’elle me grimpe dessus et grimace en sachant que là, tout de suite, la fin de mon service est compromise. Ma collègue me fait signe de partir, qu’elle terminera toute seule avec l’autre barman. Après tout, l’endroit commence doucement à se vider, il y a moins de monde. J’installe la demoiselle sur la banquette arrière de ma voiture, le temps de rentrer jusque chez moi. Je vois déjà la tête de Moses lorsqu’il se retrouvera face à … à je ne sais pas comment elle s’appelle, alors jusqu’à ce que j’apprenne son prénom, je décide de l’appeler Blondie. C’est déjà mieux que « la fille ». Au feu rouge, je me retourne vers la banquette arrière de ma voiture et la regarde. Elle semble paisible et la seule chose que je garde en tête ce n’est pas tellement l’endroit où je vais la faire dormir, mais plutôt la ressemblance frappante avec Melissa. J’essaie pourtant de me convaincre que c’est moi qui fabule, mais non, vraiment. Arrivé en bas de l’immeuble, je la réveille pour l’aider à descendre, et m’assurer qu’elle ne loupe pas une marche. Une fois en haut, j’évite de faire du bruit « On est chez moi, je peux pas te laisser repartir comme ça. Mais mon coloc dort probablement, donc on va éviter de rameuter tout l’immeuble si tu veux bien » lui dis-je à voit basse. J’ose espérer qu’elle ne va pas se mettre à chanter un opéra, ou qu’elle ne va pas crier au kidnapping, sans quoi je suis dans la merde. Dans ma chambre c’est plus ou moins rangé, des cours trainent ci et là, des feuilles aussi parfois. Mon regard se pose sur le réveil : il est passé 5 heures, j’ai pas le choix que de la faire dormir dans mon lit. Je cherche un tee shirt dans mon armoire et le lui tend « Y’a une salle de bain juste à côté quand tu sors de ma chambre si tu veux » Et moi ben… Je me contente du canapé j’imagine…
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Il y a un gros trou noir entre l’instant ou tu te poses sur les genoux du barman et le moment ou il te réveille pour te faire sortir de sa bagnole. Endormie, tu peines à ouvrir les yeux. Tu ne sais pas ou tu te trouves exactement, tu n’as jamais vu ces building avant aujourd’hui. Tu restes silencieuse, luttant contre cette envie désagréable et oppressante de vomir et grimpe les escaliers à pas de tortue, comme une enfant à qui on apprend à marcher. C’est pénible et il fait un froid de canard dehors. Le bel apollon prend parole une fois posté devant la porte de son appartement et toi tu l’écoutes, regard évasif. Tout ce que tu veux, c’est dormir, rien d’autre. Ta tête remue de bas en haut en guise de réponse, tu as du mal à prononcer deux mots, qu’est-ce qu’il s’imagine celui-là ? Ton corps tangue, tu es ivre, déchirée, lessivée. Pas le temps de regarder la déco, si le ménage est fait, de deviner s’il va te baiser sur le canapé, sur la table de cuisine ou dans son lit, toi tu veux te pieuter et rêver jusqu’au petit matin. Il te guide jusqu’à la première porte ouverte du couloir, il pénètre dans la pièce et ressort avec un t-shirt qu’il te tend gentiment. Tu examines le bout de tissus, le fait rouler entre tes doigts, il s’agit de coton… tu ne dors pas là-dedans ! Tu préfères toutefois garder le silence, ce n’est pas le temps de faire ta capricieuse avec un gars que tu connais à peine, même si tu te fiche bien des conventions. Tu es une petite reine… juste que ta courrone à quelque peu dégringolée ce soir. ‘’ D’accord. ‘’ Souffles-tu en portant le vêtement juste sous ton nez pour humer la délicieuse odeur qui embaume ce t-shirt. Avec ça, tu risques de bien dormir, oui. Après l’avoir vaguement remercier, tu tournes les chevilles pour te rendre dans la pièce indiquée, mais plutôt que de tourner à gauche, tu ouvres la porte sur ta droite, celle qui mène directement dans la chambre de son colocataire. Tu n’ouvres pas la lumière au risque de te faire éclater les globes oculaires, mais fonce dans un coffre posé au pied du lit. ‘’ Merde, mais c’est quoi cette salle de bain pourrie ! ‘’ Tu jures, tout en retirant ta robe qui glisse le long de ton corps jusqu’au sol. Poitrine dénudée avec comme simple vêtement, un string en dentelle rouge, tu sors de la pièce, tête coincée dans la manche du truc. ‘’ Tu pourrais pas m’aider… ? ‘’ Tu fonces dans le mur par la même occasion, poussant une légère plainte de mécontentement, franchement agacée.
