Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityChloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée]
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €


Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée]

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Chloé Blake Linvingston
23 ans ▲ Anglaise▲ Célibataire





Mon profil
C'est le 14 janvier 1989 à Londres, que les membres de la famille Linvingston m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Chloé Blake. Je suis célibataire mais encore amoureuse et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Art et Langue étrangère depuis Trois ans. ET je travaille en tant que serveuse depuis un moment Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Cabot House.

10 choses à propos de moi
Elle joue très bien du violon, ce qui est d'ailleurs sa passion (presque sa vie) ce qui lui a voulu une place prisée au conservatoire de Londres▲ Peu à peu elle commence à se faire connaître en tant que violoniste ayant déjà jouer dans les plus grands opéras▲ Elle est tombée enceinte de son ex-petit-ami (Jim), lui a caché et a fait adopter l'enfant.▲ Elle est encore amoureuse de Jim et s'est fait transférée à Harvard afin de le reconquérir▲ Elle tente de récupérer son fils.▲ C'est une très bonne musicienne puisque elle joue également très bien du piano▲ Durant son passé, elle aurait été plus apte à rentrer dans la Mather House. ▲ Elle essaie de lutter en vain contre ses vieux démons, en changeant radicalement de comportement.▲ Elle est plutôt calme aux premiers abords mais possède un véritable tempérament de feu.▲ Elle garde une profonde blessure concernant sa rupture avec Jim et l'abandon de son enfant.

Vie de merde
▲ Aujourd'hui, un vieux monsieur s'est assis en face de moi dans le métro. Il avait oublié de fermer sa braguette. Manque de bol, il avait aussi oublié d'enfiler un caleçon. VDM



Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement
Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?
    J'hésite oui, d'un côté une petite voix me hurle d'y aller et de l'autre, une voix me le déconseille.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?
    Je ne sais pas trop, ce n'est pas vraiment mon truc. Mais, après pourquoi pas.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?
    Non merci, je ne cherche absolument pas de la reconnaissance dans mon art, je le fais pour moi et non pour me sentir valoriser.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?
    Je n'envie absolument pas cette fille, n'est aucune envie de lui ressembler. Personnellement je m'aime comme je suis, je n’aie en rien besoin d'un modèle féminin aux apparences de poupée barbie. Cependant, elle doit être sans doute sympathique.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?
    Uhm, pas vraiment, je trouve ce genre d'enchère un peu ridicule, mais bon après ça dépend de où iraient les fonds.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?
    Que certaine personnes ont eut plus de chance que d'autres dans la vie. Genre, naître avec une cuillère en or dans la bouche et qu'ils aiment le montrer ostensiblement. Ou alors que ce mec souffre d'un manque d'affection qu'il compense avec du matériel en claquant le frique de papa/maman.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?
    Oui, par curiosité, cela pourrait s'avérer intéressant. Mais bien sûr, il ne faudrait pas que ça empiète sur mon boulot.



Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Overdose et j'ai 19 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à google. Magnifique et convivial ! alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Amanda Hendrick comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Tumblr. Je fais environ tout dépend mots par RP et mon personnage est un scénario.

Mot de la fin ? ▲ C'est Cyprien ! *sors*

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mon parcours


►Le commencement.

