feat. william tyler
- 17 mars 1995
- New York
- 23 ans
- américaine
- bisexuel ?
- éternel célibataire
- riche voir très riche
- psychologie
- arts plastiques
- barman dans un club de jazz / peintre
- non boursier
Une maison ? Jamais, rentré à l'université de Harvard, tu n'aurais pensé en rejoindre une. Pour toi, elle n'était là que pour figuration, rencontres mondaines, soirées décadentes et surtout compétition exacerbée, engendrant forcément son lot de coup de pute en tout genre. Hors, bien que tu veuilles être performant dans ton domaine, ces choses ne t'intéressent pas. Tu es là pour réussir et non pour écraser les gens. C'est donc, très ravi que tu as entendu parler de la Lowell House car elle te correspond particulièrement. L'art. La plus belle manière de s'exprimer depuis la nuit des temps. D'ailleurs, tu aurais souhaité étudier cette matière en étude majeur, mais tes parents s'y sont vivement opposés. Jugeant que c'était une matière foncièrement inappropriée pour un Duncan. La Quincy House te correspondrait aussi énormément. Bien que tu ne penses pas pouvoir un jour révolutionner ton monde, tu souhaites faire le bien, même si c'est dans une parcelle de taille moyenne. Faire aller mieux les personnes qui gravitent autour de toi. Et puis tu respires la tolérance et l'empathie, c'est bien pour ça que tu as choisi de faire psycho.
Tu es quelqu'un de difficile à cerner, tantôt très souriant, avenant, tantôt renfermé. Toi-même, tu ne saurais lire en toi, un comble quand on veut analyser les comportements humains et soigner rien qu'avec la puissance des mots.
L'empathie te caractérise, une empathie sans borgne, sans limite. Une fois que la personne a réussi à susciter ton plus primaire intérêt. Pour ce faire, il faut bien plus que statut social, richesse ou popularité. Seule la profonde nature de l'humain t'intéresse, sa grandeur d'âme, sa générosité, son profond humanisme.
Tu aurais aimé passer inaperçu, mais avec ton style baba cool post woodstock et un visage que tu sais accueillant, l'effet n'est pas des plus réussi. Pour autant, tu n'en profites pas. Au contraire, tu fuis comme la peste frivolité et popularité. De ce fait certaines personnes pourraient penser que tu fais preuve de pédantisme, mais elles sont loin de la réalité. Si tu n'es pas le plus loquace, cette froideur apparente ne résulte pas d'un jugement, mais d'une certaine timidité que tu combats au quotidien et qui t'a profondément bouleversé plus jeune, alors que tu souffrais d'harcèlement de la part d'autres gosses. Tu combats cet attrait de ta personnalité au jour le jour et tu tends à espérer que ce trait de caractère ne soit plus qu'un lointain souvenir, que tu puisses pouvoir le bannir définitivement de ta vie.
Seul dans les débats, tu t'animes véritablement et deviens cet étudiant, capable d'exprimer ses convictions avec la justesse digne des plus grands orateurs. Dans ce cas précis, tu n'en démords pas, tant que tu arrives à saisir la moindre parcelle qui fera changer ton interlocuteur d'avis, ou qui permettra de t'exprimer.
Tu chantes, accompagné d'une guitare acoustique à qui veut bien l'entendre, mais surtout tu peins. Tu couches des teintes de couleur sur la toile, jusqu'à obtenir quelque chose d'aussi abstrait que les méandres de ton cerveau. La nature t'inspire, elle est la seule chose que tu juges parfaite en ce monde. Tu en es son plus fidèle compagnon. Une forêt, un paisible lac illuminé par la pâleur de la lune ne saurait être un plus beau réconfort pour toi.
Une certaine mélancolie te caractérise et elle se fait de plus en plus forte en ce moment. Tu sens que ta vie s'échappe, que tous fondements que tu pensais avoir encrés en toi, s'écroulent. Tu es issu d'une famille religieuse, avec des valeurs "d'un ancien temps", et qui ne cautionnent pas ce qu'ils tendraient à appeler "les travers de notre société moderne", hors tu nages en plein dedans. Peu à peu, tu te découvres une attirance pour les hommes, que tu constates avoir refoulé tout ce temps. Bisexuel ? Hétéro-curieux ? Ou tout simplement homosexuel qui ne s'assume pas ? Tout ça t'effraie terriblement.