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Je vois bien qu'elle reste perplexe face au t-shirt que je lui tends. En même temps, j'ai pas de nuisette dans mon armoire ; je me prends rarement un kiff de dormir dans ce genre de fringue uniquement destinés aux femmes et je ne garde aucun souvenir des nanas oubliant des trucs chez moi. J'ai assez avec mes affaires que pour faire une buanderie spéciale « vêtements retrouvés » des nanas que l'on ramène moi ou mon coloc. On devrait peut-être y penser, c'est vrai, mais pour le moment c'est pas encore au gout du jour.  En lui expliquant la direction, je ne fais pas vraiment attention à celle que Blondie prend, un peu trop occupé à ranger un peu, bien qu'elle m'a l'air encore un peu trop dans le gaz pour capter quoi que ce soit. Je vire mon pull et mon t-shirt, jusqu'à présent, on a évité de réveiller tout l'immeuble, c'est pas plus mal. Avec un peu de chances, Moses n'a aucune idée de ce qu'il se passe actuellement dans les pièces voisines de sa chambre et je ne vois pas comment lui expliquer toute l'histoire en restant crédible. En entendant la voix de Blondie, j'arque un sourcil, et grimace en voyant la porte de la chambre de Moses ouverte « Putain, j'suis con. » c'est ce qui sort de ma bouche en me disant que j'aurais dû prendre soin de l'emmener moi-même jusqu'à la salle de bain. Je vais récupérer mon invitée... à poil et prend la peine de refermer la porte de mon coloc en posant un doigt sur la bouche de la demoiselle qui me demande de l'aide « chuuuut » j'évite de poser mon regard sur son corps alors que je sens déjà que popol est prêt à s'emballer. « C'était l'autre gauche, Blondie... » Avec ce grabuge, si Moses n'est pas éveillé, c'est qu'il a vraiment un putain de sommeil de plomb. J'entraine mon invitée dans la bonne pièce et prends soin d'allumer la lampe afin de lui éviter d'abimer son beau visage contre tous les encadrements de porte et puis l'aide à enfiler le t-shirt un peu trop long. Cette nana a un corps de compet, et je me gifle mentalement en la regardant alors que je la sors tout juste d'une tentative de viol. « T'es belle... » me contentais-je de dire.  Je frôle sa taille avec ma main pour m'assurer qu'elle ne retourne pas rejoindre Moses, mais plutôt ma chambre « T'as besoin de quelque chose ? Tu veux un pull ? » je ne lui ai donné qu'un t-shirt, peut-être a-t-elle froid.
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Tu es très à l’aise avec ton corps, tu n’as aucun scrupule à le montrer, voir littéralement l’exposer, quoi que dans le cas présent, rien n’était prémédité. On est bien loin de l’aguicheuse classique qui retire ses vêtements en mode effeuilleuse pour épater la galerie et faire salier la gente masculine. Tu es le genre de dame gracieuse, qui prend soin de son image, de son apparence, tu ne laisse rien en reste et autant espérer que tu ne te souviennes de rien à ton réveil, tu t’en voudrais énormément d’avoir eu l’air d’une quiche devant le joli barman de tes rêves. Tu percutes un mur, pousse un juron dans la foulée, aveuglée par ce bout de tissus qui obstrue ta vue. Alors que tu étais sur le point de t’énerver, tu sens le doigt de ton sauveur se poser sur tes lippes. Tu te tais instantanément et te laisse tout simplement guider par lui jusqu’à la salle de bain. Il te vient en aide, une seconde fois et tu pousses un long soupir une fois couverte de son vêtement. Il te faut quelque temps pour t’habituer à la clarté de la pièce, mais toute ta mauvaise humeur s’estompe en voyant le joli visage du bellâtre. ‘’ Merci… ‘’ Souffles-tu le rouge aux joues. Tu sais qu’il dit ça pour te faire plaisir, tu as l’air de rien dans ces fringues beaucoup trop grandes pour toi. ‘’ Tu es pas mal non plus. ‘’ Torse nu comme ça, musculature saillante. Tu pinces tes lèvres entre-elles tandis que sa main effleure ta taille. Ton corps toujours sous l’effet de la drogue réagi doublement à ce contact anodin, te faisant ainsi vibrer de tout ton être tandis qu’un long frisson te parcourt l’échine. Une fois dans sa chambre, tu ne perds pas de temps en venant de poser face à lui, mains à plat contre ses pectoraux que tu caresses de la pulpe de tes doigts. Contact discret, mais efficace. ‘’ Tu comptes me laisser dormir seule ? ‘’ Demandes-tu en affichant une petite moue tristounette. ‘’ Tu n’as pas peur que je me trompe de porte à nouveau et que je me retrouve dans la chambre de ton colocataire ? ‘’ Tu bats des cils, en arborant un visage d’ange et quitte le jeune homme pour aller t’allonger sur son lit sans déloger billes lunaire de cette beauté qui se tient debout devant toi. ‘’ Je crois sincèrement que tu sera beaucoup plus efficace qu’un pull… ‘’ Un petit rire caresses ta gorge tandis que tu tends la main dans sa direction, l’invitant ainsi à venir te rejoindre. ‘’ Tu dois faire une cuillère parfaite ! ‘’ Et pas que, il doit être un amant hors paire, mais ça tu le garde pour toi puisque tu n’es clairement pas en état de penser à ce genre de chose pour le moment.