Aussi loin que je m’en souvienne ma vie n’a jamais été une partie de plaisir. Très loin du stéréotype de la famille parfaite, unit et heureuse, possédant une grande maison, une belle voiture, un grand jardin et, n’oublions pas le chien, haha. Ma famille, si je puis appeler cela une famille, ne remplissait même pas l’un de ses stupides critères. Ô, mais j’y avais crus. A l’âge où l’on n’est trop jeune pour comprendre, pour voir ce qu’il se passe réellement sous vos yeux. On croit bêtement et stupidement dans la naïveté de l’enfance, ce qu’on le veut nous faire croire. Mes parents et cela bien avant ma naissance, avaient une multitude de problèmes d’argent, avaient du mal à joindre les deux bouts et cela, malgré leur petit salaire respectif. Il faut dire qu’avec ma mère serveuse et mon père agent d’entretien, ils ne roulaient pas sur l’or. Mais vous savez, ils s’étaient aimés même passionnément et puis, après une erreur pousser par l’empressement de leur désir qui leur fit perdre tout idée de précaution. Ma mère tomba enceinte de moi. Ils n’étaient alors qu’au lycée. Celle-ci voulu tout d’abord avorter et faire comme-ci je n’avais jamais existé. Elle aurait du cette pauvre femme, cela lui aurait épargné bien des peines. Mais, amoureux l’un de l’autre, mon père fut heureux d’apprendre mon existence et convint ma mère de me garder. Ils quittèrent tout deux le lycée et trouvèrent un travail puis, un petit appartement à louer et économisèrent pour s’acheter une voiture en attendant ma venue. Bref, ils firent tout ce qu’il fallait faire pour être « responsable » et m’offrir un foyer décent, je suppose. Ils m’attendirent et je décidai de vouloir découvrir le monde un peu avant la date où j’aurais du logiquement pointer le bout de mon nez. Moi, déjà empressée de découvrir un monde dont je n’avais eut jusqu’à là que des échos, nichée dans le ventre rassurant de ma mère. Je pris donc de court celle-ci le 14 janvier 1989 (alors qu’elle rentrait de l’épicerie du coin) dans la cage d’escalier de l’immeuble où mon père et elle avaient emménagés il y a peu. Ma mère avait donc été prit de violentes contractions et n’avait pas tardé à perdre les eaux. Elle avait ensuite, finit par accoucher dans la cage d’escalier, avec l’aide de deux de ses voisines qui avaient été alertées par ses cris, pendant que les urgences, qu’une des voisines avait appelés étaient encore sur la route. Ma naissance, ne fut alors que le déclenchement de l’éclatement de leur bonheur et de la destruction de leur couple. J’allais à moi seule, devenir l’artisan de leur malheur. Inévitablement, ils étaient trop jeunes, bien trop jeunes pour m’avoir. Mon père, fut le premier à le réaliser après coup. L’attention que je demandais, son travail, les factures et toutes les responsabilités le dépassaient. Voulant retrouver sa vie de jeune homme insouciant et libre. Lâche, il décida de quitter ma mère m’abandonnant également. Ainsi, je ne connu jamais mon père et ma mère essaya tant bien que mal de m’élever seule. Celle-ci, anéantie, essaya donc se débrouiller seule, demandant à l’une de ses voisines de me garder, tandis qu’elle bossait comme serveuse. Essayant quelque fois de gratter quelques heures supplémentaires. Mais, très vite, sa douleur et son épuisement l’emporta, elle commença à tomber en dépression. Les antidépresseurs devinrent alors ses meilleurs amis, bien qu’elle continua à m’élever et à prendre soin de moi autant qu’elle le pouvait. Mais alors qu’elle avait été tout de même forte jusqu’à là, arrivée à mon adolescence, brisée et vivant dans les souvenirs. Venant également de se faire licencier, elle tomba alors réellement en dépression, ne faisant plus aucuns efforts pour moi. Elle avait abandonnée et passait ses journées à dormir et à se shooter aux antidépresseurs, telle une droguée, augmentant les doses. Impuissante, elle refusait de m’écouter et je ne pu rien faire pour elle à par la regarder se détruire. Au chômage, et n’ayant pas l’intention de rechercher du travail, elle ne payait plus les factures ni le loyer, le proprio nous menaça de nous virer plusieurs fois. Mais je réussis toujours à repousser l’échéance, il fallait à présent que je trouve un job pour ne pas nous retrouver la rue et que nous ayons également de quoi nous nourrir. J’en trouvai donc un comme serveuse, c’était le job le plus facile à dégoter. N’ayant que 16 ans, nos rôles s’échangèrent et je me mis à faire tourner le foyer et à prendre soin d’elle. Comme elle, l'avait fait pendant toutes ces années

