Salvatore ☆ Les diables conduisent des Ferrari

Oui, t'es assis sur une chaise qui n'est pas la tienne et t'es encore moins chez toi, mais Alberto t'a trouvé une nouvelle occupation, bien plus intéressante que ça à l'air. Faire chier ton grand frère, autant dire que ton homme de main a bien choisit ton activité. Donc t'es assis là, les jambes sur la table pour souffler à attendre qu'Enzo soit rentrer, autant dire que c'est bien plus drôle comme ça. Tu passes ta main dans tes cheveux pour lancer les cartes que tu as en main Encore gagner AL prononces-tu alors que tu gagnes ta cinquième partie au poker, faut que tu arrêtes de compter les cartes c'est pas possible. Tu finis par tourner les yeux vers l'heure avant d'ajouter Bon, comme je peux faire m'amuser, si il est pas chez lui et que je suis chez lui ? Al sérieux t'abuse tu finis par enlever tes jambes pour prendre ton verre et ajouter un sourire en entendant la porte émettre un son. Bon heureusement il doit être seize heures, et donc il rentre du travail Et bien Enzo, la ponctualité tu connais pas dis donc ! ajoutes-tu alors que tu fixes l'homme qui n'est pas ton frère, tu soupires Bon t'es qui sérieux toi ? et Al te regarde avant que tu soupires, surtout quand l'inconnu te demande qui tu es Je suis son mec, allez casse toi gamin ! Al fout le dehors, sinon je vais l'éclater Bah oui, mais dans t'as oublié que tu étais dans l'appartement de ton frère, avec ton homme de main et un verre de son whisky préféré. Oups

@salvatore e. ferrari

Les diables
conduisent des Ferrari
Perso1 + Perso2
musique ♪
Mise en page par dark dreams. pour ILH

Tu sifflotes bon train en tapant du pied. Une musique d'opéra en arrière fond. Ta journée se termine bientôt. Tu as demander à ton assistant d'aller voir chez toi. Pour ... La réunion du soir. Ces temps-ci, tu es tellement en manque de tout. D'amour. D'amis. De vie, tout simplement ! Tu ne savais que faire. Il fallait que tu sortes. Que tu changes d'environnement. Peut-être même de tout ! Un autre assistant ? Une autre secrétaire ? Un autre bureau ? Peut-être même d'appartement ?

Et pourquoi pas tout ?

Quelle bonne idée ! Il fallait que tu t'y attelles ! Mais demain. Pas aujourd'hui. Non, aujourd'hui tu profites encore un peu de ce que tu possèdes. Avant de posséder autre chose. Enfin. C'est ce que tu croyais. Jusqu'à entendre ton portable.

Il vibrait sur ton bureau. Tu souris en voyant le numéro "Assistant 1". Oui. C'était vraiment ainsi que tu avais nommer le numéro. Tu prends l'appel en souriant.

" Oui, trésor ? Attends, je ne comprends pas ... Parle plus doucement. Calme toi. Respire. Expire. Inspire. Voilà... Quoi ?! Répète ?! QUOI ?! "

Tu raccroches, furibond. Tu masses tes tempes en soufflant bruyamment par le nez. Impossible. Une personne était entré par effraction chez toi. Et se prétendait être ton "copain". Tu ne voyais qu'une seule personne. Hélas.

Tu pris ta Ferrari. Noire. Aussi sombre que ton âme et ton humeur à l'heure actuelle. Tu allais le tuer. Oui. Lentement. Non. Respire Salvatore. Tu as une meilleure idée. Tu vas d'abord aller chez toi, vérifier que ce soit bien lui. Et ensuite, tu appelles les flics. Oui. Très bonne idée. Tu souris. Un sourire diabolique qui s'étend sur tout le long de ton visage. Un sourire froid.

C'était bien lui. Tu soupires en regardant l'état de ta poignée. Cassée. Bien sur. Tu calmes ton assistant et lui demandes de repartir. C'est toi qui allait régler ce soucis. Ce très GROS soucis.