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Je pense que dès le lendemain matin, Moses va me parler de cette fille. Ou de ce qu’il a vu. Pourtant je me suis empressé de la reprendre de mon côté, mais le manque de discrétion a fait qu’il s’est réveillé face à une paire de seins et de fesses totalement inconnus. A sa place, j’en aurais profité ; encore que j’en profite un peu bien que j’aime autant me gifler mentalement à chaque fois que mon regard se pose sur les formes de Blondie. Je n’hésite d’ailleurs pas de le souligner, peut-être parce que je ne sais pas si elle se rappellera quelque chose le lendemain. A mon humble avis, elle est toujours un peu sous l’effet du GHB, peut-être plus autant, mais un peu quand même. J’en ai joué, en sachant qu’une fois sobre, je ne le lui aurais pas dit comme ça. Pas aussi simplement, rapidement ou ouvertement. Sa ressemblance avec Melissa est plutôt frappante et ça me perturbe, un peu trop, beaucoup trop. J’ai peur d’être envouté par ce souvenir, plutôt que par la demoiselle que j’ai ramenée et pourtant elles n’ont pas la même personnalité pour le peu que j’en ai vu de mon invitée.  Dans ma chambre, ses mains se posent sur mon torse et moi j’ai envie de me perdre dans son regard. Un million de choses me reviennent à l’esprit, et pourtant j’ai l’impression de me perdre dans une folie que je ne maitrise plus. ‘Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis’ voilà ce que disais Victor Hugo ; les souvenirs ça nous bouffe de l’intérieur, ça me bouffe de l’intérieur. Je sens ses doigts effleurer ma peau et ne la quitte pas des yeux. Un léger sourire en coin se dessine sur mon visage face à cette mine déconfite « Je crois que tu as déjà fait parler de toi » lui dis-je à propos de Moses. Je sais qu’il m’en parlera, je le connais et c’est pas toutes les nuits qu’une nana déboule à poils dans sa chambre alors qu’il n’a rien demandé. Je la regarde s’éloigner et suis tous ses faits et gestes, y compris lorsqu’elle s’allonge sur mon lit. Elle est désirante, plus encore lorsqu’elle me tend sa main pour m’inviter à la rejoindre. Sans la quitter des yeux, je vire mon jeans. Je m’en fous, je crois qu’à partir du moment où je l’ai vue à poil dans ma salle de bain, on a dépassé le stade de la pudeur. Je la rejoins dans mon lit et, allongé sur le flan, tourné vers elle en prenant appui sur ma main, je la contemple. Je la détaille du regard en prenant soin d’admirer chacune des petites parcelles de son visage « Une cuillère ? » je ris en ayant une pensée lubrique. Je caresse sa joue avec mon pouce alors que mes yeux ne la quitte pas « C’est quoi ton prénom ? » J’imagine que ce n’est pas Blondie, même si pour le coup ça lui va bien. Je crois que j’ai envie de l’embrasser, mais avec ce qu’elle a vécu ce soir j’évite d’aller trop loin et de la brusquer. C’était pas moi, le violeur, c’était l’autre. Moi je suis l’espèce de bonne poire qui l’a ramené chez moi, puis dès demain elle ne saura même plus qui je suis et chacun reprendra sa vie comme avant. « Demain tu ne sauras même plus qui je suis. Tu oublieras ce que tu fais là, pourquoi t’es là. Comme t’oublieras que là, tout de suite, j’ai envie de t’embrasser mais je me retiens, parce que c’est déplacé sans doute. » j’ai pas envie qu’elle pense que je profite. Je sais que demain, même en étant sobre j’aurais envie de caresser ses lèvres avec les miennes, mais demain je ne serais qu’un inconnu.