►La Révélation

A l’époque mes parents avaient emménagés dans un quartier nommé « Brixton ». Au départ très calme, parfait pour un jeune couple attendant un bébé. Mais, avec les années le quartier avait commencé à se dégrader et bientôt eut une très mauvaise réputation et devint un quartier chaud de Londres. Jusqu’à devenir un quartier dangereux et l’un des plus pauvres de la ville : violence, trafic en tout genre, prostitution. Je me mis à le détester, à détester cette situation, cette ambiance et cette foutue précarité. Ce sentiment d’injustice de rébellion naquit alors au creux de mon être. J’étais en colère, en colère contre mon père qui avait abandonné ma mère, en colère contre elle malgré tout. J’en voulais au monde entier. Et cette haine, forgea mon caractère de feu, je devins alors une vraie tête brulée et passait le plus clair de mon temps en dehors de chez moi, me mettant même à sécher les cours, préférant sortir, m’amuser, me droguer, boire, faire la fête. Me sentir vivante en quelque sorte. Faire tout ce que je voulais et ne penser à rien d’autre, pendant quelques heures, ne pas penser à ma mère, à mes responsabilités. Moi, je n’en n’avais pas voulu et elles me les avaient imposées. Je devenais égoïste pendant quelques heures, parce que je ne voulais plus voir ma mère pleurer, ressembler à un déchet humain. Je voulais tout simplement m’évader et m’échapper de tout cela. Oui, c’était du pur égoïsme et je l’assumais, je n’en pouvais plus de tout cela, il fallait que ça cesse, alors à par me foutre en l’air, ce qui entre nous me paraissait littéralement stupide, je ne voyais pas d’autres solutions que fuir. Malgré sa réputation mon quartier était réputé comme le centre de la création musicale. Mes nombreuses sorties nocturnes m’avaient donc amenée avec les années à plusieurs concerts dans mon quartier. Je développai vite un attrait considérable pour la musique et apprit à jouer du piano, de la guitare mais également et principalement du violon (mon instrument préféré et dont je tombai littéralement amoureuse) auprès de gens du quartier qui se réunissaient afin de faire de la musique. Je décidai alors d’entrer au conservatoire, tandis que j’essayai de me remettre à niveau concernant mes cours. Le violon avait le don d’adoucir quelque peu ma colère et de me transporter. Il me devient vite bénéfique pour moi et essentiel dans ma vie. J’économisai ensuite pendant des mois afin de m’en offrir un. Et puis, je le rencontra, lui.

►Jim

Jim jouait de la guitare ce jour-là, lorsque j’arrivai au conservatoire. Je ne pus alors m’empêcher de l’admirer jouer, je ne savais s’il était un habitué et que je ne l’avais jamais remarqué. Ou si c’était la première fois qu’il venait, ce qui expliquerait pourquoi je ne l’avais jamais vue ici. Je m’étais ensuite attardée sur son visage, puis sur ses tatouages que je pouvais admirer sur ses mains et sur son bras, avant de continuer à l'observer jouer.Les jours passèrent et je ne pouvais m’empêcher de lui jeter des regards, intriguée mais aussi parce qu’il me plaisait. Jusqu’à ce que nous commencions à faire connaissance. Alors, petit à petit, je tombai littéralement et follement amoureuse de lui et, ce fut également son cas. Nous nous mimes à sortir ensemble. Et pour la première fois de ma vie, je me surpris à être heureuse. Il me rendait heureuse, nous étions lui et moi sur la même longueur d’onde. Nous sortions, faisions la fête ensemble, nous écoutions jouer mutuellement sans nous lasser ou alors débattions sur des courants musical ou des groupes. Il était mon rêve éveillée, mais parfois l’aimer en devenait presque douloureux. Parce que je savais, une chose, je l’aimais à en crever. Et puis, c’est arrivé, lui et moi faisions pourtant toujours attention sur ce point, mais ce que je redoutai tant, arriva. Je ne m’étais doutée de rien jusqu’à ce que comme la plupart des femmes dans ce cas là, le découvre par le biais de leur médecin ou alors en étant pris de cour. Pour moi, ce fut le medecin. Voilà donc quelque temps que je me sentais pas au top de ma forme j'avais donc décidé d'aller voir le médecin. Lorsque celui-ci m'annonça que j'étais enceinte. J'avais tout d'abord paniquée et pensée que le médecin devait faire une erreur. Car, si cela avait été le cas je l'aurais vue, j'aurais reconnu les symptômes et puis Jim et moi avions toujours été prudent. Pourtant, ce fut le cas, la vérité fut comme une gifle : J’étais enceinte et était en plein déni de grossesse. Bien sûr, je désirais immédiatement avorter sans en parler à Jim. J’étais top jeune je ne me sentais pas prête à être mère, je n’avais rien d’une mère et j’avais déjà assez d'ennuis comme cela. Mais, par dessus tout, je redoutais que Jim ne veuille le garder et comme mon père qu’il finisse par m'abandonner, moi, et le bébé. Mais, le medecin m’annonça que je ne pouvais plus avorter, il était trop tard pour. Alors, je pris la décision la plus déchirante de ma vie et la plus horrible, je décida de quitter Jim, ne rien lui dire et de faire adopter ce bébé.

