jaga ☾ i wanna f-woop, woop, woop

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{ i wanna f-woop, woop, woop }
crédit/ tumblr ✰ w/vega rowan

On était pas vraiment le couple sur lequel on pouvait miser, mais qu'importe ce que les gens pouvaient dire, elle et moi c'était réel. C'st pas n'importe qui qu'on récupère après une séparation de plusieurs années. Plus de quatre ans ont séparé nos deux relations et pourtant, nous y voilà, de nouveau heureux et épanouis, comme au premier jour. Je n'allais pas laisser le mal-être la ronger de nouveau, la pousser à me tromper, à me quitter. Non, il fallait que je la garde à mes côtés pour le restant de mes jours et ça passait par des efforts à faire le plus possible. « Je trouve que c'est une excellente idée » Personnellement, j'avais toujours préféré la pratique à la théorie. Allongé sur le lit, elle me surplombait et j'étais juste aux anges, elle était belle et parfaite et j'étais juste chanceux ouais. Totalement connecté à elle, le regard posé sur ses actions, sur ses doigts qui s'occupent de défaire chaque bouton de son chemisier, j'étais limite en train de baver. Elle était mienne, elle portait mon enfant et j'étais juste incapable de la laisser partir. Le tissu quittait sa peau et mes mains se posaient sur ses cuisses, sur ses hanches, sur ses fesses. Ses lèvres s'amusaient à dessiner mes traits, ce que j'acceptais volontiers pour le coup, la laissant me redécouvrir autant de fois qu'elle le voulait. Surtout quand elle se mouvait de cette façon sur mon corps. J'étais en train de perdre pied, totalement. Mon pantalon était très vite retiré de l'équation, me laissant simplement vêtu d'un boxer. Puis elle m'ordonnait enfin des choses et je ne me faisais pas prier. Glissant ma main dans sa nuque, le regard plongé dans le sien, je finissais par approcher mon visage du sien pour capturer ses lèvres des miennes. Rien de bien compliqué, jusqu'à ce que je vienne glisser ma langue pour jouer avec la sienne, rendant l'échange un peu plus passionné d'un coup. Et j'avais envie de prendre le dessus, mais je crois que la curiosité l'emportait sur le reste et je me laissais tout simplement guidé par elle et ses envies de ce soir. « Tu me rends dingue... » finissais-je par dire doucement, entre ses lèvres, mes doigts remontant le long de son dos.

je sais pas si je deviens plus torride ou si je commence juste à m'habituer à tout ça. à la sexualité en général. peut être qu'au final, j'apprends tout simplement à aimer mon corps, à aimer le tien et à avoir envie de partager ce genre de moment. dans tous les cas, ça fait du bien. d'être là avec toi, de m'abandonner complètement pour étouffer nos ébats dans mes draps. et plus j'y réfléchis, plus je me dis que j'aimerais qu'on ait un "chez nous". pas mon appartement en face du tien avec nos propres familles qui sont constamment là. non, je voudrais ce cocon qu'on a pu imaginer des millions de fois quand on était juste des adolescents. je me dis que.. ouais, ça pourrait être bien. enfin voir le jour d'un projet qu'on avait pu avoir des années plus tôt. un lieu qui nous conviendrait et nous permettrait d'accueillir ce bébé comme il se doit. mais à défaut de t'en parler, je me perds dans l'échange se produisant entre nos bouches. nos langues qui s'emmêlent dans une danse endiablée ou la passion prenait largement le dessus sur tout le reste. putain c'que j't'aime. ça tambourine tellement fort dans ma poitrine que je pourrais rapidement en perdre la raison. et je crois qu'en y réfléchissant bien, j'ai perdu la raison dès le début pour toi. j'me suis laissé glisser dans cette relation et tout ce qu'elle pouvait apporter. j'ai laissé mes réticences s'envoler petit à petit et je crois que finalement, je fais le choix de croire en toi par dessus tout. et je frissonne un peu trop quand tes doigts glissent le long de ma colonne vertébrale. y a ce sourire qui vient étirer mes lèvres illuminant mon visage par la même occasion. ouais, je t'aime. de manière un peu trop dingue parfois mais je t'aime. et mes lèvres viennent se poser sur son épaule, descendant ton épiderme avec douceur. tes pecs, ton torse, le bas de ton ventre. ouais, là t'es vraiment réactif d'un coup. tu te crispes presque mais je reste moi et y a toujours des choses avec lesquelles je ne suis pas à l'aise alors je remonte doucement, mes doigts venant s'accrocher aux tiens. « je t'aime jaxon rowan » que je murmure doucement avant de me redresser mes mains passant dans mon dos pour défaire l'attache du tissu emprisonnant ma poitrine. et lentement, je faisais glisser les bretelles le long de mes épaules me mettant à nue devant toi.