Tu rentres. Tu souris. Alors que tu bouillonnes à l'intérieur. Il est là, un verre à la main. Tu renifles l'air. Ton meilleur whisky, directement d'Italie. Un souvenir très cher. A tes yeux et à ton porte-monnaie. Tu gardes ton sourire. Bien sur. Ne pas lui déboîter l'épaule. Calme toi, Salvatore. Tu fais un tour avec tes iris. La table. Les cartes. Son homme de main. Lui. Le whisky. LUI.

Tu ouvres tes bras, te dirigeant vers lui. Tu lui fais un câlin, sans lui laisser le temps de s'esquiver. Non. Pas cette fois. Tu recules un peu en prenant la parole.

" Mon cher frère ! Je vois que tu t'ai fais plaisir, n'est-ce pas ? J'espère que ce whisky t'as plus. Il m'as coûter une fortune. "

Un petit rire forcé. Tu lui feras recracher tes sous par la bouche s'il le faut.

" Et je vois que tu t'ai très bien installé chez moi. Tu insistes sur ce mot, fortement. Et que ton cher ... Monsieur, as casser ma serrure pour entrer ici. Je suppose donc que tu as une très très bonne raison. N'est-ce pas ? "

Si son excuse est minable, tu entrevois déjà d'ouvrir la fenêtre pour le jeter. Et au diable la prison ! Cela feras un ennui en moins.

Le gamin est sortit, c'est qui lui d'ailleurs ? T'espère juste que ton frère baise avec des hommes bien plus ... que ça en fait. Un mec aussi canon que toi et magnifique. Lui il ressemble simplement à un haricot vert dégueulasse et fripé. D'ailleurs, tu finis par te rassoir quand tu vois que Alberto a déjà distribué les cartes et tu rigoles Je relance de 3 et tu as encore perdu. Compte les cartes Al t'es épuisant ! même si il mélange c'est trop facile, tu viens même à te demander si Zephyr aurait du lui apprendre le poker. Mais finalement à la place, tu entends les pas d'un homme dans l'appartement et ton sourire commence à s'aggrandir quand tu vois l'homme qui rentre. Cet homme, ton frère, pile à l'heure, bon avec des heures de retard mais bon. Tu sens son câlin, tu soupires, lui et son stupide gout tactile pour les câlins La politesse aussi délicate dans ta bouche à ce que je vois dis-tu avant de sourire en coin Garde tes câlins pour tes mecs, d'ailleurs, il a du se faire dessus ton mec, désolé, il a failli me faire perdre Quoi ? c'est vrai mais bon, il t'a parlé de Whisky après tout, tu finis par observer la bouteille avant de sourire Papa a une vingtaine de bouteille dans sa cave, t'en prendra une quand tu rentras Oui tu souris et tu finis par observer Alberto quand Salvatore s'adresse à lui, tu soupires Première serrure c'est ça ? Que veux-tu c'est toujours brouillon les premières fois et tu ajoutes aussitôt Sauf pour moi et tu bois ton verre rapidement quand il veut une bonne raison, tu commences à rire Je m'ennuyais de toi mon très cher grand frère adoré. Et j'ai appris par Papa que tu venais ici et que tu étais ici depuis des jours, même pas un petit mot ? Je suis choqué, je t'aurais envoyé le comité d'acceuil avant de venir moi même. dis-tu avant de sourire en coin pour faire un signe à Alberto d'aller dehors, ouais évitons le sang avec lui mais il a pas envie de bouger. Tu finis par regarder ton frère Du coup ? Pour ma bonne raison, ça passe ? Ou je dois faire le lèche cul comme notre oncle avec papa ? Parce que ça me gonfle de faire ça Autant être honnête et t'es pas le genre à marcher tes mots en fait, surtout si tu peux insulter ton oncle par la même occasion.