►Le déchirure

Rompre avec Jim fut la chose la plus horrible et douloureuse qu'il m'ait été donné de faire dans toute ma vie. J'en pleura pendant des jours et essaya de calmer autant que je pouvais la souffrance qui me transperçait le cœur et me déchirait la poitrine. Prendre la décision d'abandonner mon bébé fut encore pire, lui dire adieu, me brisa littéralement et vins comme m'achever. Je choisis donc rapidement mais consciencieusement une famille pour mon bébé. Je voulais le meilleur pour lui et pas ce que moi j’avais vécu. Je l’avais fait rapidement car plus le temps passait et plus je savais que la séparation serait difficile. Car, j’aimais déjà mon petit boue de chou et quelques fois lorsque je le tenais dans mes bras, la pensée de le garder près de moi m'effleurait l'esprit. Cependant, je me faisais violence pour la chasser aussi vite que celle-ci était arrivée afin de ne pas la laisser s'installer. Non, il ne fallait pas que je sois faible. Je ne pouvais pas le garder, il méritait mieux. J'avais décidé de donner à mon fils, le deuxième prénom de son père : Raphaël. J'adorais ce prénom mais par- dessus tout je voulais qu' il garde une trace de nous. Même si, jamais il ne saurait, que moi et Jim existions et qu'il était né de notre amour. Ce qui était bien mieux pour lui. Mais peut être qu’un jour il voudrait nous retrouver après avoir apprit son adoption. Je l’espérais tellement en mon fort intérieur que cela en devenant douloureux et stupide. N'étant pas passée pour toute une paperasse administrative d’adoption ( ce qui aurait pris des semaines) Chose, qui ne m’arrangeait pas ni la famille. Kristen et Josh, le couple d'Américain qui vivaient depuis quelques année en Angleterre et qui avait adopté mon fils, me firent seulement signer quelques papiers, étant avocate Kristen s’était en quelque sorte occupée de tout je ne sais comment, mais moi ça m’arrangeait. Kristen accepta que je passe voir Raphaël comme bon me semblait, que je fasse en quelque sorte partie de sa vie, à condition de ne jamais lui relever qui j’étais. Cependant, je ne vins jamais, du moins, je ne me présenta jamais à eux, n'ayant pas le courage d'aller prendre mon fils dans les bras et de repartir sans lui. Je me contentais donc de m’arrêter en voiture dans la rue et de l’observer, sans pour autant aller le prendre dans mes bras cela aurait été trop difficile, vraiment trop. Cet acte l’était déjà, en étant comparable à une torture, c'était comme m’enfoncer un tisonnier brulant en plein cœur. Alors, j’enchainais les cigarettes, regardant mon petit garçon s’amuser dans la pelouse tout en chassant de mes joues, chaque larmes qui avait le malheur d'y faire son apparition. J’étais totalement masochiste, plus je venais et plus je souffrais. Les mois passèrent et on m'annonça qu’en vue de mes résultats scolaires excellent et de mon talent pour le violon une bourse m’était accordée afin d’entrer dans une grande université. Malgré mon fils, qui techniquement n'était même plus mon fils, mais celui d'autres personnes. Je ne pouvais laisser cette occasion passer. De plus, j'espérais que cela me ferait aller de l'avant et que j'arriverais enfin à oublier Jim et le fait que j'avais abandonnée mon bébé et, qu'il n'était à présent plus à moi. J’hésita un moment entre Yell ou Harvard, mais ce fut Yale qui l’emporta. Je décolla donc pour L’amérique, me disant que je ne pouvais laisser passer cette chance. Mais plus le temps passait et plus Jim et mon fils me manquait. Le changement de pays et L'université n'arrivèrent pas à dissiper tout cela de mon esprit. J'avais de plus en plus l’impression d’avoir fait la plus grosse erreur de ma vie en abandonnant mon fils et en me séparant de Jim sans rien lui dire pour notre fils. Je me sentais minable et il fallait que ça change. J'étais bien décidée à récupérer mon enfant et Jim également. Il fallait que je le mette au courant et que je sache s'il m'aimait encore et s'il pouvait me pardonner.