empathiquetimidegénéreuxintelligentmanque de confiancefroid
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8819]☆[/url] ☆ <span class="pris">William Tyler</span> ◊ “ Jacob Duncan ”[/size]
please tell us more
Seulement, le bonheur ne dura qu'un temps. Et très vite tu connus quelques déboires qui pesèrent sur toi et entachèrent très longtemps ton mode de fonctionnement. Tu étais quelqu'un de plutôt chétif durant ton enfance, maigre à faire peur malgré le fait que tu fasses tout pour prendre du poids, et surtout petit pour ton âge. D'un naturel effacé, tu lisais ou écrivais au lieu de jouer avec tes autres camarades de classe. Rajoutons à cela une fâcheuse tendance à être l'élève préféré des professeurs et tu t'attiras vite les foudres des autres étudiants. Le collège où tu étais, ne faisait exception aux autres, et tout code devait être assimilé très vite sous peine de devenir rapidement un parias. C'est ce que tu devins. Tu fus un souffre douleur, on s'en prit à toi. Brimades, humiliations... ton quotidien. Cela dura jusqu'en dernière année de collège, sans que quiconque ne puisse réellement le voir. Bien évidemment, il y eut des doutes de la part des proviseurs, mais comme il est souvent le cas, ils ne firent rien. Tes parents quant à eux ne s'en aperçurent encore moins, bien trop occupés avec leurs boulots respectifs. Tes notes avaient chuté, tu n'arrivais plus à maintenir un effort suffisant avec ce que tu subissais, mais eux mettaient ça sur le compte de l'adolescence et d'une volonté de se rebeller, de se défaire des codes moraux qu'ils t'avaient inculqué. Alors, plutôt que de t'entourer, ils te payaient des professeurs particuliers et t'engueulaient. Ce fut très dur pour toi, de te dire que tu ne pouvais véritablement compter sur quelqu'un.
Vint ce qui devait arriver, tu finis par exploser, après deux ans de souffrance, alors que tu rentrais au huitième grade. Un jour, alors qu'un de tes bourreaux, celui qui avait le plus d'animosité envers toi, te refis un sale tour, tu te battus avec lui. Tu faillis l'envoyer à l'hôpital et trois surveillants durent t'arrêter. Bien évidemment, le résultat fut sans appel, tes parents furent convoqués et tu passas en conseil de discipline. Tu aurais dû te faire virer, mais ce jour là tu parvins enfin à dire ce que t'avais au fond du cœur. Ta mère fut ébahie. Ton père eut envie de fracasser à son tour les élèves qui te rudoyaient. Et les professeurs, eux, intervinrent pour t'éviter l'exclusion. Finalement, tu terminas ta scolarité dans un autre collège. Tes résultats revinrent à leur sommet. Et tu parvins à passer en classe supérieure.
Le reste de ta scolarité se déroula pour le mieux, sans aucun autre accident. Cependant, le harcèlement que tu avais subi te changea irrémédiablement. Tu perdis grandement en confiance malgré de très bons résultats et cette timidité dont tu avais toujours été pourvu s'accentua de plus en plus. Cette même timidité faillit d'ailleurs te coûter ton admission à Harvard bien que tu réussis finalement les tests oraux. L'université fut réellement bénéfique pour toi.
Tu arrivas dans une autre ville, tu te départis du cadre parfois anxiogène que tu avais connu avec tes parents, tu rencontras du beau monde et tu parvins enfin à te sortir de cette spirale infernale. Harvard ce fut aussi le déclic qui te permis de te mettre au sport. Entre temps tu avais grandi, avec tes 1M83 tu n'étais ni excessivement grand ni excessivement petit, juste dans la moyenne, cependant, ton corps était resté très mince. Alors quand on te conseilla de trouver une occupation sportive pour décrocher des cours afin de te préserver le plus possible du burnout, tu décidas de faire de la musculation. Rapidement, tu obtins des résultats. Et mine de rien, avoir un beau corps te permis peu à peu de poursuivre la prise de confiance que tu avais entamé. Tu commenças à plaire aux filles, tu eus ta première relation sentimentale... Tu te développas personnellement.
Aujourd'hui, bien que tu ne sois pas la personne la plus en confiance, tu t'es presque totalement départie de ta timidité et tu continues ce travail de toi-même au quotidien. Tu as donc décidé cette année de devenir serveur dans un bar un peu spécial qui diffuse et organise des concerts de jazz. L'ambiance y est idéale. Cependant tu n'es pas au bout de tes peines, tu ressens une attirance pour les hommes que tu n'arrives pas à assumer, venant d'une famille très religieuse qui ne cautionne pas du tout cette orientation sexuelle. Bi ? Hétéro curieux ? Ou homosexuel qui ne s'assume pas ? Tout ça te fais très peur.
bon courage pour ta fiche
Bon courage pour ta fiche
widower · heterosexual ·
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NOVEMBRE : 01