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Tu as l’habitude qu’on parle de toi. Que ce soit en bien ou en mal, l’important c’est qu’on en parle, du moins, c’est ce qu’on dit. Le nom que tu portes a le mérite d’attirer les curieux, les langues sales, tes moindres faits et gestes sont épiés, rapportés et interprétés selon le bon vouloir de monsieur et madame tout le monde.  Allongée sur le lit, tu tends la main à ton sauveur pour l’inviter à te rejoindre. Un fin rictus vois le jour sur ton faciès aux traits étiré par la fatigue lorsqu’il retire son pantalon, exhibant ainsi son corps pratiquement nu. Tu ne peux t’empêcher de le détailler, de le regarder sous toutes ses coutures, louchant plus souvent qu’autrement sur ce qui fait la fierté d’un homme, du moins,pour les plus chanceux d’entre eux. Il s’allonge finalement à tes côtés et toi tu adoptes la même position que lui, sourire radieux pendu aux lèvres. Ça te fait plaisir de savoir que tu vas passer la nuit avec lui, son corps musclé contre le tien, sa poigne protectrice autour de ta taille et juste d’y penser, tu fonds littéralement sur place. ‘’ Tu n’as jamais fait la cuillère avec une fille avant ? ‘’ Tu te redresse vivement dans le lit, expression de surprise sur le visage. Tu es comme un livre ouvert, encore plus lorsque tes sens sont brouillés par l’alcool. Tu bats des cils tandis que son pouce caresse ta joue… il est si doux et prévenant que ça te déstabiliser un peu. Y’a longtemps qu’un homme ne s’est pas montré aussi attentionné vis-à-vis de toi. Est-ce qu’il cherche à te berner ? À te faire tomber dans ses filets pour mieux te faire écarter les cuisses ? Tes paupières se ferment lentement tandis que tu remues doucement ton visage contre sa main comme le ferait un félin en manque de caresse. ‘’ Est-ce que je dois vraiment te le dire ? ‘’ Un nouveau rire t’échappe. ‘’ On va voir si tu connais tes classiques ! ‘’ Dis-tu sur le ton du défi tout en le poussant sur le dos pour mieux le chevaucher. Tu poses ton popotin au niveau de son pubis, mains en appuis sur son torse et tu te met à réfléchir à ce que tu pourrais bien lui donner comme indice. Tu fixes un point invisible, lèvre inférieure coincée entre les dents avant qu’une expression de fierté déforme ton visage. À la fois excitée et curieuse de tester ses connaissances en matière de princesses Disney, tu te racles la gorge avant de te mettre à fredonner une petite chansonnette tirée du film de la petite sirène. ‘’ Shala la la la la la, my oh my Il est intimidé, il n'ose pas l'embrasser Shala la la la la la, s'il est sage Ça serait vraiment dommage  ‘’ Tu actes la scène en même temps, tout en rigolant, envoyant un petit poke dans les côtes du jeune homme ‘’ Elle s’appelle Ariel. ‘’ Tu lui adresse un clin d’oeil avant de te laisser tomber à côté de lui, riant de bon coeur à cause de ta connerie. Il te faut peu de temps avant de reprendre ta position initiale face à lui, ton regard plongé dans le sien. En entendant ses paroles, ton sourire se flétrit quelque peu. Il n’a pas tord, tu ne te souviendra plus de rien… sauf peut-être de lui. Mais qu’est-ce qu’il y a de mal à cela ? ‘’ Tu es le joli barman qui bosse au Lord Hobo, ça, je ne le l’oublierai pas ! C'est pour cette raison que je sors toujours dans cette boîte, pour te voir. ‘’ À ton tour, tu caresses son doux visage du bout de tes doigts effilés, émerveillée par tant de beauté. Ce mec… tu n’as pas de mot pour le décrire. ‘’ Il est préférable de te retenir oui. ‘’ Tu ne sais pas exactement pourquoi tu dis ça, tu n’es pas du genre à te retenir, encore moins lorsqu’un homme te plaît, mais il y a ce petit quelque chose qui t’empêche de franchir le pas, même s’il ne s’agit que d’un baiser. Tu n’as pas envie d’être une dame de plus au compteur, parce qu’il te semble évident que ce mec à du succès avec les filles et malgré tout ce qu’on peut raconter sur toi, tu n’es pas une fille facile. ‘’ Je vais te montrer ce qu’est la cuillère plutôt. ‘’ Sans doute que demain tu auras oublié et c’est peut-être mieux ainsi. Sans plus attendre, tu te tourne dos à lui, moulant ton corps au sien, galbe bien positionner contre son entre jambe. ‘’ Il faut que tu fasses passer ton bras autour de moi. ‘’ Tu pars en quête de son bras que tu fais passer au-dessus de ton corps, ramenant celui-ci entre tes seins tout près de ton coeur après avoir laisser tes phalanges se glisser entre les siennes. ‘’ La meilleure position au monde pour dormir. ‘’ Souffles-tu en tournant légèrement la tête vers le plafond. ‘’ Je confirme, tu es beaucoup plus confortable qu’un pull … ‘’ À ces mots, tu fais ton possible pour ne pas te dégager de son emprise et vient déposer un chaste baiser à la commissure de ses lèvres. ‘’ Tu pourras toujours m’inviter un autre soir, dans les règles de l’art, mais défense de me fournir la même technique de drague qu’à toutes les autres. ‘’ Parce que oui, tu es unique, il n’y en a pas deux comme toi. Finalement, tu te glisse au creux de ses bras, ta main toujours liée à la sienne et tu ferme les yeux, sereine.
