Besoin d'aide ?

Il était 9H du matin et le soleil brillait déjà haut dans le ciel je percevais sa chaleur à travers la fenêtre de ma chambre je souriais cette journée s'annonçait belle. Je me levais de mon lit et enfilais un bermuda noir ainsi qu'un débardeur gris clair. Je fis quelques pompes et une série d'abdos avant de boire quelques gorgées d'une bouteille d'eau et de la glisser dans mon sac de cours. Je vérifais que mon classeur de droit se trouvait bien à l'intérieur j'avais que cette heure là ce matin. Puis je m'assurais que ma trousse de secours s'y trouvais bien aussi on est jamais trop prudent. J'enfilais ensuite mon sac sur mon dos en le serrant fortement je n'avais pas cours avant 9H30 et j'avais envi d'un petit footing. Sans perdre plus de temps je me suis mis à courir je traversais le parc en saluant quelques personnes sur mon passage toujours avec un petit sourire chaleureux. Au bout d'un quart d'heure j'ai vu une petite blondinette sauté d'une balançoire et se réceptionner sur les genoux. Je m'arrêtais elle semblait s'être fait assez mal puisqu'elle pleurait. Comme d'habitude j'ai pas pu résister et l'envi d'aider étant plus forte que tout chez moi je me suis approché en même temps qu'une femme d'ailleurs. Je devinais directement que c'était sa mère même si je la trouvais plutôt jeune. Vous avez besoin d'aide ? J'ai du désinfectant et des bandages dans mon sac. Et joignant le geste à la parole j'ai sortis ma trousse de secours. Je m'agenouillais près de la petite et obervais de plus près la blessure, ça va ce n'était pas bien méchant. Je regardais l'enfant. Tu vas voir dans deux minutes tu sentiras plus rien promis juré! Je la mis à l'aise assez rapidement j'adore les enfants et je sais pas pourquoi mais la réciproque est vrai. Alors alors qu'avons nous là ? Dis je en jouant l'expert. Le jean était déchiré au genou gauche je pu donc aisément voir l'entaille sur sa peau. Aie aie aie ça fait mal ça. Dis je en faisant une légère grimace. Elle semblait approuvé ce que je disais. Elle remonta d'elle même son jean et c'est donc facilement que j'ai pu mettre du produit sur un coton pour ensuite nettoyer sa plaie. J'enroulais ensuite soigneusement un bandage au moins la blessure était propre et le sang arrêterait de couler comme ça. Je sourais puis je l'aider à se relever. ça va ? Tu peux marcher ? J'observer si sa jambe tremblait ou pas. Puis ensuite je reportais mon attention sur la mère. Content que votre fille aille mieux j'aime pas voir les enfants pleurer. Surtout quand ils sont aussi chou! Dis je en souriant à la petite qui me retourna mon sourire d'un aire moitié timide moitié enjoué. Vous êtes du coin ? En disant celà je regardais l'heure sur mon téléphone oula il me restait plus que cinq petite minutes avant d'avoir mon cours! Parcontre je dois y aller c'est dommage mais bon Harvard n'attend pas! Dis je d'un air fataliste en riant puis je me retournais pour partir quand soudain...

(Invité)

Acker & Andréa

Aujourd’hui était une belle journée, c’est pourquoi j’avais décidé de sortir au parc avec les filles, j’avais couvert les filles correctement, on avait pris un délicieux petit déj et mes filles étant excité comme des puces à l’idée d’aller jouer au parc nous n’avions pas tardé à partir là-bas. Un cou j’étais assise sur le banc à les regarder, un cou j’étais à leurs côtés pour jouer avec elle. Elles sont mes rayons de soleil, absolument tout pour mi et je m’émerveille de les voir heureuses. Ce qui entraîne inévitablement que je ne supporte pas de les voir souffrir ou pleurer, et malheureusement c’est ce qui venait d’arriver, Scarlett venait de tomber et je n’avais pas tardé à me tenir à ses côtés. J’aperçois son genou qui saignait un peu je fouillais alors frénétiquement dans mon sac et me rendis compte que j’avais malheureusement oublié la trousse de secours. Je déposais ma main sur la joue de ma fille et la fis glisser pour essuyer ses larmes, avant de lui dire :

-C’est rien ma chérie, maman va soigner ça !

Je n’avais rien sous la main mais il fallait que je rassure ma fille. Je me sentais vraiment bête et mal de ne rien avoir sous la main, ce n’était qu’un petit bobo, mais je ne supportais pas de voir ma fille pleurer, je m’apprêtais à me lever pour porter ma fille jusqu'à l’appart, mais c’est à ce moment qu’il arriva en annonçant :

-Vous avez besoin d'aide ? J'ai du désinfectant et des bandages dans mon sac.

Un radieux sourire orna mes lèvres lorsque je le vis sortir ce qui apparentait à une trousse de secours. Il arrivait vraiment au bon moment et je l’en remerciais :

-Oui je veux bien, Merci. J’ai complètement oublié la trousse de secours !

Je regardais ma fille et lui dit un petit sourire tandis que « son sauveur » lui annonçait que dans deux minutes elle ne sentirait plus rien, ça me touchait vraiment la délicatesse qu’il prenait et le fait qu’il la réconforte. Ma fille fit un petit sourire bien qu’elle continuât de pleurer, tandis que le ravissant jeune homme essayait de l’apaiser, je souriais à chacune de ces petites phrases, j’essuyais de nouveau les quelques larmes qui coulaient sur son visage. Le jeune homme semblait avoir gagné la confiance de ma fille et ma petite Scarlett releva alors délicatement son pantalon, tandis que Hope venait se blottir dans mes bras. Le jeune homme dont j’ignorais toujours le prénom venait de finir et il s’assurait que tout allait bien, c’était vraiment très attentionné de sa part et c’est d’ailleurs là qu’il ajouta :

- Content que votre fille aille mieux j'aime pas voir les enfants pleurer. Surtout quand ils sont aussi chou!

Ma petite Scarlett était flattée et elle lui retourna un magnifique sourire, avant que je ne réponde au jeune homme :

-Merci beaucoup, je ne supporte pas de les voir pleurer, j’aime tellement leur sourire. Je me sens bête d’avoir oublié cette trousse de secours, sincèrement merci !

Je me tournais vers ma fille pour la prendre dans mes bras, et lui demander si ça allait bien, ce après quoi le jeune homme me questionna :

-Vous êtes du coin ? Parcontre je dois y aller c'est dommage mais bon Harvard n'attend pas!
Je n’eus pas le temps de répondre à sa première question qu’il avait dis qu’il devait partir, mais la deuxième partie de sa phrase m’interpella et je n’attendis pas qu’il soit partie pour lui dire :

-Oh ! Tu es d’Harvard ! J’y suis également, on se reverra alors, je tiens à t’offrir au moins un verre pour te remercier… ah et tu n’as pas le droit de refuser !

Finis-je par dire avec un sourire gravé sur mon visage. C’est vrai après tout je pouvais bien lui offrir un verre, il avait rendu le sourire à ma petite puce et on ne pouvait pas me faire plus plaisir qu’en rendant le sourire à ma fille.

-Bon je suppose que tu dois partir en cours… mais euh… tu es de quelle maison histoire que je te retrouve ?

En y réfléchissant, je n'avais pas vraiment besoin de savoir sa maison, j'étais persuadé que pour être aussi attentionné il devait être chez les Quincy.. je me surprenais à penser: *si seulement le père de mes filles avait été comme ça*

(c)lili

(Invité)