►Espoir

Il fallait que je retrouve Jim. Je me mis donc à fouiller dans tous mes contacts susceptibles de me renseigner sur lui. Nous avions très peu d’amis en commun et Jim n’étais pas du genre à raconter sa vie à tout le monde mais je tenta quand même. Certaines personnes me répondirent qu’elle n’avait plus de nouvelles, d’autres me raccrochèrent au nez avant de m’insulter me reprochant de lui avoir fait ce que je lui avais fait. Et puis quelque unes m’informèrent qu’il avait obtenu une bourse afin d'entrer dans une Université en Amérique. Cependant, personnes ne réussit à me dire de quelle Université il s’agissait. Alors, déterminée à le retrouver, je me renseigna pendant des jours appelant des bureaux d’informations des universités, inventant des mensonges tout en me faisant passer pour ce que je n’étais pas afin de savoir dans quelle Université Jim étudiait. Je réussi enfin à savoir non sans difficultés qu’il était entrer à Harvard. Sans plus attendre je demanda à être transférée dans la même Université. Après tout je n'avais rien à perdre. Cependant, je voulais, et j’en étais certaine, récupérer mon fils. Je savais que cela n'allait pas être simple. Toutefois, cela ne m'effrayai pas. Je voulais récupérer mon fils quoi qu'il m'en coûte et, je finirais par le faire. J’appela donc au numéro que Kristen m’avait donné pour les joindre, mais je ne réussi à n’avoir personne. Frustrée et paniquée, me trouvant sur un autre continent je tenta plusieurs fois mais sans sucés. J’appela alors une amie à Londres, lui donna l’adresse et lui demanda d’aller vérifier sans poser de question si une famille avec un petit garçon en bas âge y résidait. Elle m’informa que la maison était à vendre. Chamboulée, je me demandais où ces gens avaient amené mon bébé. Mais principalement, comment allais-je faire pour les retrouver ? Les jours passèrent et je pensais de plus à plus à mettre toutes mes économies dans un détective privée. Ce que je fis. Il fit le voyage jusqu’en Angleterre et fit des recherches avant de m’indiquer que Kristen et Josh étaient retourner en Amérique. Et vivaient à présent par un miracle fou, dans le Massachusetts tout près de Cambridge. Je viens donc d'entrer à Harvard, bien décidée à retrouver Jim et à le reconquérir mais aussi à récupérer mon fils.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue parmi nous Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] 3850463188

Putain Amanda, c'est la femme de ma vie :TT: en tout cas super choix d'avatar et de scenario Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] 73120010

Courage pour ta fiche Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] 2511619667
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Oui Amanda et le scéna de Jim Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] 4205929361 hanwii

Merci bien :D
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue à toi et bonne chance :)
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue parmi nous ! :roxy: Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] 3997999705 Et bon courage pour ta fiche ! hanwii
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Merci :D
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
bienvenue et bonne chance pour ta fiche ♥
(Invité)
Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] QIkbezwN_o
Chloé Blake Linvingston ► Amanda Hendrick ღ [Terminée] 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
Messages : 24941
Préférences de jeu
veritas
Jasper O. Ellington
est en ligne
I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Bienvenue sur le forum hanwii
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'te souhaite la bienvenue ici ♥
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)