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Je la détaille toujours du regard alors qu’elle semble étonnée que je n’ai jamais entendu parler de la cuillère « J’connais peut-être, mais de noms comme ça, ça ne me dit rien non. » Malgré tout, Blondie semble avoir encore de l’énergie alors que personnellement, je suis complètement carbonisé. Ca m’amuse de la voir s’agiter comme ça. Dire qu’une heure avant elle me suppliait pour dormir, je me dis que l’effet du ghb est peut-être en train de s’estomper, petit à petit et c’est une bonne chose. Je m’étonne de la voir me grimper dessus, et j’évite de trop penser par la même occasion. Cette fille est désirable, mais le pire c’est que je crois qu’elle ne le fait même pas exprès de m’aguicher. Elle préfère me chanter du Disney, pourquoi pas. Je pose mes mains sur ses cuisses, sans pour autant les balader et sans vraiment d’arrière-pensée et l’écoute chantonner la petite sirène, si mes souvenirs sont bons. Elle a une jolie voix, douce et c’est agréable de l’entendre chantonner « Donc, t’es une petite sirène. » lui dis-je avec un léger sourire en coin. Je cherche à savoir où elle va chercher son énergie alors qu’elle tenait à peine debout il y a encore une demi-heure. « Tu chantes pour de vrai ou juste comme ça, pour faire deviner ton prénom aux gars qui te le demandent ? »  un autre rictus alors qu’elle, elle rigole à gorge déployée. Je la fixe et me délecte de tous ses faits et geste, mais aussi ses mimiques. Elle m’inspire et me tourmente beaucoup et puis ça m’évite de penser qu’elle est à califourchon pile au bon endroit. Elle décide finalement de me montrer son histoire de cuillère, et je vois la position dont elle parle. Je ne savais pas qu’on appelait ça la cuillère, je me coucherai moins con ce soir. A nouveau, elle me colle ses jolies courbes et sincèrement, ça commence à être dur dans tous les sens du terme « Ma jolie, si tu continues à frotter ton joli popotin contre mon entre-jambe on va avoir un problème » lui murmurais-je sans pour autant l’effrayer. Je ne compte pas lui sauter dessus, loin de là, mais elle est jolie, elle est sexy et ces bêtes-là sont parfois un peu compliquées à faire obéir. Ses doigts s’entrelacent aux miens et à nouveau mon pouce caresse le haut de sa main avec beaucoup de délicatesse. Je resserre mon emprise afin que l’effet « pull » soit encore plus efficace, comme elle semble le sous-entendre et je fronce les sourcils lorsqu’elle vient déposer ses lèvres sur le creux des miennes. « qu’ai-je fais pour mériter ça ? » Je crois que ce qui me dégoute, c’est que dès demain elle ne se rappellera plus de rien. « Je ne drague jamais, moi madame » Mensonge, okay d’accord un petit peu. Je ne sais même pas quelle technique j’utilise, je fais à l’instinct et voila « je suis un artiste, mademoiselle. Pas besoin d’avoir une technique bien travaillée, j’y vais à l’improvisation. » dis-je avec humour. Mais c’est vrai pourtant. Je ne calcule pas, je laisse faire et me fille à mon instinct et à l’inspiration que la demoiselle me procure. « mais je retiens que tu veux que je t’invite ». Le lendemain matin, je laisse Ariel dormir paisiblement alors que je me glisse sous la douche en essayant de faire le moins de bruit possible pour ne réveiller ni l’un, ni l’autre. Moses va probablement bientôt sortir de sa chambre pour prendre son petit dej, quant à Ariel… bonne question. En attendant, je sors sur le balcon et m’appuie contre celui-ci pour fumer et éviter de repenser que dans ma chambre, le sosie de Mel y dort paisiblement.
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